La ville de Québec coupe dans les services de base... complètement ILLOGIQUE !

September 16, 2024 00:24:13
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Sep 16 2024 | 00:24:13

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Show Notes

La chronique Écono-Pierre avec Pierre Couture.

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[00:00:18] Speaker A: On verra, hein, c'est ça. Parce qu'on est partis sur des discussions pendant la pause, puis finalement, le thème commence. « Hey, c'était quoi donc tes sujets? » C'est pas grave, on verra. J'ai pas trop fait d'économie, Pierre, fait que tu pourras te lancer dans le sujet que t'as envie. Fait qu'on va y aller de ce pas. Regarde, tu vois, on était tellement dans une discussion que j'ai même pas parti ton thème, là. [00:00:48] Speaker B: Ouais, avant de commencer, écoute, ça, ça a poppé pis ça me... ça m'atteint. Ça t'atteint? Tu sais, quand les villes qui sont supposées faire leur tâche du quotidien, les vidanges, les égouts, le déneigement... Non, non, non, non. [00:01:04] Speaker C: Il faut sauver la dix-de-planète. [00:01:05] Speaker B: Et là, on s'en va complètement ailleurs. Tu sais, quand tu t'éloignes de ton core business... Ouais, là, Pierre t'a pas. [00:01:11] Speaker A: Parlé de la décarbonation de Carleton. [00:01:14] Speaker B: Ouais. Mais là, écoute, les vidanges à Québec vont, à partir du 7 octobre, vont être aux deux semaines. Là, tu te dis, quelle bande! Votre job, c'est de faire des choses au quotidien à la ville, pis vous êtes tellement loin dans vos chimères, là, que ta job de base, t'es en train de l'évacuer complètement. [00:01:31] Speaker A: Pis ça, en passant, dans plusieurs... Moi, c'est aux deux semaines, pis t'sais, à force... On dirait qu'à force de le faire, on finit par tout accepter tout le temps. [00:01:40] Speaker B: Tout le temps. [00:01:40] Speaker A: Tout le temps. [00:01:41] Speaker B: On baisse les épaules. [00:01:41] Speaker A: Tu te ramasses avec un bac à vidange qui déborde à tous les deux semaines. Tu gères des surplus de poubelle. Regarde, c'est pas mal. [00:01:48] Speaker B: Moi, ce qui va arriver, c'est que dans le privé, quand tu t'éloignes de ta core, de ton... Ouais, tu fais faillite. Ben, soit que t'as moins de revenus, pis à un moment donné, moins de revenus, ça fait quoi? Ben, c'est qu'il y a des mises à pied, pis à un moment donné, la compagnie décline. [00:02:02] Speaker A: Ouais, mais au public, c'est pas de même. [00:02:04] Speaker B: Mais il faudrait. [00:02:05] Speaker C: Je t'annonce que ça décline à Québec. Il y a eu le rapport sur l'économie et on est bon dernier. Les impacts sont là. Surtout pour en faire ce qu'on coupe, c'est drôle pareil. Parce qu'un service de base d'une ville, on ne le répétera jamais assez, c'est les poubelles. [00:02:22] Speaker A: On dit Victo, c'est aux trois semaines. [00:02:26] Speaker C: Effectivement, une fois par trois semaines. [00:02:27] Speaker A: Comment tu gères ça un bac à poubelle à 30 degrés en trois jours? [00:02:30] Speaker C: Le monde le brûle, j'imagine. [00:02:32] Speaker A: À 3 semaines. [00:02:34] Speaker C: Tu vas le porter. D'après moi, tu cherches des compteurs. [00:02:36] Speaker B: Ça te tente-tu de faire la job? Si ça ne te tente pas d'être une municipalité, tasse-toi et laisse ça à d'autres. [00:02:43] Speaker C: C'est une fois par mois. [00:02:45] Speaker A: C'est dégueulasse. [00:02:47] Speaker C: Dites-nous où. [00:02:48] Speaker A: À Nantes. Pas en France, c'est Nantes au Québec. Tu peux me dire c'est où Nantes au Québec? [00:02:54] Speaker C: Ça fait européen, c'est bon, ça ne. [00:02:56] Speaker A: Va pas à moi. Ça va avec l'odeur. [00:02:59] Speaker C: Mais est-ce que les taxes baissent? [00:03:00] Speaker B: Non, mais c'est sûr, moi je baisse mon compte de taxes. [00:03:03] Speaker C: En fait, c'est ça le deal. C'est que vous vous occupez de ça. Si tu le fais moins, automatiquement, t'épargnes. [00:03:09] Speaker A: C'est en estrie, c'est pas loin de Lac-Mégantic. [00:03:11] Speaker C: Tu devrais redonner les sous à tes citoyens. [00:03:15] Speaker B: Écoute, à Nantes, d'après moi, ils s'en brûlent de la vidange. [00:03:17] Speaker A: Une fois par mois, c'est pas vivable. [00:03:19] Speaker B: Ici, ils doivent s'en brûler de la vidange. [00:03:22] Speaker A: Mais c'est-tu ça, là? Pis là, ils réalisent que les gens acceptent ça, fait qu'on... Nous autres aussi, on va faire ça, pis c'est pas grave. Regardez le fond, nous autres aussi, on va le faire. [00:03:31] Speaker C: Tu sais pourquoi ils ne font pas à Limoilou? Je ne me souviens plus qui nous a dit ça. Tu te souviens de la raison de pourquoi ils ne font pas à Limoilou? [00:03:36] Speaker A: Pourquoi? [00:03:36] Speaker C: À cause des odeurs? Non, parce qu'ils sont en négociation avec l'école. [00:03:40] Speaker A: Ah! [00:03:41] Speaker C: L'école bleue? Oui, exactement, avec l'école bleue. Ils sont en négociation. Puisqu'ils sont en négociation, c'est sûr qu'on ne vous dira pas... [00:03:48] Speaker B: C'est Patrick Paquet, je pense qu'il avait parlé de ça. [00:03:50] Speaker C: Ah oui, c'est ça. C'est lui qui avait parlé de ça. Parce que quand tu es en égo, il y a une petite guéguerrette au niveau des salaires, etc. Ça va venir. [00:04:02] Speaker A: L'objectif c'est quoi? C'est qu'on fasse moins de poubelles? C'est de nous forcer à ne pas faire de poubelles? C'est qu'on mange nos poubelles? [00:04:09] Speaker B: C'est d'aller vers tout le recyclage de bouffe et les résidus de table. On va aller là aussi, le sac mauve. [00:04:18] Speaker C: Ça, ça n'a pas rapport parce que, en fait, je comprends où tu veux aller, mais ça n'a pas rapport parce que je comprends qu'il y ait des poubelles. Fait que tu accumules quand même de la bouffe dans le bac de poubelles. Plus tes ordures. Fait que ça en accumule plus au final, pas moins. Le point serait bon si ton sac de bouffe, le compost, il irait dans le bac à compost. Parce que si, à Québec... [00:04:37] Speaker A: Mais non, c'est des poubelles. Faut que tu ramasses les poubelles. Le compost, c'est des poubelles. [00:04:41] Speaker C: C'est ça. [00:04:42] Speaker B: Deux semaines. [00:04:42] Speaker A: Deux semaines avec ton sac vert rempli de trognons de pommes pis de viande. [00:04:47] Speaker B: Ils prennent vraiment les citoyens pour des imbéciles. [00:04:49] Speaker A: Pis mais évidemment hein, on a oublié de dire que ça vient avec sûrement une baisse de taxes. Non. [00:04:54] Speaker B: Ah ok. Mais non, on va t'augmenter ton compte de taxes. [00:04:56] Speaker A: Ah non, je sais, c'est vrai. Faut faire plus de vélos. Parce que hier, le maire Marchand, ou hier ou en fin de semaine, nous a appris qu'il y avait un million de déplacements à vélo. [00:05:08] Speaker B: Quand tu calcules ça, c'est gonflé à mort. [00:05:11] Speaker A: Écoute bien ça, la phrase. La malhonnêteté, on nous accusait souvent de faire des raccourcis intellectuels, puis du populisme. Écoute bien la phrase. Un million de déplacements à vélo. Quand je dis à vélo, c'est pas à vélo, c'est la patente de borne avec des vélos de partage. Ça, c'est un million de fois où quelqu'un a choisi un autre moyen de se déplacer pour vivre son quotidien. C'est pas vrai ça. [00:05:41] Speaker C: Hey! [00:05:41] Speaker A: Pensez-vous vraiment que c'est un million de fois où quelqu'un aurait dit, moi je prends mon char. Ah ben non! Je vais prendre la vélo. [00:05:50] Speaker C: Ah ben ça, c'est tu parles du service à vélo? [00:05:52] Speaker A: Oui. [00:05:52] Speaker C: Bon, mais il y a des touristes là-dedans. [00:05:53] Speaker A: Voyons, pis y'a plein de monde qui avait aussi un vélo, pis qui prennent la vélo, pis qui prenaient l'autobus, pis qui prennent la vélo, pis qui prenaient un taxi, pis qui... T'sais, quelle malhonnêteté intellectuelle. [00:06:03] Speaker B: En passant, un vélo est à perte, hein. Je sais pas comment ça nous coûte, c'est des millions de dollars, ça là, que ça nous coûte. [00:06:08] Speaker A: Ça va être à perte longtemps. [00:06:10] Speaker C: C'est parce que là, t'as pas... [00:06:12] Speaker B: On subventionne des voyages gratis à vélo. [00:06:14] Speaker C: Qu'on parle de victoire avec un million de déplacements, pis que ça rapporte pas une centaine en plus, Ben non, ça ramasse l'argent. Comment ça en prend, 15 millions? [00:06:25] Speaker B: C'est du charabia. [00:06:26] Speaker A: Donc ils nous confirment aussi que le réseau va se développer l'année prochaine, l'essayer c'est l'adopter. [00:06:32] Speaker B: Quand tu fais le calcul, 1 million divisé par quoi? 200 jours? 150 jours? Pis là tu divises ça par jours, c'est pas tant que ça de déplacement. [00:06:42] Speaker A: C'est sûr que le chiffre est... Mais moi c'est le bout où on essaie de nous faire croire que ça c'est un million de moins de déplacement en voiture. [00:06:50] Speaker C: Ça n'a pas rapport parce que t'as un lot de tourisme. [00:06:53] Speaker B: Aussi. [00:06:53] Speaker C: Non mais c'est vrai, ça n'a pas rapport. Je comprends, tant mieux si c'est un succès, c'est-à-dire qu'on changera pas pour ça. Le succès déficitaire. Oui effectivement, le succès déficitaire. Le deuxième mot est très important. Mais ça n'a pas rapport avec la guerre à l'auto, entre guillemets, qui dit qu'il ne fait pas. Il n'y a pas de lien ensemble. Ça, c'est une option. Si tu peux l'utiliser, tu l'utilises. Mais sinon, il n'y a pas personne qui a vendu son char. Pas de moi, en tout cas. En disant, à vélo, je vends mon char. [00:07:21] Speaker A: Je ne suis pas sûr que ça arrive bien souvent que le gars dise, il faut que j'aille, tu sais, qu'il parte de Beauport, mettons, il faut que j'aille à Québec. C'est-tu quoi? Je skippe le char aujourd'hui. Voyons. Il y en a peut-être une fois de temps en temps. [00:07:34] Speaker C: C'est un service de dépannage. [00:07:36] Speaker A: Mais le statement, regardez-moi ça. [00:07:37] Speaker C: Un service de dépannage. [00:07:38] Speaker A: Un million de fois où quelqu'un a choisi un autre moyen de se déplacer pour vivre son quotidien. Comment? [00:07:44] Speaker B: Mais moi, je veux voir le budget de la vélo. Comment ça a coûté la ville, ça, à implanter ça, puis comment ça coûte. C'est des millions de dollars par année, là. [00:07:49] Speaker A: Fait que les poubelles, ça, c'est pas grave. [00:07:51] Speaker B: Ah, les poubelles, c'est fini. [00:07:52] Speaker A: Fait que vous arrangerez avec vos verres blancs, parce que comme on dit, le compas, c'est des poubelles. [00:07:56] Speaker B: Aux deux semaines. [00:07:57] Speaker A: Vous vous arrangerez avec ça, là. Pas de trouble. [00:08:00] Speaker B: Une autre affaire qui va bien, c'est NordVault. Je sais pas si t'as vu, en fin de semaine, c'est parce que là, les employés qui travaillent pour NordVault au Québec ont reçu un mémo de plus dépenser une scène. Fini. Les dépenses, parce qu'il y avait du monde qui partait en voyage. On allait étudier en Suède, puis on allait se former là-bas. Tout est sur la glace. [00:08:19] Speaker A: Mais NordVault, à quel point, parce que je pense qu'on sait pas tout, à quel point ça va pas bien? [00:08:25] Speaker B: Ben écoute, c'est le premier ministre de la Suède qui dit, nous, on ne met pas une scène là-dedans. Ils nous ont demandé de peut-être les aider. Écoute, c'est Volkswagen qui a 21% des parts. Et t'as d'autres joueurs là-dedans. [00:08:36] Speaker A: Ah, t'en as pis c'est des gros joueurs. Eux autres, ils doivent pas triper. Ça doit être tapé du pied, pas pire. T'as Volkswagen, t'as Goldman Sachs qui a 19%. [00:08:44] Speaker B: Le gouvernement du Québec est propriétaire de nos autres. [00:08:46] Speaker A: Ben oui, absolument. Qu'est-ce qu'on est niaiseux? Vous autres, on va le guérosher 7,4 milliards et leur propre gouvernement, eux autres, ils se disent d'abord, on a de la misère. Ils disent non, non, arrangez-vous. [00:08:59] Speaker B: Arrangez-vous. Ils ont déjà levé 15 milliards, eux autres, dans le privé. Là, on cherche des financements pour 7,5 milliards. [00:09:05] Speaker C: Moi, j'ai une question. [00:09:06] Speaker A: Ils ont émis des actions. [00:09:08] Speaker B: Ça va ou pas bien? [00:09:11] Speaker C: Là, le remet. Et la Chine contrôle 85% en passant de la batterie, le développement de la batterie. On va se le dire, il en reste peu pour les autres. Est-ce que Nordvolt, comme ça s'enligne, ça s'enligne, on va se le dire, vers une faillite? [00:09:23] Speaker B: Je ne sais pas, mais il y a un ménage. [00:09:26] Speaker C: Il est encore perdu des contrats. Il y a PMW, il y avait une usine je pense en Pologne. Il se passe de quoi en Pologne aussi? Ils ont fermé. [00:09:34] Speaker A: Californie a fermé. Ils ont arrêté de faire des cathodes dans toutes leurs usines. [00:09:37] Speaker B: Moi, je ne connais pas le plan d'affaires d'un autre vote. Mais moi, tu me dis, tu réinvestis-tu là-dedans Pierre? [00:09:42] Speaker C: Je ne suis pas sûr. Non, mais c'est trop gros. En fait, c'est beaucoup de prêts aussi. Ce que t'as, t'as beau avoir bien des prêts, il faut que tu leur donnes. Ça marche pas dans le groupe. Il y a pas de rendement là encore. Ça s'enligne. Bref. Je serais pas surprise qu'ils fassent faillite. Je pense qu'on s'en va directement vers l'autre. Mais mes connaissances là-dedans, c'est assez petit. [00:10:01] Speaker B: Je pense que ta boule de cristal équivaut à... Ça se peut. [00:10:03] Speaker C: Ça se pourrait. Mais s'ils font faillite, est-ce que c'est une démission obligatoire pour le premier ministre? Parce que Fitz, il est déjà out. [00:10:10] Speaker A: Oui, il est parti. [00:10:11] Speaker C: Il est parti. [00:10:11] Speaker A: Lui, il a fait un chèque et il est parti. [00:10:13] Speaker C: Puis moi, je me demande s'il n'y a pas un lien aussi. D'après moi, Premier le PM, le gars, il doit être un peu au courant de la chute que génère Nordvolt, OK? Il ne doit pas être fou à temps plein. Est-ce qu'on exige, est-ce que le Premier ministre, étant donné qu'il a dit que c'était ça le plan d'avenir du Québec, on se souvient, c'est notre Hydro-Québec, mais d'une compagnie extérieure. C'est ce qu'il a pouté, c'est quand même lui qui a dit ça. [00:10:36] Speaker A: C'est notre Hydro-Québec suédois, on suit un peu. [00:10:39] Speaker C: Est-ce que le premier ministre doit obligatoirement démissionner? [00:10:44] Speaker B: Non, il ne partira pas. [00:10:46] Speaker A: J'aime ton optimisme. [00:10:48] Speaker B: Je pense qu'il va partir pour d'autres choses, mais il ne partira pas là. [00:10:50] Speaker A: Il va partir parce qu'il est tanné. [00:10:51] Speaker B: D'après moi, le go, c'est fini. [00:10:53] Speaker C: Parce que c'est un manque. de rigueur, c'est un manque de jugement. D'ailleurs, il y avait déjà, on se souvient, des drapeaux disant, la batterie, on n'est pas sûr, on regarde, on voit, il y a une baisse en production, une baisse des ventes aussi, l'intérêt des gens n'est pas là. On a vu, il y a quelques signaux qui se sont allumés. Ils ont quand même tout positionné ça dans le même panier. [00:11:13] Speaker A: Ben oui, mais ça, c'est ce qu'on fait, nous autres. [00:11:15] Speaker C: Fait qu'on le laisse PM, si ça arrivait? [00:11:18] Speaker A: Ben on le laisse, il y a des élections qui s'en viennent. T'sais, on a droit de s'exprimer aussi dans les votes. J'suis pas sûr que tout le monde a la même lecture. J'suis pas sûr que tout le monde suit la game non plus. Regarde le premier ministre suédois. Ulf Kristersen. Oulf y dit. Non mais, j'aimerais s'entendre ça une fois ici. On a tellement vanté le modèle scandinave, on n'est même pas capable de copier les autres comme il faut. [00:11:45] Speaker B: Parce que ça, dans ce monde, c'est une copie de copie de copie de copie de compagnie. [00:11:48] Speaker A: Oui mais c'est, tu sais, quand on nous dit là, pendant des années, là on en parle moins, le modèle scandinave, là. Qui? [00:11:55] Speaker C: Quoi? [00:11:55] Speaker A: Non, ok. Ben on laisse faire. [00:11:56] Speaker B: Eux autres ils ont eu du pétrole en passant. [00:11:57] Speaker A: Oui. Eux autres ils ont exploité leurs ressources. Eux autres se sont fait des fonds souverains. La Norvège, la Finlande, la Suède sont pleins à craquer. Ça déborde de tous les bords là. Pis là on est là, regarde les belles écoles en Suède. Comment ça? Eille nous autres on va faire des belles écoles de même, mais aucun moyen de les financer. On va tout pomper ça dans la poche des contribuables. Nous autres comme des épais. Et là, écoute ce qu'il dit là. Eille ça faut que j'entende ça au moins une fois dans ma vie au Québec avant de mourir s'il vous plaît là. Parce que lui a dit « North Vault, Point Sand ». Par contre, nous nous engageons à faire de la Suède un endroit propice pour le développement des nouvelles technologies. [00:12:38] Speaker B: Voilà. [00:12:40] Speaker A: Hein? Regarde-moi ça, la gang de pas fous. C'est pas compliqué. On va baisser les taxes, on va baisser les impôts, on va les laisser s'installer, on va les laisser se développer. Ben quand y'en a un qui plante par ses propres décisions de trop d'envergure, le bedon trop rond, ben il plantera, y'en a deux autres qui vont arriver pis c'est pas grave. Nous autres on est là, y'a des chèques d'un bord pis de l'autre. C'est quoi l'autre affaire de chèques que j'ai vu passer là? Hey, la NFL! T'as-tu vu ça c'est toi là? [00:13:12] Speaker C: Le gouvernement là tu parles? [00:13:15] Speaker A: Moi là quand c'est le gouvernement qui me dit qu'il va y avoir une game de NFL ici là je capote. J'aime ça l'NFL, j'en mange, j'aimerais ça voir des games d'NFL à tous et à toutes les semaines. [00:13:23] Speaker C: C'est le carreau, je pense ça. [00:13:25] Speaker A: Caroline Brou! [00:13:26] Speaker C: Exact. [00:13:27] Speaker A: On est en contact avec la fééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééé Tsé, j'entendais à matin, c'est... j'pense c'est dans le Chamoré, Dan qui dit « Oh, ils rappelleront pas! » Ils vont rappeler! Ben oui, ils vont mettre du cash! [00:13:39] Speaker C: Ben voyons! Ben oui! [00:13:40] Speaker A: « On va vous donner 200 millions! » « Ah, ils rappellent-les tout de suite! » Gang de vèges! Ils vont nous pitcher des chèques! [00:13:47] Speaker B: Pense pas qu'à New York, le mot est pas passé, là. Les poissons. [00:13:50] Speaker A: Hé! Allô! Les Kings! [00:13:52] Speaker B: Les Kings pis les Panthers. [00:13:53] Speaker A: Les Kings viennent pas ici te manger au Ashton, là. [00:13:55] Speaker B: Non. [00:13:56] Speaker A: Ils viennent ici parce qu'on les a graissés les poches ben plein d'argent public. [00:14:00] Speaker B: Voilà. Tout ça pour dire que Northvolt, OK, c'est une startup. Eux autres, ils ont levé 15 milliards, ça marche pas. Là, ils parlent de lever encore 7,5 milliards. Et après ça, on irait peut-être en bourse. Il faut que ça marche, là. Il faut que ça marche, cette patente-là. [00:14:17] Speaker C: Eux autres, plus qu'ils essaient d'en faire, moins que ça marche. C'est ça, l'affaire. [00:14:19] Speaker B: La poutine dans la batterie. [00:14:21] Speaker C: C'est le graphique, là. La ligne, elle s'en va par en bas, en rouge. [00:14:25] Speaker B: Oui, oui. Non, non, c'est inquiétant. [00:14:26] Speaker A: Très inquiétant. Ça se peut pas. [00:14:28] Speaker B: Je sais pas comment ça va finir, mais habituellement, ces histoires-là finissent très mal. [00:14:30] Speaker A: C'est incroyable. T'as-tu vu la giga... Quelle drôle de place de weird-sit, c'est incroyable. [00:14:35] Speaker C: La giga-usine en Suède, là, t'as-tu vu cette photo? C'est impressionnant. Ben non, c'est... Hé, je me disais, hé, ça, mec, ça meurt, là. T'as tout que l'autre terrain, là, près des maisons, pis... [00:14:44] Speaker A: Je sais pas si ils vont faire comme la Forano avec le Civil, ils vont diviser ça en petites chopes. [00:14:48] Speaker B: Après moi, le terrain qu'il y a, Saint-Basile-le-Grand. Ça aussi, il y a quelqu'un qui a fait de l'argent avec ça. [00:14:56] Speaker A: Ben oui, puis là imagine, il n'y. [00:14:57] Speaker B: A rien qui se plante là. 240 millions. [00:14:59] Speaker C: Salutations à le poirier. Je pense que ce serait une bonne nouvelle qu'il ne se passe rien. [00:15:03] Speaker B: Luc, il a eu sa nouvelle Ferrari. [00:15:04] Speaker A: Lui, il est mort de rire. [00:15:05] Speaker C: Je pense que la meilleure nouvelle... Tant mieux Luc, profitez-en. Ben oui, mais c'est fait. [00:15:08] Speaker A: Profitez-en, rendu là, profitez-en. Bon, Robin. C'est fait. Pige dans le lac. [00:15:11] Speaker C: Mais d'après moi, la meilleure nouvelle qui pourrait nous arriver, c'est de dire écoutez là, on est trop inquiet pour la suite, on arrête ça. On continue pas le deal avec NordVault. [00:15:21] Speaker B: Je suis pas sûr qu'ils peuvent faire ça. [00:15:22] Speaker C: On est piégés. La pénalité, t'es-tu mieux de la payer puis de tourner la page ou t'es mieux de construire ça puis que ça finisse mal? [00:15:30] Speaker B: En fait, c'est que là, on a mis nous 300 millions dans NordVault. On a acheté un terrain à 240 millions. Le reste à NordVault qui doit aller avec des étapes. Une fois que l'étape est franchie, on leur donne de l'argent. [00:15:40] Speaker C: C'est parce que l'étape est retardée. Là, ils retardent tout. [00:15:43] Speaker B: Ben là, y'a pas d'argent qui sort pour l'instant. [00:15:45] Speaker A: Y'a un auditeur qui me fait réfléchir. Y'avez-vous cru, vous autres, aux raisons du départ de Fitz? [00:15:52] Speaker B: Ben à la fin, notre chroniqueur politique a quand même évoqué... Qu'est-ce qu'il dit? Ben lui, il dit que c'est par rapport à Michael Sebia. Hein? Lui, il dit que parce que là, le gouvernement du Québec et Hydro sont en train de renégocier avec Terre-Neuve parce qu'il y a Chuck Jeffords qui est arrivé à terme. [00:16:06] Speaker A: Qui nous donnait leur courant. On les avait fourrés big time, by the way. [00:16:09] Speaker B: Pis là, ça a l'air que Michael Sebia était plus capable de blairer Fitz. [00:16:14] Speaker A: En tout cas, ça a péru, c'est en commission. [00:16:15] Speaker B: Puis t'as vu comment Cébia a ramassé le gouvernement, ça a une nouvelle politique énergétique. Fait que lui, selon ses infos, il y avait un croche entre... Cébia croche, vraiment, ça accrochait plus. [00:16:26] Speaker A: Il y a peut-être ça, mais c'est parce que l'auditeur, il me dit, t'sais, ça se peut que fit, ça. Il l'a vu venir aussi, North Vault? [00:16:33] Speaker C: Ben oui, c'est sûr! [00:16:35] Speaker A: Ben... T'sais, c'est Eddie Gard, moi... Non, non! J'suis plus là, bye bye, j'suis parti à la chasse aux faisans. [00:16:39] Speaker C: Moi, j'pense que c'est l'ensemble de l'œuvre. [00:16:41] Speaker B: L'ensemble de l'œuvre. [00:16:41] Speaker C: C'est et ce que dit ton chroniqueur politique... [00:16:43] Speaker B: L'ensemble de l'œuvre. [00:16:44] Speaker C: Et ce que dit l'auditeur. [00:16:46] Speaker B: Fait que c'était devenu trop... [00:16:47] Speaker C: C'est la soupe chaude, là. [00:16:48] Speaker B: ... dérangeant. [00:16:49] Speaker A: Non, mais c'est parce que moi, l'affaire de... [00:16:50] Speaker C: Il est pas bon! [00:16:51] Speaker A: Je suis pas motivé, mais c'est la job la plus motivante que j'ai jamais eue. Tout ça dans la même phrase, à peu près. [00:16:56] Speaker C: Il était peut-être assurément bon au privé quand il gère son argent à lui, mais je pense qu'il est pas capable de gérer l'argent des Québécois. [00:17:03] Speaker A: Ouais, mais quand t'arrives au public, Pat, quand t'as ton argent, c'est ton argent. [00:17:06] Speaker C: Oui. [00:17:06] Speaker A: Tu checks ton compte, tu te dis « je peux en mettre tant, pas plus, pis il faut que ça fructifie, pis je prends des risques calculés. » Sauf quand ils sont arrivés, qu'est-ce qu'il a dit le gars? Souvenez-vous de la sermentation? Voyez grand. Voyez large. Voyez big. Voyez loin. Il n'y a pas de limite. T'arrives, regarde, t'as un pote, là. Ah oui, voix grande. Regarde bien ça, moi. Let's go les batteries, on y va. [00:17:29] Speaker B: On ouvre les valves. [00:17:30] Speaker C: C'est l'avenir. [00:17:31] Speaker B: On ouvre les valves, dis-toi. [00:17:33] Speaker A: Part de ça. [00:17:34] Speaker B: Ottawa qui élargit les hypothèques sur 30 ans. On avait interdit les hypothèques. Il y avait des hypothèques sur 40 ans, 35 ans, 30 ans, 25 ans. Là, on ramène ça à 30 ans pour les maisons neuves. [00:17:44] Speaker A: On n'avait pas dit que c'était pas bon, ça, il y a quelques années. [00:17:46] Speaker B: Ben, c'est parce que ça encourageait... [00:17:48] Speaker A: L'endettement. Ben oui. [00:17:49] Speaker B: Mais là, écoute, les prix des maisons ont beaucoup monté. D'après moi, on va revenir à ça, des hypothèques à 30 puis 35 ans éventuellement. Là, on l'ouvre pour les maisons neuves. Premier acheteur de maisons neuves. [00:17:58] Speaker A: On va encourager... Pas pour une maison usagée. Non. [00:18:03] Speaker B: On va encourager les promoteurs à construire des maisons neuves et à te la vendre sur une hypothèque de 30 ans. [00:18:07] Speaker A: Sur 30 ans, les banques devraient être contentes. [00:18:10] Speaker B: Oui, mais tu sais qu'en Europe, des hypothèques sur 100 ans, ça existe. [00:18:15] Speaker A: Oui, les familles se passent. Logiquement, ça ne se peut pas. [00:18:18] Speaker B: C'est parce qu'on se passe ça de famille en famille. Parce que les maisons sont tellement chères. À Paris, tu as des apparts à 2 millions, 3 millions. Tu ne peux pas acheter en bas de ça. [00:18:26] Speaker A: Fait que sinon personne va vivre là. [00:18:28] Speaker B: Donc l'appartement, la maison, reste dans famille, pis quand tu hérites, ben t'as l'héritage. [00:18:35] Speaker A: Tu hérites de l'hypothèque sur 60 ans. [00:18:36] Speaker B: Ah oui, on fait ça. On fait ça en Europe. [00:18:38] Speaker A: Tabarouette. [00:18:39] Speaker B: On va-tu en arriver à là? [00:18:39] Speaker A: Nous autres on avait jamé le 40 pis on était rendu à 20, c'était-tu ça? [00:18:43] Speaker B: 25. [00:18:43] Speaker C: Ok. [00:18:44] Speaker B: Dans certaines exceptions, tu peux avoir 30 ans. [00:18:46] Speaker A: C'était vraiment pas bon, mais là, c'est correct. [00:18:48] Speaker B: Mais d'après moi, à cause, les taux d'intérêt vont baisser. Ça va ramener... C'est quand les taux d'intérêt montent que ça crie, tu le sais. [00:18:53] Speaker A: Oui, je le sais bien. [00:18:54] Speaker B: Il y a du monde qui monte les hypothèques de 800, 900, 1000 piastres par mois. C'est là qu'il y a le danger. Donc Ottawa bouge là-dessus. Je vais terminer avec ça. Air Canada, on a eu une entente des pilotes en fin de semaine. Les pilotes vont chercher 42% sur 4 ans. 26% rétro. et 4% par année pendant 3 ans, ça fait d'autres, quand t'ajoutes tous les patentes autour, 42%. [00:19:22] Speaker A: Ça fait que là, ils sont rétroactifs de combien depuis qu'ils étaient en égo? [00:19:27] Speaker B: C'est comme un rattrapage salarial qu'on leur donne, un 26%. Il y en a qui vont faire 120 000 de plus. [00:19:32] Speaker A: Watch out les billets, par exemple. [00:19:33] Speaker B: Les billets, d'après moi, les billets vont... Ben je sais pas. Air Canada c'est 43% de parts de marché. [00:19:39] Speaker A: Ils vont s'en prendre ailleurs. [00:19:40] Speaker B: Ils vont le contrôler. Mais écoute, ça aurait été catastrophique, mais moi je t'en ai parlé la semaine dernière. J'ai dit écoute, ils vont avoir une entente. [00:19:47] Speaker A: Moi ça me dérange pas. Moi ce qui me dérange c'est le manque de compétition ici. Parce que je comprends là, c'est beau, bravo les pilotes, bravo, puis amusez-vous, puis bon vol. Mais... [00:19:57] Speaker B: Il manque des transporteurs. [00:19:58] Speaker A: C'est parce que s'il y a personne pour se battre sur les prix, ça va péter. [00:20:01] Speaker B: Mais c'est le Canada, le prix à payer pour entrer au Canada comme une compagnie, c'est l'intran. Télécom, il manque des joueurs. [00:20:07] Speaker A: C'est la même affaire, c'est tout le temps ça. [00:20:09] Speaker B: La nourriture, il manque des joueurs. [00:20:11] Speaker A: Il manque des joueurs, on en parle souvent. [00:20:12] Speaker B: Transport aérien, il manque des joueurs. Mais pourquoi? C'est le Canada, c'est la couronne. Ça coûte cher d'entrer. Puis quand on rentre, on s'installe comme il faut. [00:20:21] Speaker A: C'est parce que c'est pour le bien de tous. C'est comme ça qu'on régule les prix. Quand t'amènes de la compétition, t'en as un qui trouve des façons de baisser les prix. [00:20:28] Speaker B: Non. [00:20:29] Speaker A: L'autre peut plus vendre ses billets trois fois trop cher. [00:20:31] Speaker B: Non. [00:20:31] Speaker A: Non, OK. [00:20:32] Speaker B: Non. [00:20:32] Speaker A: On aime ça, les monopoles. [00:20:33] Speaker B: On aime ça. Oui qu'on aime ça. Regarde dans l'électricité. On a un joueur. [00:20:37] Speaker A: Avant, Air Canada, vous pouvez oublier, c'était une société d'État. [00:20:40] Speaker B: Oui, c'est sûr. [00:20:41] Speaker A: Jusque dans les années 80, ça appartenait à ce gouvernement. Fait que là, on était dans le total monopole. Total. Fait que là, on s'est tellement fait critiquer, on a gossoyé là-dedans. Là, on a des semi-monopoles. On est restés comme accrochés à ça, des grosses compagnies nationales. [00:20:56] Speaker B: Au Québec, on aime ça, monopole, l'électricité Hydro-Québec, l'alcool, la sac, le pot, tout. [00:21:02] Speaker A: Surtout que ça touche un... Regarde dans. [00:21:04] Speaker B: Bouffe là, il y a 3 gros joueurs, 3-4 gros joueurs. [00:21:06] Speaker A: Il en manque. [00:21:07] Speaker B: Il en manque. Et le bro de concurrence il dit moi j'ai pas fait ma job pendant 20 ans mais il en manque. [00:21:11] Speaker A: Pas grave. Au moins le constat est fait. Comment vont les bourses? [00:21:17] Speaker B: Les bourses c'est semi. À Toronto c'est vert, le dar est vert mais le reste c'est rouge. Apple se fait ramasser, le titre baisse de 5-6$. Qu'est-ce qui se passe? Prévision d'Apple, d'iPhone, on dit que ça va être moins fort cette année. [00:21:29] Speaker A: Je trouve que ça fait un bon moment qu'Apple n'a pas sorti une innovation. Avant, à chaque 5 ans, elle arrivait avec une montre ainsi, une tablette. [00:21:38] Speaker C: Je vous challenge. Est-ce que c'est aussi économiquement parlant, les gens veulent attendre avant de s'acheter? Parce que là, Apple, ce qu'ils vont sortir en passant, j'ai entendu ça, une chronique à Chouelle la semaine passée, je ne suis pas dans quel show, je ne me souviens plus, c'était le piton pour un Kodak. [00:21:52] Speaker B: Oui, c'est François Charon dans notre show. [00:21:54] Speaker C: Ah, c'est dans ton show? Bon, c'est Apple dans le fond, sa prochaine innovation qui est bien simple, mais c'est une bonne idée, c'est que tu mets le piton comme un codex sur ton sel. [00:22:02] Speaker A: J'en ai un, c'est le piton, quand tu pèses le piton du volume ou je sais pas quoi, ça prend une photo. [00:22:07] Speaker C: En tout cas, je trouvais ça bien. [00:22:09] Speaker B: C'est ça, c'est que Steve Jobs n'aimait pas les pitons. [00:22:13] Speaker A: Ah ok. [00:22:13] Speaker C: Les pitons. [00:22:14] Speaker A: Donc là, il rajoute des pitons. [00:22:16] Speaker C: Donc là, il rajoute des pitons. [00:22:17] Speaker A: Pensez-y là. [00:22:18] Speaker C: Mais en même temps, ce que je voulais dire au final, c'était pas le piton que je voulais jaser, c'était pour dire que j'ai l'impression, parce qu'on n'arrête pas de parler de l'économie aux États-Unis, qu'en tout cas, il n'y aurait pas de spline économiquement, ça a déjà mieux été que ça va présentement. Fait qu'à un moment donné, peut-être ton nouveau sel à 5000$, tu le laisses faire. [00:22:35] Speaker B: Mais là, la FED, cette semaine, mercredi, va annoncer qu'elle baisse son taux de directeur. Aux États-Unis, nous autres au Canada, on a eu trois baisses. Les autres, ils vont avoir leur première baisse depuis un an et demi. Ça fait de l'on l'aime. Même plus que ça, ils ont eu des hausses. La FED, l'économie va bien, mais elle est dopée. Aux États-Unis, c'est beaucoup des aides financières. Là, c'est une campagne électorale. Le gouvernement Biden a envoyé beaucoup d'argent partout, partout, partout, partout. Mais là, la FED va baisser. Ça va donner de l'oxygène. [00:23:03] Speaker A: Parce qu'Apple m'a dit de quoi, juste pour en venir là-dessus, mais moi j'ai un Apple, un téléphone 8+. J'ai acheté ça ça fait 5-6 ans. [00:23:13] Speaker B: Moi c'est un 10. [00:23:14] Speaker A: Bon, mais là ils sortent le 16. Non mais ça fait 5-6 ans. Ouais. Ça fait qu'ils en ont fait 8 en 12 ans. [00:23:23] Speaker B: C'est un par année. Chaque année, il en sort un nouveau. [00:23:26] Speaker A: Mais là, c'est plus que ça. Ça veut dire qu'il y a une année qu'ils en ont sorti 2. [00:23:29] Speaker B: C'était 2008, le premier iPhone, je pense. [00:23:32] Speaker A: Bon, ça fait que de 2008 à 2018, ils en ont sorti 8. Pis de 2018 à 2024, ils en ont sorti 8 de plus. [00:23:38] Speaker B: Ben si tu regardes de 2024, 8 plus 16, ça fait... Ça fait plus qu'un par année. On dirait l'iPhone 16. [00:23:43] Speaker A: Moi, un téléphone, y'en a que ça. À toutes les fois qu'il en sort un, j'achète un. J'puis ça ben ben. Pour moi, ça fait pu à la fille quand il sort un iPhone à la place Saint-Foy. [00:23:53] Speaker B: Voilà. C'est ça, pis la chaîne pis tout. Fait que, regarde. [00:23:57] Speaker A: Merci Pierre. Bonne semaine. [00:23:59] Speaker B: Bonne semaine. [00:24:00] Speaker A: Il y a de l'actualité en masse. [00:24:01] Speaker B: Il manque pas de stop. [00:24:02] Speaker A: Les shows sont pleins. Parfait. Fait qu'on se reparle le vendredi nous autres. Et on va à la pause. Gary au retour.

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