La popularité d'un maire sur toutes les tribunes n'est pas à sous-estimer !

September 13, 2024 00:47:49
La popularité d'un maire sur toutes les tribunes n'est pas à sous-estimer !
Ouellet en direct
La popularité d'un maire sur toutes les tribunes n'est pas à sous-estimer !

Sep 13 2024 | 00:47:49

/

Show Notes

L'introduction du 13 septembre 2024 de Ouellet en direct.

View Full Transcript

Episode Transcript

[00:00:08] Speaker A: Midi 4 minutes, bonjour, bon vendredi. On va l'avoir cette semaine-là, un vendredi treize. Regarde la fille de théâtre. [00:00:46] Speaker B: Oui, je suis bonne, hein? [00:00:49] Speaker A: Une vraie comédienne. Articule, là. Articule. OK, t'es bruiteuse, toi, de théâtre. [00:00:54] Speaker B: Oui, aussi. J'ai beaucoup de talent. [00:00:56] Speaker A: Vous aurez reconnu Patricia et sa voix pétillante du vendredi. Max est toujours à l'affût dans la tour de surveillance de Ouellet en direct. Et je vous souhaite un bon vendredi, tout le monde, pour vrai. Vendredi 13. J'aime ça. Il y a des affaires à être parents, des fois, on le sait. On n'a pas... Elle ne va pas me faire ça toute l'intro. [00:01:20] Speaker B: On dirait que j'ai envie d'être mal commode. [00:01:22] Speaker A: On dirait... J'ai-tu dit ce que... Des fois, je dis ce que je pense. [00:01:28] Speaker B: Mais il fait beau aujourd'hui, c'est excellent. [00:01:30] Speaker A: Ça là, un beau vendredi de même. [00:01:32] Speaker B: Je trouve que les gens sont tous heureux à la station. On dirait que c'est abougonné toute la semaine. Puis là, aujourd'hui, il y a de quoi dans l'air. [00:01:37] Speaker A: C'est beaucoup de choses qui... Tu sais, vendredi, donc on est aux portes du week-end. Puis évidemment, il fait beau. Il va faire beau en passant. On nous dit qu'il va faire beau pendant plusieurs jours. On va les prendre. Toutes ces journées-là, les soirées sont un peu fraîches, on va le dire. [00:01:53] Speaker B: Oui, mais ça, pour dormir, c'est l'idéal. [00:01:55] Speaker A: C'est l'idéal. Moi, ça, là, ça serait ma température idéale. [00:01:58] Speaker B: Ah, moi aussi. Quoique, je trouve... [00:02:00] Speaker A: Un 25 le jour, puis un 15 la nuit, je vis avec ça. [00:02:03] Speaker B: Moi, je peux monter plus haut. J'aime bien ça. [00:02:05] Speaker A: Oui, moi aussi, moi aussi. [00:02:07] Speaker B: C'est ça, ça y va, là, tu sais. Ah-oh! Ah-oh! Pis là, tu te dis, ouh! Il peut y avoir un coup de soleil, tu sais. [00:02:12] Speaker A: Ça suinte! Ah ben, aujourd'hui, d'après moi, tu peux pas y avoir un coup de soleil, là. [00:02:16] Speaker B: Je trouve, par contre, la seule affaire, pis c'est drôle, j'ai pensé à ça un matin en descendant, pis là, je me disais, Patricien, là, aujourd'hui, faut-tu savoure ta journée parce que la vie va trop vite? Je me suis dit ça aussi. Quelle maturité, hein? [00:02:26] Speaker A: Tabarouette philosophe. Fille de théâtre. [00:02:27] Speaker B: T'es fou, hein? Je descendais en voiture parce que j'ai hâte à plein d'affaires dans vie, j'ai plein de choses qui s'en viennent. Pis là, je me disais, non, aujourd'hui, faut- parce qu'on ne sait jamais ce qui t'attend demain. [00:02:36] Speaker A: Carpe diem, Pat! [00:02:38] Speaker B: Ben c'est ça. Ça c'est la première affaire, où c'est vite dit, où c'est vite oublié. Puis l'autre affaire, c'est la petite affaire que je peux chialer. Petite, petite, petite affaire. [00:02:50] Speaker A: Ça y est, je le savais. [00:02:51] Speaker B: Non, mais petite affaire. C'est que... On voit que les journées rapetissent. [00:02:56] Speaker A: Ah ben oui. [00:02:58] Speaker B: Faut en profiter là. [00:02:59] Speaker A: Je suis comme triste. Ben là, je reviens dans ton saisir le jour. [00:03:02] Speaker B: Oui. [00:03:02] Speaker A: C'est parce que là, les journées, si tu penses à ça, t'es trop loin. [00:03:06] Speaker B: Il faut profiter du moment présent. [00:03:09] Speaker A: Pis je suis bon là-dedans, je peux t'étouffer ça à mort. T'as dit « Hey Pat, dans deux mois, ton enfant va revenir de l'école, va faire noir. [00:03:16] Speaker B: » Bon, t'as raison. [00:03:19] Speaker A: Tu vas regarder dehors, je vais avoir des feuilles passées dans la rue. Ah oui. [00:03:23] Speaker B: Et puis la flotte, les bois mouillés. Non, non, mais on en profite aujourd'hui, il fait super beau. Et non, juste parce que je veux vraiment... ça, on va arrêter ça là, parce que vous voyez, j'étais de bonne humeur. Ben oui, tu t'es arrangé de ça tout seul. Non, non, mais au 418-709-098. T'sais, moi je suis bonne humeur. Je sais pas pourquoi vous voulez que je pogne les nerfs. [00:03:43] Speaker A: Qui ça qui veut que... [00:03:44] Speaker B: Quelques-uns te suggèrent que si le matin je suis trop mal commode, de roter dans mon oreille. [00:03:50] Speaker A: Bon ben maintenant je sais que j'ai cette arme-là. [00:03:54] Speaker B: Non c'est pas l'arme. [00:03:54] Speaker A: Qui semble très efficace. [00:03:57] Speaker B: Ça ne sera pas efficace, ça sera ma fin. [00:04:00] Speaker A: Ah oui, ok. T'es sensible, t'es fermée là-dessus, ben regarde. Non, y'a pas... Hier, ça t'a interrompue. Pis y'était d'où, là? Y'était tout petit de poupe. [00:04:09] Speaker B: Ah, j'ai du mal à en revenir. [00:04:11] Speaker A: T'viens-tu de roter, là? Ça a tout de suite arrêté le sujet. Oh, on vient de pogner de quoi, là? On se connaît pas encore totalement. [00:04:21] Speaker B: C'est ça qu'ils parlent en rotant aussi. [00:04:24] Speaker A: Ça, j'suis capable. [00:04:25] Speaker B: Ah oui! [00:04:26] Speaker A: Moi c'est la volonté. By the way, j'peux t'en faire 4 ans libre. [00:04:30] Speaker B: Moi j'suis pas capable, j'peux pas là. Moi la seule fois que j'reote d'envie, c'est quand j'bois de la liqueur. [00:04:35] Speaker A: Ah ben là! [00:04:35] Speaker B: Pis là on dirait que j'accumule tous les rotes que j'ai pas fait, pis là ça sort là, j'ai l'air là, j'ai l'air d'une... J'ai l'air de quoi? D'une Guilaine. Non, mais Guylaine, la fille qui fait des vidéos TikTok bizarres. [00:04:48] Speaker A: Ah, Guylaine... Guylaine chose, là. [00:04:50] Speaker B: Guylaine Maganet. [00:04:51] Speaker A: J'ai juste la charteuse country, là. [00:04:53] Speaker B: Non, non, pas elle. [00:04:55] Speaker A: Laissez-la réfléchir. [00:04:56] Speaker B: Elle a réfléchi. Elle veut pas réfléchir. Guylaine Gagnon. Ouais! [00:05:04] Speaker A: Mettez vos maillots! Là, ça sort. Mais une fille! D'ailleurs, ma blonde est... Bon, je dirais... Prenez ma cale à prouve pas que je parle de ça. Ben quand il faut que ça sorte à l'incapable? Au deuxième étage, on l'entend. C'est dans le sous-sol, ça traverse les murs. [00:05:21] Speaker B: C'est peut-être parce que ça fait longtemps qu'elle l'a pas faite. [00:05:23] Speaker A: Non, pis elle le fait pas. Si elle le fait, c'est parce que là, ça branche. [00:05:26] Speaker B: Moi, je le gère pas. Comme à un moment donné. Moi, je trouve ça très honteux. Tellement que j'aime pas les rôtes. L'autre fois, je parlais avec Matt Sharp. Non, j'envoyais un vocal. J'envoyais un vocal, pis je le savais pas, mais il y avait un rôte qui m'attendait. [00:05:38] Speaker A: C'est faux filet. [00:05:39] Speaker B: Il s'est fouvelé en parlant. Fait que là, m'entendre que tu prononces une syllabe, là... Je suis tellement gênée. [00:05:44] Speaker A: T'as raccroché. [00:05:45] Speaker B: Ben, j'ai arrêté ça, là. Je suis désolée. Ça n'a pas de classe. [00:05:49] Speaker A: OK, on s'en reparle, bye. [00:05:51] Speaker B: Fin du sujet. Ça n'a pas de classe. [00:05:55] Speaker A: Fait que toi, mettons, un auditeur dit, mettons qu'on t'assoie devant Pauline Larotteuse. [00:05:59] Speaker B: Oui. [00:06:00] Speaker A: C'est sûr que t'as frappe. [00:06:01] Speaker B: Ah, mais c'est sa fin. Non mais c'est la fin de Pauline. Tu sais si je fais la une sur la manchette là, c'est... Cette pauvre voyante s'est fait arracher la tête par cette alimatrice de Rado X. [00:06:13] Speaker A: Bon ok, là on parle pas de rot pendant une heure là. Pis là les gens mangent là, tu sais déjà, moi j'apprends. [00:06:18] Speaker B: Ah si c'est vrai, on est midi. [00:06:19] Speaker A: Ouais mais on a pas roté là, tu sais. Ah y'en a qui sont fragiles. Et là c'est dégueulasse, calmez-vous. On jase, regarde on va revenir. Vendredi 13. J'aime ça être papa parce que des fois je peux encore être original sans que la personne en avant de moi soit blasée et qu'elle a tout connu et qu'elle a tout vu. [00:06:44] Speaker B: OK, il y a comme le comédien qui peut sortir en toi. [00:06:47] Speaker A: Ben, écoute, je vais te le donner. Tu sais, un matin, mon fils, mon plus vieux, me fait remarquer « Hey, c'est vendredi 13 ». Pis là, moi, je fais « Oh, vendredi 13 ». Et là, j'ai ma fille. Ma fille, elle n'est pas vieille. C'est encore au primaire. Fait que, tu sais, elle a vécu des choses. C'est comme le Père Noël, c'est comme fini. Tu sais, elle a appris des affaires, là, pis... Puis là, elle, elle pense que moi, la société, je connais ça. L'environnement, ça va bien. Je vois comment les humains sont à peu près. Mais il y a encore des petites affaires qu'elle n'a pas... Elle a probablement déjà vécu un Vendredi 13, mais il n'y en a pas tout le temps. Ce n'est pas quelque chose de récurrent qu'on fête. Puis des fois, on n'en parle même pas. C'est Vendredi 13. Mais là, elle a semblé accrocher parce qu'elle a vu qu'on réagissait à ça. Il dit, c'est vendredi 13. Oh, c'est vendredi 13. Oh, attention. Puis là, elle lève son sourcil comme James Bond. Puis elle dit, c'est quoi vendredi 13? Je dis, tu sais pas c'est quoi vendredi 13? Puis là, je t'ai beurré ça. Je dis, le vendredi 13, c'est une journée où toutes les affaires les pires arrivent. Tu sais, je te le dis là, c'est là que ça se passe. Pis là, mon plus vieux embarque. [00:08:09] Speaker B: Ah, vous étiez à deux. [00:08:10] Speaker A: Pis là, il dit... Pis le vendredi 13, il a dit « affaire, faut que tu fasses attention, faut pas que tu vois de chats noirs. [00:08:14] Speaker B: » Ouais. [00:08:15] Speaker A: « Faut pas que tu... » Pis là, je voyais dans sa face qu'elle gobait tout. Tu sais, elle était en train de se dire « Oh, là, je suis en train d'apprendre quelque chose. J'avais jamais vu ça aller. [00:08:24] Speaker B: » Il n'y a pas de treizième étage dans les hôtels. [00:08:26] Speaker A: Oui. Non, mais tu vois ça, je vais l'entretenir. C'est une bonne idée. Ça remarquera des fois. Il n'y a pas de treizième étage, le chiffre 13. Vendredi 13, ça n'a pas de bon sens. C'est terrible. Il ne faut pas que tu passes en-dessus d'une échelle. Il ne faut pas que tu dises « Ah, je voyais beurrer ça. » Bon, maintenant, elle va m'haïr. Elle va dire « Hey, t'avais-tu pas rapport avec ton affaire? » Donc, vendredi 13, bien honnêtement, il ne m'est jamais rien arrivé de mal un vendredi 13. [00:08:48] Speaker B: Non, non. Ça fait partie des mythes et légendes. [00:08:52] Speaker A: Ben là, c'est parce qu'hier, on parlait des voyants, puis il y en a qui nous écrivaient « Non, non, ça c'est vrai. » C'est vrai, il y a des affaires que c'est vrai. [00:08:58] Speaker B: Non, mais le vendredi 13, là, non. [00:09:00] Speaker A: Ben là, il y en a peut-être qui vont me dire que c'est pas vrai. Moi, tous les vendredis 13, je me casse un bras. Je sais pas. Donc, on verra. Quelqu'un dit qu'il est né un vendredi 13. Bon, visiblement, t'es encore en vie. [00:09:08] Speaker B: Ben ouais. Mais t'as me gagné un peu, par exemple. [00:09:10] Speaker A: Je sais pas. Martin, t'es-tu me gagné? C'est une joke, Martin. Ça serait vraiment la poche qui m'écrive. Ouais, je suis en chaise roulante. [00:09:16] Speaker B: Ma joke elle serait plus drôle. [00:09:16] Speaker A: Je suis non-voyant. [00:09:17] Speaker B: Oui, ça serait vraiment pas drôle, effectivement. [00:09:20] Speaker A: On s'excuse, puis je voulais pas rire des non-voyants, puis des gens en chaise roulante. [00:09:23] Speaker B: Ça nous dérange pas. [00:09:24] Speaker A: OK, à part de ça, on est tombé dans nos bottes d'encre, là. C'est vendredi en passant, donc un peu plus de légèreté. Gary... Gary, as-tu pogné le matin? [00:09:36] Speaker B: Non, j'ai pas pogné. [00:09:37] Speaker A: Il parlait avec Pierre. Tu sais, quand quelqu'un tripe... OK, je vais commencer avec ça. [00:09:42] Speaker B: OK. [00:09:43] Speaker A: Je vais redéposer ma pile de feuilles. D'accord. Moi, tu sais, il y a des choses, pis ça c'est normal. On aime, on n'aime pas. Tu sais, mettons, moi, pis je le sais que j'étais un peu à contre-courant, pis tu sais, ça m'agresse pas, mais la lutte, je suis pas un super fan. [00:09:59] Speaker B: OK. [00:09:59] Speaker A: Tu sais, comme hier, on disait, il y a un galop de lutte. Si je vais dans un festival, pis il y a un galop de lutte, Je vais le regarder. [00:10:06] Speaker B: Si ça donne que c'est là en même temps... [00:10:09] Speaker A: Je vais même faire un petit détour et je vais regarder ça un peu. [00:10:11] Speaker B: Mais tu ne te déplaceras pas pour l'événement. [00:10:13] Speaker A: C'est ça. Puis je ne vais pas me peinturer à la face puis crier après mon luteur préféré, puis sortir une pancarte, puis oui, Marie-Moi. [00:10:20] Speaker B: Ça sent hot, ces gens-là. Ça crée l'ambiance. [00:10:21] Speaker A: Ils sont passionnés. Si chacun s'est passionné... Moi, je fais des affaires sûrement que le monde dirait que je ne fais pas ça. Chaque cas, c'est patente. Mais habituellement, si j'entends parler quelqu'un de passionné, même si je n'aime pas ça, Je vais m'intéresser. Je vais me dire, lui il trippe tellement que Tabarouette, ça m'intéresse. Ça ne m'intéresse pas, mais lui il m'intéresse. Il a l'air trop trippé. J'aimerais s'y parler. Mais là matin, j'ai eu affaire à un passionné. Tabarouette, mon constat est plat, elle n'aime pas ça le bessic. [00:10:57] Speaker B: Ok. [00:11:00] Speaker A: J'aime pas ça. Ça me parle pas. [00:11:04] Speaker B: Ah parce qu'il a fait une entrevue. [00:11:05] Speaker A: C'est le taux cycliste. Non mais là il disait qu'il allait être là toute la journée pis qu'il se déplace sur le parcours pis qu'il regarde les mollets des cyclistes pis les voitures qui transportent des pneus pis là t'sais lui ça le transporte. Ça va être la plus belle fin de semaine de l'année. Il est tout excité. Je me suis retenu Paul Lapierre dire là, t'es-tu sûr que tu vas être là pour venir faire ta chronique? Je me suis dit, il est parti lui-là au lycée, il va être sur la brosse à midi, en bédaine avec un vélo peinturé sur le chest. Mais... [00:11:34] Speaker B: Il va se péter des bières sur la tête. [00:11:36] Speaker A: Mais il était vraiment passionné. [00:11:38] Speaker B: Ben oui. [00:11:38] Speaker A: Puis je le sentais qu'il aimait ça. Puis tabarouette que ça me parle pas. [00:11:43] Speaker B: Oui. Mais... Ah il s'en vient. Viens t'arrêter ce soir. [00:11:48] Speaker A: Non, c'était pas une invitation. Ben non. [00:11:50] Speaker B: « Va crasher le show, va crasher le show! [00:11:54] Speaker A: » Qui qui a dit ça? [00:11:55] Speaker C: Pierre Couture. [00:11:56] Speaker A: Ah, Pierre là. [00:11:57] Speaker B: Ben là, j'ai manqué. As-tu raconté ton entrevue que t'as faite que j'ai vue sur les Instagrams? [00:12:02] Speaker C: Avec Tadej Pogacar? [00:12:03] Speaker B: Ouais, c'est-tu lui le numéro un, Charles? [00:12:04] Speaker A: Ouais, ouais, j'ai vu comment il t'a dit ça. Il y avait de la sensualité. [00:12:09] Speaker B: Pierre est là aussi. Bon ben, ni vous en tout! [00:12:12] Speaker C: On va vous crasher ça cet immédiatement. [00:12:14] Speaker A: Hé, mais moi, pour vrai, j'irais. Si ça vous dérange pas, Pierre va venir ce soir, je vais y aller. J'ai une grosse gigue de baseball à soir. Je suis allé me préparer. [00:12:23] Speaker C: Je m'excuse juste d'être venu crasher le show, mais je veux juste vous dire que c'est quand même... C'est incroyable aujourd'hui ce qu'on vit. [00:12:29] Speaker A: Ben non. [00:12:32] Speaker B: Non mais moi je... t'es tellement... il est amoureux, il a des yeux en caoutchouc. [00:12:36] Speaker A: Ah non je le sais. [00:12:37] Speaker B: Il vit quelque chose, il a une émotion. [00:12:38] Speaker A: Pis ça me déçoit qu'on soit pas capable de connecter. Ça fait longtemps qu'il essaye là. [00:12:45] Speaker C: J'aimerais ça qu'il vienne faire une petite ride. [00:12:46] Speaker A: Tu sais des fois il est là, tu devrais venir voir ça. J'ai dit tantôt, je vais aller roncler le terrain avant. [00:12:51] Speaker C: J'avais invité au Mont-Sainte-Anne à venir avec ses gars voir la descente, le downhill. Le downhill au Mont-Sainte-Anne. [00:12:56] Speaker A: Ah mais ça c'est... attention. Ça c'est moins pire. Ça, c'est comme la lutte. Je suis pas un passionné, mais si je suis dans ce coin-là, je vais y aller. [00:13:05] Speaker C: Mon Saint-Anne, en avant de Bellechasse. [00:13:07] Speaker A: Non, non, mais t'sais, je ferais pas 4 heures de char pour aller voir une descente, mais si, mettons, je suis là pis qu'on me dit « Hey, viens, y'a quelque chose de cool pas loin. [00:13:14] Speaker C: » Y'a de la bière, de la poutine pis du baiser. [00:13:15] Speaker A: Non, mais ça, je serais prêt. Mais le vélo de route, communément appelé le vélo de route. [00:13:22] Speaker C: Le bug de route, là. [00:13:24] Speaker A: C'est un sport de chien sale, je. [00:13:29] Speaker C: Le disais ce matin. Il n'y a aucune pitié. C'est vraiment un sport de salopard. [00:13:34] Speaker A: Un sport de chien sale, c'est le hockey des années 70. [00:13:38] Speaker B: C'est ça, genre de la boxe avec une personne trans. Ça va admettons, je peux admettre que des fois ça peut être un sport de chien sale. [00:13:52] Speaker C: En tout cas, j'ai juste voulu dire, je me retourne de votre bord, je vais vous laisser faire votre sport parce que c'est super, je vous aime beaucoup en honte. [00:13:56] Speaker A: Là, tu as fait sûrement un quiz spécial vélo. Il y aura peut-être quelque chose. [00:14:00] Speaker C: Surtout qu'aujourd'hui, on joue, il y a toujours un prix spectaculaire dans chaque semaine. Cette semaine, on joue pour la passe du Grand Prix cycliste, la passe média. du Grand Prix Splice de Québec et Montréal de Dan Gravel! [00:14:13] Speaker B: Il va pas être là aujourd'hui! [00:14:14] Speaker C: Donc vous allez pouvoir aller manger des hot-dogs avec Louis Garneau. [00:14:17] Speaker B: Mais il faudrait que j'y aille! [00:14:18] Speaker A: Attends un peu là, tu veux faire tirer ça? [00:14:20] Speaker C: À travers les trois animateurs qui sont. [00:14:22] Speaker B: En studio ça aujourd'hui? Ben non, c'est le gagnant du quiz! [00:14:24] Speaker A: Ah ben ouais, ben donne-moi pas ça là. [00:14:25] Speaker C: Non non, mais si tu es là. [00:14:26] Speaker B: Au coup là... Non mais tu pourrais aller te péter des canettes sur la tête! [00:14:29] Speaker C: C'est vrai, on pourrait se faire des beer-bongs au finish. [00:14:31] Speaker A: Quelqu'un dit « J'y suis, mets-toi chaud, ça va être super. [00:14:35] Speaker B: » Sors ta canine. Shotgun! [00:14:37] Speaker A: Shotgun! [00:14:38] Speaker C: Là, tu cries Peter Sagan, mais tout le monde te regarde en disant « Il est pas là cette année. [00:14:41] Speaker B: » T'as-tu demandé à Peter... Je me souviens plus, je suis mêlée d'un nom. Tu sais, l'entrevue que t'as faite hier. [00:14:49] Speaker C: Tadej Pogacar. [00:14:50] Speaker B: Est-ce que tu lui as demandé s'il avait mal aux jambes? [00:14:52] Speaker C: J'ai demandé, comment sont tes jambes? [00:14:54] Speaker B: Oui, oui. OK, c'est ça. [00:14:56] Speaker C: Parce qu'ils ont tout le temps mal aux jambes. [00:14:57] Speaker B: Il est là surpris de ta question. [00:14:58] Speaker C: C'est la première question cycliste qui avait du sens, qui était raccord avec le sport. [00:15:02] Speaker B: OK. [00:15:02] Speaker C: Ils ont demandé des questions. [00:15:03] Speaker A: Oh, c'est la première fois que quelqu'un pose ça, cette question-là. [00:15:05] Speaker C: Ben non, les entrevues en sortant autour de France, quand tu finis une étape, comment vont tes jambes? [00:15:09] Speaker A: Alors, comment vont tes guibolles? [00:15:10] Speaker C: Tes jambes, comment vont tes jambes? Est-ce que tu te sens bien sur ton bike? Regarde, j'ai dit, comment vont tes jambes? J'ai demandé en sous-question, « you look great on your bike », il comprenait que j'étais moi aussi cycliste. [00:15:21] Speaker A: Bon, là Pierre t'as dû devenir, mais le grand boss il dit de sortir. [00:15:24] Speaker B: Ah, c'est super intéressant. [00:15:26] Speaker A: Mais pas tant. Vous vous jaserez de ça tantôt. Merci Gary. Ça fait plaisir. T'es sévère, merci. Mais non, mais je dis pas que Gary est pas intéressant. Ça m'intéresse pas. Je suis pas de la bande. [00:15:36] Speaker B: Oui, non, mais ça, ça arrive. [00:15:38] Speaker C: C'est deux dossiers. [00:15:38] Speaker B: Mais il est tellement passionné qu'on... [00:15:42] Speaker C: Fais pas la différence. [00:15:43] Speaker A: À tantôt Gary! À tantôt peut-être, merci. [00:15:45] Speaker B: Salut. [00:15:46] Speaker A: J'espère que j'ai pas cassé. [00:15:47] Speaker B: Il est tellement amoureux de son sport. Je trouve ça beau. Il met ça passionnément. Comme ça. Puis lui, il triple. C'est comme, il est dans un petit terrain de jeu. C'est comme s'il sortait ses petites affaires de Lego, puis il jouait au Lego. Puis là, il fait comme, mais tu sais, c'est rendant en nature. Bon. [00:16:01] Speaker A: Donc, ceci étant dit. [00:16:02] Speaker B: Il y a plein d'affaires. [00:16:03] Speaker A: Oui, il y a plein de sujets. Il y a plein d'autres sujets. En tout cas, c'est le bordel en ville. Parce qu'il y a des vélos. [00:16:10] Speaker B: Le pont. [00:16:12] Speaker A: Le pont va être fermé encore. [00:16:13] Speaker B: Le pont va être fermé encore. [00:16:15] Speaker A: Là, le pont, juste pour vous dire, c'est pas fini. C'est pas fini tant que c'est pas fini, disait Yogi Berra. Moi, je vous dis, le pont c'est pas fini tant que c'est pas fini, pis c'est pas fini. Donc, encore une fois, fermeture complète du pont de Québec à partir de 20h ce soir jusqu'à lundi matin. Ça va être comme ça encore un bout. Et là, je voulais, je vous dis, je l'ai pas imprimé, mais je m'étais sorti l'info. Oui. Ça, c'est la première phase des travaux. [00:16:40] Speaker B: Oui. [00:16:41] Speaker A: C'est jusqu'en 2027. La première phase. Jusqu'en 2027. C'est parce qu'après y'a une autre phase. [00:16:50] Speaker B: Ok, c'est ça. [00:16:54] Speaker A: Je veux bien, on peut bien se le dire et on va le faire. On va passer l'info rapidement, mais on ne passera pas des 15 minutes à toutes les fois là-dessus. Il va falloir vivre avec le fait qu'on a décidé d'utiliser uniquement deux ponts, dont un qui a été fait à une autre époque. On parle quand même de de quoi de la première vague d'industrialisation, peut-être le deuxième. Et l'autre qui a été bâti il y a 50 ans et on va vivre avec. Si on veut rien faire de plus, il va falloir vivre avec. Quand je dis on, vous comprenez, je sais que je parle à beaucoup de gens qui auraient bien aimé ça avoir un système moderne de routes et d'autoroutes avec des périphériques et tout, mais nous autres, on n'est pas de même ici. Donc évidemment que notre pont qui date de 100 ans, Ben, il faut s'en occuper. Donc, c'est ça. Bonne chance à tous, puis je me le souhaite moi-même parce que je suis sur la Rive-Sud, puis je vis avec ça pas mal au quotidien. On est vendredi. Habituellement, les vendredis, c'était plus mollo depuis un certain temps. Avec le... comment, le télétravail? [00:17:55] Speaker B: Oui. [00:17:56] Speaker A: Plutôt encore le bordel. Ça va être comme ça. Fait qu'on s'habitue. [00:17:59] Speaker B: Ça va être fermé à partir de ce soir 20h et jusqu'à lundi 5h30 du matin. [00:18:05] Speaker A: Je regarde là justement, ah oui oui c'est déjà... Autoroute 20 là, direction ouest. [00:18:11] Speaker B: C'est épouvantable. [00:18:14] Speaker A: À partir de Président Kennedy, présentement il est midi et 20. Donc à partir de Président Kennedy jusqu'au Costco. Jusqu'à l'entrée des ponts. C'est le gros bordel. Donc ça va être comme ça, c'est de même à tous les jours. [00:18:29] Speaker B: Ah c'est vraiment déprimant. Fait que je sais pas comment vous faites pour garder... [00:18:33] Speaker A: Je suis tanné d'être fâché. Fait que je vais arrêter. [00:18:35] Speaker B: Comment vous faites pour garder votre calme? Moi je suis juste ici là... [00:18:41] Speaker A: On finit par... Sais-tu quoi? L'humain il est bien fait. [00:18:43] Speaker B: Ouais, on s'adapte? [00:18:44] Speaker A: On finit par la résilience qu'il disait. T'sais la pandémie là... Maud! Après un mois là, je me disais, il va y avoir une vague de pétage de coches. Il y en a eu? Ok, on va se le dire. Moi, je suis passé assez proche aussi, deux, trois fois là où je disais je suis plus capable. Mais en général, quand vous regardez ça, avec du recul, demandez à... Si on était capable de rejoindre 100% de la population, on se rendrait compte qu'on a une maudite gang qui a réussi à s'adapter à ça, puis à même trouver ça correct. pis elle a même trouvé ça finalement confortable. Ah ben c'est correct, on reste à la maison pis on écoute des petites séries. Alors moi pis mon chum on se fait des petits vins fromages sur Zoom avec nos chums pis c'est bien le fun. Moi les affaires de Zoom je faisais ça 2-3 fois j'étais plus capable. [00:19:39] Speaker B: C'était drôle la première fois. Tout ce que tu fais une première fois, tu te convaincs que c'est le fun à faire à un moment donné jusqu'à temps que tu te rends bien compte que c'est plein de tabarouettes. Parce que quand tu fermes ton écran, il n'y a plus personne dans le salon. [00:19:51] Speaker A: Exactement. Au début, ma blonde me dit, on se met zoom avec 2-3 chums, des coupes d'amis, on se prend un drink. Au début, la première demi-heure, vous autres, comment ça va? Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! [00:20:09] Speaker B: Hé! [00:20:09] Speaker A: Hé! Hé! Hé! Hé! [00:20:10] Speaker B: Hé! [00:20:10] Speaker A: Hé! [00:20:10] Speaker B: Hé! [00:20:10] Speaker A: Hé! [00:20:11] Speaker B: Hé! [00:20:11] Speaker A: Hé! Hé! [00:20:11] Speaker B: Hé! Hé! [00:20:11] Speaker A: Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! [00:20:14] Speaker B: Hé! [00:20:15] Speaker A: Hé! [00:20:15] Speaker B: Hé! Hé! [00:20:15] Speaker A: Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! [00:20:16] Speaker B: Hé! Hé! [00:20:16] Speaker A: Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! [00:20:19] Speaker B: Hé! [00:20:20] Speaker A: Hé! [00:20:20] Speaker B: Hé! [00:20:20] Speaker A: Hé! Hé! Hé! Hé! [00:20:22] Speaker B: Hé! Hé! Hé! [00:20:23] Speaker A: Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! [00:20:26] Speaker B: Hé! [00:20:26] Speaker A: Hé! Hé! Hé! [00:20:27] Speaker B: Hé! [00:20:27] Speaker A: Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! [00:20:30] Speaker B: Hé! [00:20:30] Speaker A: Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! Hé! [00:20:32] Speaker B: Hé! Hé! [00:20:32] Speaker A: Hé! [00:20:32] Speaker B: Hé! [00:20:33] Speaker A: Hé! Hé! [00:20:33] Speaker B: Hé! [00:20:33] Speaker A: Hé! Hé! Hé! [00:20:34] Speaker B: Hé! [00:20:35] Speaker A: Là, un moment donné, tout le monde se tanne. Bon, là, les casques de Star Wars, c'est assez, là, tu sais. Bon, oui, allez, nous autres, en tout cas, gang, c'était super cool, on se refait ça. Ouais, on se donne des news. [00:20:47] Speaker B: Ça a été la seule et dernière fois. [00:20:50] Speaker A: Parce que là, comme tu dis, là, on ferme la caméra, pack tes reds, pis appuie par ça. Genre 9h30. Parce qu'on a commencé ça à 8h, tu sais. Ouais, je dis non, ça c'est pas pour moi ça finalement, c'est avec du recul là, c'est pas... Mais il y en a qui ont aimé ça. Il y en a qui ont aimé le télétravail, il y en a qui ont aimé la distance, il y a des ermites qui se sont découverts. Ah finalement je suis ben mou dans la cave, pis je sors plus, pis je fais plus rien, pis tu sais... Bref, on va s'habituer. Pis c'est un peu ça qu'ils veulent je pense. Pis je pense que les décideurs, ils ont ben des défauts, mais je pense qu'ils ont saisi la nature humaine. Ils savent qu'à toutes les fois qu'ils vont proposer quelque chose, ils vont avoir un choc. La deuxième fois, ça va être moins pire. Et ainsi de suite, jusqu'à temps que tout le monde se dise la fameuse devise. Moi, la vraie devise du Québec, c'est pas « je me souviens », c'est « si tu veux qu'on fasse ». Le monde sont dans leur char et ils se disent « si tu veux qu'on fasse ». Comme s'il n'y avait pas d'autre option. [00:21:46] Speaker B: – Bien, changer de gouvernement. [00:21:49] Speaker A: On pourrait commencer par ça. Mais t'sais, ça c'est l'autre affaire qui m'a donné un coup de messue dans le cynisme. C'est qu'on change de gouvernement, pis là le changement, la guerre, on va sortir enfin de l'éternel loop du PQ-PLQ. Enfin un vent de fraîcheur, regarde. C'est un vent de fraîcheur qui a viré-t-il à l'humide un peu? [00:22:09] Speaker B: On a quand même pris un péquiste en se faisant croire qu'il avait changé. [00:22:13] Speaker A: Mais il nous a lancé des affaires! [00:22:14] Speaker B: Un péquiste born in the race, puis un péquiste convaincu. [00:22:18] Speaker A: C'est un caribou hardcore. [00:22:20] Speaker B: Ah oui, qui voulait, lui, dans le temps qu'il était au PQ, faire la séparation plus vite que tout le monde. [00:22:27] Speaker A: Oui. [00:22:27] Speaker B: C'est comme... Fait que t'sais on a aussi... C'est sûr que des fois on se fait remplir pis on se dit ah il a peut-être changé. Parce qu'on change là. En vieillissant on peut changer. [00:22:37] Speaker A: On doit dire que... [00:22:38] Speaker B: On a décidé que finalement tu te dis ah ben à 20 ans j'étais de même mais là aujourd'hui je pense plus de même. Bon ça ça arrive là parce qu'on peut pas rester pareil, pareil, pareil t'sais. Pour x, y raisons. Mais lui finalement on s'est fait remplir là. Complètement. [00:22:52] Speaker A: Je sais pas si lui s'est cru lui-même mais il était convaincu et convaincant. Il a écrit un livre de 260 pages. [00:23:00] Speaker B: Je pense qu'il voulait tellement se faire... Tu sais, dans le fond, dans la vie, lui, il voulait devenir PM. C'est ça qu'il voulait. C'était son ambition et ça depuis de nombreuses années. [00:23:10] Speaker A: Puis il l'a dit. [00:23:11] Speaker B: Puis c'est ça. Fait qu'il est allé coûte que coûte pour devenir PM. C'est ça. Mais dans le fond, son bas fond, son fin fond de lui-même, ça n'a pas changé. Mais il a dit que lui, il avait changé, puis c'est de même qu'il voulait ça. Il y a un livre sur ça qui s'appelle Le Mirage, en passant, sur la forme que se présente François Legault. [00:23:33] Speaker A: C'est un mirage. Les politiciens, c'est souvent ça. C'est ça qui est étonnant. Mais bon, on va vivre avec. Parlant justement de gouvernement, de promesses, de ci, de ça, T'sais, tant qu'à faire une nouvelle de même, c'est pas si... Moi, je filerais mal. Le PDG de CDPQ Infra demande que le projet de tramway demeure rapidement. C'est sûr, c'est leur projet. C'est eux autres qui vont le gérer. [00:24:01] Speaker B: Ben oui, c'est sûr qu'eux autres... Ben oui, effectivement. [00:24:06] Speaker A: Northvault demande d'avoir ses subs rapidement. Ben oui, je sais bien, c'est... Ça va de soi. C'est des PQ intra, je veux bien là, infra pardon, je comprends que c'est un organisme relié au gouvernement, c'est notre petit bois de glaine, pis gna gna gna, mais là, c'est quand même eux autres qui vont faire la job, donc c'est le business pareil, eux autres ils veulent que ça avance. Évidemment que Bruno est bien content d'entendre ça, mais c'est parce que moi, un projet de, c'est combien ce projet-là? 12 milliards? [00:24:33] Speaker B: Ah ouais, ben on le sait plus, on a passé à... [00:24:37] Speaker A: Là on dit phase 1, 5 milliards, on verra comme on dit, on verra. Moi je le sais pas, les projets quand ça part avec des milliards et des milliards, je serais plus du genre à prendre mon temps. [00:24:48] Speaker B: Ben en tout cas, surtout qu'économiquement parlant... [00:24:50] Speaker A: T'sais là ça va... Go, go, go, go! Oui, oui, un tapu là. Ils ont même pas encore décidé qui payait quoi nous. Il n'y a pas de plan encore. Et c'est ce qu'on apprend, entre autres, dans ce texte-là. La vraie nouvelle, c'est plus ça. Il n'y a pas encore de modèle de gouvernance d'établi. On ne sait pas qui va gérer quoi, qui va payer quoi. La facture va être séparée comment, à qui. Tu ne peux pas se tarder un projet. Puis là, on nous dit, oui, on se tarde pareil. Pourquoi dans le public, on se permet de faire des affaires qu'on ne ferait jamais dans le prix? Il n'y a pas un entrepreneur, parce que là, c'est pas un entrepreneur. Il n'y a pas une banque, parce que c'est ça, dans le fond, le gouvernement joue le rôle d'une banque là-dedans. Il donne de l'argent, c'est lui le pourvoyeur de fonds. Il n'y a pas une banque qui donnerait le go. sans avoir rattaché le financement, puis avoir signé le papier, puis savoir qui va payer, puis c'est quoi le taux d'intérêt, puis comment ça va marcher, puis le... Là, c'est ce qu'on est en train de faire, là. On est en train de dire, comment ça, là? Nous autres, on va checker ça après. Hé, la Ville, elle sait pas combien elle va avoir décrit sa facture. [00:26:04] Speaker B: C'est qui qui fait quoi? Finalement, on a-tu les employés? On a engagé les employés? On dirait que je ne me souviens plus. Il y a tellement d'affaires. [00:26:09] Speaker A: On ne le sait plus. Parce que le plan est là. Le plan, on l'a eu, la présentation de CDPQ Infra, ci pis ça. On a vu le trajet. Maintenant, le fédéral va-tu payer? Le gouvernement Legault va-tu ramasser la facture du fédéral si le fédéral ne paye pas? Est-ce que c'est l'entièreté de la facture qui revient au provincial? La ville, c'est quoi sa cote? Elle avait déjà une cote à payer dans l'ancien projet. C'est-tu resté pareil? Ça a-tu triplé? Tu sais, je t'annonce que pour une ville, une ville, c'est limité comme ressource. On l'a vu, le garde a besoin d'argent. Faut taxer tout le monde, les autos, le gaz, ils sont en recherche d'argent intensive. Si la ville se ramasse avec une facture de 3 milliards, Ça marche-tu encore? Moi, M. Marchand, il me semble qu'il disait qu'il y avait une limite. On n'a jamais eu le montant de la limite. Ça fait que c'est peut-être 12 milliards, je ne sais pas. Mais c'est fou comme de la merde. [00:27:09] Speaker B: La limite? Non, mais il n'y a pas de limite. [00:27:11] Speaker A: Ben au début, en campagne, il avait dit que c'était pas à n'importe quel prix. J'ai des codes dessus. [00:27:16] Speaker B: Oui, t'as raison. Mais on se dit-tu que ça a l'exi... T'sais, elle peut... Ben y'a une. [00:27:21] Speaker A: Limite qui a jamais été nommée. [00:27:22] Speaker B: On peut plus la croire, là, cette fausse limite-là? [00:27:24] Speaker A: Non. [00:27:25] Speaker B: Ben non, parce que... Admettons, je dis aujourd'hui... [00:27:27] Speaker A: C'est une question. Y'a-tu une limite? Je sais même pas. [00:27:31] Speaker B: En fait, mon point étant que même si c'était 20 milliards, là, il va foncer, là. [00:27:36] Speaker A: T'sais Geneviève Guilbeault là, que j'ai eu en entrevue pis qui est quand même là, c'est une bonne, c'est une politicienne, une vraie là, ok? Ben là je suis obligé d'être un peu d'accord là. Le cabinet de la ministre répond, le démarrage des travaux aura lieu aussitôt qu'on aura convenu d'un modèle de gouvernance de projet efficace et pérenne. [00:27:58] Speaker B: Oui, effectivement. [00:27:59] Speaker A: Ben là, y'a pas d'autres façons de faire. [00:28:01] Speaker B: Non, c'est ça, on peut pas commencer un débout pis faire un petit bout de patrouille. [00:28:05] Speaker A: On peut pas dire, on a commencé en rail-site, là. OK, pis finalement, la ville paye combien? On le sait pas encore. Ben voyons. Ça va. C'est du monde adulte, là, qui disent des affaires de même. [00:28:14] Speaker B: Je sais si ça me rentre pas dans la tête qu'on mette des rails. [00:28:18] Speaker A: Je sais que c'est ça le projet. Ça va être ça le projet, là. [00:28:20] Speaker B: Je peux pas croire. [00:28:22] Speaker A: Il va y avoir des rails. [00:28:23] Speaker B: On va poser des rails. [00:28:24] Speaker A: Pis là, des rails, moins de voies de circulation, des bicyclettes des deux bords. [00:28:29] Speaker B: Il y a un quartier qui a besoin, t'sais qu'on le sait pas là, on l'a pas vu venir, dans deux ans, dans cinq ans, dans quinze ans, on se dit « Hey, ça serait bien fait. » Ça a explosé, ben oui. Ça ferait bien que le tramway passe là, ou n'imite ton transport collectif. Pis on peut pas, parce qu'on fige dans le temps, Le trajet. [00:28:47] Speaker A: Ah pis le trajet il est figé. Fase 1, ça part de, je l'ai ici, la première phase là. Ça part de Charlebourg. Entre Legendre et Charlebourg, donc le Ikea et Charlebourg. Ça c'est la ligne qu'on avait là, tu sais, de départ. Ça passe par Sainte-Foy, l'Université Laval, Colline parlementaire, Saint-Roch, donc Charlebourg jusqu'au Ikea. 5 milliards. Ça va être des rails tout le long. In and out. [00:29:14] Speaker B: Je... Je comprends pas. [00:29:17] Speaker A: Mais ça presse! Moi ça là... Quelqu'un là... « Hey, faudrait que tu me passes 2000$, j'ai un beau projet. Ok, t'as-tu ton plan d'affaires? On va checker ça, ça va peut-être là, tu sais... » « Hey, moi ça presse! Donne-moi le cash tout de suite! Donne-moi le cash! Il faut que je start ça! » « Oui, mais t'as-tu un plan d'affaires? Comment ça marche? Comment tu vas me rembourser? Sur combien de temps? » « Regarde! Donne-moi ça tout de suite, on passe ça! Après ça, on va checker... » « Hey, moi ça là... J'suis plus là, c'est sûr, il a pas fini sa phrase. [00:29:43] Speaker B: Il y a des auditeurs qui se questionnent pis j'ai envie de poser la question en ondes, OK? Pis je me demande des fois si ces auditeurs-là, ils ont pas raison. Ils vont-ils en avoir un, trame-moi. Avec, admettons, le Pierre Poilievre qui s'en vient. Ben c'est tout ça! Avec, possiblement, un changement à la mairie. By the way, on est en élection l'année prochaine. [00:30:02] Speaker A: Oui, mais Bruno Marchand, lui, il faut que ça se tarte en 2025. [00:30:06] Speaker B: C'est pour ça que lui, il y a une urgence. [00:30:08] Speaker A: C'est pour ça que je vous dis qu'il faut se méfier. Parce que toutes ces gens-là, ils disent pas que ça presse parce que ça va changer de quoi que le tramway soit en action en 2030 ou en 2032. Bien honnêtement, sur le total tout de la pollution de la planète, un an ou deux d'attente pour que le tramway entre en jeu, pour que je sais pas combien d'automobilistes abandonnent leur voiture, ça changera pas grand-chose sur le total du CO2. Il y a pas l'urgence climatique. « Vite, vite, vite, vite, il faut sauver trois mois ! » Ça n'a pas rapport. Ils veulent que ça commence parce que plus on attend, plus il y a des chances que ça foire, ce projet-là. Parce que ce que je l'ai dit, tu l'as dit, le Parti conservateur, je ne l'ai pas en cote, mais c'est pa-en-sen. pour le projet de tramway. C'est ça qu'a dit Paul-Yves. Fait qu'à partir de ce moment-là, si t'as le bras dans la machine à saucisses, pis qu'il y a moitié des rails opposés, ben là tu peux plus reculer. Fait que là t'es comme « Ah ben là on est obligé, on va s'arranger avec la facture. Qui va payer la facture? Je sais pas. Bonne chance. [00:31:08] Speaker B: » Si on y va dans l'optique qu'il y en aura ultra moins, finalement, c'est peut-être moins sûr qu'on pense. L'année prochaine, il y a des élections, c'est Sam Hammad qui rentre. On y va avec une boule de cristal. C'est Sam Hammad qui rentre. Lui, là, qu'est-ce qu'il fait avec le mandat du transport collectif? [00:31:24] Speaker A: Si il est fait à moitié, qu'est-ce qu'il veut qu'ils fassent? [00:31:28] Speaker B: Il va pas arracher les rails? Admettons qu'on n'ait pas été capable... On est toujours au stand-by parce qu'il y a les élections aussi, parce qu'on n'a pas attaché le financement avec le fédéral. [00:31:35] Speaker A: Si il n'y a rien de fait de plus que ça... Ben là, écoute, ça sera à lui à nous faire une promesse électorale. On verra. Moi, je sais pas ce qu'il va dire sa maman. J'suis pas dans sa tête. 418-670-9098. [00:31:44] Speaker B: C'est Sam Hammad qui se présente. Il n'aime même pas, peu importe, tout le monde le connaît. Il est connu. J'y vais juste sur un nom qui peut dire de quoi à bien du monde. Un nom populaire. Sam Hammad, c'est le gars qui ressort le plus. La preuve, le sondage, candidat fantôme. [00:32:02] Speaker A: Il n'a même pas dit qu'il se présente encore. [00:32:05] Speaker B: Il est à deux points, je pense, de mémoire de Bruno Marchand. On va dire qu'il rentre. Lui, là, c'est quoi qu'il fait avec le projet de transport collectif? Maintenant qu'on se dit, OK, bien là, les arts se sont alignés, il n'y a pas de tramway. On fait quoi? Parce qu'il faut le transport collectif. C'est vrai que les arguments sont vrais, de ceux étant, il y a plus de trafic, il y a plus de monde, on a plus d'immigrants. [00:32:28] Speaker A: Non, non, mais ça, un transport collectif, Québec ne pourra pas bouder toute sa vie. [00:32:34] Speaker B: Non, c'est ça, qu'est-ce qu'on fait? [00:32:35] Speaker A: Tu sais, si un jour la grande région de Québec c'est 3 millions d'habitants, on pourra pas avoir juste des bus. [00:32:40] Speaker B: Non, non, c'est ça. [00:32:41] Speaker A: Moi, ce que je dis, c'est que présentement, on est une genre de croisé des chemins. Moi, je pense que les affaires de rails dans le ciment... ça durera pas encore 70 ans. Moi, je la comprends pas. Moi, je pense qu'en 2050, les villes qui ont leurs tramways, ils vont commencer à penser à des tramways intelligents sur pneumatiques, sur autre chose, avec changements de lignes, pis tu sais, qu'ils vont pouvoir s'adapter bien plus facilement. Moi, je pense qu'on s'en va avec l'intelligence artificielle à autre chose de bien plus brillant que des rails qui vont à la même place pour tout le reste de leur vie. [00:33:18] Speaker B: Ben oui, j'arrive pas à comprendre que c'est ça une vision du futur. [00:33:22] Speaker A: Parce que la fluidité avant, parce que je vous le rappelle, le tramway, on peut le maquiller, on peut y mettre un costume de super-héros, il peut avoir l'air d'une navette spatiale avec des néons qui flashent tout le tour. Ça reste une technologie de fer sur fer avec des roues et des rails en métal qui date du 18e siècle. [00:33:44] Speaker B: Là, je vais juste répondre à certains qui disent « Pourquoi tu ne parles pas de Steph Lachance? » Là, je vais répéter ce que j'ai dit. Je me fie au sondage. Le sondage, c'est un candidat fantôme qui chauffe les fesses à Bruno Marchand. Et le candidat fantôme, c'est Zamaman. Si c'était Steph Lachance, le candidat fantôme, je nommerais Steph Lachance. Mais comprenez-vous que, là je viens de mémoire, je pense 46%, Bruno Marchand, 44%. Ouais, c'est pas très loin. [00:34:12] Speaker A: Mais à sa défense, ils ont pas mis Steph Lachance dans le sondage. [00:34:15] Speaker B: Ah, ok. Bon, tu vois, je ne savais pas. [00:34:17] Speaker A: Il avait mis «autre parti» ou «autre candidat» puis je pense que c'était 30. Mais ce n'était pas nécessairement Steph Lachance. Ça pouvait être autre dans ta tête, tu sais. Fait que je ne sais pas, mais ils ne l'ont pas mis dans le... D'ailleurs, je ne sais pas pourquoi. Parce que Steph Lachance, quand même, on le sait qu'il est parti. Il est parti qui est légalement formé, qui existe. Il aurait pu effectivement le mettre, mais là, je ne sais pas à quel point... Je ne me souviens pas qui a fait le sondage. C'était-tu Léger? [00:34:44] Speaker B: Je pense que... Écoute, je sais pas. [00:34:47] Speaker A: Je m'avance. Ils l'ont pas mis. Mais Pat, ce qu'elle voulait dire, c'est qu'elle se référait à un sondage où on a mis Sam Hammad random. Pis Sam Hammad, il chauffait le cul à Bruno. Fait que c'était juste ça le point. Là, Steph Lachance, il a déjà parlé. [00:35:00] Speaker B: Oui, oui. [00:35:01] Speaker A: Pis je suis pas fâché avec lui. C'est juste que c'était pas ça le point. C'est juste qu'on a mis un nom connu, sans mammate, dans le sondage, qui a même pas encore donné son go. [00:35:14] Speaker B: Pis il chauffe le cul. [00:35:17] Speaker A: Il a zéro promesse électorale, il a fait aucune présentation, il dit pas c'est quoi qu'il veut ou qu'il veut pas. Savez-vous quoi? Sans mammate, il va peut-être arriver en disant « je veux un tramway ». [00:35:27] Speaker B: On le sait pas. [00:35:28] Speaker A: Je le sais pas, moi je suis pas dans sa tête. Fait que, ça va dépendre pis c'est... T'sais, moi tu me dis qu'est-ce qu'il va proposer, je le sais-tu? T'sais, sans ma marde là, j'sais même pas s'il va se présenter. [00:35:41] Speaker B: Ah, il va se présenter. [00:35:42] Speaker A: Ben, c'est ce qu'on me dit aussi. [00:35:43] Speaker B: Ah, il va se présenter. Voyons, c'est sûr. S'il voudrait pas, je pense à ça. Quand je pense à ça, là, avec un sourire... T'sais, on va changer de. [00:35:52] Speaker A: Sujet parce qu'on verra. Moi, quand il va y avoir des candidats avec des programmes sur la table, on jasera. Mais là, c'est pas moi. [00:35:59] Speaker B: Non, mais la question n'étant pas qu'est-ce que tu penses qu'il va proposer, la question était plus qu'est-ce que vous aimeriez qu'il propose? C'est ça ma question, c'est que là, à un moment... [00:36:09] Speaker A: En tout cas, Steph Lachance nous texte en passant, là, pis Steph Lachance nous dit « Ben moi, en tout cas, je vous le disais, dans mon programme, y'aura pas de tramway. » Bon, ok, ben si on est au courant. Ça m'aurait étonné l'inverse, Steph. Les sondages, pis d'ailleurs lui, il me les envoie, c'est un sondage léger. 39% marchands, Hamad 37% et autres 11%. Pis Paquet avait eu 3%. Fait que c'est ça. Mais moi je réitère, si quelqu'un, ou si des personnes, je vais être plus précis, puis regarde Steph il nous écoute, j'y parle à lui, mais j'y parle à tout le monde, si les gens veulent tasser Bruno Marchand, vous pouvez pas être trois à dire la même affaire chacun de votre bord. [00:36:51] Speaker B: Ah ben là ça c'est clair. [00:36:52] Speaker A: Vous allez avoir chacun 12%. [00:36:55] Speaker B: Les gens, les citoyens là, ils vont être mêlés. [00:36:58] Speaker A: Exact. [00:36:58] Speaker B: On sait pas qui est qui. Ben franchement là... [00:37:00] Speaker A: Mais je dis M. Paquette là, mais y'a du monde qui se dit c'est qui ça M. Paquette? [00:37:04] Speaker B: Ben oui. Ben oui. Pis quelqu'un peut dire aussi c'est qui M. Lachance. Oui. Sans vouloir dire de quoi de mal contre M. Lachance. C'est pas ça le point. C'est que les gens, N.O.A. sont mêlés. [00:37:14] Speaker A: Les gens vont entendre une proposition forte et unique. Ah pis faut... Ah ça c'est contre Bruno. On va là. Ça va être la maison. [00:37:24] Speaker B: Faut aussi réaliser que les parties municipales versus des parties provinciales, c'est pas aussi clair. C'est-à-dire que, tu sais, la CAQ, on la connaît, le Parti libéral, on le sait. Ça, c'est clair, défini. Québec solidaire, on le sait. Moi, Québec, Fortéfières, les autres, comme ça, j'ai de la misère à départager qui est dans qui. Moi, c'est les noms. C'est, par exemple, Stéphane Lachance, Paquette, Villeneuve. Mais je sais pas Villeneuve, il est dans quoi. [00:37:50] Speaker A: Je sais pas si ça parle au même. [00:37:52] Speaker B: Lancez l'équipe à la bombe. [00:37:55] Speaker A: Équipe la bombe, je pense que ça. [00:37:57] Speaker B: S'Appelle plus de même. Des fois je me dis, ça serait peut-être mieux de s'appeler équipe, mettons, équipe la chance. Oui, ça... Que porter un nom de... Les gens, au municipal, on a de la misère à aller voter. Imagine, il faut-tu retenir le parti? [00:38:13] Speaker A: Mais c'est-tu qu'est-ce qui marche pas dans ton enfance, c'est que l'égo existe aussi. Parce que tu sais, mettons, tu te dis à sa maman, on va tous se rallier. On se donne la main, puis on appelle sa équipe la chance. Je suis pas sûr que sa maman embarque. Parce que Sam va dire, c'est moi le nom le plus connu. [00:38:29] Speaker B: Ben oui, mais s'il va se présenter comme chef, là? [00:38:31] Speaker A: Ben oui, là, oui. Ça serait Équipe Amade. [00:38:33] Speaker B: Ben oui, c'est ça. [00:38:34] Speaker A: Bon, ben là, l'autre peut-être va dire, ben là, moi, c'est toutes nous autres qui ont monté le parti, ça nous tente pas. [00:38:38] Speaker B: Oui, mais veux-tu que je te fasse un lien? [00:38:39] Speaker A: Ben, c'est pour ça que moi, je fais juste dire la même affaire tout le temps. Si vous trouvez pas une façon, rendez-le, appelez-le le Parti Soleil, là, t'sais, pis moi, ça me dérange pas, là. Parce que je reviens à ta proposition du nom qui rentre dans l'égo, t'sais. Équipe la bombe, c'était la bombe. On voyait juste la bombe, puis il y avait juste du follow spot sur la bombe, puis c'était la bombe, la bombe, la bombe. Puis les gens n'étaient pas capables de nommer un seul conseiller qui était avec. [00:39:01] Speaker B: Oui, mais je pense... [00:39:03] Speaker A: Je sais pas. [00:39:04] Speaker B: C'est ça se faire aller. Regarde, ça a bien été en passant. [00:39:07] Speaker A: Oui, ça a bien été à la fin. Ça a étiré un peu. [00:39:10] Speaker B: Oui, mais il ne s'est pas représenté, il n'a pas perdu ses élections. [00:39:12] Speaker A: Non, t'as raison. Puis c'est souvent ça au municipal. Un maire qui se représente, habituellement, il a eu la notoriété, il a eu le follow spot, il a passé aux nouvelles. C'est très difficile au Québec de tasser un maire municipal. Une fois qu'il a été là, il est connu, à moins qu'il fasse vraiment un scandale, un détournement de fond, un vol, quelque chose de terrible. Pour le reste, c'est très très dur. Si Bruno se fait tasser, ça serait une première ou presque. [00:39:40] Speaker B: En tout cas, il est bien parti. [00:39:41] Speaker A: Parce que recule ça, la bombe a quitté. Madame Boucher, malheureusement, est décédée. Jean-Paul Allié est parti. Puis avant ça, je pense aussi, les maires de Québec se sont fait tasser par une élection. Il n'y en a pas une trollée. [00:39:56] Speaker B: Il va pouvoir mettre ça dans son CV. [00:40:00] Speaker A: Il va y retourner dans le communautaire. [00:40:01] Speaker B: Exactement. [00:40:02] Speaker A: Écoute, encore là, c'est pour ça que je te dis, il y a beaucoup de flagues. Moi, je claironnerais pas la défaite de Bruno Marchand. Moi, je serais pas celui qui disait « Ah, il va se faire ramasser. » Pis savez-vous quoi? Pff, aucune idée. [00:40:16] Speaker B: Moi, je pense qu'on sous-estime la frustration des gens. [00:40:19] Speaker A: Toi, tu penses que ça va être facile? [00:40:20] Speaker B: Moi, je dis pas que ça va être facile. Je pense qu'on sous-estime la frustration des gens. [00:40:25] Speaker A: Moi, je pense que tu sous-estimes le nombre de monde qui s'en sac. [00:40:28] Speaker B: Mais en fait, encore faut-il que les gens sortent pour aller voter. [00:40:34] Speaker A: Si t'es frustré et que tu restes. [00:40:36] Speaker B: Chez vous, puis celui qui fait du cheerleading se déplace pour appuyer le maire qui l'aime tant, je vous annonce que... [00:40:43] Speaker A: Tu sais, quand je dis le monde qui s'en sac, ça implique tout le monde. Ça implique le gars fâché, mais qui s'en sac puis qui va pas voter. Ça implique la personne qui va voter, mais qui s'en sac, qui suit pas l'actualité, puis qui dit «Ah, Bruno Marchand, je le connais, je vote pour lui». [00:40:55] Speaker B: Oui, aussi. [00:40:55] Speaker A: Fait que tout ça, ça peut être dangereux. [00:40:58] Speaker B: Mais je pense que ça m'a perturbée. Je comprends que c'est une madame parmi tant d'autres, mais la semaine passée, quand Max a fait son vox pop sur Bruno Marchand, il y avait une madame qui disait, même si la raison était discutable, une madame d'un certain âge qui disait, moi les trottoirs, J'aime pas ça. Ils sont mal faits les trottoirs. Elle, c'est ça. Puis mon fils, qui est à Sainte-Thérèse, lui aussi, il a remarqué que mon trottoir, c'est mal entretenu. [00:41:26] Speaker A: Elle va-tu voter l'autoparticipation aux municipales? C'est 36 %. [00:41:29] Speaker B: C'est pour ça que je dis... Je pensais qu'elle, on va dire que c'est une genre de Céline. pour lui donner un âge, genre de Céline. Moi, je pensais que Céline, tout ce que faisait Bruno, c'était... même quand il pète des fleurs. Lui, quand il pète, c'est une fleur qui sort. C'est comme une arpe. Finalement, quand il pète, ça sent pas bon. Qui ça tu dis? Bruno Marchand pis Céline. Céline, apprends ça de Bruno Marchand. Tu veux-tu? Qu'est-ce que tu fais? Rien. Chouette ce gars sur ton ordinateur. [00:42:05] Speaker A: Non, je travaille. [00:42:06] Speaker B: On dirait que tu veux me sortir un extrait. Non, je travaille. Bon, c'est bon. C'est parce que j'ai fini mon point. Non, mais je vois ça, mais ça me met comme des timings déstabilisés. [00:42:17] Speaker A: Il est trop tard, il est trop tard. En tout cas, regarde, changeons de sujet. Parce que sérieusement, moi je vais attendre. Moi je vais attendre de voir qui se présente, qui ne se présente pas, c'est quoi les programmes. La seule affaire que je martèle depuis toujours, depuis le début qu'on parle de ça, c'est que si les oppositions ne trouvent pas une façon de s'entendre et de présenter une opposition forte, ça va être à la limite un vote contre les politiques de Bruno Marchand. Ok, bien, puis je sais que vous allez travailler fort pour mettre ce que vous voulez dans votre programme, puis passer des... Mais il faut marteler la patente, nous sommes unis, on veut débarquer Bruno et ses politiques. Ça doit être ça la campagne. [00:42:56] Speaker B: Économiquement, ça c'est un point que je vais donner le crédit à l'auditeur, je ne vais pas le prendre, mais c'est effectivement un très bon point. Avec l'augmentation des évaluations des maisons, les frais de dématriculation, la gare à l'auto, le rétricement des voiles, le ci, le ça, les pistes cyclables. ben des endroits où ça circulait quand même assez rondement, ben là c'est rendu un pain d'indias. Les gens vont s'en souvenir. Quand tu sors à tous les jours, pis t'essayes de prendre ta voiture, que t'as pas, en repassant, que t'as payé ta carte de stationnement à un prix de four, que t'as pas été capable de te stationner, que finalement les plaques sont rentrées, ta maison vaut plus cher, ta maison vaut plus cher, tu payes plus de taxes, tu payes plus de taxes, t'as moins de services, finalement, t'as refouillé les poubelles. [00:43:40] Speaker A: Mais là, oublie pas jamais que là on parle à nos auditeurs. [00:43:43] Speaker B: Oui, mais quand t'as moins d'argent, ça apparaît. [00:43:46] Speaker A: Si on était à Radio-Canada, là, je suis pas certain que les auditeurs nous écriraient les mêmes choses. [00:43:51] Speaker B: Moi, je pense que oui. Parce que la différence avec hier, le grand hier de quelques années, c'est que les gens, c'est pas grave parce qu'il y avait un chèque de 500$ qui rentrait du gouvernement. Il y avait ci, il y avait ça, il y avait des chèques. [00:44:04] Speaker A: Oui, non, je sais que t'as changé, Pat. [00:44:06] Speaker B: Là, les gens, ils arrivent plus serrés. [00:44:08] Speaker A: Oui, sauf que si sa maman disait « Ben moi, le tramway, je suis pas contre. » Pis que finalement, on se rend compte que ça va-tu être du pareil au même? Pis ça va-tu être d'autres choses? Ça va-tu être... – Pan Méton, il. [00:44:17] Speaker B: Dit, je suis pas conte, mais les états financiers de la ville, on va restructurer ça. Il y a trop de dépenses, il y a trop de monde, on va. [00:44:25] Speaker A: Mettre du monde dehors. – Là, on tombe dans le politicien que j'aime. [00:44:27] Speaker B: – Oui, je sais, mais... – Ça. [00:44:29] Speaker A: Va être du bourrage, pis on va tout régler, la magie, la magie du nouveau, on va sortir la baguette, on va péter des fleurs, comme tu dis, pis ça va être extraordinaire. Je sais pas, on verra. Ah non, putain, je vois le verre. Regarde moi ça, tous les beaux sujets que j'avais. [00:44:42] Speaker B: Qu'est-ce que t'avais comme sujet? [00:44:43] Speaker A: Je parlais des pas propres. En fait, je voulais poser une question aux manifestants de la FIC. Avez-vous 15 ans? [00:44:49] Speaker B: Ouais, ça a pas été super ce qu'ils ont fait. [00:44:54] Speaker A: Non, mais c'est... Moi, les niaiseries que j'ai faites, je n'en ai pas fait tant que ça des affaires de même. Moi, du vandalisme, j'ai toujours trouvé ça complètement innocent. Tu n'aides pas ta cause, tu nuis, t'as l'air d'un pas propre, puis t'as l'air d'avoir 15 ans. Les manifestants de la FIC, la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec, manifestent à l'Assemblée nationale, je sais pas si vous nous écoutez, peut-être pas, avec des FIC you, puis il y a des limites, puis des graffitis de pas bons. Sur les vieux murs de la ville, les statues, la statue de Gandhi peinture en rouge. [00:45:30] Speaker B: François-Xavier Garneau, on parle des fortifications, les bancs de pierre, les lampadaires, plusieurs endroits sur la chaussée. Ce qu'on a fait, on a tracé des graffitis à peinture rouge. [00:45:40] Speaker A: À quoi vous pensez, hein? C'est quoi, soudainement, vous vous êtes dit «Wouhouhou, on n'a pas eu de jeunesse, nous autres, pis là, on s'excite, on devient des délinquants!» Juste à dire, là... Vous êtes sérieusement... C'est retard, esti, faire ça. [00:45:53] Speaker B: Ben, j'en clône! C'était pas la statue de Terry Fox quand il y a eu la grève des camionneurs. Pis là on disait qu'il y avait du monde qui avait fait des... Pis là on avait dit que les autres sont drettes pis des complotistes pis là ils ont attaqué. [00:46:09] Speaker A: Ben non mais c'est dégueulasse. [00:46:10] Speaker B: Ben là c'est parce qu'on a mis de la peinture rouge. Sur Gandhi! [00:46:12] Speaker A: Qu'est-ce que c'est que Gandhi a rapport là-dedans? [00:46:15] Speaker B: Pis François-Xavier Garneau, pauvre lui! [00:46:17] Speaker A: Non, non, mais tout le monde, les murs! Qu'est-ce que la Porte Saint-Louis vous a fait, là? Et pensez-vous vraiment qu'un négociateur qui a dit «Hey, là, gang, l'heure est grave!» Là, on négocie, là, il va falloir régler, hein? Ils ont commencé à marquer «Fuck you» sur les murs du Vieux-Québec. T'sais, le seul débouché de vos niaiseries de pré-adolescents, c'est que ça va coûter de l'argent contribuable. Allô? Y'a-tu quelqu'un? C'est parce que c'est avec l'engin des contribuables qu'on va augmenter vos salaires. Pis là, vous floubez ça pour effacer des graffitis sur des peintures pis des murs historiques. Sérieux, là. L'autre, la fique qui répond « Ah ben nous autres, on est pas au courant de tout ça. » Ben oui, je vois le verre, c'est des pochoirs. Avec vos slogans. [00:47:07] Speaker B: Ah ouais, fique you. Ben tu le dis, là, ouais. [00:47:11] Speaker A: Et puis leur slogan, il y a des limites, là. Il est peinturé partout, là. Il y a des limites. Regarde, c'est les poteaux, c'est les moeux, c'est... C'est des pochoirs qui ont été faits. Fait que là, si vous êtes pas au courant, c'est correct. Trouvez les pochoirs, là. La fille qui a les mains rouges, là, c'est elle. Envoie-y une facture. [00:47:27] Speaker B: Fick you! C'est bon, le jeu de mots, là. Sacrament. [00:47:30] Speaker A: Mais t'sais... Non, mais sérieux. [00:47:34] Speaker B: OK. [00:47:35] Speaker A: Faut aller à la pause. 1051, si vous voulez nous rejoindre, 886709098. On revient après ces quelques messages. Pierre Couture.

Other Episodes

Episode

September 04, 2024 00:55:02
Episode Cover

La branche communiste de l’étude économique frappe encore: MERCI POUR L’IDÉE, L’IRIS !

L’introduction du 4 septembre 2024 de Ouellet en direct.

Listen

Episode 0

September 06, 2024 00:19:58
Episode Cover

Nouvelle du canal B : prenez gare aux ramancheurs louches qui vous mettent des doigts dans le ti-péteux

La chronique Patati & Patata avec Patricia Vincent.

Listen

Episode

September 05, 2024 00:24:45
Episode Cover

Où sont passées les vraies valeurs libérales ?

En entrevue. Monique Jerôme-Forget, ancienne députée libérale.

Listen