Les questions existentielles racontées par Patricia, philosophe amatrice

[00:00:00] Speaker A: Je veux aussi saluer tous les amis. [00:00:03] Speaker B: Qui sont ici en direct. [00:00:06] Speaker A: Avec JC et Patricia 13h52, on se dirige tranquillement mais rapidement vers le bloc du patati patata du vendredi. Mais juste avant, vous aimez ça le football? Si vous aimez ça le football, vous allez être intéressés. On organise nous autres des tailgate. Tailgate, là ça induit des gens d'erreur. Parce qu'hier encore, j'en ai parlé, il y a des gens qui écrivaient « Ah ok, le billet est inclus. Ben oui, ben oui, ben oui. » Puis juste pour vous dire, le billet, je suis allé voir, C'est quoi? C'est 21, 22 piastres plus taxe. Fait que c'est 25, 30 piastres le billet. OK? Ça c'est la valeur d'un billet si vous voulez y aller, vous achetez un billet. Nous autres pour 40 piastres plus taxe. [00:00:51] Speaker B: Oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui. [00:00:53] Speaker A: Tu vas avoir ton billet dans la section 215. Ça c'est réglé. OK? Le billet c'est inclus. Tu vas voir la game. On va là pour ça. [00:00:59] Speaker B: Mais quoi d'autre dans mon tailgate? [00:01:00] Speaker A: Mais dans le forfait du tailgate, à part le billet, consommation offerte par nos amis de la microbrasserie Le Corsaire, Une pointe de pide offerte par Stratos. [00:01:11] Speaker B: Yes. [00:01:12] Speaker A: Pas Stéphane qui est allé acheter de la pide congelée. Non, non, non. Le vrai Stratos. [00:01:16] Speaker B: It's fresh. [00:01:17] Speaker A: Un hot dog, mais pas un hot dog normal. Le hot dog de rêve sportif, vous avez jamais goûté à ça? Non, non. [00:01:23] Speaker B: C'est un méchant bon hot dog. [00:01:25] Speaker A: Un sandwich smoked meat de Brin Smoked Meat. [00:01:27] Speaker B: Ben voyons donc. [00:01:29] Speaker A: Un morceau de poulet. Ah oui, prends ton petit pilon de poulet frit, PFK à Melvanie. Et un choix de dégustation. Vous choisissez, on a deux distilleries pour celui-là, Vice et Vertu ou nos amis de Lore and Legends. Et c'est 40$ plus taxe. Et oui, je le répète, ça implique le billet. Évidemment, on va voir la game. Et j'ai eu confirmation de ma conjointe. Parce que je me disais, je sais pas, j'ai quoi le 22. Puis? Elle dit, ouais, ouais, le 22, t'as de quoi? Genre, je vais encore manquer un match de Rouge et Or. Ben c'est mes enfants, ils ont un voyage avec la Maison des Jeunes. Ils vont rouger hors! Ah! [00:01:59] Speaker B: Bon! [00:02:00] Speaker A: Fait que je vais être là pis je vais être avec mes enfants. Donc boutique.radiox.com pour acheter ça. Faites vite. On en vend tous les jours pis on n'en a pas pour toujours. Fait que les quantités sont limitées. Et c'est parti! Mesdames, messieurs, s'il vous plaît! Et patati et patata! Et patati et patata! [00:02:16] Speaker B: Et patati et patata! S'il vous plaît! [00:02:19] Speaker A: Patati patata! Yeah! [00:02:21] Speaker B: Donc, j'avais le goût de refaire mes questions existentielles. [00:02:26] Speaker A: On va encore se casser la tête. [00:02:28] Speaker B: Parce qu'on est vendredi pis j'ai souvent plein plein plein plein de questions dans ma tête pis j'suis pas capable de garder de l'entre dans ma tête donc je veux les partager. Fait qu'on va... 418-770-9098 si jamais vous avez des questions existentielles, vous autres aussi, bien vouloir les partager pis peut-être aussi que je pourrais en nommer quelques-uns soit là ou la prochaine fois. Mais pour l'instant j'ai les miennes, si t'en as aussi tu vas pouvoir embarquer moi aussi. Ouais c'est bon. [00:02:50] Speaker A: Ben moi j'te suis, moi j'aime ça, j'me plonge en pleine réflexion. [00:02:53] Speaker B: Parce que j'suis pas toute là mais j'suis quand même attachante, ok? [00:02:57] Speaker A: On part à la musique? [00:02:58] Speaker B: On part à la musique. [00:02:58] Speaker A: Ça prend de la musique pour réfléchir en même temps. La musique est partie. [00:03:06] Speaker B: Je prends mon temps. [00:03:07] Speaker A: Ah oui, d'abord. Je veux juste que tu saches. [00:03:12] Speaker B: Si un jour, JC, je trouve le sens de la vie. [00:03:16] Speaker A: Ça prend fort. [00:03:20] Speaker B: C'est pas drôle. Je recommence. Si un jour, JC, là, je trouve le sens de la vie, est-ce que je dois le partager ou le garder pour moi comme un secret? [00:03:36] Speaker A: C'est une bonne question. [00:03:37] Speaker B: C'est une bonne question, hein? Parce que tout le monde cherche le sens de la vie. C'est parce que je la trouve. Je la partage-tu ou je garde ça pour moi? [00:03:42] Speaker A: Là, tu le sais pas. Moi, je le sais pas. Peut-être que tu le sais et que tu ne me le dis pas. [00:03:47] Speaker B: Peut-être aussi. [00:03:47] Speaker A: Non, je fais du chemin. [00:03:48] Speaker B: Je n'ai pas jamais pensé à ça. [00:03:50] Speaker A: Peut-être que je le sais aussi et que je ne te le dis pas. Mais d'un coup, le sens de la vie, c'est tellement gros. Genre, la Terre est plate, mettons. Ça se peut que le monde n'est pas prêt à ça. Ouais. [00:04:05] Speaker B: Fait que là, tu te dis «. [00:04:06] Speaker A: Hé, j'sais, j'ai dit ça, là. Soit je vais passer pour une illuminée. Vous irez voir sur les sites de terre de plate, là. [00:04:13] Speaker B: Oui. [00:04:13] Speaker A: Je vais passer pour une illuminée. [00:04:14] Speaker B: Oui. [00:04:15] Speaker A: Ou les gens, ça va virer en émeute mondiale. [00:04:18] Speaker B: Non, je pense que des fois, donc, la morale de cette histoire, c'est de trouver le sens de la vie. [00:04:22] Speaker A: Garde ça pour toi. Garde ça pour toi. Je vais même faire une petite pause de musique, là. OK, c'est bon. [00:04:32] Speaker B: Pourquoi quand on dit Je sais jamais. [00:04:34] Speaker A: Si tu fais un RBC ou si tu prends ton temps. [00:04:38] Speaker B: Pourquoi, quand on dit que la vie est courte, c'est pas mal la chose la plus longue qu'on a jamais fait? [00:04:47] Speaker A: C'est vrai. [00:04:48] Speaker B: Mal à la tête, celle-là, hein? [00:04:49] Speaker A: J'ai rien fait de plus long que ma vie à date. [00:04:50] Speaker B: Hé, sérieux, là, ça donne mal à la tête, celle-là. Pensez-y. [00:04:53] Speaker A: Pourquoi on dit que la vie est courte? [00:04:56] Speaker B: C'est l'affaire la plus longue qu'on aura jamais faite. [00:04:58] Speaker A: Je pense que je sais. [00:04:59] Speaker B: Parce qu'on se réfère... OK, toi t'as des réponses, OK. [00:05:02] Speaker A: Ouais, je réfléchis. [00:05:04] Speaker B: OK. [00:05:05] Speaker A: On se réfère... au temps de la planète ou de l'univers. [00:05:11] Speaker B: Ah, tu penses qu'on pense aux milliards d'années? [00:05:14] Speaker A: Ben, c'est pour ça qu'on dit que la vie est courte. Parce que si notre seule référence était notre vie, ce serait là où on joue à l'vert. [00:05:22] Speaker B: En tout cas, je sais pas. Je vais me retirer du petit feu, j'en reviens. [00:05:24] Speaker A: Non, je sens que tu réfléchis. Ça brosse des affaires en dedans, ça là. On peut monter la musique, si tu veux. Ça, on ralentit le rythme. [00:05:36] Speaker B: Ça fait du bien, des fois. Non, vous trouvez toujours que je parle trop vite. Là, regarde. [00:05:40] Speaker A: Non, c'est doux, doux, doux. [00:05:41] Speaker B: « I take my time. » Bon, je suis dans un autre. « Un aveugle... » « Un non-voyant. » Oui, OK. [00:05:51] Speaker A: Non, mais fais attention. [00:05:54] Speaker B: « Un aveugle qui prédit l'avenir. » On appelle ça comment? Un nom voyant? Voyant? Je me retire encore du petit feu. [00:06:14] Speaker A: Ça a l'air d'une question niaiseuse. Mais je suis pas sûr encore si c'en est. [00:06:18] Speaker B: Mais t'appelles ça comment? [00:06:18] Speaker A: Je sais pas. Je sais pas. [00:06:22] Speaker B: Pourquoi t'es ici quand je vais à l'épicerie, là, hein? OK, pis j'arrive à une caisse. Y'a une file d'attente de 15 minutes. Pis que, quand c'est rendu à moi, y'a plus personne. [00:06:33] Speaker A: Parce que t'es rendu. [00:06:34] Speaker B: Non, mais... Parce que t'as ton tour. Non, mais... Je veux dire, y'a plus de file d'attente, tu comprends? J'suis tout le temps la dernière personne qui close la file d'attente. [00:06:47] Speaker A: Ah, y'a plus d'autre file. [00:06:47] Speaker B: Y'a plus rien derrière de toi. Je me retire encore du petit feu. [00:06:49] Speaker A: Ah, ben ça, moi, je sais pas si ça m'est déjà arrivé. Bonne question. [00:06:55] Speaker B: J'en ai un autre. [00:06:56] Speaker A: Ouais, ben oui. J'imagine. [00:06:59] Speaker B: Pourquoi mes... [00:07:00] Speaker A: On va pas finir avec ça. [00:07:04] Speaker B: Pourquoi mes vestis de chandail, ils se coincent toujours dans les poignées de porte? T'sais, les poignées de porte qui sont comme sur le long un peu, pas les poignées rondes. Les poignées là, en bord. Comme une espèce de bord, moi j'ai ça. Et chaque fois que je sors d'une pièce, j'ai tout le temps le t-shirt qui poigne dans la poignée. Fait que t'sais, je fais comme un spring. Faut que je revienne vers la porte. [00:07:26] Speaker A: Moi je pensais que tu faisais des questions générales. Mais celle-là est vraiment pour toi. [00:07:29] Speaker B: Mais celle-là, elle est personnelle. [00:07:30] Speaker A: C'est parce que tu laves pas ton linge, il est trop raide, je sais pas. [00:07:34] Speaker B: Je me rattelle encore du petit feu. [00:07:35] Speaker A: Oui, je sais pas. Mais je comprends si tu veux dire que c'est vrai que ça croche. [00:07:39] Speaker B: À gauche? OK. Je n'ai une autre. OK. [00:07:45] Speaker A: OK, oui, oui. [00:07:46] Speaker B: L'univers est en expansion. [00:07:48] Speaker A: Oui, c'est ce qu'on dit. C'est la théorie. [00:07:51] Speaker B: Mais dans quoi? En expansion, dans quoi? [00:07:54] Speaker A: Oui. Dans rien. Dans tout. Dans le vide. [00:08:03] Speaker B: Pensez-y. L'univers est en expansion. [00:08:06] Speaker A: Y'a-tu un mur, un moment donné? [00:08:07] Speaker B: C'est quoi l'expansion? De quoi? [00:08:10] Speaker A: Dans quoi? [00:08:11] Speaker B: Vers où? [00:08:12] Speaker A: Je sais pas. [00:08:15] Speaker B: Je me retiens encore du petit feu. [00:08:17] Speaker A: On prenne tes questions. [00:08:19] Speaker B: OK, je suis revenue. [00:08:22] Speaker A: Faudrait que les journalistes qui font des scrums avec les politiciens en lâchent de même de temps en temps. T'sais, mettons, le goût, il parle de... « Moi, j'fais riche. » Mettons, il y a pas de musée qui est là. « Moi, là, j'veux que les Québécois s'enrichissent. » Oui, question ici, la presse. L'univers est en expansion. Dans quoi? Vers où? Ça va-tu s'arrêter? Pis ça, ça serait malade. [00:08:53] Speaker B: Hé, ça serait... C'est sérieux, ça serait complètement détaillé. [00:08:55] Speaker A: Bon, peut-être qu'il perd sa job, là, mais moi, je l'applaudis. [00:08:58] Speaker B: Tu sais, l'univers qui s'expansionne, là... Ça s'expansionne-tu au bout? [00:09:04] Speaker A: Ben, es-tu étiré, là? Ah, je sais pas. C'est toutes des affaires qui donnent mal à la tête, ça. [00:09:09] Speaker B: J'ai une autre. [00:09:12] Speaker A: Oui. [00:09:13] Speaker B: Pourquoi il y a personne qui est ami personnellement avec un prof de techno? C'est-tu parce qu'ils tiennent juste entre eux autres? [00:09:20] Speaker A: Ça existe-tu encore, les profs de techno? [00:09:23] Speaker B: Oui, oui. [00:09:25] Speaker A: Je me souviens du mien, en tout cas. [00:09:26] Speaker B: Non, mais on en connaît. Les profs de techno existent. [00:09:29] Speaker A: Mais oui. [00:09:29] Speaker B: Pourquoi il n'y a personne, personne? Connaissez-vous quelqu'un qui est amé avec un prof de techno, genre mon meilleur ami, c'est un prof de techno? [00:09:35] Speaker A: Moi, non. [00:09:37] Speaker B: Pourquoi? [00:09:37] Speaker A: Je ne sais pas. [00:09:38] Speaker B: Montre la trame un peu. [00:09:39] Speaker A: Moi, ce que je me souviens, c'est que quand on avait des cours de techno, après le dîner, ça sentait toujours un petit peu le whisky dans la classe. On n'a jamais su pourquoi. [00:09:55] Speaker B: OK. J'en ai deux autres. [00:09:56] Speaker A: OK. [00:09:57] Speaker B: Après ça, je vais faire autre chose. [00:09:58] Speaker A: Non, non, après ça, écoute, on va arrêter. On va arrêter. On a mal à la tête. [00:10:01] Speaker B: On a trop mal à la tête, OK. Mais j'en ai quelques-uns. [00:10:03] Speaker A: Oui. [00:10:05] Speaker B: Pourquoi, JC, pense-y, là. [00:10:08] Speaker A: Moi, j'y pense. [00:10:09] Speaker B: Pourquoi un fois zéro, OK... [00:10:13] Speaker A: Fait zéro. [00:10:14] Speaker B: Puis pourquoi ça fait pas un? Pourquoi c'est toujours le zéro qui gagne? [00:10:20] Speaker A: Parce que là, je sais pas. [00:10:23] Speaker B: Elle va dans le tabarnak là. [00:10:24] Speaker A: Mais je comprends pourquoi un fois un, ça fait un. [00:10:26] Speaker B: Non, non, non, mais avoue qu'elle va dire là, ça serait sur le sondé là. [00:10:29] Speaker A: C'est là le zéro absolu. [00:10:30] Speaker B: Le sous-estimé pas, le zéro absolu. [00:10:33] Speaker A: Zéro, il gagne tout le temps, tout. [00:10:34] Speaker B: Le temps, tout le temps. Non, non, mais c'est un fois zéro. [00:10:36] Speaker A: Zéro. Paf, il l'a avalé. Regarde, il y a un lien fait avec ton expansion de l'univers. [00:10:41] Speaker B: Ah c'est ça, c'est le zéro qui avale. [00:10:42] Speaker A: Lui, pfff, il est en expansion. [00:10:44] Speaker B: OK, il monte la tram. [00:10:44] Speaker A: Je sais pas. Bonne question. Ça, c'est une des plus existentielles. [00:10:50] Speaker B: Non, mais sérieux, je mériterais un trophée pis celle-là. [00:10:51] Speaker A: Dans les mathématiques modernes. [00:10:53] Speaker B: Est-ce que quelqu'un va me donner un prix, quelque chose? [00:10:54] Speaker A: C'est gros. [00:10:55] Speaker B: J'en ai mal à la tête. OK. Je me retire du petit feu. OK, je suis de retour. [00:11:01] Speaker A: Non, oui, non, c'est ça. Elle n'est pas partie loin. [00:11:04] Speaker B: OK. C'est l'huile d'olive, JC. Vient des olives. Tu me suis? [00:11:11] Speaker A: Oui. Je lise l'auditeur, excuse-moi. J'ai été déconcentré. OK. [00:11:14] Speaker B: C'est l'huile d'olive, JC. [00:11:16] Speaker A: Vient des olives. Ça a l'air bien sérieuse. [00:11:22] Speaker B: Je recommence. OK. Si l'huile d'olive vient des olives d'ici, d'où vient l'huile de bébé? [00:11:35] Speaker A: Il doit y avoir des presses à bébé quelque part. Je sais pas. Bonne question. Écoute, je le sais pas, là. Ouf! [00:11:48] Speaker B: Veux-tu une dernière ou je vous achète? [00:11:49] Speaker A: Ah, je sais. Là, je t'ai branlé. [00:11:52] Speaker B: Elle est bonne, hein? [00:11:53] Speaker A: Elle était bonne, celle-là. T'as gardé le punch. Mais vas-y qu'une dernière. On va prendre une chance. [00:11:57] Speaker B: OK. J.C., si la tomate est un fruit... [00:12:03] Speaker A: Ça sent pas fort. [00:12:05] Speaker B: Est-ce que le ketchup est un smoothie? [00:12:14] Speaker A: Je dirais... Oui. Voilà. [00:12:19] Speaker B: Ça, c'est toutes les questions. [00:12:20] Speaker A: Ça évoque la définition, là. Une purée de... [00:12:23] Speaker B: Tu sais, la fille à Radio X, elle faut qu'il mette tellement en ta chambre. Mais je suis contente de vivre ça avec toi. [00:12:28] Speaker A: Écoute, moi, je sais pas. Moi, Pat, elle fait ce qu'elle veut dans son bloc. [00:12:35] Speaker B: Oui, mais je pense qu'elle en profite. Je pense que j'en profite. [00:12:39] Speaker A: C'est la liberté ici. Pis faites-vous votre propre opinion, hein, mais t'sais... Écoute, j'essaie de poser des questions. Là, ce que j'ai de la misère, c'est qu'on s'est alignés vers une belle fin de semaine. J'vois plein de gens en questionnement, qui déambulent, le regard à gare. [00:12:51] Speaker B: Mais au moins, on a arrêté le temps. [00:12:55] Speaker A: Juste un petit peu. [00:12:55] Speaker B: Juste un petit peu. [00:12:56] Speaker A: Oh, non, tu vois, je regarde le temps qu'il y a allé. [00:12:58] Speaker B: Ah oui? Ah bon. [00:12:58] Speaker A: Faudrait la pause. au retour, bon, on va prendre une bière. Ok. [00:13:03] Speaker B: En direct. Radio.