Ouellet en direct - Intégral du 12-09-2024

[00:00:00] Speaker A: Faites comme un million de visiteurs par année pour trouver tout, vraiment tout, sous un seul toit au meilleur prix. C'est au marché Jean-Talon que ça se passe. Avec plus de 400 exposants sur place, gageons que vous trouverez ce que vous cherchez. Marché Jean-Talon, la destination. Charlebourg est ouvert 7 jours. Les gros week-end couche-tard présente... C'est quand même bizarre. La fête du travail, c'est une journée, puis les vacances de la construction, c'est deux semaines. Ben oui, c'est sûr. T'as-tu déjà construit quelque chose en une journée? Non, mais en deux semaines non plus. Ben, faudrait que tu t'y mettes. Le gros week-end de la fête du travail continue avec ses économies chez Couche-Tard. Les sacs Lays et fritos Grand Format sont à 2 pour 7,50$. De plus, obtenez une carte rabais de 15$ en achetant deux caisses de 24 bières ou plus. Couche-Tard, simple comme bonjour. 18 ans et plus de détails en magasin. 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Recrutement. Choix. 98. Choix. Radio S. Faites-vous. Faites-vous. Votre propre opinion. [00:02:00] Speaker B: Ouellet en direct, présenté par l'Entrepôt de la Rénault. Venez le cliquer SPC à 1,79$ le pi carré. 9300 rue John Simons, Québec et 3790 rue Jean H. Kruger, Trois-Rivières. Entrepôt de la Rénault.com Ouellet. [00:02:23] Speaker A: En direct. En direct. Avec J.C. Ouellet et Patricia. À midi 2, jeudi 2, 12, 12 septembre. Bonjour, bonsoir, bien aller, ça va se replacer. [00:02:46] Speaker B: C'est une grosse semaine, là. [00:02:48] Speaker A: C'est une grosse semaine. C'est une grosse semaine. [00:02:50] Speaker B: Ben c'est un gros deux semaines, là. [00:02:53] Speaker A: C'est un gros deux semaines. Ça va être une grosse saison. [00:02:54] Speaker B: C'est vraiment le fun de faire de la radio dans ce temps-là. [00:02:57] Speaker A: Ben, c'est ça qui est plate. Quand tout va bien. Non, mais c'est vrai. T'sais, imagine là. Regarde, je vais arrêter la trempe. On se met dans un monde imaginaire. D'accord. Vas-y. Je vais même mettre une petite musique de relaxation. Ok, on s'attend. Fermez vos yeux, pas au volant. Faut que je le dise. Juste un oeil. C'est ça. Imaginez qu'on est au Québec. J'ai les yeux fermés. 2040. On va se projeter plus loin pour être sûr que ça se peut. Le taux d'imposition a baissé. Ben voyons donc. Rendu à 8%. On a éliminé la taxe de vente provinciale. Arrête. Le tapot. [00:03:40] Speaker B: Faut ouvrir les yeux parce que là j'ai... [00:03:42] Speaker A: C'est un trop beau fantasme. T'es à l'épicerie. [00:03:44] Speaker B: Je me referme les yeux. [00:03:45] Speaker A: Pis là tu te dis, ah, si ça c'est le fun depuis qu'on a plus besoin d'aller à la sac, toutes les vins sont à l'épicerie. J'ai eu du choix. Ramasse-donc une petite bouteille à sa pièce. [00:03:54] Speaker B: Ah oui. [00:03:55] Speaker A: Je vais aller gazer, pis le gaz va baisser en dessous de la pièce. [00:03:58] Speaker B: Hé oui, comme dans le bon vieux. [00:04:01] Speaker A: Comme dans le temps, bien ils ont juste enlevé les taxes. Et là tu te dis, on écoute ça à la radio? C'est rendu assez plate. Non, tout va trop bien. [00:04:07] Speaker B: Écoute, je peux partir de mon foyer. [00:04:12] Speaker A: Sans me faire chier. Non, c'est ça. Je viens de m'acheter un véhicule. J'ai choisi la sorte de véhicule. Personne ne m'a forcé à rien acheter. [00:04:22] Speaker B: C'est malade l'enfer. [00:04:22] Speaker A: Je suis d'ailleurs. [00:04:23] Speaker B: L'entretien des routes, c'est drôle parce qu'avant à Québec, je trouvais ça compliqué d'y aller maintenant avec leurs cinq clients. Je capote. [00:04:30] Speaker A: C'est ça que j'allais dire. Prends-tu le troisième lien, non? Moi, je prends le quatrième. C'est mon petit préféré. Ouais, c'est mon préféré. Ah, fuck off la radio. Ah, c'est plate. Ah, elle plate la radio. Faut juste parler de bonnes nouvelles pis d'affaires de plaisir. Ben non! Qu'est-ce que tu veux que je te dise? Ok, retour à la réalité. [00:04:49] Speaker B: Ben non, bing, bang, boum! [00:04:51] Speaker A: Vous donnez à moitié de votre argent en impôts, vous êtes taxé à taux de bras, on a le gaz le plus cher de partout pis c'est correct, on vit avec ça. [00:04:57] Speaker B: On essaie de trouver des nouvelles façons d'aller chercher votre argent parce que nous autres même, on manque d'argent, mais on a fait tellement le ménage, c'est fou comment on a fait le ménage. [00:05:04] Speaker A: En tout cas, on a pas fait le ménage au goût de Youri Chassain. Écoute, c'est la nouvelle du jour. Mais comme tu dis, ça brasse, ça revole de tous les bords. Mais c'est plate, mais c'est vrai ce que tu dis. Pour nous autres, des moments de même, c'est écoute, on cherche pas les sujets. Pourquoi on nous dit souvent la radio l'été c'est tough? Parce que la radio l'été, il n'y a pas de politique. On vit encore dans le même monde, mais il n'y a pas de nouvelles, il n'y a rien qui alimente la discussion. Donc oui, effectivement, on parle un peu plus de barbecue, puis de musique, puis de festival. Mais quand on se fait grêler à tous les jours, parce que des nouvelles-là qui nous pigent dans les poches, c'est quotidien maintenant, ben ça donne du stock. Qu'est-ce que tu veux que je te dise? Ils veulent tuer la Radio X? Ben parfait. Vous savez quoi faire. [00:05:54] Speaker B: Soyez bons. Soyez bons. [00:05:56] Speaker A: Moi, le jour où j'ai plus besoin de chialer et qu'il m'en reste dans mes poches, je vais me dire de quoi. On va faire d'autres choses. Qu'est-ce que tu veux? Ça va être ça. [00:06:03] Speaker B: Chambagne. [00:06:04] Speaker A: Vous avez la recette entre vos mains, la gang. Vous pouvez vous-même vous occuper d'éliminer la maudite Radio X qui sort tout le temps des affaires et qui n'est pas repris ailleurs, d'ailleurs. Les autres médias, eux autres, vivent bien avec ça. Je sais pas comment ils font. Je sais pas comment tu peux être un journaliste. pis vive bien avec le fait de prendre un communiqué de presse du gouvernement pis mettre ça dans le journal. J'sais pas comment tu fais pour... T'sais, sinon, j'comprends que vous avez étudié en com', là. Mais sinon, vous pouvez devenir porte-valise d'un député aussi, là. Ah! On me dit qu'il y en a beaucoup qui ont fait ça. On me dit que le chemin entre les deux jobs se fait très bien. Bon, ben coudonc, on va vivre avec ça aussi. Youri Chassin. Bon, Je suis comme mitigé. Pis là, je me suis posé la question, je vais-tu être trop chialu? C'est parce que ça... Ça sent un peu l'opportunisme. Juste un peu, une petite odeur. Des fois, tu rentres dans la maison, t'es pas sûr, ça sent-tu le brûlé ou juste le roussi parfait? On n'est pas certain. [00:07:10] Speaker B: Mais là, pourquoi tu disais ça sent l'opportunisme puisqu'il décide de loger en tant qu'indépendant? [00:07:16] Speaker A: Youri, mon cher Youri, ça fait six. [00:07:21] Speaker B: Ans que t'es là. [00:07:23] Speaker A: L'histoire de rajouter des couches de bureaucratie sur des départements, des ministères déjà remplis de bureaucratie, L'histoire d'engager 70 000 fonctionnaires de plus, l'histoire d'abandonner toute tentative de s'enrichir avec quelques ressources naturelles que ce soit, l'histoire de toute la CAQ, ça n'a pas commencé cette semaine. Pis je comprends, on a eu cette discussion-là tantôt, pis tu faisais l'avocat du diable, pis c'est correct. Tu m'amenais à te dire « Ouais, mais peut-être aussi qu'il essaie de grinder à l'interne. » Pis j'y donne le bénéfice du doute. [00:08:01] Speaker B: Non, mais c'est parce que quand t'aspires à des choses, moi, j'y crois encore que les gens se présentent. Écoute, il n'y avait pas besoin de ça dans la vie. Lui, il avait quand même un bon emploi. Bon, là, il se présente. Écoute, il a un profil économique, économiste intéressant. Assurément, pas plus fou qu'un autre. Tout le monde aura deviné qu'il y a eu des rencontres avec le PM à l'époque. Je vous rapporte en 2018. Puis les possibilités d'opportunités, justement, OK? qui, tout le monde le sait, ne se sont pas réalisés parce qu'il n'a pas été ministre. [00:08:33] Speaker A: 2022, OK? [00:08:33] Speaker B: Là, on est en 2024, donc il y a deux ans. J'apprends rien à personne encore parce qu'il l'a dit lui-même. Il a été déçu quand on ne l'a pas nommé ministre. [00:08:43] Speaker A: Oui, puis il l'a dit. Ça a sorti. Il a même pris une pause. Il a pris deux jours à réfléchir à ça. [00:08:48] Speaker B: Il a réfléchi, puis finalement... Et puis là, ce qui est arrivé dernièrement, OK? On recule à la semaine passée. [00:08:55] Speaker A: Qu'est-ce qui est arrivé dernièrement? [00:08:56] Speaker B: Y'a pas un p'tit Fitzgibbon qui est quitté? Ouin. Y'avait un ministre de l'économie? Ouin. [00:09:00] Speaker A: Y'a pas un poste de ministre qui s'est libéré? [00:09:02] Speaker B: Y'a-tu pas un poste de ministre qui s'est libéré? [00:09:04] Speaker A: Pis y'a un poste de ministre qui, ma foi, fit parfaitement avec le profil de M. Chassin. [00:09:11] Speaker B: Exactement. [00:09:12] Speaker A: Si M. Chassin, moi c'est ma question, si M. Chassin est nommé ministre de l'économie jeudi passé, On s'entend qu'à matin, le modèle, ça marche, pis que la CAQ, c'est super. [00:09:25] Speaker B: Ben là, je vais te refaire l'avocat du diable. Et ça, je vais te parler parce que c'est impossible. J'ose croire que c'est impossible que tous les gens... Peut-être aussi qu'on se fait tous manger par la machine, mais j'ose croire qu'il reste encore un fond de conviction. L'histoire ne dira pas que ça veut dire qu'il va être parfaitement en accord avec tout ce que va décider. [00:09:46] Speaker A: Ça, je comprends. Pis ça, c'est la ligne de parti qui embarque, pis il faut que tu te raccordes au parti. [00:09:50] Speaker B: Mais je me dis, quand tu vas là, puis que tu restes là, puis qu'il veut avoir ce poste-là, puis je verrai pas pourquoi... Tu sais qu'il a le droit d'avoir de l'ambition, ce monsieur-là, OK? [00:10:00] Speaker A: Oui, oui, tout le monde a le droit. [00:10:01] Speaker B: Puis lui, il a des idées qui sont plus centre-droit, en passant, là. Je sais pas comment ça s'est retrouvé au coeur, cette partie-là. [00:10:10] Speaker A: Parce qu'au départ, Pat, c'était ça. Non, non, au départ, ça fitait au bout. [00:10:14] Speaker B: Mais le départ, ça fait quand même une couple d'années. Ça fait six ans. [00:10:17] Speaker A: Je te dirais que ça n'a pas été long le virage. Aussitôt que la CAQ a rentré au plein pouvoir, le bateau a viré très rapidement. [00:10:24] Speaker B: Il y avait peut-être le goût encore, l'engagement, l'ambition d'essayer de revirer le bateau de bord. Si tu veux le revirer, tu te dis je vais aller au cœur de la machine, je vais rester. Je m'idéalise quelque chose. Je ne le connais pas, je ne l'ai même jamais rencontré. Mais j'ose croire que ce profil-là, de vouloir, de s'obstiner à rester pour pouvoir atteindre un poste, puis ainsi se dire, bon, bien, enfin, maintenant que j'ai les commandes, je vais essayer de tourner le bateau un peu. [00:10:48] Speaker A: – Oui, mais tant que tu n'es pas premier ministre, puis que ce n'est pas toi qui alignes le parti, même si tu es ministre. [00:10:54] Speaker B: – Oui. Faites-le bien, mais tu n'as pas pire libre, je t'annonce. [00:10:56] Speaker A: – Oui, puis il est où, là? [00:10:57] Speaker B: Ben là, il est parti. Oui. [00:11:00] Speaker A: Oui, oui. Pis tu penses-tu que les discussions, t'as toujours super le fun dans les corridors? Penses-tu que le monde dit « Hey, crime de pierre, hein, il y a de l'initiative, lui. [00:11:06] Speaker B: » Oui, ben je trouve qu'il le sent. [00:11:09] Speaker A: Moi, je pense que ça s'illait de tous les bords. [00:11:11] Speaker B: Il semblait être un ministre libre. [00:11:13] Speaker A: Oui, mais ça marche pas. [00:11:14] Speaker B: Et là, sa liberté fait en sorte que là, on... [00:11:17] Speaker A: La machine, les amis, la machine veut pas. [00:11:20] Speaker B: Oui. Mais c'est pas toujours à passer des excellentes décisions en passant. [00:11:24] Speaker A: Parce que tu sais, mettons que tu me dis, je te suis là, pis là je me dis, bon, Youri, lui, c'était ça son plan. C'était de grinder dans la machine, pis arriver un jour au ministre pis dire, héhéhé, je suis ministre. Tintoué, on change tout. Youri Chassin, là, revient à quelques années, parce qu'il a déjà parlé à Youri Chassin. Tout comme, d'ailleurs, on avait déjà parlé aussi au ministre Coiteux dans le temps, les libéraux. Il a été ministre, lui. Ministre des Finances. Il m'a dit de quoi c'était pas tout à fait. Ce qu'il a appliqué en tant que ministre, c'était pas ce qu'il nous disait dans les chroniques des mythes économiques avec Moray. [00:11:53] Speaker B: Non, non, c'est ça. C'est difficile. Non, mais c'est... [00:11:56] Speaker A: Il aurait pu, là. Il avait deux mains sur le volet. Il aurait pu dire, moi, je te vire ça de bord. C'est pas arrivé. [00:12:02] Speaker B: C'est ça, c'est possiblement et fort probablement plus compliqué qu'on pense. Parce que Youri Chassain, il y a. [00:12:09] Speaker A: Plusieurs années, avant d'être à la CAQ, je sais pas s'il pense encore ça, mais c'était privatisé la SOQ. Ça, c'était dans ses valeurs, dans ses idées qu'il avait lancées. Écoute, ça serait jamais arrivé, même si tu lui avais donné deux postes de ministre. [00:12:28] Speaker B: Ouais, non. [00:12:30] Speaker A: C'est sûr que c'était un gros mandat. Moi, je trouve que, premièrement, ça a été long, la réflexion à dire « La CAQ, je ne suis pas certain. Ça fait longtemps que je ne suis pas certain de la CAQ. On a tous, bon pas tous, mais beaucoup de gens, Pis je l'ai avoué souvent, qu'ils ont voté CAQ au début, la première année. Bon, CAQ, une fois, moi c'est assez. Après ça, ça va être correct. La qualification, je vais la subir juste une fois. Après je vais passer à autre chose. Lui, il est dans le couple ouvert. Il est dans la gang, il est dans la patente. Six ans pour réaliser que finalement, la CAQ, c'est pas ça. [00:13:05] Speaker B: Ben, en fait, comme je t'ai dit, je pense qu'il sait de... bon, on le sentait. En fait, là... Hé, tu passes-tu 6. [00:13:10] Speaker A: Ans dans une place où tu sens que t'es pas chevou, là? [00:13:12] Speaker B: Ouais, mais je soupçonne que quand Youri, là, il s'est... parce que ça, c'était sûr, il est connu, OK? Tout le monde, là, dans le domaine politique, il savait que c'était pas un gars qui était nécessairement très heureux de... de par son poste, puis d'être à la carte. [00:13:29] Speaker A: Il devait pas être heureux de ce que je vais vous jouer comme carte. Il a pas l'air heureux, là. [00:13:32] Speaker B: Mais je pense que quand c'est fait rencontrer par François Legault aussi, il doit avoir... En passant, il n'a pas de temps. Là, ça commence. C'est le deuxième dans le même mois. Mais ça a déjà vanté bien plus que ça pour François Legault et tout le monde est resté à bord. On s'est dit, tout le monde, ça va faire un effet de minot. pas peur, tout le monde va vouloir partir. Ben oui, puis après ça, il y a eu Joel Boutin, on se demandait s'il n'y en aurait pas d'autres. C'est parce que la population, dans les médias, etc., c'est toujours resté. Donc, ne pas sous-estimer le pouvoir de, je veux pas dire, je vais dire charmant, charismatique, je veux pas, moi, ça ne fit pas ensemble. [00:14:08] Speaker A: – Le qui de François Legault. [00:14:09] Speaker B: – De François Legault. Quand il te rencontre, C'est vrai que ça fête pas. Ben je le sais, mais ça précise ici, il n'y en a pas un qui est parti. [00:14:16] Speaker A: Ben, il y en a quatre là. Si tu comptes Joël... Oui, mais ça. [00:14:20] Speaker B: N'A jamais eu l'effet domino. Eric Lefebvre... Parce qu'il y a des élections et je pense que, somme toute, les sondages, ça devrait être positif. [00:14:29] Speaker A: Donc, ça revient à ce que je disais, ça sent l'opportunisme. [00:14:33] Speaker B: Ça sent la porte de sortie par-dessus. [00:14:35] Speaker A: Si la CAQ est à 60% de satisfaction, puis 40% des intentions de vote, est-ce qu'il s'en va? Moi, je me pose la question, là, j'ai plus le choix. [00:14:41] Speaker B: On le sait pas. Mais ce que je veux dire, là, par charme, là, un marchand de charme, là, de la part de François Legault, c'est que je pense que, même si c'est dur à croire, je pense qu'il l'a, quand tu le rencontres dans un bureau, puis il fait comme, « Yuri, t'es pas ministre, là, mais, tu sais, j'ai besoin de toi, j'ai besoin de... » Puis, si tu restes, Je vais te le donner le poste. Il faut que tu restes. C'est sûr que... Parce que je comprends. [00:15:03] Speaker A: Pas pourquoi tu restes là. T'sais, moi personne, ça fait longtemps que je suis... [00:15:07] Speaker B: C'est pour ça que je te dis qu'il doit être assez convaincant. [00:15:09] Speaker A: Ouais, sur 17 ans, moi, t'sais, ça fait... Je sais pas, t'sais, puis si j'avais... Ça avait été mon seul but d'avoir mon show, mettons. Bon, écoute, ça l'était pas. Moi j'aimais ça faire de la radio. Si quelqu'un me disait « t'aimerais-tu avoir ton chat un jour? » je disais « ouais ouais, mais tu sais… » Pis c'est ce que j'entends de tous les députés derrière le banc. « Ah moi j'suis à l'aise, ça va, c'est bien. » Mais lui clairement, il voulait un poste de ministre. Pis je sais pas si on lui en a prémis un ou pas, pis ça, l'histoire le dit pas. Mais clairement, lui il l'a dit. Parce qu'il y a un an, il avait eu sa réflexion. [00:15:41] Speaker B: Si tout le monde le sait, il y a eu des discussions avec le PM. [00:15:45] Speaker A: Oui, c'est sûr. [00:15:45] Speaker B: C'est impossible qu'ils ne se soient jamais rencontrés pour parler de ça. [00:15:49] Speaker A: Encore là, on me dit qu'il y a eu beaucoup de discussions avec le PM, comme on dit. Ça passe plus avec son entourage, avec Martin Koskinen, avec le chef de cabinet. Oui, mais à un moment donné, il. [00:15:56] Speaker B: Faut que tu rencontres ceux... [00:15:58] Speaker A: Mais je ne suis pas ceux qui parlaient à Legault trois fois par année en réunion privée. [00:16:02] Speaker B: Non, mais je veux dire, les intentions étaient claires. [00:16:04] Speaker A: Ben oui, ça c'est sûr que tout. [00:16:06] Speaker B: Le monde est au courant. Ben c'est ça, puis 2022, lui-même l'a dit, l'a mentionné, qu'il était déçu. Fait que l'intention est assez claire, merci. [00:16:12] Speaker A: En tout cas, je trouve quand même, l'autre affaire, c'est parce que tout ce qu'il va nous dire, pis là on va écouter des extraits, vous avez peut-être entendu ce matin, mais ça vaut la peine, pis c'est pas des extraits très longs. Je trouve quand même que dans tout ce qu'il dit, voici un exemple. Quand on fait le saut en politique, à mon avis, Il faut servir une cause noble. On ne fera jamais prendre notre tête de personne et il faut que ce soit plus grand que soi ce qu'on défend. Puis moi je vous le dis, quand j'ai fait leçon en politique, je n'ai pas demandé à être ministre. Mais j'ai demandé à être rassuré quant au courage qu'on allait avoir pour faire les changements nécessaires. Puis j'ai tout essayé à l'interne. Dans le parti, auprès des cabinets, auprès des ministres, puis hier soir auprès du premier ministre, j'ai tout essayé pour ramener l'agenda taquiste. J'ai pas réussi, puis ma conclusion c'est que, ben si je peux pas regarder les électeurs de Saint-Jérôme dans les yeux, puis leur dire que le gouvernement fait actuellement les bons choix pour le Québec, ben il est temps que je parte. T'sais pis, je dis ça parce que je le sais qu'Huri Chassain, c'est pas un cave. Youri Chassin, c'est un économiste, il a de la renommée, il a travaillé à l'Institut économique, c'est quelqu'un qui connaît ses patentes. Et pour moi, ce serait l'insulter que de me dire qu'il vient de réaliser ça. Tu comprends? C'est ça qui marche pas. Très rapidement, c'est sûr que Youri Chassin s'est senti pas à sa place. [00:17:38] Speaker B: C'est sûr qu'il a dit « Oh. [00:17:40] Speaker A: Attends, c'est pas ça que je pensais. » « Ah oui, vous faites ça, on fait ça, mais ça, c'est pas ça qu'on avait dit. » Écoute, le virement de la CAQ, ça a été quasi instantané. Surtout qu'ils sont arrivés au pouvoir, c'est quoi ce parti-là. C'était plus ça, là. Soudainement, deux, trois petits buffers qui ont essayé de nous passer sous le nez, genre les commissions scolaires, on s'en occupe. Finalement, c'est devenu des centres de services. Grosso modo, on a enlevé les élections, mais le reste, c'est resté la même structure, la même affaire. On a changé les cartes d'affaires et les pancartes, c'est bâtisse. [00:18:11] Speaker B: 4,25 cents pour une pièce. [00:18:13] Speaker A: C'est ça. Fait que t'sais, j'étais pas là. La CAQ, c'était pas... Ah oui, OK, c'était juste ça. Ah oui, OK. Ah, ah, ah. Finalement, on rajoute des couches de dé... Ah oui, finalement, on engage plein de monde. Ah oui, pendant la pandémie. Oh, vous aimez ça, vous autres, le contrôle du monde, hein? Oh, tabarnouche, ils sont à watcher, eux autres. [00:18:29] Speaker B: Ça dépense, là, comme c'est pas possible. [00:18:31] Speaker A: C'est fou, là. C'est les dépenses en folie. [00:18:33] Speaker B: On a des augmentations du salaire, là, des choses qu'on peut pas se payer. [00:18:36] Speaker A: J'ai même de la misère, maintenant, les entendre critiquer Québec solidaire. Je suis pas sûr que ça serait pire. tellement ça flow de tous les bords. [00:18:45] Speaker B: Ah pis on sait pas où va l'argent. [00:18:46] Speaker A: Ça coule à flot. Yori Chassain, je le sais qu'il est bon pis je le sais qu'il est intelligent et c'est pour ça que je pense que c'est impossible qu'il ait allumé dans... Mettons que j'y donne un range de... Tu sais, j'ai tout essayé à 6 ans. [00:19:01] Speaker B: Ouais, mais j'ai vu ça c'est comme n'importe... [00:19:03] Speaker A: À tous les jours les cognards au parc là. Qu'est-ce qu'on fait là? [00:19:09] Speaker B: Les dépenses? [00:19:09] Speaker A: Non! [00:19:09] Speaker B: Voyons. Six ans. Il y en a ben aussi qui ont travaillé longtemps pis des fois là, tu restes parce que tu veux. Tu restes. Pourquoi tu restes? Parce que tu veux, parce que tu dis pis là on te fait miroiter que ça s'en vient. [00:19:18] Speaker A: Oui mais là, Pat t'as mané là. [00:19:20] Speaker B: Oui je sais. Oui mais, tu sais là, ça arrive à plein de monde dans leur milieu de travail, dans un travail où en bout d'un moment donné tu fais comme « Hey là là, faut que t'atteignes, faut que t'atteignes le bout du bout. [00:19:31] Speaker A: » Moi Pat j'ai un ami là qui veut se pogner une fille depuis six ans. Oui. pis qu'il présente d'autres mondes super cool pis il veut rien savoir pis non, non, moi c'est Magali! Je veux Magali! Pis là, elle, tu lui dis oui mais il a fait plein de promesses! Un jour, peut-être, petit clin d'oeil. Oh, j'ai mis mon gros décolleté, je ne me suis pas pensé qu'on était ensemble! [00:19:53] Speaker B: Pis là, après ça, quand il va... [00:19:54] Speaker A: Ben là, après 6 ans, mais non, mais... Non, mais quoi? Moi, quand il va allumer, je vais lui dire « Man! [00:19:58] Speaker B: » Ben oui! [00:19:59] Speaker A: Oui, mais... Ce gars-là, dans ma tête, je vais me dire « Mais t'es ben cave! [00:20:02] Speaker B: » Ben oui, mais on le réalise après, ça! [00:20:05] Speaker A: Oui, mais... Yuri Chassin, c'est ce que j'essaie de dire, je le sais que c'est pas un cave! [00:20:09] Speaker B: Non, non, mais... Non, mais quand t'es dans une situation, t'aspires à ce que ça soit toujours meilleur, pis là on te fait miroiter des affaires, pis là tu te dis ok bon ben je vais rester, bon ben je m'en irai pas parce qu'il m'a dit qu'il allait faire ça, ben là il l'a pas fait, ok. Mais il a peut-être fait des petites affaires. Ay, en passant, il a reçu des postes là aussi. [00:20:25] Speaker A: Ah oui, oui, mais ça change pas la vision du parti. [00:20:28] Speaker B: Il est devenu représentant du secrétariat du Québec VP Black. Ça c'est du nanan. [00:20:33] Speaker A: Ça c'est la fille qui fait... On a failli s'embrasser, tabarouette. [00:20:38] Speaker B: C'est pas très proche de tes lèvres. [00:20:41] Speaker A: Je peux-tu m'emmener chez vous? Non, je suis full fatigué. De toute façon, je t'aime beaucoup comme amie. OK, bye. [00:20:46] Speaker B: C'est ça. [00:20:46] Speaker A: Pis là, tu... Ouais, mais Suzanne, t'empêtes. Je vais lui parler à mon chum, à un moment donné, je vais lui dire tu te fais niaiser. [00:20:51] Speaker B: Ouais mais quand, c'est ça que je t'ai dit, c'est que les gens autour de toi, on a beau te le dire... [00:20:56] Speaker A: Fait que toi tu considères que Youri c'est un naïf poétique. [00:20:59] Speaker B: Je pense qu'on réalise qu'il y a juste soi-même qui peut se sauver. Tu comprends? Fait qu'à partir du moment où tu. [00:21:05] Speaker A: Dis... Marc Belmore, ça lui a-tu pris six ans? [00:21:07] Speaker B: Ah mais on est tous faits différents là. [00:21:09] Speaker A: Non, non, mais moi je prends l'exemple qui se réfère le plus à ce que moi je pense. [00:21:13] Speaker B: À un moment donné, tu le décris. [00:21:14] Speaker A: Merci à l'auditeur qui dit Marc Belmore, ça lui a pas pris six ans. [00:21:16] Speaker B: Non, non, mais je sais, mais on n'est pas tous faits pareils sur le même frame. Tu sais, il y en a pour qui ça va prendre une demi-seconde se réveiller. [00:21:22] Speaker A: On dirait que j'ai l'impression que le niveau d'opportunisme est beaucoup moins élevé chez Marc Belmore. que chez certains autres. Quelqu'un qui me dit « Oh, moi, je voulais pas être ministre, vraiment. » Ça, ça reste à vérifier et ça reste à prouver. C'est improuvable. Moi, je peux pas rentrer dans le cerveau de quelqu'un pour voir... [00:21:40] Speaker B: Mais là, il dit ça, là. [00:21:41] Speaker A: Ben, tu sais, Marc Bellemont, c'est un maudit bon exemple, l'auditeur qui amène ça. Écoute, Marc Bellemont, il était ministre. Lui, il a eu son poste. Ça a pris quelques mois. Il a dit « Moi, je peux rien faire ici. » Savez-vous quoi? Moi, je veux aider le monde dans la vie. Fait que, tchao bye! Je vais aller aider le monde. [00:21:57] Speaker B: Ben, Vincent Gélozo disait qu'il fera pas de politique pour ça. T'es meilleur à être en dehors de la politique pour changer les choses qu'à être à l'intérieur de la politique. [00:22:06] Speaker A: Bref, Yuri Garn, ça le mettons là. Puis il faut se souvenir qu'au départ c'était un projet formidable de réunir des gens de tous les horizons pour relancer le Québec, de réconcilier la fierté puis la prospérité qui à mon avis vont de part. puis enfin sortir d'un modèle sclérosé, même usé à la corde, où c'est toujours le gouvernement qui prend tout en charge. Tu sais qu'on n'a pas cette discussion-là si ce qu'ils viennent dire là, ça arrive en 2020. Mettons que deux ans, tu sais, mettons que c'est donné deux ans, là, je dis « OK, cool, il est allumé ». Là, six ans plus tard, Après qu'on ait eu un poste libre de ministre direct dans ses cortes, qu'il se soit pas fait même considérer... Ben non, mais c'est ça. [00:22:47] Speaker B: Là, je pense que ça a été ça, là. [00:22:48] Speaker A: Le clou, là, c'est le dernier clou sur le cercueil. Ben moi, je pense que c'est pas mal juste ça. [00:22:51] Speaker B: Moi, je pense que ça a été ça, le dernier clou sur le cercueil. C'est qu'à un moment donné, là, à un moment donné, là, tu viens de frapper le mur, là, t'sais, allume vierge. [00:22:57] Speaker A: OK. Mais... [00:22:58] Speaker B: Là, je pense que ça a été le coup fatal. [00:22:59] Speaker A: Mais c'est correct. Pis c'est bon que, t'sais, que je sois pas tout seul à dire ça parce que peut-être que je suis dans le champ aussi, là. On sait pas, c'est dans sa tête, là. [00:23:07] Speaker B: Ouais, mais je peux pas croire que tout le Excusez, j'ai frappé mon micro. Trop d'émotion. J'aime croire que c'est pas tout le monde qui... On n'a pas le choix de se faire manger en partie par la machine. Ça c'est indéniable parce que la machine est tellement grosse. Il faut l'assumer. Ce n'est pas en se fermant les yeux qu'on va pouvoir changer les choses. Maintenant que ça c'est dit, j'ose croire qu'il reste encore des fonds de conviction chez les gens et qu'on s'obstine à rester. Puis on s'obstine à rester. Puis oui, il voulait le poste de ministre. Possiblement, j'imagine, pour avoir les deux mains sur le volant puis pouvoir un peu changer les affaires, là. Pas juste pour son égo. Puis là, à un moment donné, le poste s'est ouvert. La semaine passée, Fitz, il est parti. Puis tu sais, juste à dire, je suis allée fouiller le... D'ailleurs, salutation à Lassna qui est très à jour sur le poste de Youri Chassain parce qu'on le nomme déjà dans sa description député de Saint-Jérôme indépendant. Fait qu'on est déjà à jour. [00:23:57] Speaker A: Puis tu sais, je voyais... de faire deux ans que c'est prêt, ça. [00:24:02] Speaker B: Tu sais, puis on a déjà les dates de fin qui est aujourd'hui le 12 septembre. [00:24:05] Speaker A: Même le gars qui a écrit ça, il devait dire, voyons, c'est bien long. Il s'en va pas, Youri, là. C'est moins le montant que c'est prêt, là. [00:24:11] Speaker B: Bien, écoute, là, dans ces fonctions... Donc, on parle déjà de fonctions précédentes, étant donné qu'il est plus au sein de la CAQ. On parle, entre autres, de membres de la Commission des finances publiques du 6 septembre 2024. Le 6 septembre, là, ça, c'est la semaine passée. Jusqu'au 12. [00:24:25] Speaker A: Oui. Le 12, c'est aujourd'hui. [00:24:27] Speaker B: Faites se démunitionner le 4, OK? Le 6, je sais pas ce qui s'est passé, là. Mais la chicane, il y a eu quelque chose. Parce que si le 6, on l'a nominé en tant que membre de la Commission des finances publiques. Puis la Commission des finances publiques, là, on parle des compétences et finances, budget, administration du gouvernement, fonction publique, revenus, services. [00:24:49] Speaker A: C'est les gens Z sur l'argent du gouvernement. [00:24:50] Speaker B: Approvisionnement, régime de rente, etc. [00:24:52] Speaker A: Tout ce qui touche l'argent du gouvernement. [00:24:55] Speaker B: Écoute, il a été nommé, c'est déjà fini. Il vient d'être nommé la semaine passée. [00:24:59] Speaker A: Ouais, mais c'est fini parce qu'il est parti. [00:25:01] Speaker B: Oui, je sais, mais... [00:25:02] Speaker A: Il aurait été nommé pour un bout là, mais... Ben, c'est ça, c'est la nanne qui a essayé d'y passer. [00:25:07] Speaker B: Ben, c'est ça. [00:25:07] Speaker A: Pour un yori, finalement, c'est ça, là. T'as pas eu la job. On n'a même pas parlé. Mais... Garne, on a une belle place pour toi, là. La commission des finances. Va t'asseoir là, puis va perdre ton temps. [00:25:18] Speaker B: Moi, ça a pas passé là-dessus. [00:25:20] Speaker A: Bon, ben là, ça a pas passé. Effectivement, ça a pas passé. L'autre affaire qui m'a un petit peu tiqué, C'est ce bout-là. Je viens vous dire que je vais désormais siéger comme indépendant, que je quitte le caucus de la CAQ et que j'ajoute du même souffle que je compte finir mon mandat de député et que je ne vais pas me rejoindre à un autre parti politique. Tu vas finir ton mandat de député tout seul dans ton coin en mangeant du boudin. Mais ça fait six ans que t'essayes tous les moyens pour en revirer le bateau de la CAQ. Là, il te reste un gros deux ans, tu vas aller t'asseoir dans le coin et regarder le mur. Parce qu'un indépendant, c'est bien cute, mais ça sert à rien. T'sais, je vous dis, y'a aucun... Si vous pensez que les oppositions ont un certain pouvoir, oui, là, présentement, QS essaie de se péter les bretelles en disant « on a fait passer une loi », ben oui, ça fait 15 ans que vous êtes là, t'sais, c'est bravo. [00:26:17] Speaker B: – Je suis pas d'accord avec ce que tu dis. [00:26:18] Speaker A: – Non. [00:26:19] Speaker B: Non, parce que je peux pas y en vouloir. Là, ils s'associent pas avec aucun parti. Ils s'en vont indépendants. Puis on dira ce qu'on voudra parce qu'on aime... C'est hyper facile des jugés politiques, et moi, la première, je le fais, OK? Mais quand même, il y a une partie de moi qui va souligner son courage parce que c'est pas évident, justement, de t'en aller tout seul, au monde, à un endroit où pas mal tout le monde va le regarder croche. [00:26:42] Speaker A: Ouais, ben ouais. Ben, sais-tu combien les gens vont le regarder encore plus croche? Si tu veux vraiment te faire un regard de décroche, va-t'en avec le Parti conservateur. [00:26:52] Speaker B: Oui, mais... [00:26:53] Speaker A: Si tu veux vraiment donner un punch, là... Si le Parti conservateur, mettons, n'existe pas ou est famélé... Tu sais, il y a six ans, le Parti conservateur, c'était 0,5 % des... C'était un parti qui existait, mais fantôme. Il y avait personne qui avait même espoir, qui avait même donné sa lèvre à cette affaire-là. Si le Parti conservateur n'existe pas, je suis d'accord avec toi, il n'y a pas de maison politique. Y'a personne qui dit la même affaire que lui nulle part. C'est pas QS, c'est pas le Parti libéral, c'est pas le PQ. Personne peut l'accueillir, puis donner des bisous, puis dire « Nous autres on pense comme toi, Youri ! » Personne, personne. Là, y'a un parti qui a reçu beaucoup de votes, mais qui, de par la nature de notre démocratie, a personne assis à l'intérieur. Tu veux rentrer tes idées dans la place ? Tu veux faire comme QS, faire voter des lois, parce que t'es capable encore de donner de l'influence, pis de... Y'a un parti pis y'est pas rentré dans la bâtisse encore. Personne veut qu'y rentre dans la bâtisse. Et ce parti-là défend toutes tes idées. Réduction de l'État, baisse d'impôts, baisse du fardeau fiscal, privatisation dans certains secteurs où ça dérape. Parce que je vous rappelle que Youri Chassain, c'était la privatisation de la SAQ. Ça c'était dans ses idées avant qu'il arrive à la CAQ. Pis là tu me dis que t'as tout essayé pour que la CAQ amène ces idées-là pis tu t'en vas bouder tout seul dans ton coin? Pis y'a un parti qui est là, qui défend toutes tes idées, à qui tu pourrais permettre de mettre un pied dans la bâtisse pour... Excusez, brosser de la marde. [00:28:24] Speaker B: Mais lui là, il a pas eu le mal. [00:28:27] Speaker A: Moi, si tu me parles de courage, j'aurais envie de te dire, pousse-le ton courage mon ami, vas-y jusqu'au bout. [00:28:33] Speaker B: On va se dire la vérité aussi, je suis pas sûre qu'il se fait élire sous la bannière du Parti conservateur du Québec dans Saint-Jérôme. [00:28:41] Speaker A: Non. [00:28:42] Speaker B: C'est sûr. Ça, tu me parles d'opportunisme, ça serait bon, de l'opportunisme pour le Parti conservateur. Cela étant dit, lui, il n'a pas le mandat de... [00:28:50] Speaker A: Il n'a pas changé, Youri. Quand il a été élu dans Saint-Jérôme, il avait ces idées-là et il le disait. [00:28:54] Speaker B: Oui, oui, mais lui, il n'est pas là pour... [00:28:56] Speaker A: Les gens le connaissaient. [00:28:57] Speaker B: Il ne doit rien au Parti conservateur du Québec. [00:28:59] Speaker A: Non, non, non, non, il a le droit là. Oui, il a le droit. Non, mais c'est juste dans la logique de j'ai tout fait puis je veux que le modèle change. Non, j'ai pas dit ça non plus. [00:29:08] Speaker B: C'est lui, il s'en va indépendant, puis après ça là, juste parce que des fois on prend pour acquis qu'on partage les mêmes idées pis tout ça, mais encore une fois là, t'sais, on jase, OK? [00:29:16] Speaker A: Ben oui. [00:29:18] Speaker B: Peut-être que lui, le Parti conservateur du Québec, tel qu'il est présentement, ça ne lui convient pas. Pour plein de raisons. Soit pour le chef, je sais pas. Soit pour, je sais pas, il trouve que l'équipe est moyenne, fait qu'il veut pas. [00:29:30] Speaker A: Peut-être. [00:29:30] Speaker B: Tu sais, je sais pas. [00:29:31] Speaker A: Il est tout seul, il sera pas meilleur. Il va avoir zéro impact, il y a plus personne qui va lui parler. [00:29:36] Speaker B: Au moins, il va se gérer lui-même. [00:29:38] Speaker A: Oui. Mais c'est tout ce qu'il va faire. Il va pouvoir décider de mettre du beurre de pinotte croquant. [00:29:44] Speaker B: Mais il est encore là, là. Il a gardé son poste. Il a pas démissionné. [00:29:46] Speaker A: Non, non, il est là. [00:29:47] Speaker B: Il s'est retiré de la CAQ. Mais il est encore député. Pis NOÉ, ça l'allait pas aller plus loin que ça. Il a bien compris. [00:29:53] Speaker A: Non, mais là, il a fini par comprendre. Effectivement. [00:29:56] Speaker B: Ben, je trouve ça bien de le faire indépendant. Pis ça sera peut-être pas deux super belles années grandioses. [00:30:01] Speaker A: Non. [00:30:02] Speaker B: Mais au moins, quand je vais me lever le matin, je vais me regarder dans le miroir. Je vais aimer le reflet. [00:30:07] Speaker A: Mouais, mais tu sais, je vois pas qu'est-ce qui aimerait pas de refléter du Parti conservateur. Le Parti conservateur défend, de ce que je connais d'Yuri Chassol, à peu près 90% de ses idées. [00:30:15] Speaker B: Ouais, mais c'est ça que je te dis, c'est parce que... Ah oui, peut-être. [00:30:18] Speaker A: Qu'Il y a quelque chose de personnel, ça je sais pas. Je peux pas aller plus loin. [00:30:22] Speaker B: Ouais, mais c'est ça, ça dépend. Si tu dis, je sais pas, on jase là. Tu rencontres le chef, tu rencontres Éric Duhamel, tu dis ok, c'est quoi tes futurs députés, ou pas députés, mais aspirants. qui va se présenter, pis tu trouves que bof, c'est assez moyen. J'ai aucune idée, c'est juste qu'il y a une multitude de facteurs qui font en sorte que tu t'assistes pas nécessairement à un parti. C'est ça qui est étudié, l'anglais. [00:30:45] Speaker A: Effectivement, il peut y avoir plein plein d'affaires. [00:30:48] Speaker B: Je vois pas trop, tu sais, c'est. [00:30:49] Speaker A: Parce que j'essaie depuis que tu dis ça, de voir qu'est-ce qui pourrait ne pas plaire à Youri Chassain au Parti conservateur, à part quelque chose de personnel. Mettons, quelqu'un dans la haute structure qu'il aime pas, là. Ça se peut aussi, là. Tu sais, quelqu'un avec qui il s'est déjà pogné, il a eu une chicane ou je sais pas, là, tu sais. Ça se peut, là. Mais sinon, idéologiquement, je vois pas pantoute qu'est-ce qui fitte pas entre les deux. D'ailleurs, beaucoup de gens trouvaient ça, trouvaient que Youri Chassain à la CAQ, c'était une anomalie. Ça marchait pas. Tout le monde disait que ce gars-là, c'est un conservateur. C'est pas un caquiste. [00:31:24] Speaker B: Faudrait demander qu'est-ce qu'il fait en sorte. [00:31:25] Speaker A: J'aimerais ça y parler, évidemment. Max va être là-dessus. Tout le monde aimerait ça y parler, bien oui. [00:31:29] Speaker B: Et il y a des raisons, étant donné qu'il a pas fait le mot. [00:31:32] Speaker A: Effectivement. Bon, OK. À part de ça, Yuri, bonne chance. Écoute, bonne chance. [00:31:37] Speaker B: Je te souhaite la meilleure. Vas-tu m'en avoir un troisième? Un troisième... bien. [00:31:44] Speaker A: Moi c'est tout de suite, quand quelqu'un dit troisième, je pense tout de suite à ça. [00:31:46] Speaker B: Non mais, troisième ce mois-ci, à troisième départ? [00:31:50] Speaker A: Ah ben là ça, c'est la roulette cacisse. À qui la suite? Qui le prochain? On sait pas. Tant qu'à être dans les affaires... Ah je vois le temps avancer, j'arrive pas à le temps de parler de ça. Collin, Debin... Ah je peux pas. Regarde l'heure. Regarde l'heure, regarde l'heure, les choses, la vie va vite tabarouette. [00:32:07] Speaker B: Faut-tu qu'on recommence à 11h30, coudon? [00:32:09] Speaker A: On pourrait faire ça. Mais non, je veux pas enlever le temps, Pierre. Mais non! Ok, d'accord. On va y aller d'abord en changement de palier. On va descendre d'une coche vers le municipal. Ah ben, ah ben, ah ben! Quelle surprise on a eue ce matin, hein? Quand le journal de Québec nous a appris que la communauté métropolitaine de Québec Juste avant de poursuivre, il faut quand même que je mette en contexte, la Communauté urbaine de Québec, c'est pas juste un titre comme la région métropolitaine, c'est un organisme qui existe. La Communauté urbaine de Québec, pardon, la CMQ, c'est 28 municipalités, MRC, réunies sous une espèce d'organisme pour gérer des trucs un peu plus régionaux. Donc il y a 28 maires qui siègent sur ce comité-là. Et le président de la CMQ, la Communauté Métropolitaine de Québec. [00:33:05] Speaker B: La big boss. [00:33:06] Speaker A: Ben c'est le boss, c'est le boss de la grosse ville de la place. Donc c'est Bruno Marchand. Et là je recommence ma nouvelle. La Communauté Métropolitaine de Québec, Bruno Marchand. Réfléchi, réfléchi on y revient. à l'idée d'imposer une contribution de 3 cents le litre de carburant. [00:33:29] Speaker B: Oh, c'est trop cute! [00:33:31] Speaker A: Comme à Montréal. La neige est sale à Montréal. Pareil. Seule ville, by the way, qui a une surtaxe de 3 cents. L'autre région qui a une surtaxe de 1 cent. c'est la région de Gaspé-Île-de-la-Madeleine. Hé, il se passe de quoi à Gaspé, hein? Très accroché sur le modèle faite payer le monde, là. Je sais pas si c'est l'habitude avec les pêches ou je sais pas, là. Il y a quelque chose en Gaspésie de... Ils ont la taxe facile, hein? [00:34:05] Speaker B: Ah oui, oui, je sais pas... [00:34:06] Speaker A: C'est taxe d'un bord, taxe de l'autre, taxe les touristes, taxe l'essence, taxe la beauté du paysage, taxe le rocher, taxe, taxe, taxe, là. Bref, la seule autre ville, quand on parle de ville, qui taxe l'essence, c'est Montréal. Et là, il y a une petite chicane de mots. Puisque les contacts, les ressources du journaliste, du journal qui est à Yèbes, moi là, lui disent que c'est une demande qui a été faite. On aurait demandé, la communauté métropolitaine aurait demandé au gouvernement du Québec d'accepter qu'eux imposent une taxe de 3 cents de plus le litre de gaz pour les gens de la grande région de Québec. Et la nouvelle, c'est que le gouvernement, c'est ma première fois, a refusé de taxer encore plus les gens de la région de Québec. Je vous rappelle, tout le monde s'en rappelle, mais juste pour inclure ça dans la discussion, qu'à cette semaine, on vient de nous garrocher trois fois le prix de la taxe sur l'immatriculation, là, qui est maintenant 90 piastres. Donc, dans la même semaine, on a Bruno qui nous garroche une taxe d'immatriculation trois fois supérieure à ce qu'elle était à 90 piastres. Et on apprend qu'il a demandé aussi une surtaxe sur le litre d'essence. Tout ça pour le transport en commun, là. Mais c'est pas pour payer déficit. C'est pour des nouveaux projets. [00:35:33] Speaker B: Pis y'a pas aussi, on en parle pas là, mais Lévis quand on paye, y'a une partie aussi qu'on envoie à. [00:35:39] Speaker A: Québec pour... Ben y'a toujours une partie des taxes qui s'en va au transport en commun. [00:35:43] Speaker B: Ben c'est ça, mais y'a une partie que Lévis prend pas, mais qu'on envoie du côté de Québec. [00:35:48] Speaker A: Je ne sais pas ça. [00:35:49] Speaker B: Oui, je vais te retrouver. [00:35:50] Speaker A: Parce que je sais qu'il y a une taxe sur l'essence pour ça, mais quand on dit 3 cents, c'est 3 cents de plus. [00:35:55] Speaker B: Là, je parlais des... pour financer le transport en commun, les plaques d'immatriculation. [00:36:00] Speaker A: Ok, ça, ça n'a pas rapport. Là, on parle du litre d'essence. Il y a juste une ville qui fait ça, c'est Montréal. Québec, évidemment, un marchand voulait être le deuxième. Après, Valérie, quel grand succès. On voulait se mettre dans la file. Vite, dépêchons-nous, on va être la deuxième grande ville du Québec à taxer l'essence encore plus d'un extense, by the way, sur lequel on paye quoi, à peu près 40% de taxes? [00:36:21] Speaker B: Oui, exact. [00:36:22] Speaker A: OK, c'est pas grave, on en rajouterait une petite couche. Ça serait bon d'arriver, kiff, kiff, half and half. Ce serait bon. Moitié produit, puis moitié taxe. [00:36:32] Speaker B: Pourquoi pas? [00:36:34] Speaker A: Ça prend du courage, by the way, de faire ça. [00:36:36] Speaker B: T'as pas remarqué que quand t'en donnes plus, parce que là c'est factuel, hein? [00:36:40] Speaker A: Les services sont meilleurs. [00:36:41] Speaker B: Ben c'est ça. [00:36:43] Speaker A: L'autobus à matin, ça roule. [00:36:47] Speaker B: Depuis toutes ces années où on en donne plus parce qu'il en manque toujours, on met personne dehors. [00:36:53] Speaker A: Mais ils sont bons, c'est nos meilleurs, on est sur la corde. [00:36:56] Speaker B: Et nos corps peuvent être payés 2, 3, 400 000 $. [00:36:59] Speaker A: Hé, les salaires que Moray a sortis sur les... Hé, ça nous prend un meilleur, sinon le privé va nous les voler. Êtes-vous malade? Pensez-vous qu'une compagnie privée va regarder dans votre staff du monde payé à 325 000 puis à 280 000 avec un déficit de quoi, là? On est rendu à quoi le déficit du RTC, là? [00:37:21] Speaker B: On s'en va pas vers le 180 millions pour 2025 quand on va remettre le rapport. [00:37:26] Speaker A: Plusieurs millions, on va y aller prudemment. On va pas dire des mauvaises infos. Mais c'est payable, OK? C'est pas quelque chose qui fait de l'argent, c'est pas quelque chose qui est bien géré. C'est des déficits après des déficits après des déficits sans arrêt. Même que maintenant, la spin politique, c'est de nous dire que c'est normal. Le transport collectif, c'est normal que ça fasse des déficits. OK, déficit de 100 000 peut-être. Le déficit de millions et de millions empilés l'un après l'autre, qui doit être remboursé à même l'argent des contribuables tout le temps, ça, c'est pas normal. [00:37:56] Speaker B: C'est parce que mon 180, c'est l'entièreté des transports. [00:37:59] Speaker A: C'est cumulatif, c'est ça que j'allais dire. Ça, c'est la dette. [00:38:01] Speaker B: Exactement. C'est 30 millions. [00:38:03] Speaker A: C'est le cumulatif de toutes les agences de transport. Donc, 30 millions. [00:38:07] Speaker B: 30 millions de déficit anticipé de 30 millions intercés en ORT en 2024. [00:38:10] Speaker A: Pensez-vous vraiment qu'une compagnie privée qui va dire « Hey, toi, tu gagnes 2,80, il m'a donné 300, tu gères ça sur la scène. » Arrêtez, là. Arrêtez. C'est des jobs à 120 000, max. Max. T'es gestionnaire d'autobus, là. T'as su, là, 120 000. Sinon, sais-tu quoi? Prends-toi et t'accompagnes pis arranges-toi. C'est... 322 000! C'est un salaire de médecin, je vois le verre. Pour gérer une patente qui paye 30 millions de dollars par année. Bref. là, Bruno se défend. Oh non, non, c'était pas une demande! C'était pas une demande. Bon non, c'était des discussions, là. Oui. Vous aviez l'intention de le demander. Non, non, non. OK, puis pourquoi c'est venu aux ministres? Pourquoi c'est venu au Conseil des ministres? Pourquoi le gouvernement a eu accès à ça? Et que les sources, puis en passant pas juste les sources de Tailleb, j'ai d'autres gens aussi qui me disent que ça a vraiment été une demande qui a été faite officielle. Hey, pensez-vous qu'on pourrait monter le gaz de Trois-Seine? Là, on essaie de se défiler. Le cabinet du maire a envoyé un message. Il y a eu des discussions cet été entre le CMQ et le gouvernement, mais aucune demande officielle. Ben voyons! Vous avez josé de ça de même, là. Hey, 300 de le litre, si t'en penses, toi! Voyons, si t'es rendu à en parler avec l'autorité supérieure, c'est parce que la discussion est plus qu'une discussion. On est rendu dans le... on va aller tester l'eau là. Pensez-vous qu'on pourrait là? On pourrait-tu un petit surtax de 3 cents? Et Dieu merci pour une rare fois, la CAQ a dit non. [00:39:54] Speaker B: Ah ben je pense que la CAQ... [00:39:55] Speaker A: C'est parce que ça lui est repensé. [00:39:57] Speaker B: Sur le dos, là? Non, non, mais c'est parce que la. [00:39:59] Speaker A: CAQ... Parce que Bruno, lui, aussitôt qu'il serait fait avec Rexa, il aurait dit «Ah ben c'est la CAQ qui a. [00:40:03] Speaker B: Accepté à moi...» Non, mais je soupçonne que la CAQ a dit non tout simplement parce que s'il y a ben une place où tu peux pas augmenter des taxes, OK, pis que la population, là, est ben, ben, ben, ben sous une grosse nerve avec la CAQ, c'est ben la région de Québec. [00:40:18] Speaker A: Ben oui. Fait qu'ils ont dit non non. Non mais je te le dis, ça serait, pis on la comprend maintenant la façon de faire de Bruno Marchand, il aurait pitché le singe à la CAQ. Il aurait dit ça. Ah ben là nous, on a mis des pistes de solutions, pis la CAQ a dit que c'était correct 3 scènes. La CAQ a dit non non non, on a joué dans le film, ça va être correct. Non, laisse faire. Donc, il n'y a pas de limite. Il n'y en aura pas de limite. Pour arriver à leur fin, et leur fin étant, je sais pas trop, une genre de bouillie de sauver la banquise avec des déplacements écologiques, durables, il y a une espèce de mantra qui vient avec ça que j'ai pas appris par coeur encore. Il n'y en aura pas de limite. [00:41:03] Speaker B: Je pense qu'on est dû pour quelqu'un d'un peu plate pis que lui, il compte dans son bureau. [00:41:08] Speaker A: Ouais c'est juste ça. Pis qu'il se dit ouais c'est ça, ici il y a quatre fonctionnaires de trop. Dans ce département-là, il y en a dix. Et ça, ces deux dépenses-là, l'année prochaine on n'en aura pas. Pis on va couper ça. Ah pis c'est elle-là, ici, ça. Ah pis les pistes-là, on n'en entretient plus ça l'hiver. Oui, mais ça c'est plate là. OK. Lui, il est pas parti pour la gloire. [00:41:31] Speaker B: Pis c'est la soumission qu'on a eue pour à peu près un million pour gérer des voyages. Ça vous coûte quoi? On a pas les moyens. [00:41:36] Speaker A: On va mettre un fonctionnaire là-dessus. Il va réserver des chambres d'hôtel. Pis les 2000 arbres que vous avez collés à 735$, on les achètera pas. [00:41:46] Speaker B: Non, on va aller les acheter à l'unité. [00:41:49] Speaker A: Je vais les acheter, ils sont à 19$. Je vais les acheter moi-même, je vais les mettre sur ma carte de crédit et je vais mettre ça sur mon compte de dépense. Vous me rembourserez. Puis on va les faire planter par l'école bleue de la ville. C'est correct? Ça prend ça, là. C'est ça que ça prend. Ça prend quelqu'un qui va faire ça. [00:42:04] Speaker B: Ça prend quelqu'un qui veut faire ça parce qu'il a à cœur ses citoyens. [00:42:09] Speaker A: Parce que là, toutes les dépenses... Hé, Renaud, la break, là, c'est un bijou, faut pas le perdre. D'ailleurs, tu lui diras que je suis rendu, que j'ai doué au moins trois, quatre biens. À chaque fois qu'il me sort une nouvelle de même, j'ai doué une grosse bien, OK? Je te le dis, l'été prochain, il se payera pas de biens. Moi, tout est payé. Quoique je connais pas son degré d'alcoolisme. Mais, écoute, à toutes les fois qu'il sort des affaires, c'est de l'argent qu'on. [00:42:32] Speaker B: Peut couper de main. Oui, exact. [00:42:35] Speaker A: Vous l'avez peut-être pas entendu, là. Claquement de doigt. [00:42:38] Speaker B: Wow. [00:42:39] Speaker A: Tu sais, tu fais juste un responsable, pis... Pas un nouveau, là! Engagez pas quelqu'un à 350 000, là! Prends quelqu'un, là, que... Choisis ton employé qui a le plus de logique dans la gang. Fais-y passer toutes, toutes les appels d'offres. Ouais, ça, là, c'est parce que j'ai vérifié, là, ça a pas de bon sens. Ils vendent ça 19 piastres, ces hommes-là. On peut pas payer ça de 735. Merci, Jacques. Ouais, ça on le fera pas. Juste ça, juste les dépenses, les appels d'offres qu'on passe ici à chaque semaine. Et j'ouvre encore une fois la parenthèse, hey les autres médias, je vous ai donné la permission là. Prenez-les, puis nommez-nous pas, parce qu'on le sait que nous nommer ça vous donne la gale là, semble-t-il, je sais pas quoi, une maladie honteuse, comme disait Bruno Marchand. Nommez-nous pas. Je sais que vous nommez toutes les autres citations pour des niaiseries là. On a traité marchand de marchand de taxe tel qu'entendu sur les ondes d'une radio qu'on nomme. Ça, c'est de la nouvelle. Nommez-les toutes. Nous autres, nommez-nous pas. Mais de grâce, passez l'info au monde. Il y a encore du monde qui pense qu'on est des canards boiteux et qu'on est infectieux. Ils nous écoutent pas, mais ça me dérange pas. Ils ont le droit de penser ce qu'ils veulent de nous autres, mais la nouvelle doit être passée. Puis avec les bons chiffres, c'est possible. Parce qu'il y a eu un essai la semaine passée, mais la journaliste n'a pas donné les bons chiffres. Et c'était en fin d'article à la fin comme si c'était un détail. [00:44:07] Speaker B: Puis c'était pour dire que les dos d'âne, c'est une bonne idée. [00:44:09] Speaker A: Je me rappelle de cette époque où les grandes pages, les grandes premières pages, les unes du Journal de Québec, c'était, là je donne un exemple, 735 $ pour une pousse d'arbre. Là c'était écrit gros de même. [00:44:25] Speaker B: Oui, effectivement, c'est vrai. [00:44:26] Speaker A: Hé, c't'un front page, ça! [00:44:29] Speaker B: Mais ça va revenir! Moi, je pense qu'on est sur le bord que ça revienne parce que là, les gens ont de plus en plus faim. Je parlais avec un entrepreneur ce matin, puis ça fait quelquefois que j'en glisse un mot, mais ça, c'est un autre qui me disait, « Hey Pat, au point de vue du Canada, dans les commerces, on parle de baisse dans les ventes de 30 à 40 %, et pour certains, c'est même 50 %. » Et lui, c'est un entrepreneur où il y a plein de sortes de business. Il n'est pas concentré dans une sorte. Exemple, on va dire que j'invente construction et restauration. Il est dans les deux. Il dit, peu importe ma business, Il y a une baisse. Là, je pense que ça va revenir parce qu'eux autres même, dans les médias, on va commencer à avoir faim aussi. Le portefeuille, il finit par baisser pour tout le monde. Quand t'es moins rentable, je pense qu'on va peut-être se resserrer et remettre le focus sur l'économie, j'ose croire. Parce qu'il y a des dépenses farfelues qui nous passent comme ça en dessous du nez. Nous autres, on les déterre. Puis ça reste là comme si ça n'existait pas. Après ça, on dit qu'on a coupé partout. [00:45:40] Speaker A: Non mais lui nous dit ça là. Bruno Marchand nous dit... [00:45:44] Speaker B: C'est pas vrai? [00:45:44] Speaker A: Nous autres à toutes les semaines, on sort des... Pierre a fait la nomenclature un matin là, j'étais impressionné moi-même du travail de Renaud. Des dos down à 8000$, des bornes de recharge électrique à 22000$, alors que ça vaut quoi, 40000$? Les dos down en passant dans des municipalités, on a payé ça 500$. et ça c'est des milliers de dollars. Combien de technologie? Des arbres à 735$ qui valent 19,99$ à la même pépinière. [00:46:12] Speaker B: Oui. [00:46:14] Speaker A: C'est une après l'autre et le gars que j'aimerais bien avoir en entrevue parce que j'ai plein de nouveaux sujets pour discuter avec lui, le gars nous dit sans rire, le ménage est fait. [00:46:30] Speaker B: Non, non, ben t'sais, je veux dire, je vais bien là, mais il y a quand même eu des tasses. [00:46:33] Speaker A: Le ménage est fait. [00:46:34] Speaker B: Des tasses achetées par le RTC, là. On disait qu'on n'avait pas d'argent, qu'on allait avoir une dette, pis on a quand même eu la brillante idée qui a été approuvée. [00:46:41] Speaker A: Ben oui, des tasses. Pis ça, c'est vieux, là. Les courriels, la semaine passée. 70 000$ par année pour des courriels. Pour les chauffeurs de bus qui ont déjà un système intranet pour se communiquer pis pour avoir leurs heures pis leurs affaires, là. [00:46:56] Speaker B: 2000 tasses. 2000 tasses. [00:47:00] Speaker A: Fait que le ménage est fait. Don't think so. I don't think so. Et c'est plate parce qu'il faut vraiment aller en pause, je veux pas me mettre dans le trouble pis rusher tantôt. J'aurais même pas le temps de vous parler d'un terrain que la Ville a acheté 1,5 million de dollars. Et là quand je dis terrain, c'est une bande de terrain sur le bord du chemin de fer. Je sais pas trop qui d'autre aurait pu acheter ça. La Ville a acheté une bande de terrain qui appartenait au CN pour 1,5 million. Le CN a acheté ce terrain-là du fédéral il y a 20 ans pour la coquette somme de 1 dollar. [00:47:36] Speaker B: Ben voyons, mais ça a donc bien pris de la valeur. [00:47:38] Speaker A: Hey, CN! T'as fait une belle passe, là. Tu pourrais effacer ce taux de graffiti sur mon ponceau. [00:47:45] Speaker B: Jésus t'aime. [00:47:46] Speaker A: Jésus t'aime. Jésus revient. [00:47:47] Speaker B: Es-tu prêt? Mais là, je comprends pas, JC. Faut aller en pause. T'as pas besoin. Mais Colin, on dirait que t'exagères. [00:47:55] Speaker A: Non. La Ville de Québec a acheté une bande de terrain. Parce qu'il y a un tuyau dans la bande de terrain. Pis quand ils ont fait la vente il y a 20 ans, Ils n'ont pas le vent à la main pour dire qu'ils auraient besoin d'une servitude. [00:48:08] Speaker B: Pour pouvoir aller faire des réparations. [00:48:09] Speaker A: Pour pouvoir aller réparer le tuyau. Fait que là, le CN dit ben non, tu peux pas passer, c'est chez nous. Oui. Il n'y a aucune servitude dans mon contrat. [00:48:18] Speaker B: Fait qu'il a vendu. [00:48:19] Speaker A: Fait qu'il dit je vais te l'acheter. Parfait, c'est 1,5 million. Puis la ville a payé ça. [00:48:26] Speaker B: Incroyable. [00:48:28] Speaker A: Mais le ménage est fait! Pis là, ben écoute, c'est pas de la faute à Marchand. On parle d'une ancienne... Écoute, en 2003, c'était qui le maire de Québec? C'était-tu la mairesse Boucher? C'était-tu... même pas, je pense que t'as même pas encore rendu ça. C'était-tu Jean-Paul Lely encore? [00:48:43] Speaker B: Ça ferait du sens. [00:48:48] Speaker A: 2003. [00:48:49] Speaker B: J'aimerais ça dire ça rapidement. [00:48:50] Speaker A: Mère de Québec. En tout cas, peu importe. À l'époque, quand ça passait, il n'y a pas un fonctionnaire qui a levé la main. C'est parce qu'ils ont l'état de leur réseau de tuyaux. Normalement, quand tu communiques, on va vendre le terrain, une pièce. [00:49:04] Speaker B: Ok, mairesse de Québec, de novembre 2005 jusqu'à son décès en 2007. C'était avant. [00:49:12] Speaker A: C'est en 2003. C'était Jean-Paul Lalier. Bon, il y a personne qui a levé la main à la municipalité pour dire « Hey, nous autres, on a besoin d'une servitude ici ». Fait qu'on vient de payer le prix, encore une fois, de l'incompétence, si je m'excuse, c'est ça le terme que j'ai dans la tête, de la fonction publique municipale. Qui a pas levé la main, qui a pas mentionné qu'il y avait des tuyaux là, qu'il y avait une canalisation, qu'il y avait besoin de passer. Fait que c'est pas grave, ça a juste coûté 1,5 million aux payeurs de taxes. Midi 49, faudrait bien aller à la pause. 88-670-9098 si vous voulez nous rejoindre par texto, c'est la meilleure façon de le faire. Puis je le dis parce que c'est vrai là, c'est parce que des fois pendant le show, il y a du monde qui m'écrivent des courriels, des messengers, puis je les livre bien trop tard. J'aurais aimé ça les avoir avant. L'idéal, c'est le texto pendant le show quand vous voulez réagir. Je vous le dis, il n'y a pas de meilleure façon. Des fois, il y en a peut-être qui se disent, je vais y écrire personnellement. Mais ça, personnellement, des fois, je prends ça après le souper. Donc, l'idéal 88, c'est 709098. On fait une pause. Et au retour, oh, on a invité une autre belle histoire de la société québécoise. Nouvelle section podcast. Au Radio X.com. Comme... Personne n'en parle. Avec un Dominique Moret. C'est une voix avec un écho. Libérée. Voici Clément Larion. Exprimant sa... J'ai le goût d'entendre un peu de l'écho. Créativité. Mais je suis là pour exprimer mon point de vue. Un délire total. Complètement débile. Avec Dominique Moret et... Le Master of Sound. Continuons! Personne n'en parle. Podcast. [00:50:58] Speaker B: Votez. [00:50:59] Speaker A: Disponible au Radio X.com. Oui, oui, oui, excusez-moi, on était encore en discussion. J'étais pas prêt pour la tête. Mais j'ai soif, par exemple. Et quand j'ai soif, qu'est-ce qui se passe? Ben, je m'en vais chez Accommodations Chaloux. Et de ce temps-là, et pour un temps limité, profitez-en, c'est le temps. Mais là, je le sais, Émilie nous l'a dit, vous étiez nombreux à leur demander comment ça se fait que vous avez de la Sam Adams, mais vous avez pas l'Octoberfest. C'est réglé et c'est maintenant. C'est disponible dans les trois chaloux. La Sam Adams Octoberfest est maintenant au Québec. Mais c'est pour un temps limité, pis c'est pas parce que le deal est limité, c'est parce que cette bière-là, ça sort juste à l'automne, donc c'est le temps. Si vous voulez en avoir, si vous voulez goûter, si vous y avez jamais goûté, c'est le temps. Octoberfest chez Chaloux. Faites ça vite, c'est votre chance de vous la procurer. Autre affaire. Toujours, toujours cette pensée pour les gens qui ont un petit peu plus de difficultés. Je pense qu'on est une gang à lever la main de ce temps-là. C'est plus tough à l'épicerie. Pis des fois, ben on coupe sur le superflu. Évidemment que des fois, la bière, ça peut être considéré comme superflu. Je dis des fois parce que, dans mon cas, faut que ça soit rendu très, très loin. Mais... des petites sélections de bières à 1,99$, ça, ça dépanne, puis ça, ça fait un job, puis ça, ça fait que tu couperas pas ton petit bonheur le samedi soir en regardant ta game de sport que t'as envie de regarder. Et c'est chez Chaloux que ça se passe. C'est la place des deux plus gros réfrigérateurs à Québec. Allez les voir, Accommodations Chaloux. Suivez-les sur Facebook. Sur Facebook, vous avez toutes les promotions pour les trois Chaloux. Et si vous voulez aller sur place, bien, ça se fait très bien. Trois endroits pour vous servir, Chaloux, Saint-Émile, Beauport et le Grand Marché, Accommodations Chaloux. Aujourd'hui, Simone a offert des fleurs à Marie pour sa fête, Paul a nagé sa 150e longueur de l'année, Lisa a terminé son roman au feu de foyer et Françoise s'est délectée à la salle à manger. Et vous, votre retraite? C'est à votre tour d'en profiter. Venez nous rencontrer lors des portes ouvertes des résidences du Groupe Maurice le 15 septembre de 13h à 16h. Pour plus d'informations, visitez legroupemaurice.com. Le Groupe Maurice. Vieillir. Salut, Steph. Chez Lévis-Chrysler, c'est les meilleurs prix de l'année. Te crois pas? Jusqu'à 6 000 $ de rabais sur un Dodge Hornet. Te crois pas? 15 % de rabais sur le RAM 2024. Teddy, te croyais pas? Une Fiat 500e à moins de 32 000 $. Te crois pas encore? OK, mais c'est pourtant vrai. Les meilleurs prix de l'année. C'est chez Lévis-Chrysler. Payot! Huit heures, arriver au travail. Neuf heures, discussion à la machine à café. Dix heures, recevoir un autre courriel blessant de Carole. Quinze heures, recevoir des critiques de Carole devant tout le monde. Dix-sept heures, me sentir encore humilié et revenir à la maison déprimée. Le harcèlement psychologique ne devrait jamais faire partie de votre horaire de travail. [00:53:53] Speaker B: Si vous croyez en subir ou que. [00:53:54] Speaker A: Vous en êtes témoin, il faut en parler. [00:53:56] Speaker B: Employeurs, travailleuses et travailleurs, agissons ensemble pour. [00:53:59] Speaker A: Créer des milieux de travail sains et respectueux. Un message de la CNESST. Mathieu Performance vous invite à sa vente d'entrepôt les 12, 13 et 14 septembre. Rencontrez nos experts et trouvez le vélo de vos rêves pour une fraction du prix. Des rabais jusqu'à 40 %, routes, montagnes, électriques, des centaines de vélos à liquider. Trois jours seulement, 12, 13, 14 septembre, et dans vos deux Mathieu Performance, Québec et Lévis. Pour des rhumes d'aluminium ou de verre trempé élégant, durable et sans entretien, fuyez-vous aux experts de RhumGardex. Invitez les intermédiaires. Faites affaire avec le fabricant. Demandez votre soumission gratuite ou passez voir notre salle de monde de la rue Albert Dion à Lévis. 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[00:57:05] Speaker B: Designer chez New Look. Prenez rendez-vous. [00:57:07] Speaker A: Jusqu'au 10 novembre, des conditions s'appliquent. [00:57:09] Speaker B: J'ai la Sainte-Laurent d'opticienne. [00:57:11] Speaker A: Vous prenez une direction au hasard et roulez vers l'inconnu. Une remorque est attachée à votre Toyota Tundra qui l'attire avec aisance. La suspension effleure les nids de poules parsemées sur la route. Quand soudain, le tonnerre se fait entendre. Oups! Ça, c'est mon estomac. Arrêtez de rêver et prenez le volant de votre nouvelle Toyota. Découvrez le Tundra, présentement en stock chez votre concessionnaire Toyota. Et voyez nos offres sur AchetezmaToyota.ca. Les manchettes sportives, présentées par BPM Sport. BPM Sport. La radio des sports au Québec. Hey, c'est Jordan. Les Capitales de Québec ont été la chercher hier en Pennsylvanie dans cette grande finale de la frontière. Good job! On sentait la hargne et l'envie de gagner de la troupe de Pat Scalabridi. Le pauvre lanceur des Weltings, Daryl Fregio, l'a pas eu facile. Cinq coups sûrs, six points mérités et deux buts sur balle dans un total de 53 lancés. Victoire de 11-6 de Québec. On se donne maintenant rendez-vous au Stade Canac jusqu'à la fin de la série. Prochain stop, vendredi 13. Série égale 1-1. Let's go boys! Et ce soir 20h15, le football du jeudi soir mesdames messieurs. Les Bills seront au Hard Rock Stadium de Miami et affronteront les Dauphins. Mike McDaniel, coach des Dolphins, a confirmé que le porteur de ballon Raheem Monster ne sera pas en uniforme. Lui qui a subi une blessure à la poitrine. On espère revoir une célébration menottée de M. Hill. À suivre. 100.9. [00:58:49] Speaker B: Les manchettes sportives, présentées par Planète Nutrition. Sauve du temps avec nos nombreux choix de repas protéinés. Saumon, bœuf, poulet, économise à l'achat de trois repas ou plus. Planète Nutrition, Le Bourgneuve, Saint-Georges et Sainte-Foy. PlanèteNutrition.ca. Ouellet en direct, présenté par l'Entrepot de l'arénaux. Douche complète à partir de 479 $. 9300 rue John Simon, Québec et 3790 rue Jean H. Kruger, Trois-Rivières. Entrepot de l'arénaux.com. [00:59:16] Speaker A: Ouellet. Radio X. Midi 59, il y en a-tu du monde qui ont des vrais jobs? Tu sais, vrais jobs, là. Vrais jobs de travail. Parce que, tu sais, tu peux avoir une occupation, tu peux avoir une job alimentaire, là, tu sais, à la chaîne, où c'est un peu plate, un peu, tu sais. Mais une vraie job, je te parle d'une job où t'es sur la job 7 sur 7, Ah, tu salires les mains, là! [00:59:53] Speaker B: 24 sur 24. [00:59:54] Speaker A: Tu pars pas vraiment en vacances. Genre, je parle agriculture, mettons. Ou, je sais pas, culture. [01:00:01] Speaker B: Pis tu vis avec les aléas de la nature. [01:00:04] Speaker A: Oui, c'est ça. Moi, on a plongé un petit peu les doigts là-dedans, pis je dois le dire, c'est pas évident. C'est pour ceux qui écoutent, de temps en temps, on s'est planté 130 pommiers, 500-600 cerisiers en arrière. Juste à dire, j'ai mon jardin, là. [01:00:20] Speaker B: Mes cogons me survivent pas. [01:00:21] Speaker A: Ah moi mes cocombes sont pas pires. [01:00:23] Speaker B: Ah moi écoute, ça marche pas partout. [01:00:25] Speaker A: Ben je dis mes cocombes. [01:00:26] Speaker B: J'ai le cocombe qui est pas mal mort là. [01:00:28] Speaker A: C'est plus mon conjoint qui s'en occupe. Mais tu sais, tu vois cet été là, les cerisiers là, oh il a fait chaud en tabarouette. Là y'en a qui ont perdu leurs feuilles. Là moi je sais pas, pourquoi les feuilles, qu'est-ce qu'il y a? Ben c'est pas évident, ben y'a fait trop chaud. [01:00:39] Speaker B: Ah oui! [01:00:40] Speaker A: Pis là y'aurait fallu... Ça se sont déludés. Pis là faut pas... t'sais t'es tout le temps la merci de tout. C'est vraiment de la job, t'sais. C'est pas facile. Donc chapeau à ceux qui le font parce que souvent, c'est ce qui nous nourrit. C'est ça qu'on mange, c'est ça qu'on boit, c'est notre alimentation, c'est notre culture, notre agriculture. C'est pas évident. Mais si en plus tu rajoutes à ça l'État québécois, Ah ben là, tu viens de faire un calcul parfait. Puis on le voit, je sais pas si tu te souviens, là d'ailleurs on en parle plus pantoute, je suis pas certain que c'est réglé, la crise de dépression puis d'agriculteurs qui voulaient abandonner puis qui veulent tout lâcher. [01:01:17] Speaker B: Oui, c'est pas évident. [01:01:19] Speaker A: C'est pas évident. Et là, je vais lui donner le crédit, parce que de toute façon on a été démasqué, mais ma conjointe m'envoie un article. Un article qui vient du journal La Voix de l'Est. Vous comprenez que ce n'est pas dans notre région vraiment. [01:01:33] Speaker B: On est dans le local. [01:01:34] Speaker A: C'est en Estrie. Ça se passe à Actonville. Pourquoi ma conjointe est tombée là-dessus? C'est parce qu'elle est allée à l'école avec le dit propriétaire du gars. Puis l'histoire est très bonne. J'y parle pas parce qu'il est allé à l'école avec ma blonde. J'y parle parce que son histoire est bonne. Il faut raconter ça parce qu'il faut des fois mettre le doigt sur ce qui va pas dans notre système. Et c'est ce qu'on va faire. On va jaser avec Nicolas Baron, qui est copropriétaire du vignoble Le Domaine du Cap. Est-ce que je dois dire ex-copropriétaire, Nicolas? [01:02:07] Speaker C: Ah non, non, non. Propriétaire, toujours propriétaire. Plus que jamais. [01:02:12] Speaker A: Bien, plus que jamais, mais tu nous annonces quand même que t'as décidé que le vin au Québec, c'était fini, là. [01:02:18] Speaker C: Bien, pour nous, au Domaine du Cap, on met fin à la culture du raisin. Culture du raisin qui était pour nous une activité de... Dans le fond, une production qu'on faisait depuis 2018, mais ça demeurait une production, disons, marginale, parce que le Domaine du Cap, c'est avant tout une érablière biologique familiale. Du côté de ma conjointe, ça se rassemble à l'érablière depuis des dizaines d'années. Tout le monde a... a déjà fait des cannes de sirop, tout le monde en a taillé. Tu sais, c'est... Ça coule dans les veines. [01:02:52] Speaker A: C'était le nez. C'est-à-dire, regarde, après, le temps des choux, qu'on va faire du vin. On va essayer ça. Parce que, tu sais, tu dis marginal, mais c'est quand même près de 8000 plants. Tu avais presque 2000 plants de Riesling, 2900 plants de Saint-Pépin, 2800 plants de Pinot Noir, de Marquet... Tu sais, c'est quand même du stock. [01:03:09] Speaker C: Oui, oui. Puis, tu sais, en fait, c'était même pas on va essayer ça. C'était un projet d'affaires. [01:03:14] Speaker A: Ça a été... [01:03:15] Speaker C: Je dis en 2018, on a commencé la culture, mais déjà en 2016, on travaillait sur le projet à savoir se former, s'informer, faire des études sur nos sites. 2017, études podologiques, drainage. [01:03:31] Speaker A: C'est de la job. [01:03:31] Speaker B: Oui, c'est un projet. [01:03:33] Speaker A: Parce que le vin au Québec, il y a 20 ans, on disait même que c'était impossible. C'est très, très marginal. Aujourd'hui, il y en a qui s'essayent. [01:03:40] Speaker C: Oui, c'est ça. J'en profite pour dire qu'il faut goûter aux vins québécois. En plus, aujourd'hui, 12 septembre, c'est la journée où j'achète un vin québécois. Et puis, d'un, il faut goûter les vins québécois parce que si on y a goûté, ça fait très longtemps. Je peux vous dire que ça a changé. Les cépages changent, le climat change, les méthodes changent. Il y a beaucoup de recherches. Il y a beaucoup de gens qui travaillent sur tous les cépages hybrides qui peuvent être cultivés dans notre climat, les méthodes de protection hivernale. Je peux même vous dire qu'il y a d'autres pays sur la planète qui sont des producteurs de vin aguerris, qui regardent par-dessous notre épaule, puis regardent comment on se protège des hivers plus froids. [01:04:20] Speaker A: Tu viens de le dire, déjà, faire du vin dans un endroit où 6 mois par année, il y a 4 pieds de neige, c'est quelque chose en soi. [01:04:27] Speaker C: Oui, absolument. L'hiver est un défi. Défi, bien... En fait, c'est sûr que l'hiver est un défi parce que, tu sais, une vigne, disons, Ça peut tolérer, on va dire un moins 25, certaines vignes plus rustiques, moins 30. Mais tu sais, ça reste qu'il n'y a pas une vigne qui aime le froid en continu. Ça y prend du temps, ça y prend de la chaleur. Il y a des moyens de protection que les Québécois, les vignerons québécois ont développés. Pour vrai, le chapeau aux vignerons québécois, c'est très ingénieux. Nous, on n'a pas inventé grand-chose, là, t'sais. On a appris tout ce genre-là, là, dans un sens, et puis... [01:05:08] Speaker A: Fait que... Fait que j'aurais pas tout inventé. Mais vous avez pas inventé grand-chose, mais puis ça, c'est le fun aussi. Les gens qui sont en culture, vous êtes tous pareils, là. Vous êtes tous le temps en train de minimiser. Bien non, on fait juste notre job, puis bien non, puis c'est pas si pire que ça. Mais c'est de la job, tu viens de nous le dire, t'sais. Écoute, avant de récolter, parce que ce que j'ai compris, c'est que votre première mise en bouteille, c'est en 2021. Vous avez toujours bien passé 4-5 ans à préparer ça avant d'avoir une seule bouteille à vendre, là. [01:05:29] Speaker C: Oui, oui, c'est effectivement le cas. On dit que les trois premières années d'un vignoble, il n'y a pas de production ou à peu près pas. Puis aussi, il n'est pas nécessairement très qualitatif. Il faut donner le temps à la vigne de s'implanter. Après ça, il faut penser que ce qu'on récolte une année, ça va passer pratiquement, peut-être pas un an, mais pratiquement une année en cuve. Dans un monde idéal, quasiment une année en bouteille avant d'être mis sur une tablette. Le monde du vin, je vais vous dire, J'ai appris à travailler ma patience. [01:06:01] Speaker A: Oui, on le sait, je sais que c'est de la job et je sais que c'est pas évident. Mais là, tu me dis si je me trompe, mais ça, t'étais conscient de ce bout-là. Tu sais, t'as déjà... une érablière, tu sais que bon, il faut s'occuper de la terre, puis des arbres, puis il faut travailler fort, puis ça, t'avais déjà conscience de ça. Tu savais que t'aurais des périodes de gel, tu savais qu'il avait falloir travailler des fois, se lever à 4h du matin pour mettre des bâches, puis je voyais que des fois, vous allumez des feux pour réchauffer les plants dans les périodes de gel, puis c'est de la job, là. Mais la lourdeur administrative, est-ce que c'est vraiment ça qui fait en sorte que maintenant, tu dis, moi, j'ai plus de temps à perdre? [01:06:42] Speaker C: Bien, écoute, si j'isolais la lourdeur administrative, je sais... Écoute, je vais te le dire autrement. Chez nous, le gel au printemps a été quand même une surprise. On savait qu'il y aurait ça, mais avec les études qu'on avait faites du site historique autour de chez nous, on arrivait avec l'agronome et d'autres gens, on se disait, bien, peut-être qu'on va être touchés une année sur 10, une année sur 5, mais c'est pas ça, là. Chez nous, il y a... Il y a une espèce d'effet, je vais dire, topographique. [01:07:11] Speaker A: Le micro-climat, quoi. [01:07:13] Speaker C: Oui, qui fait... Tu sais, le froid s'accumule plus vite en soirée que sur d'autres sites. Donc, tu sais, une prévision à 5 degrés, il fait zéro, tu sais, dans une partie du vineyard. Ça a été une surprise qui nous a un peu viré à l'envers. En 2021, on a eu une perte quasi totale de notre école par trois nuits de gel, un gel historique. Ça, ça nous a vraiment... On s'est mis à travailler. La passion a fait qu'on a redoublé d'efforts pour comprendre le mécanisme. un expert du gel en agriculture, Vahid, qui nous a fait comprendre comment ça marche chez nous, le gel. Et puis, on a fait des plans d'action, puis on s'est défendus en 2022, trois nuits. Puis en 2023, on a eu neuf nuits de gel où on a essayé des nouvelles méthodes. On a essayé d'être avant-gardiste, puis d'amener des méthodes où ça prend moins de temps. de ressources humaines et matérielles pour se protéger. On a évalué que ça nous prend 72 heures de ressources humaines pour se protéger une nuit lorsqu'il y a risque de gel. C'est énorme. [01:08:21] Speaker A: Avant, après, préparation, désinstallation? [01:08:24] Speaker C: Exactement. Je ne peux pas dire si je n'avais pas Cet effet-là, chez nous, est-ce que la lourdeur administrative serait venue quand même tuer ma passion? Mais je peux te dire que, quand un moment donné, on s'est mis à se dire, OK, attends un peu, ça coûte trop cher avec ces occurrences-là de gel produit chez nous. Puis t'sais, c'est collé sur notre période des sucres où on n'a même pas le temps de prendre une cinq semaines de vacances avant qu'il faut courir dans le vignoble pour se préparer pour le printemps. Puis en plus, les risques de gel qui nous pendent au bout du nez. On commençait déjà à se poser la question, t'sais, pas peut-être, ben, pas fait une gaffe parce que tu sais, je veux dire, on apprend quand même. Tu sais, si on n'avait pas... Non. [01:09:06] Speaker A: Mais je vois que vous avez été proactif, tu sais, dans le sens où vous aviez... Bon, c'était une surprise, le micro-climat, puis finalement, ça marche pas. Mais vous avez, par passion, j'imagine, vous avez dit non, non, on persévère, on va se trouver des façons, on va aller plus loin. Mais je te mets dans un monde où, je sais pas, moi, t'as pas des rapports à remplir à toi et moi. où on te permet de garder profit de ta bouteille, où on te permet d'ouvrir une terrasse, un petit domaine où les gens peuvent venir boire de l'alcool. Non, mais tu comprends que tu te dis, écoute, il y a des moyens de s'en sortir, tu sais. Mais là, il y a-tu des moyens de s'en sortir? [01:09:39] Speaker C: Écoute, la lourdeur administrative au Québec, de façon générale, je pense que je ne l'invente pas aujourd'hui, puis je ne suis pas le premier qui va en parler, puis ce n'est pas propre qu'au domaine du vin, C'est assez lourd. [01:09:56] Speaker A: C'est un tueur d'initiative. [01:09:59] Speaker C: C'est un tueur d'initiative. Des fois, je me dis qu'il faut vraiment être fou pour vivre de l'entrepreneuriat avec tout ce qu'on peut avoir comme paperasse, obligations, etc. J'ai envie de dire, pour l'agriculteur, t'sais, un des facteurs qui fait que c'est complexe, là, au Québec, là, mettons, on isole l'agriculteur, là. Tout agriculteur confondu. Mais lui, il a affaire au MAPAC, mais il a aussi affaire à l'environnement. [01:10:25] Speaker A: Parce qu'il y a des ruisseaux sur. [01:10:26] Speaker C: Sa terre, pis etc. Pis il y a des règles que l'environnement impose. [01:10:29] Speaker A: Pis il y a l'impôt. Pis toi, tu t'en rajoutes une couche, il y a de l'alcool, là. Toi, t'es blindé. [01:10:35] Speaker C: Là où on en ajoute une couche avec l'alcool, c'est que là, on a la SAQ, la loi de la SAQ, ça c'est plutôt le ministère des finances. Après ça, il y a aussi dans le dossier de l'alcool le ministère de l'économie et de l'innovation, le MEI qui est impliqué. Puis la régie des alcools, elle, c'est plutôt la sécurité publique. Tu viens de mettre quelque part dans la vie du vigneron juste pour le vaincre parce qu'il y a encore le. [01:11:00] Speaker A: Matac en arrière et encore l'environnement. [01:11:04] Speaker C: Tu as cinq ministères qui n'ont pas l'habitude de se parler, qui n'ont pas besoin de se parler et qui voient chacun leur rôle un peu à leur façon au quotidien. qui voient pas quel impact trop-trop ça peut avoir sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... [01:11:22] Speaker A: Sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... sur... [01:11:27] Speaker C: Sur... sur... sur C'est ça, c'est ça. Puis, tu sais, je vais ajouter à ça, ben après ça, tu sais, t'as des réglementations municipales. [01:11:35] Speaker A: Je vais y venir aux municipales. [01:11:38] Speaker C: Non, non, c'est ça. [01:11:39] Speaker A: Parce que je vois aussi là... [01:11:40] Speaker C: C'est des gens qui travaillent en silo, tu sais, c'est ça qui est lourd, c'est que c'est des gens qui travaillent en silo, puis on n'arrive pas à faire avancer les dossiers parce que lorsque peut-être quelqu'un veut faire un petit bout de chemin, il y a quelqu'un d'autre qui va le vendre à la même monnaie que vous. « Non, non, on ne peut pas faire ça parce que nous autres, ça change telle loi. » « Ah oui, OK, bien là, si vous changez ça, nous autres... » « Ah, mais là, lui, ça ne. [01:12:00] Speaker A: Marche plus par exemple, tu sais. » — Oui, oui. Puis là, un te permet, là, tu défais la réglementation de l'autre, puis là, c'est toujours du yo-yo de tous les bords. Et je rappelle, puis c'est mentionné dans le texte que j'ai ici, que, en plus, depuis le 1er décembre de l'an passé, de 2023, chaque bouteille de vin vendue à une épicerie s'accompagne d'une taxe de 40 %. Puis ça, c'est l'autre affaire. Là, vous vous faites dire, en plus, ça coûte bien cher, ton vin Tu sais, c'est... [01:12:24] Speaker C: Déjà, tu sais, j'explique un peu la complexité de notre climat, les saisons plus courtes, l'hiver plus froid. Tu sais, on a un coût de production au Québec qui est plus élevé que probablement à peu près partout sur la planète. Fait que déjà, on part avec cette prise-là, disons. Puis à ça, bien là, tu sais, on a accès au marché des épiceries en vente directe, donc on peut aller voir les épiceries individuellement, puis démarcher un espace à la tablette. Puis bon, ça, c'est magnifique parce que ça a permis à plein de vignerons... [01:12:54] Speaker A: Moi, je dirais, dans un monde normal, ça serait juste normal qu'on puisse vendre du vin d'une épicerie, mais ici, c'est magnifique. [01:13:01] Speaker C: Oui, bien c'est ça. Tout ceux qui se sont développés un beau réseau de vente à travers notre site, c'était aussi notre cas. On avait quelqu'un qui travaillait à distribuer nos vins dans certaines boutiques spécialisées, certaines épicéphènes, etc. Bien là, on se ramasse avec cette taxe-là. Puis évidemment, cette taxe-là, pour la payer, il faut remplir un rapport pour le déclarer. Ça fait qu'un autre rapport... Mais t'sais, l'absurdité de la chose, c'est que le gouvernement travaille depuis quand même plusieurs années à faire des allègements réglementaires ou réduire le fardeau administratif des entreprises. C'est un engagement... Il y a même un comité qui travaille là-dessus, là. Et puis, il y avait le projet de loi 17. Le projet de loi 17 qui faisait des allègements réglementaires dans plein de secteurs d'activité, là. Je pense même la construction, etc. Mais, t'sais, il y en avait pour le secteur des alcools, pas juste le vin. Tous les alcools, distilleries, hydromes, mais whatever, tout. Et puis, ce projet de loi 17, bien, quand il a été finalement adopté, là où on nous avait promis qu'on aurait droit de faire de la livraison par un tiers, parce que là, aujourd'hui, sachez que si moi, Je reçois des clients en agro-tourisme chez nous qui viennent de la région de Lévis, pour prendre un exemple facile, et puis qu'après ça, ils me lâchent un petit coup de fil et disent « Hey, tu m'enverrais-tu six bouteilles? J'ai beaucoup aimé ton blanc. [01:14:25] Speaker A: » – Tu peux pas. [01:14:25] Speaker C: – Ben, je suis désolé, je peux pas. Faut que j'aille vous la livrer en main propre. Alors que la SAQ, elle, elle le fait. Elle vous en envoie par plus vos letters chez vous. Ça, c'est un peu lourd. Mais ce projet de loi-là, du 7, prévoyait des allègements comme ça, comme enlever le fameux timbre qu'il faut qu'on mette sur les bouteilles qu'on vend à des restaurateurs avec un registre du code du timbre. En tout cas, encore une autre patente bien, bien lourde. Et puis, on est sorti finalement de ce rapport-là avec aucun allègement. Aucun allègement et des rapports supplémentaires à faire. [01:14:55] Speaker A: Et de l'argent redonné à l'État. [01:14:57] Speaker C: Et de l'argent, exactement. [01:14:58] Speaker A: En terminant, au moins des fois on se dit notre petit palier de gouvernement de proximité qu'on appelle les municipalités, ben eux autres ils vont être attentifs, t'sais d'un petit village, vous êtes à Actonville, ils vont nous aider, ben pas tant que ça. Donc la municipalité d'Actonville qui a décidé de pas vous laisser aménager une terrasse, ce qui dans mon sens devrait être un automatisme, ça me rappelle l'histoire de Mario Pélechat. Je veux dire, t'as un vignoble, évidemment que tu veux que les gens s'assoient tranquilles au soleil, prendre un petit verre de vino, mais ça n'a pas passé, donc la municipalité ne veut pas que vous vendiez de produits sur place. [01:15:32] Speaker C: Effectivement, je sais que la Ville a fait des changements à ses règlements au cours des 12 derniers mois, mais tu sais, moi, c'est quand même les 36 mois d'avant avec lesquels je parlais avec la Ville pour avoir ce dernier-là. [01:15:44] Speaker A: 36 mois pour avoir une terrasse, man! Excuse-moi. [01:15:46] Speaker C: On a commencé... Bien, tu sais, c'est pas que ça a été 36 mois où je disais je veux ma terrasse, non, je veux ma terrasse, non, je veux ma terrasse, non, mais c'est 36. [01:15:53] Speaker A: Mois où... De travail, là, de... Bien. [01:15:55] Speaker C: Oui, tu sais, on a fait la cuivrie, puis là, on a commencé à faire des dégustations, puis là, on a fait une nouvelle boutique, puis là, bien, Je voudrais éventuellement faire une terrasse. Mais là, ça... Là, hé! Puis là, t'sais, puis là, bon, bien, mamie... Donc, je veux faire ma terrasse, je veux monnayer mes... mes dégustations. Donc, pour ça, je dois obtenir un permis de la Régie des alcools de consommation sur place. Et la Régie le délivre d'office à tous les vignerons qui le veulent. Mais quand la Régie des alcools délivre un permis, avant de délivrer, elle publie... elle fait un avis public pour être certain que personne ne s'oppose, et elle demande à la municipalité si elle accepte que la régie délivre ce permis-là, t'sais, à telle adresse, pour telle entité. Et puis c'est là, moi, que ma ville a dit, bien, demande-les pas ton permis, là, tu l'auras pas, moi. Je te le donnerai pas. On vous le donnera pas. Pis malgré plusieurs discussions, t'sais, on peut pas. [01:16:44] Speaker A: C'est sûr, mais même dans la réflexion, c'est... Moi, je comprends pas. T'sais, t'as une municipalité qui veut pas, alors qu'on parle d'amener à la limite des touristes, des visiteurs étrangers de l'extérieur qui viennent consommer, ça se peut évidemment qu'ils arrêtent au dépanneur à Actonville, qu'ils veuillent faire une petite commission, qu'ils veuillent, t'sais... Moi, j'ai de la misère à comprendre. [01:17:05] Speaker C: Je donne toujours le même exemple quand on me parle de ça, parce que ça fait deux ou trois étés qu'il y a deux couples de la région de la Naudière qui viennent nous rendre visite. Puis, tu sais, l'année passée, elle m'a dit « Il est donc bien cool ton bec-verseur, ta bouteille de vin. » J'ai dit « Aïe, j'ai pris ça chez Dolorama, ici à Acton. » « Hein, bien, c'est mes vivants en m'entournant. » Puis là, qu'est-ce qu'il y a d'autre à faire dans la région? Mon chum Alex au Verger, puis après ça, mon chum Dominique qui fait de l'agneau, si vous aimez l'agneau. Ben, cette année, ils sont revenus, il y avait encore sa carte d'Aimé de l'année passée que je lui ai donnée. Ils ont refait le tour de ses fermes. Puis t'sais, je peux te dire que chez nous, ils ont dépensé ce couple-là, t'sais, quelques centaines de dollars, puis je sais qu'ils l'ont fait ailleurs. L'agrotourisme, là, c'est pas valorisé au Québec, mais partout ailleurs. [01:17:49] Speaker A: Non, pire que ça, il y a de l'embûche tout le temps. [01:17:52] Speaker C: Ben oui, c'est ça. T'sais, moi, je suis quand même fasciné de voir que, t'sais, je vais en Italie, je vais en France, je rentre dans une boutique d'alcool, là, pis ce qui me saute dans la face, là, c'est les produits français, si je suis en France, ou les produits italiens, si. [01:18:03] Speaker A: Je suis en Italie. J'espère. Ben oui. [01:18:04] Speaker C: Cherchez-les, les produits québécois, à la SAQ, t'sais. Moi, on m'a déjà dit, mon vin d'érable, là, j'ai dit, j'ai déjà parlé avec deux personnes à la SAQ, j'aimerais vous le proposer pour le mettre sur vos tablettes. Pis la réponse que j'ai eue, mot pour mot, identique, les deux fois, à peu près à un an d'intervalle, c'est « ça nous intéresse pas ». Ils n'ont pas vu la bouteille. Ils n'ont pas goûté. [01:18:23] Speaker A: Ils n'ont même pas goûté. [01:18:23] Speaker C: Ils connaissent rien d'autre. Vin d'érable, égal, ça n'intéresse pas la SAQ. C'est assez déplorable. [01:18:29] Speaker A: Nicolas, il faut qu'on se laisse, le temps nous pousse vers la sortie, mais écoute, je vais te souhaiter bien du sirop d'érable, puis je vais te souhaiter que tu en vendes plus qu'il en faut. Puis je suis désolé, je n'ai rien à voir là-dedans, mais je suis désolé pour notre façon de faire au Québec. [01:18:45] Speaker C: Écoute, merci pour tes mots, mais tu sais, je tiens à dire que nous autres, on est super zen dans cette décision-là. Tu sais, le parcours d'un entrepreneur, c'est d'essayer, c'est d'avancer, puis un moment donné, c'est de reculer. On est super cool avec ça, on a appris plein de choses, on continue nos boissons d'érable, spiritueux, on fait plein de bouffe, on est là-dedans, au fond, on est là, plus que jamais proche des gens. [01:19:09] Speaker A: C'est quoi le nom de votre érablière? [01:19:11] Speaker C: C'est le Domaine du Cap. [01:19:12] Speaker A: Bon, Domaine du Cap. Moi, je suis un gros fan de sirop, je mets du sirop d'érable dans mon café tous les matins. Si je passe dans votre coin, Érablière du Cap, je vais aller me chercher des cannes. [01:19:21] Speaker C: Bien, vous viendrez nous voir. [01:19:23] Speaker A: Puis, on a plein d'autres choses à te faire goûter. Excellent. Bien, merci beaucoup pour les quelques minutes. Puis, je sais que tu retournes travailler. Donc, bonne journée. [01:19:29] Speaker C: Je m'en vais là. [01:19:30] Speaker A: Salut. Très bien, salut. Salut. Nicolas Barron, donc. Un cas parmi tant d'autres. Ça, c'est juste parce que, comme je vous le disais dans l'intro, ma conjointe est allée au secondaire avec ce gars-là. Mais des cas de même dont on n'entend jamais parler, il y en a combien au Québec? qui abandonnent. Parce que dans l'article, on nous disait aussi que si vous allez voir sur les sites, il y a beaucoup de vignobles à vendre. Beaucoup de monde qui sont rentrés là-dedans, plein de beaux espoirs, qui sont en train de tout déchanter toute la gang. [01:19:57] Speaker B: C'est lourd, avoir des projets. au Québec, puis dans les zones agricoles aussi. Puis après ça, là tu penses que t'as un beau projet, puis que là tu vas rendre ça dynamique dans le coin, puis dans la région, puis les gens vont se déplacer, puis là on dit « ben non, tu peux pas parce que c'est une zone agricole, il faut voir la circulation, est-ce que tu vends un produit du terroir, alors oui, de quelle façon tu vas-tu le vendre à chaque semaine? [01:20:22] Speaker A: » Non, non, plus tu rajoutes des affaires, plus t'as des ministères sur le dos qui te courent après pour avoir l'argent. Exact. [01:20:26] Speaker B: Voilà. [01:20:27] Speaker A: 13H20, il faut faire une pause. Gary s'en vient. Je pense qu'on va avoir du stock. Ouh, on va avoir du stock. Ouellet. En direct. Avec Radio X. La trame sonore de ta fin de semaine. C'est Légende du rock. Légende du rock. Avec Blue. Samedi, dimanche, 9h. [01:20:57] Speaker B: Radio X. Alors, si vous voulez épargner, if you want to save some money, c'est l'entrepôt de la Renault. Je le dis souvent, mais je vais le répéter. C'est 30 à 50 % moins cher. C'est l'automne, vous avez peut-être prévu des petites rénovations. Puis des fois aussi, on arrive et on regarde le plan des Renault. On a eu des soumissions et tout ça, puis on fait comme... C'est décourageant. Mais moi, regarde, tu vois, je vais te mettre un sourire au visage. Tu vas aller au 9300 John Simons, c'est la suite du centre. Là, c'est super facile à trouver. C'est face à l'entrepôt Simons. Pas de tourne, pas de tourne, pas de tourne. Tu vas ouvrir la belle grande porte, toutes choses. Après ça, tu vas découvrir le 23 000 pieds carrés de fun. Après ça, tu vas découvrir aussi ceux qui travaillent. Puis là, tu vas voir un service incroyable. On va regarder ta soumission et on va faire comme « regarde, c'est parce que nous autres, on va te baisser ça. Check ce qu'on peut faire pour toi. » Puis la preuve, je l'ai dit, mais je le répète, c'est 30 à 50 % moins cher. C'est acheté direct sans intermédiaire. Viniclic commercial, c'est 1,79$ le pied carré. C'est dur à battre. Je ne sais pas où. Ça peut être moins cher. Et c'est pas parce que c'est moins cher que c'est cheap. Tout ça, c'est promis, c'est sous le signe de la qualité. Les planchers chauffants, je vous le rappelle, c'est à 40 % de rabais. Je ne sais pas ce que tu attends. Ça inclut le fil, le thermostat, la membrane. C'est 40 % de rabais sur les planchers chauffants. Je pourrais vous donner d'autres prix, mais j'ai envie que tu ailles voir par toi-même. Et ça, ça se passe dans l'entrepôt de la réno, entrepôtdelareno.com, 9300 rue John Simons, du côté de Québec, et désormais, ô que oui, Trois-Rivières, 3790 boulevard Jean H. Kruger. [01:22:32] Speaker A: Le Dodge Hornet RT hybride rechargeable offre l'équivalent de 3,1 litres au 100 kilomètres et une autonomie combinée jusqu'à 573 kilomètres. L'autonomie combinée, ça, ça marche pas avec des enfants. Un enfant de 10 ans et un enfant de 15 ans, ça fait pas un adulte autonome de 25. Mais on travaille là-dessus. Y a-tu quelqu'un qui travaille là-dessus? [01:22:50] Speaker B: Choisissez le véhicule utilitaire compact Dodge Hornet RT hybride électrique rechargeable et vous pourriez obtenir jusqu'à 10 000 $ en remise gouvernementale et jusqu'à 6 000 $ en rabais additionnels. Visitez dodge.ca pour tous les détails. [01:23:02] Speaker A: Savourez nos bouchées de poulet, de vraies bouchées de poitrine de poulet enrabées de notre panure maison. Elles sont généreuses, tendres et savoureuses. Le dîner 8 bouchées de poulet pour seulement 10,95 $. Promo valide jusqu'au 30 septembre. Dixily 1279 boulevard Louis XIV. Le meilleur poulet fait, c'est Dixily. Parcourez l'Europe en croisière à bord du MSC World of Europa du 8 au 19 septembre 2025. Visitez la France, l'Espagne et l'Italie avec excursions disponibles en français. Réservez votre place avec Mel Guilmet, Voyages Aquatérans, Lévis, Québec et bientôt Sainte-Marie de Beauce. Matelas dauphins. Nous sommes l'un des plus grands fabricants de matelas au Québec. Notre force, fabriquer des matelas de qualité exceptionnelle à des prix imbattables. Nous les fabriquons, vendons et garantissons sans intermédiaire depuis 54 ans. 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[01:25:01] Speaker A: Ça, c'est parce qu'avant tout ça, j'ai. [01:25:04] Speaker B: Trouvé le moyen de parler de mes. [01:25:05] Speaker A: Problèmes de dette avec Raymond Chabot. [01:25:07] Speaker B: Si vous avez besoin d'aide pour venir à bout de vos dettes, contactez-nous dès aujourd'hui. [01:25:11] Speaker A: Parce que chez Raymond Chabot, on est. [01:25:13] Speaker B: Là pour vous aider à retrouver vos moyens. [01:25:15] Speaker A: Raymond Chabot. Syndic autorisé en insolvabilité. [01:25:19] Speaker B: De la Coupe du monde de vélo de montagne au Mont-Sainte-Anne, où les meilleurs athlètes de la planète affronteront les parcours mythiques de cross-country et de descente. Nouveau cette année, vous pouvez vivre l'événement en mode VIP. Passez trois jours sur une terrasse couverte échauffée, bar et repas à volonté, stationnement sur le site, le grand luxe. Si vous préférez la frénésie de la foule, réservez votre place au fil d'arrivée dans la zone fameux chalet-village pour la finale de la descente. Les places sont limitées. Achetez vos billets maintenant à coupemtbmsa.com. [01:25:49] Speaker A: L'automne arrive chez la Tulipe et ça vient avec une rafale de nouveautés. Attention, ça part vite. On Running, Doer, Hockey, The North Face, Arcteryx, Patagonia, Chlorophyll et beaucoup, beaucoup d'autres. Tout ça, chez la Tulipe. Les billets unitaires pour les matchs des Lyon-Trois-Rivières sont maintenant disponibles. Ne ratez rien de l'action. Le match d'ouverture du 18 octobre, nos matchs thématiques et nos rivalités. La saison 2024-2025 s'annonce chargée en émotions. Le retour dans la région de Morgan, Adams, Moisan, les frères Cormier qui jouent ensemble pour la première fois chez les pros. Soyez aux premières loges et vivez tous ces moments au Colisée Vidéotron. Les Lyons ont la rage de vaincre et ils sont prêts à rugir. C'est un rendez-vous. Billets à partir de 19 $ au lyontroir.com. Ce moment où tout commence. L'adrénaline de la liberté. Chez Boulevard Toyota. Nous savons que votre véhicule vous porte à travers ses moments inoubliables. Et comme votre voiture est là pour vous, nous sommes là pour vous. Boulevard Toyota, pour tous les moments clés de la vie. Bonjour, c'est Marc-Antoine du restaurant La Scala. Je vous invite à découvrir ou redécouvrir une des meilleures tables italiennes à Québec. Venez écouter notre piano live à tous les soirs. Réservez votre place au restaurant La Scala, au 418-525-4545. Valet sur place. Choua! Choua! Choua! 98! Québec. C'est Radio X. Choua. [01:27:16] Speaker B: Choua. [01:27:17] Speaker A: Radio X. Faites-vous. Faites-vous. Votre propre opinion. Le segment de Gary Epi, présenté par les Ramgardex, pour des rampes d'aluminium ou de verre trempé élégante, durable et sans entretien. Faites affaire directement avec le fabricant. Soumission gratuite. Ramgardex.com. Ouellet. En direct. Oh yeah! Let's go! Journée verte! 13h27... T'es-tu prêt, Gary? D'après moi, oui. Prends ça! Prends! Prends! Gary! Gary! Gary! Y'a du stock sur la table? Ben je pense que oui, j'aurais bien aimé ça, parler de ton disque de dettes magnétiques que t'as amené. C'est 16 ans aujourd'hui pour Médéliva. OK, ben bravo. C'est un album qu'on n'écoute pas assez je pense. Merci Metallica. Dettes magnétiques. Écoutez Dettes magnétiques. Bonne fête Dettes magnétiques. [01:28:26] Speaker B: Un CD, wow. [01:28:28] Speaker A: Parle de ça. Marchand, marchand. Il y a du stock sur la table. François Legault. Moi je parlerais un petit peu de François Legault. Mets-moi en contexte de quoi on parle. Journée des élus municipaux. Tu peux j'en mets la toune de Metallica aussi. Journée des élus municipaux aujourd'hui, Bruno Marchand a pris la parole à RD, au lendemain d'une journée plutôt difficile en fait, l'annonce de la taxation, le triple... Bien, journée difficile qui s'est lui-même créée. Qui s'est lui-même créée en passant, mais tu sais, il y a des journées plus faciles aujourd'hui, il y avait une rencontre avec les gens du Grand Prix de Québec. Si je crève mes propres pneus, je ne vais pas blâmer personne de ma journée difficile. Il n'a pas la même perception que Jean-Christophe aujourd'hui, je pense. Lui, il se dit bouc émissaire. Il dit que la CAQ s'en serre. La preuve, il y aurait même de l'info qui aurait coulé concernant la taxe de 3 sous le litre. Ce qu'on a essayé de faire avec moi hier, me faire porter le poids de taxe dans une journée où on annonçait déjà quelque chose de pas facile, de la part du gouvernement qui a coulé de l'information, c'était pas un cadeau et ça servait pas la cause de personne. Surtout pas des gens qui sont pris dans le trafic, surtout pas de notre économie qui souffre de ce manque de fluidité et de cette congestion. Est-ce qu'il y a eu vraiment des gens de la communauté métropolitaine de Québec qui ont parlé avec le gouvernement de l'hypothèse et la demande de faire une taxe supplémentaire de 300 $ le litre? Question, votre honneur. Ben en fait, ça a été discuté, ça a été annoncé. OK, merci. Ce sera tout. Bonne journée. Hein, je suis un avocat redoutable. Le maire a dit qu'il n'a pas parlé à son nom, mais au nom de toutes les municipalités. [01:29:54] Speaker B: Il l'a avoué. Il vient de dire dans le code que le gouvernement a coulé l'information. [01:29:58] Speaker A: Donc l'information existe. [01:30:00] Speaker B: L'information est vraie. [01:30:01] Speaker A: Donc l'information devait être cachée. Elle était apparue dans l'actualité. Tu sais, la part de hasard dans cette nouvelle-là, Je pense qu'il n'y en a pas. Non, ça je comprends, mais la question a été abordée, donc la question a été discutée, donc il y avait un certain intérêt à rajouter une taxe de 300 $ le litre aux automobilistes de la région de Québec. Vrai ou faux, votre honneur? Ce sera tout, merci! Ça prend du courage, je vous le dis, je vous le répète souvent, ça prend du courage parce que ça n'a pas été bien reçu, notamment Radio X. Hier midi, ça a été relativement bien accueilli, cette taxe triplée. On fait un choix que moi je juge courageux qui est celui de dire on va pas faire le livre politique, on attend la première année d'un mandat pour passer de mauvaise nouvelle comme ça les gens s'en souviennent plus. Il y a des enjeux présentement, les gens sont pris dans le trafic. Alors les politiciens qui disent, puis je voyais Pierre Poliev hier dire... Je voyais des ministres du gouvernement du Québec dire « Oui, c'est cher. » OK, mais c'est quoi votre solution? Moi aussi, je trouve ça une mauvaise journée. Moi non plus, je n'ai pas envie de charger les taxes. Mais savez-vous quoi? S'il n'y a pas de solution, vous leur dites quoi? Tu vas être plié à ne pas avancer entre chez toi et ton travail ou entre chez toi et la garderie ou l'école. Mais sais-tu quoi? Je ne te chargerai rien de plus, mais je ne mettrai pas de nouveaux services. Donc, au final, c'est quoi? Je me fous de toi! [01:31:36] Speaker B: Si t'as pas les moyens d'offrir de nouveaux services... Allô? [01:31:40] Speaker A: T'en offres pas. [01:31:41] Speaker B: Allô la planète Terre? [01:31:42] Speaker A: Ne pas savoir le moyen, ce n'est pas se foutre du monde. [01:31:44] Speaker B: Ton service actuel, il fonctionne pas. Parce qu'à l'interne, on achète des tasses à 34 000$, ça c'est ce qu'on sait. Imaginez tout ce qu'on sait pas. [01:31:51] Speaker A: On peut rajouter des courriels. [01:31:53] Speaker B: 300 000, OK? Et donc, tu te dis toi-même que tu te fais le grand ménage. Ça se peut-tu qu'avant d'offrir de nouveaux services, tu regardes les services que t'as, puis là, tu te dis, ça fait... Hey, c'est fou, là, ce que je vais te dire. Ça fait tellement d'années qu'on charge de plus en plus cher pour le monde, puis, Chris, ça fonctionne pas plus. Fait que c'est peut-être pas la solution de charger plus au monde. Faut peut-être faire le grand ménage. Je sais pas, il me semble que je fais 1 plus 1, égale 2. [01:32:16] Speaker A: Parce que le transport en commun, mettons, aujourd'hui versus il y a 25 ans, est-tu plus ou moins financé, mettons? Il est plus financé. Le service, est-tu meilleur? Il est-tu meilleur? Je pense qu'il est comparable. Est-ce qu'il est vraiment amélioré? Non. Je dirais pas pire, pas mieux. Mais moi, tant qu'à être dans le pas pire, pas mieux... La 7, c'est la 7. Je sais pas combien de plus qu'on donne au transport en commun depuis 20 ans, mais tu sais, à pas pire, pas moins, à un milliard, mettons, de plus, je vais prendre un milliard de moins. Je vais avoir le même genre de service, un peu, de dépannage, là. L'animatrice ARD, Julie Drolet, je pense, est revenue sur le fait que ça m'amate, quand même, dans le dernier sondage, à ce carré, pis pas à peu près, non. On se le dira pas. On se le cachera pas, pardon. Si on se le dit pas, ça va être plan. Non, non, c'est ça. On se le cachera pas. Mais une chose est sûre, c'est que la question se pose. Est-ce que vous aimez encore ça, être maire, M. le maire? [01:33:08] Speaker B: Vous avez un adversaire qui se dessine. [01:33:10] Speaker A: Samaman, qui n'a pas encore plongé réellement, mais dans les sondages, qui a des meilleurs chiffres que vous. Vous avez Pierre Poilievre qui vous traite d'incompétent. Non, non, non, il n'a pas des meilleurs chiffres que moi. Samaman n'a pas des meilleurs chiffres que moi. On est au coude à coude, mais je suis en avant. J'ai bien hâte de faire campagne dans des coudes à coude. Merci de préciser. J'étais sur une mauvaise impression, M. [01:33:29] Speaker B: Marchand. Mais vous avez donc les gros mots de Pierre Poillet, votre société dans la ville de Québec est très divisée, le. [01:33:36] Speaker A: Tramway, les gens chiants, les pistes cyclables, même affaire. Écoutez, en cette journée, cette première journée des élus municipaux, est-ce que vous aimez ça encore, être maire? Oui, j'adore ça. Je ne suis pas en train de dire que c'est facile. Si j'avais voulu une job facile, j'aurais fait d'autres choses. [01:33:53] Speaker B: Ben c'est parce que le coup de sonde là, c'est 39% des voix en faveur de marchands puis 37% pour un candidat fantôme. Il existe même pas. Je dis candidat, il l'est même pas encore pour une personne fantôme qui pourrait peut-être se présenter. [01:34:07] Speaker A: Une rumeur en fait. [01:34:09] Speaker B: Fait qu'imagine, je veux dire, s'il sort pis il dit, moi les taxes là, c'est fini dans Ville et Québec, pis je vais être rigoureux, pis ici, pis je vais faire les choses intelligemment, pis blablabla. [01:34:19] Speaker A: Bon moi je pense que je le croirais pas là. [01:34:21] Speaker B: Ouais mais on a besoin de rêver là un peu. On a besoin de nous offrir. Là on a faim. [01:34:27] Speaker A: Ouais mais y'a du monde qui embarquerait peut-être là. [01:34:29] Speaker B: C'est parce qu'à 39 vs 37. Ouais pis c'est important de dire qui est en avant là. [01:34:34] Speaker A: Je trouve que c'est humiliant. [01:34:35] Speaker B: Non non non c'est pas vrai ce. [01:34:36] Speaker A: Que vous venez de dire là. [01:34:39] Speaker B: C'est humiliant pour Bruno Marchand. Il se bat, il a 39% des intentions de vote actuellement contre un 37 qui n'existe même pas. Tu t'es capoté, là? Je veux dire... Non, il est même pas là. [01:34:52] Speaker A: C'est pas assez confortablement, comme on pourrait dire. Passe ça! Bien, François Legault! Youpi! No borders! No borders! Continuons! No borders! Québec has a responsibility to do more. Mais là, M. Legault, il a une grosse journée, lui. Là, il y a Bruno Marchand qui est fâché, mais il y a aussi des missionnaires. Il y a Yoé Chassin qui, quand même, retient l'attention. Depuis ce matin, on aura compris qu'il y a une personne de moins parmi les élus à la CAQ qui faisait quand même partie du caucus. Aujourd'hui, bien, François Legault traîne sa nouvelle formule journalistique, c'est-à-dire un point de presse par semaine, fait en direct de l'Assemblée nationale, donc avec les collègues de l'Aquarium, comme on pourrait dire. C'est sûr qu'il y a eu beaucoup de réactions suite à ce départ-là. M. Legault a été à livre ouvert, a exprimé les détails de la conversation qu'il a eue hier avec Yuri Chassin, qui est devenu indépendant, on va dire comme ça. C'est long, il y a plusieurs extraits comme ça, mais je commencerai avec celui-là, peut-être qui va, je pense, peut-être pas vous rassurer, mais vous allez peut-être davantage comprendre la dynamique qui habite la relation entre les deux. Il n'y a personne là, ni Yuri, ni moi, qui aimons voir le déficit qu'on a actuellement. Mais d'où vient ce déficit? Deux choses. D'abord, on a baissé les impôts. Puis, je ne regrette pas, je pense que c'était une bonne décision. Puis là-dessus, Yori et moi, on s'entend. Mais l'autre décision importante qu'on a prise, en décembre dernier, dans le temps de Noël, c'est d'augmenter de façon importante les salaires des infirmières, des enseignants, pour couvrir au moins l'inflation. [01:36:37] Speaker B: Là, tout ça va mieux. C'est fou comment une augmentation de salaire, ça règle des problèmes. [01:36:42] Speaker A: Il y a plus que ça, il y a même de l'espoir. Non, mais même si, regarde, puis moi je me positionne un peu là-dedans. Même si moi je me dis écoute, tes employés, paye-les. C'est une des principales fonctions de l'État. Moi, je pense qu'il y en a bien trop. Mais ceux que tu as, on veut pas qu'ils soient payés à 20 000 par année. Tu comprends? Je peux comprendre. Mais c'est parce que là, de réduire le 11 milliards à une baisse d'impôts puis une augmentation des infirmières, c'est un peu laborieux. Et d'après moi, si on ouvre les volets, la vision est plus dramatique que ça. Il y a des dépenses qui se font de tous les bords. [01:37:17] Speaker B: Non, mais il a pris la sacoche. [01:37:18] Speaker A: Il y a de l'embauche en fou de tout. Quoi, 70 000 de plus d'employés. Ouais, 70 000 au bout d'un peu et 5 000. Tu sais, là, de réduire ça à deux sujets, C'est un petit peu enfantin. [01:37:29] Speaker B: Il a pris la sacoche qu'il avait, qui était somme toute popée, pis il l'a complètement vidée. Écoute, c'est bu du vin, là. Écoute, c'est le party qu'il y a eu là-dedans. [01:37:38] Speaker A: À même la sacoche. Mais il y en a qui boivent ça dans la botte de cowboy, d'autres dans la sacoche. La lumière au bout du tunnel. Évidemment, le gars veut pas qu'il y ait des déficits comme ça pendant des décennies. Ce serait insupportable. Non, prochain mandat, il va tout couper. Par contre, c'est vraiment pas couper... En fait, il veut pas couper dans les services. C'est ça l'enjeu. Couper des services aux Québécois, on n'est pas prêts pour ça. Mais il y a un horizon d'espoir. Et cet horizon, c'est cinq jours, cinq mois... Non, non, c'est cinq ans. Moi, c'est clair qu'il n'est pas question qu'on coupe dans les services. Donc, ce qu'on fait, c'est qu'on se donne cinq ans pour revenir graduellement à l'équilibre budgétaire. Donc, on a discuté de ça. Moi, je veux avoir une approche équilibrée, pragmatique, responsable. Il a fait le choix de siéger comme indépendant. Évidemment, moi, je suis déçu de sa décision de siéger comme indépendant parce que j'aime Youri, je le connais depuis longtemps. Donc, je peux juste lui dire bonne chance, Youri. C'est grand-papa, là. [01:38:48] Speaker B: Grand-papa, il se bac. [01:38:50] Speaker A: Moi, je les aime toutes, mes enfants. J'en ai 87. [01:38:55] Speaker B: Tu sais si c'était peurant, il a pas coupé dans les services, il veut pas couper dans les services. [01:39:00] Speaker A: Je couperais pas là. [01:39:00] Speaker B: Mais attention là. [01:39:02] Speaker A: Moi je suis Captain Pragmatis. [01:39:04] Speaker B: Ça, c'est le service de shit qu'on a, c'est parce qu'on a même pas de service. On a l'impression que t'as coupé dedans. Puis là, tu dis fièrement que t'as pas l'intention de couper dans quelque chose qui est noué, on a l'impression que c'est coupé. [01:39:17] Speaker A: Ça existe pas, oui, exactement. [01:39:18] Speaker B: Si tu nous l'enlèves, ça change. Excusez-moi, là, je vais le dire en anglaise, ça change fuck all. [01:39:22] Speaker A: Évidemment, 5 ans, ça inclut un autre mandat de la CAQ. [01:39:27] Speaker B: Garde-toi, mon Frankie, ça change rien, même si tu coupes. On a éloigné le service de merde. [01:39:32] Speaker A: Fait qu'encore une fois, cette fameuse rétournelle où on nous amène dans un autre mandat. Fait que moi je vous promets que d'ici une autre élection, parce que vous allez nous rééler parce qu'on est vraiment bons, ben ça va être réglé là. C'est comme un canadien. Pis là on va nous dire dans l'autre élection, ah mais là ça nous prendrait encore un 5 ans, pis bon. As-tu autre chose mon ami? Oui en terminant j'en aurais des milliers, on pourrait faire ça jusqu'à 3h30, mais je vous ferais un petit mix, j'ai mixé ça à la bonne franquette. Marc Tanguay, Gabriel Nadeau-Dubois, Paul St-Pierre Palamondon, c'est une brochette de réaction. Aujourd'hui, c'est l'économiste député de Saint-Jérôme qui quitte la CAQ et qui réalise que la CAQ n'est pas le parti de l'économie. Ce matin, le premier ministre se retrouve face à ses propres contradictions. Il n'a pas livré ce qu'il avait promis aux Québécois-Québécoises. Il y aura d'autres départs, à mon avis, c'est évident, parce qu'à nouveau, c'est un parti qui dit qu'il va faire quelque chose, puis ensuite, on ne peut pas se fier, ils font exactement l'inverse. Pis moi, je l'aime, Yuri. Bonne chance. Bisous, bisous, Yuri. J'espère que ça va bien aller, là. Merci Gary. C'est à demain qu'on se dit. C'est le grand retour des matchs de football. Le frousse-ball. Tu ne joueras pas au frousse-ball. Et voilà que c'est le retour aussi des tailgate. Et qui dit tailgate, dit tailgate. Radio X, Rouge et Or, c'est un match parfait. Le 22 septembre prochain, dans 10 jours, ben tapant. [01:41:00] Speaker B: Je peux y aller. [01:41:01] Speaker A: Deuxième tailgate. Tu pensais que tu ne pourrais pas y aller. Non, non, je vais y aller. [01:41:04] Speaker B: Le tailgate 22, je regarde dans mon agenda, ça marche. [01:41:07] Speaker A: Écoute, c'est contre le vert et or. Comme disait notre ancien collègue et toujours ami Vince Cochon, les petits renards de Sherbrooke. 40$, c'est le même deal que la dernière fois. 40$ plus taxe, forfait qui inclut, attention, vos billets évidemment, dans la section 215. Consommation offerte par nos amis, nos très chers amis du Corsaire. Une pointe de pizza, toi et c'est Stratos qui vous offre ça. Un hot dog, toujours avec la gang de rêves sportifs. Merci les gars. Un demi-sandwich smoke meat de Brin Smoke Meat, ça vient avec. Un morceau de poulet de PFK Amel Vanier, ça rentre dans le deal. Évidemment, un choix, parce qu'il faut faire passer ça, de dégustation offerte par la distillerie Vis et Vertu ou Lore and Legends qui seront là aussi. Donc vous pouvez acheter vos forfaits pour le Tailgate. La dernière fois, on les a tous vendus, on a même rajouté. Puis on les a tous vendus encore. Ça donne toujours un méga party. Je vais voir, moi je veux y aller. La dernière fois, mon gars jouait en même temps malheureusement. Si je peux y aller, je vais y aller, c'est sûr. Donc tout ça sur boutique.radiox.com. Évidemment, faites vite. Les quantités sont très limitées. [01:42:13] Speaker B: Le monde capote via texto. Y'a Jonathan qui se dit écrit « Ah, je savais pas que ça incluait les billets! [01:42:18] Speaker A: » Ben oui! [01:42:18] Speaker B: Je vais être là, mes grands Chris de chum, m'ont dit que je vous aime. [01:42:22] Speaker A: Ben voilà! [01:42:22] Speaker B: Faites un Jonathan de vous Mike. [01:42:24] Speaker A: Oui, là, 40$ plus taxe, c'est tout ce que je viens de vous dire et les billets. Ton billet est inclus là-dedans. [01:42:28] Speaker B: C'est le delgate, on fait le party, on est là, on se met beau, on voit une tique sur la tête, ça va être malade. [01:42:32] Speaker A: Plaisir, alcool et un peu de gras. [01:42:34] Speaker B: Et voilà! [01:42:35] Speaker A: C'est ça qui arrive. [01:42:35] Speaker B: Pis mes grosses Chris. [01:42:36] Speaker A: Et voilà, on revient. Couture dans le mid. Ça c'est la lubie des changements climatiques. Là, c'est parce qu'il faut décarboner. Il faut décarboner à vitesse grand V. Là, on s'est réveillés du jour au lendemain, on décarbone. Il y a un prix à payer pour ça. Là, on va empauvrir les Québécois pour se décarboner. C'est ça qui est le bottom line. Couture dans le mid. Lundi ou vendredi, 10h. Maison Adam vous attend. On sait que là, on va commencer à rentrer. C'est pas tout le monde qui veut ça, mais c'est la vie. On est au Québec. Le froid s'en vient, on va se retraiter dans nos chaumières. Pis évidemment qu'on va écouter nos petites séries télé, là, Carbo a tous les soirs, il va être branché sur son affaire, là, je sais pas si c'est indéfendable ou je sais pas quoi. Les petites séries, les grandes sorties de films, ça s'en vient aussi. Et le sport! Vous voulez regarder du sport, vous voulez ça sur un écran de qualité. Et c'est chez Maison Adam qu'on va tous s'en aller pour aller chercher, un, les conseils personnalisés, deux, le grand choix de marque. Évidemment, le meilleur prix, c'est garanti. Encore une fois, Josée, vous inonde de rabais et de bons deals. En voici quelques exemples. Vous aimez le son. Homme ça quand ça sonne. La barre de son Dolby Atmos et le caisson de basse sans fil de Yamaha présentement, c'est seulement 599$. J'ai pas vu ça souvent. Le rabais est plus gros que le prix. Donc 599$, un rabais de 700$. Profitez-en, garrochez-vous, c'est le temps. Rabais de 25% aussi quand même sur les caissons de basse défiance de Paradigm. Autre deal, j'ai ça ici, tainte, oui. Oh, ça c'est de la grosse télé, ça. Téléviseur 75 pouces Bravia 3. Qui fait ça? C'est Sony, une valeur sûre. Seulement 1499$, ça c'est 200$ de rabais sur ta 75 pouces. 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[01:45:20] Speaker B: Mais attends Max, mais un doigt à 4 piastres, il est quelle heure là? [01:45:22] Speaker A: 3 heures d'après-midi. L'heure du petit snack? L'heure du petit creux! Combat l'attaque du snack avec les nouveaux petits creux de Subway! Les prix et la participation peuvent varier. Consultez votre appli pour connaître les prix. Hé! [01:45:31] Speaker B: Je viens de trouver 4 piastres sur le trottoir! [01:45:33] Speaker A: Oh ouais! Le maître constructeur Saint-Jacques célèbre ses 35 ans. Et pour fêter ça, on vous invite à vous joindre à nous lors de notre événement Portes ouvertes les 14 et 15 septembre de 10 à 16h à notre usine de Saint-Jacques-de-Leeds. Vous pourrez découvrir nos quatre maisons-modèles, visiter notre usine et profiter de notre plus grosse promo à ce jour. Une occasion qui vaut le détour. Ne manquez pas nos portes ouvertes les 14 et 15 septembre de 10 à 16h à Saint-Jacques-de-Lides. Détails au maîtreconstructeursaintjacques.com ont les événements. 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Mais à chaque semaine, je fais un don de plasma et j'en profite pour prendre une pause. En donnant du plasma, vous aidez des. [01:47:51] Speaker B: Milliers de personnes vivant avec des maladies rares qui ont besoin de médicaments spécialisés. [01:47:56] Speaker A: Faits avec du plasma. Éma-Québec a besoin de vous pour doubler le nombre de dons de plasma. Prenez une pause. Sauvez des vies. Prenez rendez-vous sur le site d'Éma-Québec. C'est l'événement beau temps, mauvais temps chez Subaru. Venez profiter des offres spéciales chez vos concessionnaires Subaru et découvrir la nouvelle Solterra 100% électrique avec traction intégrale symétrique vous permettant de partir à l'aventure en toute sécurité. Subaru, c'est nous. Cet automne, Club Piscine Québec vous en fait voir de toutes les couleurs avec sa plus grande vente. de spa de la saison. Profitez des différentes promotions en cours pour économiser jusqu'à 4100 $ sur les spas jacuzzi et solstice en inventaire. 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Kruger, Trois-Rivières. entrepotdelarenault.com Ouellet. [01:51:05] Speaker A: En direct. Bravo pour ce travail créatif. Avec JC. En direct. Et Patricia. Bravo. Radio X. 13h51. Un moment donné, il y a quelques semaines, j'étais en show à Princeville, puis là, il y a un gars qui se dirige vers moi d'une allure décidée. Ah oui? J'ai dit «Oh, lui, il s'en vient me parler». «Oh, il louche!» C'est un des deux. [01:51:35] Speaker B: Mais s'il s'en vient d'un pas décidé, c'est parce qu'il y a quelque chose à te dire. [01:51:38] Speaker A: Ouais, mais t'sais, ils s'alignaient là. Pis là il dit « Hey man, faut que tu regardes c'est quoi mon événement » pis il m'avait déjà contacté avant d'ailleurs, il m'avait demandé de faire l'animation, mais là je pouvais pas. J'avais déjà quelque chose de cédulé. J'ai dit « On se reprendra parce qu'on va jaser » pis d'ailleurs si vous avez écouté le show cette semaine, on a fait tirer des gagnants pour un souper texan qui se passe au Brasierville. Première édition. J'aime beaucoup le visuel, puis j'aime beaucoup la présentation. Brasierville, les artisans de feu. Une première édition. J'ai avec moi Marc-André Gauthier, qui organise ça, avec Kevin Camiret, qui est là. Bonjour. Salut, salut. Merci de l'invitation. On me dit que Kevin n'a pas le droit de parler. [01:52:21] Speaker B: Non. [01:52:21] Speaker A: Il est en train de filmer, il faut que ça y concentre un peu. Peut-être qu'il ne veut pas parler aussi, je ne sais pas. Bon, on va jouer avec Marc-André d'abord, parce que Marc-André, lui, je le sais, il est capable de parler. Écoute, c'est... Premièrement, on connaît les festivals, là. C'est un festival, OK? Il y a des bands, il y a de la musique, il y a de la match-up qui va être là, Caroté va être là. Torn Acoustic, que je connais bien, mon ami Torn de Victor, qui va être là. Bon, il y a ça, des food trucks. C'est un festival, vous savez c'est quoi, là? C'est ça, mais t'sais, nous autres, on va essayer d'amener quelque chose de plus piquant, t'sais. On voit dans l'évolution du piment fort et de la sauce piquante, l'engouement qu'il y a autour de ça. Moi, ça fait une couple d'années que je fais pousser des piments forts chez nous. Ok, toi, t'es toi-même un artisan du sauce. Oui, j'en mange, mais je fais pas de conco. Comme le championnat qu'il va y avoir qu'on va peut-être parler tantôt, je me rends pas jusqu'à aller crinquer. C'est vrai qu'avant, sauce barbecue, on ajoutait une vienna et c'était réglé. Il y avait deux ou trois sortes. [01:53:16] Speaker B: Ça a tellement évolué. [01:53:17] Speaker A: La craf, tu vois, le point de la craf amène ça. Aujourd'hui, t'as des tablettes, c'est rempli. On a les meilleurs producteurs de sauce. Ils proviennent du Québec. Moi, je fais quand même souvent de la sauce. Chez nous, j'ai une collection d'environ 200 bouteilles de produits québécois. Il y a environ une centaine de compagnies de sauce québécoise. Je vais vous dire, c'est vraiment les meilleures sauces qu'on peut goûter. Justement, il va y en avoir une vingtaine de disponibles. Une vingtaine d'artisans qui vont être sur place. Ça devient quasiment, parce que j'ai de la misère d'écrire, c'est pas un festival, c'est comme une foire aux piments. C'est ça, c'est comme un gros happening. Parce que t'as des kiosques. [01:53:56] Speaker B: C'est un happening. [01:53:57] Speaker A: C'est ça. C'est un gros happening de tout ce qui est piquant, piment fort. Ça commence à 11h. Oui. 21 septembre. 21 septembre. Ça commence à 11h, la première activité, c'est ça, c'est lancé avec le Challenge BBQ épicé. On accueille 12 équipes de la région du Québec, des bonnes équipes. Il y en a des professionnels là-dedans, il y en a des amateurs, mais c'est du monde qui savent cuisiner, je vais vous dire, ils savent griller les viandes. Puis après ça, on continue. Ça, c'est quoi, juste à prendre événement par événement? Challenge, barbecue, épicé. Là, tu me dis que c'est des gens qui viennent cuisiner du piquant. Exactement. Puis c'est quoi, c'est une compétition? Oui, c'est ça. Mais ça, c'est du monde qui vive là, tout l'été, ils font juste des compétitions de barbecue. Il y a un réseau de compétitions de même. Il y a un réseau. Puis là, moi, cette année, c'est des challenges barbecues bien normales, avec des ribs puis des hauts de cuisse. Moi, je suis jaloux d'un événement de même, mais il n'y avait pas de show. C'était juste ça. C'était des dégustations, des affaires. Toi, t'as dit, moi, je rajoute de la musique puis du party là-dedans. Puis on rajoute du piquant. Fait que là, eux autres, ils étaient bien impressionnés de ça. Cette année, il y a eu un engouement aussi quand j'ai annoncé aux équipes qui voulaient s'inscrire que ce serait un nouveau challenge barbecue épicé. Les équipes qui se sont inscrites se sont inscrites pis elles m'ont amené, mais là, j'en aurais bien pris plus d'équipes, mais les pieds carrés dans le parc... Non, non, c'est ça, c'est limité. Fait que t'as ton challenge barbecue pis c'est ça, c'est des équipes professionnelles. Mais là, je vois aussi, quoi, une heure ou deux plus tard, championnat provincial des... championnat provincial, c'est gros, là. Des mangeux de piment fort. Mais ça, c'est une autre affaire qui existe. Oui, mais c'est ça, il y en a une couple au Québec qui font des événements et des concours de mangeurs de piment. Mais moi, j'ai les meilleurs mangeurs de piment au Québec. Ils vont être sur place. J'ai 12 concurrents. [01:55:37] Speaker B: Oui, c'est ça, 12 courageux. [01:55:38] Speaker A: 12 courageux. 10 rounds. Avez-vous déjà vu ça à la télé? Des affaires de challenge de mangeurs de piment. C'est malade, ils ont un gros, gros verre de lait pour calmer la brûlure. Mais là, c'est passé quoi? C'est par ronde? C'est 10 rounds. Pis là, chaque ronde, on augmente l'intensité. [01:55:56] Speaker B: Mais là, on prend ça d'une cuillère? C'est un piment? Un piment. [01:55:59] Speaker A: Un piment frais par ronde. [01:56:03] Speaker B: C'est un piment qu'on se gobe au complet? [01:56:05] Speaker A: Au complet. Jusqu'à la queue, oui. La queue, tu peux la manger, mais je te demande de ne pas se gober la gorge. [01:56:12] Speaker B: Il va te jamber la gorge la soirée! C'est ça, qu'on la met de côté, c'est le piment. Pis ça, c'est quelle grosseur environ? [01:56:19] Speaker A: Ben, t'sais, plus qu'ils sont forts les piments, plus qu'ils sont petits. Ok. C'est pas une bonne nouvelle. C'est rendu que les petits piments, c'est pas nécessairement une bonne nouvelle. Ben, ça passe pas tout le temps comme il faut. [01:56:28] Speaker B: Mais comment ils font pour tuffer? T'en parles-tu avec... Ok. [01:56:31] Speaker A: Moi, je me rends à peu près à 200. T'sais, le habanero, c'est 250 000. [01:56:34] Speaker B: C'est quoi la moyenne du monde pour ceux qui... Des fois, on est perdu dans cette échelle-là. [01:56:37] Speaker A: Parce que moi, j'aime ça piquanter un petit peu, mais pas... t'sais, j'ai une limite. [01:56:40] Speaker B: Moi, j'ai un côté mexicain. [01:56:41] Speaker A: Mettons, un djellapeno. Un djellapeno, c'est de 5 à 15 000. que ça c'est la base, mais ça c'est la base. Si on met des sauces que tout le monde est capable de manger normalement, puis la base des sauces. Après ça, on peut monter à toutes les... À un million, là. À 50 000, on a toutes les agis. [01:56:55] Speaker B: Est-ce qu'on peut rire, là? Ça peut-tu être comme too much? [01:57:02] Speaker A: Ben... Moi j'ai vu quelqu'un, c'était quoi? C'est le Carolina Rapper, là. [01:57:07] Speaker B: Oui. [01:57:08] Speaker A: J'ai eu peur. Moi, j'ai eu peur. Je le regardais aller, je dis là, il est sur le bord de la convulsion. Mais il n'a pas passé un beau moment. Juste le couper en deux, je te le dis, ça sent la capsaïcine, ça fait le chopper en partant. Ça peut être un show. Oui, mais c'est tout un show. [01:57:23] Speaker B: C'est sûr que c'est un show. [01:57:26] Speaker A: Toute la famille est invitée. On attend quand même plusieurs milliers de personnes pour venir les encourager justement. Parce qu'il faut du swag game pour manger des piments jusqu'au diamant. Puis je le sais qu'il y en a une couple là-dedans. qui vont se rendre pas mal dans les dernières années. Ah ouais! Ben y'en a que l'orgueil embarque à partir du 7e là. Ouais mais la foule, t'sais la foule qui a la cagole là. Ben oui! C'est ça là, ça l'embarque pis elle essaie de t'offrir le plus longtemps possible. Meurs! Meurs! [01:57:48] Speaker B: Meurs! [01:57:48] Speaker A: Ah le monde aime ça au moins. Ça va donner tout un show. Pis c'est ça qui est le fun. Vous pouvez y aller, vous n'êtes pas obligés d'en manger des piments là. Vous pouvez juste aller voir les gens souffrir, ça va être super le fun. C'est ça qui est le fun t'sais. Le monde aime bien ça, voir des vidéos de monde qui souffre. [01:58:00] Speaker B: Là t'as soleil. [01:58:02] Speaker A: Ben, c'est vrai. Les drôles de vidéos dans le tête avaient une portion de 5 minutes, c'est juste du monde qui se cassait la gueule. Tout le monde trouvait ça super drôle. Et là, j'ai pas fini, parce que ça aurait pu être juste l'affaire des piments, ça aurait pu être juste un festival avec de la musique. Chaque heure de l'événement est un événement. Exact. Parce que vous avez aussi un gala de lutte de la NSPW. Exact. La gang de Pee-wee qui débarque. On sait qu'on fait affaire avec les meilleurs. Et on me dit même que la championne du monde, il va d'être là. Marco Estrada sera là. Est-ce que vous allez lui mettre un piment dans la bouche de force? On ne sait pas. C'est dépendamment du scénario. [01:58:42] Speaker B: C'est clair qu'il va faire une passe-passe. [01:58:44] Speaker A: C'est clair qu'il va avoir quelque chose d'épicé là-dedans. C'était à Daville, au Ville, le 21 septembre. Pis là, je sais pas si tu le sais, mais y'a des risques qu'il y ait du monde en joie de verre là. Ben, c'est ça qu'on souhaite. Parce que là, ce que je vous ai pas dit encore, c'est que c'est gratis. Ah ben tabarnouche. Y'a pas de la au courant. Ben oui, nous autres on s'est donné à fond pour donner cet événement-là gratuit à toute la population. Le coût de la vie augmente, il augmente, il augmente. Pis à un moment donné, nous autres, on donne, on donne. Fait qu'on a décidé de mettre ce show-là, pis cet événement-là, t'as toute la journée gratuite pour le monde. Hey, t'as des cracheurs de feu, t'as des feux d'artifice en soirée, t'as, j'ai oublié, pis ton collègue vient de me le pointer là, y'a une émission qui se tourne là aussi, c'est quoi l'émission? Ben oui, l'émission, j'aime pas ça. Ça, c'est quoi ça? Ça, c'est un autre show de fou, ça, pareil. C'est ceux qui ont la chance d'aller sur Facebook taper « J'aime pas ça ». Ça, c'est un chef cuisinier, Dan Loblo. C'est un chef cuisinier de Sherbrooke. Lui, il est assez hardcore. Il a déjà eu des bands hardcore dans la vie. Il n'est pas gêné, le gars. Lui, le concept de l'émission, c'est de faire venir un artiste invité qui sera justement Marco Estrada. pis il fait venir un invité pis il essaie d'y faire goûter, pis il essaie de cuisiner qu'un aliment qu'il aime pas. Ok. Mettons moi je dis je n'aime pas le chou de Bruxelles, lui il va m'en faire pis il va dire tu vas aimer ça. C'est en plein ça. Pis il réussit quasiment tout le temps à... En tout cas, toutes les émissions que j'ai vues, il a réussi à faire aimer l'ingrédient. Fait qu'il enregistre ça, mais c'est live, j'imagine qu'ils ont des micros, fait que les gens vont entendre l'enregistrement. Ça va être live, la foule est invitée, on a des gradins pour ceux qui veulent venir à l'enregistrement de l'émission. Pis l'émission, c'est comment qu'elle finit? Non. L'invité choisit un stunt, une cascade, que l'animateur doit effectuer. Mais là, son invité, c'est Marco Estrada. Oui, après toi, ça va brosser pas mal. Ça va être une descente de la troisième corde, direct sur la table. Dans le barbecue, direct. Écoute, bravo pour l'initiative. Je te le disais quand on s'était rencontré à Prince-Ville. Y'a beaucoup de gens qui ont abandonné les événements pis que c'est tough pis on le sait que c'est dur de sortir Le Monde. Le Monde sont sur Netflix pis sont dans leur patente, mais m'a dit de quoi pour le prix là, et je le répète c'est gratis, je pense que les gens vont en avoir pour leur argent. Et pour ceux qui se demandent moi mais là si j'ai faim y'a-tu juste des piments à manger? Non non! Hé! Tony Barbecue va être là! Tony Barbecue va être là, Lucky's Barbecue va être là, queue de castor... Ouais, de tout, mais oui. Puis évidemment, il y aura des breuvages sur place. C'est ça. Hé, Jean-Oublié, tu sais... [02:01:07] Speaker B: Le maître du grill. Le maître du grill. [02:01:08] Speaker A: Le maître du grill aussi. C'est toute son installation de... Atelier de forgeron, j'ai pas vu ça non plus, je vois le verre. Atelier de forgeron avec Maxime Illieno, il est parti justement à Paris dans un congrès de forgeron. Mais tu sais, tout a rapport avec le feu. De A à Z de l'événement, on passe par toute la gamme de feux. Jusqu'au feu d'artifice, jusqu'au piment fort, galas de lutte, les pétanques. [02:01:30] Speaker B: C'est passé, il y a un lien dans ces activités, ce qui a marché. [02:01:33] Speaker A: J'ai fait ça. [02:01:34] Speaker B: Mais l'atelier sur Jérôme... [02:01:35] Speaker A: Je suppose que ça fait 15 ans que tu penses à ça. Ben oui, ça fait 15 ans. Ça fait 15 ans que j'attends de refaire ça. Comme on s'était parlé l'autre fois, ça fait 15 ans que je n'avais pas organisé d'événements. J'ai organisé peut-être une 600 puis 700 dans toute ma carrière. Mais avec les enfants, on s'est installés en campagne. Ils ont vieilli un peu, mais la nostalgie revient. [02:01:54] Speaker B: Quand on a plus de temps, je voulais juste revenir à l'atelier de forgeron. C'est quoi en fait, parce que je comprends bien, apprenez-en plus sur les rudiments de la forge. [02:02:01] Speaker A: Il vient pas comme un atelier, lui il fait des couteaux. [02:02:04] Speaker B: C'est ça là, c'est parce que ça va être sympa. [02:02:07] Speaker A: Il y a-tu un marteau avec l'enclume? Oui, avec l'enclume, il arrive avec son enclume, il va marteler, on va entendre du bruit. J'ai donné des conseils spécialistes. [02:02:14] Speaker B: Tu peux personnaliser ton couteau. [02:02:16] Speaker A: Il n'y aura pas le temps. [02:02:17] Speaker B: Il n'y aura pas le temps. Non, je ne sais pas. [02:02:21] Speaker A: Il volera. Volez-les. Bravo pour l'initiative. Moi, je trouvais ça très original de ne pas juste faire un festival comme tout le monde. Tu as greffé à ça plein de patentes. Et là, je vous le dis tout de suite, d'ici la fin du show, j'aurai encore une fois des billets à vous faire tirer pour le souper texan. Puis ça a l'air d'un souper pas pire. Il y a du stock là-dedans. C'est quoi? Je ne l'ai pas sous la main. Quoi, brisquette? Il y a du poulet. C'est vrai, je l'ai pas envoyé toi. Il va y avoir des biscuits, des hauts de cuisses, il va y avoir du chili, avec tous les accompagnements possibles. C'est comme une petite assiette. C'est pour les bons mangeurs. Merci beaucoup d'être passé. Merci à vous deux. Peux-tu juste remercier quelqu'un de petit, comme enditeur, si vous me le permettez? Ben oui, vas-y. Premièrement, la Ferme Les Gardiens de Saint-Rosaire, Rustic Chic Design de Victoriaville, l'hermite. Micro Brasserie Lhermitte. C'est vrai, tu m'as donné une bière, vous avez votre propre bière. R.H. Shelly de W.U.Ville. Puis la boucherie Big Olé Gai 20 de Victoriaville. Puis n'ayez pas peur d'aller vous abonner à ma page Brasierville, s'il vous plaît. On voulait atteindre le 3000 abonnés. On est rendu à 2800. Ah, on est sur le bord! C'est même pas déjà passé encore l'événement. On donne une go. Merci Marc-André. Merci de l'invitation. Brasierville, 21 septembre, W.U.Ville, c'est gratuit. La dernière journée de l'été à part de ça. Ah oui, bon. Fait que venez fêter ça. J'suis sûr qu'il avait pensé. [02:03:38] Speaker B: Ça sera piquante et caliente! [02:03:39] Speaker A: Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! [02:03:44] Speaker B: Olé! [02:03:46] Speaker A: Olé! Olé! Olé! Olé! [02:03:48] Speaker B: Olé! [02:03:48] Speaker A: Olé! [02:03:48] Speaker C: Olé! [02:03:48] Speaker B: Olé! [02:03:48] Speaker A: Olé! [02:03:49] Speaker B: Olé! [02:03:49] Speaker A: Olé! Olé! Olé! Olé! [02:03:50] Speaker B: Olé! [02:03:50] Speaker A: Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! [02:03:57] Speaker B: Olé! [02:03:57] Speaker A: Olé! Olé! [02:03:57] Speaker B: Olé! [02:03:57] Speaker A: Olé! Olé! Olé! Olé! Olé! [02:04:00] Speaker B: Olé! [02:04:00] Speaker A: Olé! Olé! Olé! [02:04:02] Speaker B: Olé! [02:04:02] Speaker A: Olé! Carbo commente l'actualité et vous donne la parole. Allô, Radio X? Le Carbo Show. Avec Carbo. Et ce sera ainsi, lundi au jeudi, 18h. Radio X. [02:04:15] Speaker B: Avant la fin de l'automne, je veux. [02:04:17] Speaker A: Passer une dernière fin de semaine au. [02:04:18] Speaker B: Camping, racler le terrain, vider la piscine, préparer la headset pour l'hiver, monter l'abri. [02:04:21] Speaker A: Magasiner l'équipement de hockey pour mon gars. [02:04:22] Speaker B: Prendre des cours de conduite pour ma fille, faire un tour au Saguenay, faire le ménage en cabanon, aller au parc... [02:04:25] Speaker A: Vous êtes débordés cet automne. Laissez nos experts s'occuper de votre changement de pneus d'hiver. Planifiez votre rendez-vous en ligne avec les concessionnaires Service Certifié Chevrolet, Buick, GMC, Cadillac avant le 30 septembre et obtenez sans frais 3 mois d'accès au plan véhicule connecté Downstar ou de Sirius XM. Profitez de l'offre en prenant rendez-vous en ligne au monservicecertifié.ca. Combat à l'attaque du snack! Les nouveaux petits creux de surbouis sont arrivés et ils sont juste 4 piastres. [02:04:50] Speaker B: 4 piastres? J'ai peut-être 4 piastres dans mes poches? [02:04:52] Speaker A: Parfait! puis ils sont servis sur des pains de ciabatta de 4 pouces. Y'a sûrement 4 piastres dans le p'tit cochon de mon gars. Ça, ça fait deux p'tits creux, comme jambon moutarde et miel ou BLT. [02:05:00] Speaker B: Mais attends Max, mais un doigt à 4 piastres, il est quelle heure là? [02:05:03] Speaker A: 3 heures d'après-midi. L'heure du p'tit snack? L'heure du p'tit creux. Combats à l'attaque du snack avec les nouveaux p'tits creux de Subway. Les prix et la participation peuvent varier. Consultez votre appli pour connaître les prix. [02:05:12] Speaker B: Hey, je viens de trouver 4 piastres sur le trottoir! Oh ouais! T'en veux une comme neuve? [02:05:14] Speaker A: Commeneuve.com Pis comme c'est une neuve, t'as une garantie. [02:05:19] Speaker B: Le site des véhicules d'occasion de Charlebourg-Toyota. [02:05:22] Speaker A: Salut, moi c'est Martin. J'ai une hernie discale. Ça fait tellement mal que je suis toujours rendu à l'urgence. Je manque le travail, je peux même plus jouer au hockey. Mettons que je trouve le temps long. Martin était bien découragé. Mais l'espoir est revenu depuis qu'il a consulté les professionnels du Centre de correction vertébrale. Grâce à la décompression discale, Martin a repris sa vie là où il l'avait laissée. Croyez-moi, le centre de correction vertébrale, c'est la clé pour votre santé. À Sainte-Foy-Lévis-Pont-Rouge et au centre cvq.com. Votre propriété est en train de tomber, ça coûte cher, vous voulez vendre? C'est pas un problème. Appelez Immeuble-CS dès maintenant. Immeuble-CS.com. La viande pépé-allée, c'est bien plus qu'une boucherie. C'est une équipe de passionnés qui vous conseille et vous offre viande, volaille, poisson et fruits de mer de la meilleure qualité au meilleur prix depuis 50 ans. La viande pépé-allée, une histoire de succès. Viande-allée.com. [02:06:17] Speaker B: On s'est demandé ce qui te convaincrait de venir travailler en concessionnaire automobile. Sûrement qu'on offre des très bonnes conditions, que les horaires sont vraiment flexibles, que l'ambiance de travail est tripante. Tu sais, un milieu, ça accoche. Mais tout le monde doit te dire ça. À la place, on va te dire ce que nous, on cherche. Des gens ambitieux, passionnés et qui ont de la drive. T'as même pas besoin de triper ses chars. Si ça, ça te parle, c'est toi qu'on veut. Rejoins un milieu qui avance et postule sur le site de Ma carrière en concessionnaire. [02:06:46] Speaker A: Mathieu Performance vous invite à sa vente d'entrepôt les 12, 13 et 14 septembre. Rencontrez nos experts et trouvez le vélo de vos rêves pour une fraction du prix. Des rabais jusqu'à 40% ! Routes, montagnes, électriques, des centaines de vélos à liquider. Trois jours seulement, 12, 13, 14 septembre, et dans vos deux Mathieu Performance, Québec et Lévis. [02:07:03] Speaker B: Joignez-vous au parcours Paris. Parkinson Volvo Ville de Québec, une présentation de Dessertcom dimanche le 29 septembre prochain, dès 9h à la base de plein air de Sainte-Foy. Inscription gratuite sur le PCNCA.CA et retrouvez toutes les informations nécessaires. L'équipe de Parkinson Capital National Chaudière-Appalaches vous attend à la base de plein air de Sainte-Foy dimanche le 29 septembre. Bouger, c'est la vie. Donner, c'est l'espoir. Une présentation de Dessertcom. Collaboration choix 98.1. [02:07:33] Speaker A: L'ultime repas est de retour chez Ashton. Pour un temps limité, profitez d'un burger Ashton, une baby poutine et d'une boisson 16 oz. Un régal assuré. L'ultime repas à 13,50 $. Faites vite. Ashton. Frais. Vrai. [02:07:47] Speaker B: Tu veux travailler pour une entreprise en constante expansion? Une entreprise qui t'offre d'excellentes conditions de travail? Appliquez dès maintenant chez Veolia. Stéphanie engage présentement des journalistes en chargement et déchargement de camions chez Veolia. Tu veux une job bien payée? Chez Veolia, on t'offre les assurances collectives, le fonds de retraite et même les vêtements de travail. C'est pas compliqué! Tu écris à Steph dès maintenant chez Veolia. Envoie ton CV à Stéphanie au stéphanie.boucher à commercialveolia.com Stéphanie.boucher à commercialveolia.com Depuis plusieurs. [02:08:18] Speaker A: Années, la lunetterie Beland et Marie-France Pro Opticienne vous offrent toujours le meilleur prix avec forfaits verts et montures. Simple vision à 99$ et progressif à 249$. C'est juste incroyable! La lunetterie Beland, service qualité bas prix. Transformez votre journée en jour de casino. Jouez au Jackpot, jeux de table en direct et plus. Découvrez les machines à sous les plus populaires comme Book of Dead et Immortal Romance ou jouez à la roulette au Blackjack et bien d'autres à Casino Days. Ouvert à tous les joueurs, 18 ans et plus, ce site vous permet de vous amuser gratuitement. Veuillez jouer de manière responsable. C'est la liquidation Nissan chez Montmagny-Nissan. Amusez-vous au volant d'un Kicks Play S 2024 en location 24 mois pour aussi peu que 251 $ par mois avec léger comptant. Détails chez Montmagny-Nissan.com. Capsule recrutement. [02:09:07] Speaker B: Centrale Pneus et Mécaniques Québec recherche des mécaniciens automobiles compagnons et des installateurs de pneus de camions lourds. Tu as au moins 5 ans d'expérience, un permis de conduire et une bonne capacité physique? Joins-toi à nous et obtiens jusqu'à 40 $ de l'heure. Visite le pneucentrale.ca ou écris-nous sur Facebook. Centrale Pneus et Mécaniques. Pneucentrale.ca. [02:09:31] Speaker A: Capsule recrutement. Insatisfait des politiques déficitaires du gouvernement Legault, le député de Saint-Jérôme, Youri Chassin, claque la porte de la CAQ en publiant une lettre dans le journal ce matin pour dénoncer le fait que son parti s'est éloigné des valeurs fondamentales qui sont à la base de la fondation de la coalition Avenir Québec et qu'il siégera dorénavant à titre d'indépendant. Est-ce que Youri Chassin rejoindra les conservateurs d'Éric Duhem comme Claire Samson en 2021? C'est la question que tout le monde se pose. Arrestation d'un homme de 26 ans hier soir en lien avec l'incendie criminel d'un véhicule dans le secteur de Beauport. En début de soirée, plusieurs citoyens ont signalé au 911 qu'un panache de fumée noire en provenance du pit de sable du boulevard Lloyd-Welch était visible. Une fois sur place, les policiers du SPVQ ont procédé à l'arrestation d'un suspect avec l'aide d'un maître-chien. Ce dernier comparaîtra aujourd'hui au Palais de justice de Québec. Choua. 98.1. [02:10:35] Speaker B: À Québec, c'est Radio X. Choua. [02:10:43] Speaker A: Radio X. Faites-vous. Faites-vous. Votre propre opinion. Ouellet. En direct. Ici est Patricia. Radio X. À 14h11, c'est l'heure et c'est le temps de rejoindre notre chroniqueur Jean-François Lisée qui est là. Bonjour Jean-François, comment ça va? Ça va très bien et toi? Très très bien. Les sujets de ce temps-là, on n'en manque pas et ils s'imposent. C'est sûr que si aujourd'hui on ne parle pas de Youri Chassain, je ne sais pas quand est-ce qu'on va reparler de Youri Chassain. J'ai une question à te poser. Youri Chassain, parce qu'on a eu la discussion moi et ma collègue dans l'intro du show. Youri Chassain, courageux ou opportuniste? Non, je pense sincère. Ça prend six ans de se rendre compte que la CAQ ne va pas à la bonne place. Écoute, en politique, l'espoir c'est le carburant principal. Si t'es trop cynique, faut pas y aller. Il y avait l'espoir. Pour moi, c'est clair que Youri Chassain a été victime d'un malentendu sur ce qu'étaient les valeurs centrales de la CAQ. Je veux pas t'interrompre tout le temps, mais... Malentendu ou changement de cap majeur? Parce que Jean-François, je sais pas si tu te souviens, mais la CAQ nous vendait un projet Saint-Laurent, des coupes de fonctionnaires, l'exploitation des gaz naturels, ça a changé beaucoup. Je sais pas si c'est un malentendu ou s'il y a vraiment eu un changement de cap. Je pense que c'est les deux. Mais tu as raison, sur la réduction du nombre de fonctionnaires, parce que personne, enfin personne, je pense que Yuri, que je connais un peu, lui aurait aimé, sur les services publics, santé en particulier, mais éducation aussi, de la privatisation. Et les anciens adéquistes, comme Gérard Deltel, qui a quitté assez tôt, avaient dans leur entente je dirais pas de fusion, mais d'ingestion de l'ADQ par la CAQ, au moins exiger qu'il y ait des projets pilotes de privatisation en santé. Et ils ont eu quelque chose de microscopique, c'est-à-dire deux hôpitaux privés sur lesquels M. Chassin a travaillé. Ils espéraient une réduction de la taille de l'État, ils ont eu une augmentation de la taille de l'État. Ils espéraient effectivement l'exploitation des ressources naturelles fossiles. Ils ont eu une interdiction, une interdiction complète. Alors, il y avait des raisons de se sentir délaissé, et puis c'est une bonne question. Uri aurait pu tirer cette conclusion à l'année 2, à l'année 4, à l'année 5, il l'a fait à l'année 6, mais comme il a dit ce matin, On entend le tic-tac, il voulait dire le tic-toc probablement, mais il reste juste deux ans. Il a vu le premier ministre hier soir et il s'est rendu compte que non, il n'y aurait pas ce qu'il voudrait. Il est aussi bien de sortir. Moi, je vais jouer le cynique dans notre pièce de théâtre. Si Youri Chassain est nommé ministre de l'économie la semaine passée, est-ce qu'il démissionne? Non, mais seulement s'il a le mandat de faire ce qu'il veut. Ouais, aussi il essaye encore six ans d'un coup que... Il y a ça, il y a ça. Effectivement, quand t'es aux affaires, tu dis ben je vais pouvoir influencer au moins à la marge. Ça sera moins pire. Bon, et puis peut-être ça aurait été sa conclusion. Quoi qu'il en soit, moi je salue d'abord le fait qu'ils disent qu'il a été élu sous la bannière de la CAQ en 2022 et qu'il ne va pas changer de bannière pendant le mandat. Ça, je pense que c'est un respect. On n'est pas censé aller à une bannière que les gens ont rejetée lors de la dernière élection. À la question, est-ce que vous pourriez vous présenter pour le parti d'Éric Duhem en 2026? Il dit, bien, ça, c'est loin. C'est la bonne réponse à donner. Et il n'y aurait pas de déshonneur à se présenter pour le Parti conservateur du Québec en 2026. Mais est-ce qu'il y aurait eu un déshonneur, vraiment, à changer de siège et à laisser le Parti conservateur entrer à l'Assemblée nationale? Le Parti conservateur qui a quand même eu quelques votes, on va se le dire, aux dernières élections. Je comprends que notre système est fait comme il est fait et qu'on joue avec les règles, mais dans un système proportionnel, il y aurait quoi, 8-9 députés quand même du Parti conservateur? Certainement. Dans ce cas-là, les gens de Saint-Jérôme n'ont pas choisi ça. Non, mais ils ont choisi un gars qui avait ça en tête. Ce que Youri Chassin nous disait, c'est beaucoup du programme conservateur. Il y avait un candidat du Parti conservateur dans Saint-Jérôme. Je ne sais pas s'il est arrivé troisième, quatrième ou cinquième. Il n'est pas arrivé. Je pense que les gens ont aussi beaucoup voté pour François Legault, pas seulement pour Youri Chassin. C'est vrai. Moi, dans ce cas-là, s'il voulait démissionner et se représenter pour le PCQ dans Saint-Jérôme, là, j'accepterais ça, OK? Là, je serais prêt à faire ça, mais c'est pas ce qu'il va faire. Maintenant, effectivement, moi, ce que je trouve très significatif, c'est qu'il a dit que ses critiques, il les a exposées au caucus de la rentrée de la semaine dernière et qu'il a été applaudi. Et d'ailleurs les députés qu'on a entendus depuis ce matin dans les couloirs ne le dénoncent pas. Ils le comprennent. Même François Legault finit en disant « Je l'aime Montréal ». Même François Legault a fini son discours en disant « Je l'aime, Youri ». Et il a essayé pendant sa conférence de presse, François Legault, de minimiser complètement l'importance des divergences en disant « Oui, tout le monde a hâte qu'on règle avec la FIC puis les médecins ». Non, non, c'est pas de ça qu'il parle. Non, c'était bien plus que ça. C'est pas de ça qu'il parle du tout. Et on a appris quelque chose qu'on ne savait pas, c'est qu'à l'intérieur du caucus, donc Youri Chassain et d'autres réclament un projet de loi sur la transparence des organisations syndicales, c'est-à-dire avoir accès à leur état financier, savoir qui paie quoi à qui, etc. Ce qui était un vieux projet aussi de Stephen Harper qui avait voté, que les libéraux ensuite ont recendé. Mais donc ça, on ne savait pas ça, qu'il y avait une pression pour ça. Et la réponse du premier ministre, c'est « je ne suis pas compte en principe, mais c'est comme une bombe atomique qu'on lancerait sur l'ensemble du mouvement syndical québécois, alors qu'on essaie juste de régler avec un syndicat, qui est la FIQ, donc il dit non. Ben c'est rare, mais je suis d'accord, parce que Jean-François, imagine la bombe atomique à un an des élections. Imagine l'armée anti-CAQ qui va se développer sur le territoire québécois si jamais François Legault va de l'avant avec un truc du genre. Et puis moi, regarde Jean-Luc, j'ai un préjugé favorable envers les syndicats, Mais je suis d'accord avec un projet de loi sur la transparence syndicale. Mais effectivement, tu choisis ton moment, puis t'es mieux de faire ça comme les premiers mois d'un mandat pour que les plaies se cicatrisent avant la prochaine négociation. Je suis pas sûr que ça c'est qu'un, parce qu'on se souvient que Harper avait fait ça. À l'époque, et Trudeau s'était empressé de tout enlever ça parce qu'il avait promis ça. Évidemment, il a eu un appui massif des syndicats, mais c'était même pas, je pense, pas que ça... Je pense qu'Harper avait suivi le livre politique, il avait fait ça quand même en début de mandat, et ça l'a suivi. Je suis même pas sûr qu'en début de mandat, un truc comme ça, ça passe. Je suis même pas certain. Hé, maintenant, je veux t'entendre sur la suite. Là, la CAQ, là, on a Joël. On a Éric, on a Youri, on a M. Fitzgibbon. Il y en a-tu d'autres qui s'en viennent? Bien, je sais qu'il y a des gens qui disent, bien, il y en a deux ou trois qui s'en viennent. Et là, ça dépend de la saison, parce que la date importante, la première date qui s'en vient, c'est les élections municipales l'an prochain. Et combien de personnes au caucus de la CAG vont dire, bon, bien, moi, mon avenir, est plus sûr si je deviens maire ou mairesse que si je reste dans un caucus où il va y avoir beaucoup de pertes au moment de l'élection. Et il y a évidemment l'élection fédérale. Puis là, on peut même se poser la question de Yorick Jacin, est-ce que M. Pognet va être obligé de recruter 60... 16 candidats, je pense que 76 circonscriptions fédérales. Ce ne serait pas un mauvais candidat, Youri Chassain, pour les conservateurs. Alors est-ce qu'il peut se faire tenter, convaincre, on ne le sait pas. Mais c'est le pire calendrier électoral, fédéral et municipal pour la cohésion du caucus de la CAQ. C'est vrai que tout le monde va passer avant. Tout le monde va être passé. Autre sujet, puis là, je regarde le temps. Il nous reste peut-être 3-4 minutes, mais quand même important. Cette semaine, on a appris une autre affaire. C'est que Michael Sebia, le PDG d'Hydro-Québec, avait beaucoup de choses à dire. Je ne sais pas s'il l'aurait dit, si Fitzgibbon avait été assis autour de la table. Puis je le connais pas assez pour dire est-ce qu'il en a profité parce que M. Fitzgibbon est parti. Mais on a quand même appris que Fitzgibbon avait ni plus ni moins pris le contrôle d'Hydro-Québec. C'est pas mal ça qui s'est passé. La CAQ qui a enlevé ce pouvoir-là, Hydro-Québec, pour le ramener du côté politique. Et visiblement, M. Saibia avait des crottes sur le cœur. En fait, pendant que Mme Brochu était là, il y a eu une modification à la loi pour que le gouvernement soit chargé de décider de l'allocation des blocs d'électricité de 50 000 kW et plus. Et ça, on a appris par la suite qu'Hydro était contre, aurait voulu garder ce contrôle-là. Et donc, ça augmentait la capacité du ministre. Là, le projet de loi qui est défendu par la nouvelle ministre Fréchette va dans la même direction, même augmente les pouvoirs du ministre et du gouvernement face à Hydro-Québec. Et là, on a vu M. Sébia, qui est un genre de réincarnation de Sophie Brochu, qui dit, nous, c'est pas ça qu'on veut. On veut que plus de 75% de l'allocation de l'électricité soit à des entreprises existantes, donc qu'elles soient québécoises ou étrangères, mais existantes, pour les aider à décarboner. Et seulement le reste pour de la croissance du nombre d'entreprises. Et avec M. Fitzgibbon, ça n'a pas été le cas. Puis là, on s'est dit, bon, de quel côté va tomber François Legault parce qu'il était présent, lui, quand Fitzgibbon était son ministre. François Legault est tombé du côté de Fitzgibbon. Et là, il nous a donné la recette. La recette, c'est pas de savoir si l'entreprise est existante ou nouvelle. Non, c'est des bons salaires. C'est des bons salaires. Si c'est 50 $ de l'heure, c'est toi qui vas avoir l'électricité. Mais t'en penses quoi? Ton côté nationaliste doit avoir saigné un peu quand même. Ben écoute, il y a deux façons d'être nationaliste. Il y a une façon de dire ben là, c'est les entreprises québécoises d'abord, ou c'est l'augmentation du revenu des salaires des Québécois. Parce qu'à la fin, c'est tous des Québécois qui ont 20 piastres de l'heure ou 50 dollars de l'heure. Je comprends la stratégie de M. Legault, mais je me dis... Je me dis, écoute, nos multinationales à nous, bombardiers, cascades, ça commençait à des PME où les salaires étaient bas, puis ils sont devenus... Parce que, t'sais, moi, mon nationalisme, si on veut, il serait plutôt économique dans ce sens-là. Puis moi, je veux dire, on dira ce qu'on voudra de Radio X, mais on est très, très groundé sur les gens, les entrepreneurs, les travailleurs. Et si le plan, c'était de donner de l'espace aux entrepreneurs, débureaucratiser la patente, redonner un peu d'argent, un peu de l'eau, c'est pour qu'eux-mêmes puissent investir dans leur entreprise et ainsi faire monter le salaire. C'est un peu ce que t'es en train de dire, Cascades. Ça a pas toujours été des salaires à 60$ de l'heure, là. Exact, exact. Alors c'est ça, moi je pense que, et c'est tellement drôle d'entendre le Parti libéral du Québec dire « c'est incroyable comment le gouvernement est à genoux devant les étrangers ». Écoute, je veux dire, les libéraux québécois ont toujours été à genoux devant les étrangers, je veux dire, historiquement et sous courant, etc. Bon, mais quoi qu'il en soit, pour l'image de François Legault, c'est très dommageable, très dommageable. Je pense aussi, mais en même temps, il y a beaucoup de conseillers, François Legault. Il y a quelqu'un qui a dit, vas-y avec cette ligne-là. Pour la CAQ, ça sonnait populaire? C'était quoi l'essai? Là, on est vraiment sur une conviction centrale de François Legault. Il veut que les Québécois soient plus riches. Et pour ça, ça passe par des salaires plus élevés. Donc, toute sa stratégie économique, c'est favoriser les salaires élevés, modifier le tissu industriel du Québec, pour qu'il y ait des salaires plus élevés. C'est difficile à vendre lorsque t'as des entreprises québécoises comme les forges de Sorel qui disent ben nous, on voulait avoir de l'énergie pis c'est une entreprise chinoise qui l'a eue à Sorel, c'est ben difficile à vendre aux Québécois. Moi ça passe pas pantoute, effectivement. Hé Jean-François, merci, toujours un plaisir, je sais que tu viens nous visiter à Québec, là j'ai la bonne date, c'est la semaine prochaine, c'est ça? Oui, alors jeudi le 19 ça va être à la librairie Pantoute et ça va être à 17h et donc Jean-Christophe Ouellet sera présent, mais aussi Régis Labeau. Lisez l'album Ouellet, tous dans la même pièce, incroyable. C'est la succursale de Pantoute sur la rue Saint-Jean. [02:24:32] Speaker B: Ça prend une photo pour immortaliser le moment. [02:24:34] Speaker A: Ah oui, on va prendre une photo certain. Et tu lances ton livre encore par la bouche de mes crayons, c'est ça? Voilà, c'est ça. On va pas faire d'erreur. Et il sera disponible et tes autres livres aussi sont disponibles sur le site laboitalisé.com. Merci Jean-François. Merci, à la semaine prochaine. Salut, bonne semaine. 14h24, on fait une pause à l'instant parce que je veux garder du temps pour Madame Patricia. Avec G.F. Rich-Blay et Camille. Tu le dis au jeudi, 19h. Radio X. Le SpaceCast. Présenté par Gouttière-Moisin et son système de crochet continu garanti à vie. Le Double Pro. Signez avant le 30 septembre et courez la chance de gagner vos gouttières. [02:25:29] Speaker B: Gouttière-Moisin.ca. Je l'ai dans la tête. Et ce que je veux vous mettre dans la tête, c'est peut-être changer d'emploi. Alors si jamais vous voulez travailler pour une entreprise qui est en constante expansion, une entreprise où t'es bien, Il y a des conditions de travail, on prend soin de toi, on est content que tu sois chez nous. C'est chez Veolia que tu vas l'appliquer parce qu'on cherche présentement des journaliers en chargement et déchargement de camions. Si tu es premièrement un débrouillard, si tu as aussi une bonne forme physique, on s'entend que tu vas devoir sortir tes muscles, chez Veolia, ce qu'on t'offre entre autres, c'est des bonnes assurances collectives. Il y a un fonds de retraite pis t'es même habillé au grand complet. Tu te casses pas la tête pour aller travailler. Ce que tu fais, c'est que t'envoies ton CV chez Veolia et tu l'envoies où exactement? Ben tu l'envoies à Stéphanie. Stéphanie.boucher.veolia.com Stéphanie.boucher.veolia.com Procurez-vous votre forfait pour le. [02:26:23] Speaker A: Tailgate Radio X du Rouge et Or Football pour le match du 22 septembre contre le Varéor de Sherbrooke. Pour 40 dollars plus taxe, le forfait comprends billets dans la section 200, consommation offerte par le Corsair, pointe de pizza de Stratos. 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La prochaine fois que vous le recevez, conservez-le précieusement. L'Antidote Plus, un produit de L'Antidote Média. [02:31:11] Speaker B: T'as fait faillite parce que t'arrivais plus? Ouin, c'est vraiment pas évident ça. Pis là ton char est en train de te lâcher pis tu voudrais ben t'en refinancer un autre, mais tu sais pas pantoute comment y arriver parce que tout le monde te dit que quand tu fais faillite, ben tu peux plus emprunter. Pour ta nouvelle auto, adresse-toi à des pros. Parce que nous, notre force, c'est le crédit. Groupe Seille Autocrédit.com. Pis si tu savais tout ce qu'on sait, c'est sûr que tu viendrais nous voir en premier. Groupe Seille Autocrédit.com. et retrouver toutes les informations nécessaires. L'équipe de Parkinson Capital National Chaudière-Appalaches vous attend à la base de plein air de Sainte-Foy, dimanche le 29 septembre. Bouger, c'est la vie. Donner, c'est l'espoir. Une présentation de Desercom. Collaboration choix 98.1. [02:32:08] Speaker A: Bonjour, c'est Marc-Antoine du restaurant La Scala. Je vous invite à découvrir ou redécouvrir une des meilleures tables italiennes à Québec. Venez écouter notre piano live à tous les soirs. Réservez votre place au restaurant La Scala au 418-525-4545, valet sur place. Dans la vie, on ne peut pas faire confiance à certaines choses, comme à un enfant qui apprend à jouer au baseball. Mais chose certaine, on peut faire confiance à Toyota. Quand on cherche un véhicule électrique, c'est rassurant de pouvoir se tourner vers le BZ4X de Toyota. Un VUS 100 % électrique à la conduite exaltante et au design novateur. Jusqu'au 30 septembre, profitez d'un incitatif du manufacturier de 3500 $ sur le BZ4X 2024, en plus des rabais gouvernementaux allant jusqu'à 12 000 $. Réservez un dossier routier dès aujourd'hui sur achetez-ma-toyota.ca ou chez votre concessionnaire Toyota du Québec. [02:32:53] Speaker B: Ouellet en direct, présenté par l'Entrepôt de la Rénault. 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Ça vient d'un économiste qui a fait un lien un peu fucky, bizarre, pour dire que quand il y a moins de chauves-souris, il y a peut-être plus de morts d'enfants, mais ça c'est le dernier paragraphe de l'article. Écoute, J'ai dit bon, on va mettre ça de côté, j'en ai déjà trop parlé, t'sais, j'peux le chuter en poubelle. Merci, bonsoir. L'autre affaire que je voulais te parler... [02:34:11] Speaker A: C'est ça que tu me parles des sujets que t'as décidé de pas faire. [02:34:14] Speaker B: Oui, mais c'est-tu niaiseux, toi? Là, t'apprends. Faut pas attendre d'économistes, là. Peut-être qu'il y a des chauves-souris, moins de chauves-souris, plus de morts d'enfants. Il a pensé à ça, lui, il a fait un lien. Il y a moins de bébés, il doit avoir moins de chauves-souris. Qu'est-ce que tu veux que je te dise? Cela étant dit, en début de semaine, j'avais teasé ce sujet dont on n'a pas eu le temps d'aborder. Et là, j'ai des extraits pour toi. Je te remets en contexte. C'est Carole Morin. Note voyante. Celle qui a refait sa vie il y a de ça quelques années, qui était mariée, qui a décidé de finalement se rendre compte qu'elle n'était pas dans le bon bar. Elle n'était pas à la bonne place avec le bon gars. C'était plutôt une fille qu'elle aimait et appréciait. Bref, elle est voyante. Elle a un don. [02:34:57] Speaker A: Ça, c'est pas évident de se mettre en couple avec une voyante. Avouez-tout. [02:35:02] Speaker B: C'est vrai que ça doit être tiré du jus. [02:35:04] Speaker A: Moi je pense que si ma blonde se proclamait voyante, un moment donné, j'attendrais 10 ans et je lui dirais que ça fait 10 ans que je te trompe et que tu n'as pas vu venir. Puis c'est-tu quoi? La capoterie, je lui dirais que ce n'est même pas vrai. T'as rien vu aller, hein? Allô, la voyante! [02:35:20] Speaker B: In your face, espèce de voyante! Effectivement, les deux ensemble, écoute, c'est sûr que tu marches toujours un peu sous des oeufs, hein? [02:35:27] Speaker A: Ben là, d'un coup qu'elle le sait pour vrai! [02:35:29] Speaker B: Ben oui! [02:35:30] Speaker A: Je suis allé prendre une bière au bar, je suis pas allé au golf. [02:35:33] Speaker B: Oui! Ben c'est ça! [02:35:34] Speaker A: Elle va le savoir, là! [02:35:35] Speaker B: Tout, là! [02:35:37] Speaker A: Si c'est vrai, évidemment. [02:35:39] Speaker B: C'est ça! Des fois, c'est des petites affaires qu'on dit, mais que c'est pas vraiment agréable, mais elle le sait. [02:35:44] Speaker A: Une voyante, elle peut pas mourir d'un accident de char, ça? [02:35:46] Speaker B: Ben là on va s'envoyer le souvenir. Elle l'a vu. Bon. C'est ça maintenant qu'on a éclaircé tout ça. [02:35:51] Speaker A: Ben ouais non mais j'ai des questions existentielles. [02:35:53] Speaker B: C'est que le principe de mon amie Carole c'est que c'est comme si elle faisait un podcast. [02:35:58] Speaker A: C'est que c'est voyant mais elle savait pas qu'elle était pas du bon bord. [02:36:00] Speaker B: Ouais ben. En tout cas. Écoute, un moment donné peut-être qu'elle aussi elle a décidé d'être... Vous êtes tanné. [02:36:04] Speaker A: Avec vos questions précises de même. [02:36:06] Speaker B: En fusion avec ses émotions puis d'arrêter de se cacher peut-être puis d'assumer. Enfin bref, donc c'est comme une espèce de podcast qui n'existe pas. Donc elle se filme, elle en tire des scènes de ça, comme tout le monde fait, tu mets des teasers sur TikTok, Instagram, etc., comme s'il y avait un podcast, mais c'est comme, elle fait une lecture. Tu sais, quand elle parle, elle fait semblant que c'est naturel, mais on voit très bien qu'elle lit un texte. Et elle te raconte un enfant, je suis quasiment choquée. Je te le dis, c'est venu me chercher là. Je me disais, Elle, là, je ne voudrais jamais, mais au grand... Puis premièrement, je suis sûre que l'histoire n'est pas vraie, OK? Mais je ne voudrais jamais, au grand, jamais que ça m'arrive, OK? Et de quoi je parle? Elle raconte tout bonnement, comme ça, qu'elle a vu l'ange de la mort qu'elle mangeait au resto, OK? Elle a vu l'âge de la mort, mais l'âge de la mort, c'était pas pour elle, à sa table à elle, c'était pour une autre table. On est au restaurant, moi et ma blonde, on mange tranquillement. Et soudainement, je vois l'âge de la mort. Le restaurant est bondé de monde. Et là, je regarde ma blonde et je lui dis, je dois aller livrer un message. La personne, je ne la connais pas. [02:37:11] Speaker A: Mais je sais que quand je vois l'ange de la mort, je dois absolument. [02:37:14] Speaker B: Livrer un message parce que la personne s'apprête à décéder. Je me dirige vers la table et la personne visée, c'est un homme. [02:37:19] Speaker A: Et je dis à ces personnes, «Bonjour. [02:37:22] Speaker B: Je m'appelle Carole, je suis medium et. [02:37:24] Speaker A: Je suis ici pour vous livrer un message.» Et là… Tu nous avais déjà un passé des extraits de Carole? Oui, oui. Elle n'a pas changé son petit son. Ça, je me souviens là, le…. [02:37:34] Speaker B: Puis. [02:37:36] Speaker A: C'Est tout le temps bien punchique. Tu sais, mettons, on va dire... [02:37:38] Speaker B: Un peu ténébreux. [02:37:39] Speaker A: C'est ça, on va dire... «Puis là, j'ai parlé avec un mort...» Tu sais, où en tout cas, elle dit le mot. Ah oui, c'est bon. [02:37:45] Speaker B: Écoute, donne-en sa punch. [02:37:46] Speaker A: Elle a le sens du punch. [02:37:47] Speaker B: C'est très ténébreux. [02:37:47] Speaker A: Hé, là, t'imagines! Il a fallu qu'elle ait annoncé au monsieur qu'il va crever. [02:37:51] Speaker B: Attends un peu, c'est pas une famille. [02:38:16] Speaker A: Cette histoire n'existe pas. [02:38:18] Speaker B: Il y a beaucoup d'affaires. [02:38:20] Speaker A: Premièrement, moi je veux voir c'est qui cette madame-là qui l'a remerciée. [02:38:23] Speaker B: Il faut dire merci. [02:38:25] Speaker A: Merci, tu m'as scoopé, j'allais dire qu'elle allait crever. [02:38:28] Speaker B: Sans faire tour de la table. [02:38:29] Speaker A: Tu m'as allégé la tâche, ils seront pas traumatisés par tout. [02:38:32] Speaker B: Non, ben non. [02:38:32] Speaker A: Toi ton père, comment... C'est juste une dame qu'on connaissait pas qui est venue nous dire papa va mourir, pis c'était vrai. Il est mort. [02:38:43] Speaker B: Écoute, quand t'es sur le bord de mourir, d'après moi, physiquement parlant... T'es pas au restaurant? Ça paraît un peu... D'après moi, j'étais pas l'énergie. [02:38:53] Speaker A: Elle a dit dans les heures qui suivent. Je pense pas que papa sera en game du Canadien ce soir. [02:38:59] Speaker B: Là on se demande si ça s'est bien passé. Oui, ça s'est vraiment bien passé. [02:39:04] Speaker A: Ça s'est bien terminé. [02:39:05] Speaker B: Les gens ont apprécié et ont pu. [02:39:07] Speaker A: Savourer les quelques heures restant avec leur père. Finalement, quelques jours après, la femme me. [02:39:12] Speaker B: Rappelle pour me dire qu'effectivement son mari était décédé. [02:39:18] Speaker A: Ils ont pu en profiter, Pat. Ils ont mangé une petite dessert ensemble. [02:39:22] Speaker B: Mais je peux pas croire qu'on peut... [02:39:23] Speaker A: Moi c'est sûr, je dis, Carole, viens. [02:39:24] Speaker B: T'Asseoir avec nous autres. [02:39:25] Speaker A: Ben oui. [02:39:26] Speaker B: Hey, une chance t'es là parce que j'avais pas le courage, j'étais pas capable de le dire. J'avais la boule d'émotion dans le gorge. Hey, moi je me suis dit là... [02:39:32] Speaker A: Mais Pat, ça là, on s'entend-tu que tu peux passer ta vie à inventer des histoires de même? Ben... Parce que la personne dont tu parles que tu nommes pas, qu'on a pas de photo ou quoi, c'est pas... Elle peut être inventée, là. Ben oui, elle peut être inventée. Y'a personne qui va se plaindre, là. Tout le monde va dire «Ah, c'est pas arrivé à moi, mais c'est arrivé à une personne. Je l'ai entendu, Carole l'a contée.» Mais non, mais... [02:39:55] Speaker B: Mais je me suis dit aussi, on va dire qu'on prend le scénario là. [02:39:59] Speaker A: Les auditeurs disent on est au top du top là. Ça c'est la meilleure. [02:40:02] Speaker B: Mais là tout le monde capote là. Mais c'est bien drôle de vous lire sur via texto. Mais tu sais, ce que je me dis là, admettons qu'on comprend bien que c'est une histoire là pour faire jaser, ok? Mais on va prendre le principe que c'est vrai, ok? Que supposément qu'une personne voit l'ange de la mort, ok? [02:40:19] Speaker A: Est-ce qu'elle fait des rôtes aussi? J'avais parlé avec une Carole, c'était une roteuse. [02:40:27] Speaker B: Pis là, t'es assis, pis tu manges, ok? Pis là, y'a quelqu'un qui vient te voir pour te dire que j'ai un don. [02:40:34] Speaker A: Oh, excuse-moi, y'a un esprit qui a pris possession de... Ben voyons! [02:40:39] Speaker B: C'est bien dégueulasse! Ben voyons, je m'excuse là. [02:40:41] Speaker A: Non mais c'est parce qu'il fallait que je t'annonce quelque chose, Pat. [02:40:44] Speaker B: Non mais j'ai pas demandé d'avoir un message! [02:40:46] Speaker A: Non mais Pat, c'est pas moi qui choisis. [02:40:48] Speaker B: C'est l'esprit du rôle. Regarde, regarde, tu sais, toi et Jean-Claude, j'ai le goût de te trangler. [02:40:52] Speaker A: Il fallait que je t'annonce que c'est terminé pour toi. [02:40:54] Speaker B: Non, non, mais c'est ça. Exactement, c'est ça que je veux pas. C'est exactement là où je voulais pas aller. Tu comprends-tu? C'est exactement ça que je voulais pas vivre. OK? Ça a pas de bon sens d'arriver à une table et d'annoncer à quelqu'un... [02:41:05] Speaker A: C'est pas vrai! [02:41:07] Speaker B: De dire, ben je sais pas ce qui s'est passé, mais je me disais, ça va. Mais déconter ça, tout bonnement, en disant, la famille l'a remercié. [02:41:16] Speaker A: Ben oui, on disait merci madame qu'on connait pas. C'est quoi votre nom? [02:41:19] Speaker B: Y'a pas personne qui pleurait. Ils avaient le sourire au visage. [02:41:22] Speaker A: Ben enfin! [02:41:23] Speaker B: Papa! [02:41:23] Speaker A: Tu t'en vas après midi! [02:41:24] Speaker B: Faut que tu racontes une histoire qui se tienne! T'sais! Hé moi j'étais là! Hé mais moi je te le dis, j'écoutais ça, j'étais tellement choquée! Voyons donc voir que la réaction du monde! C'est de faire... Hé! Merci, j'étais pas capable de le dire! Hé on t'éteint ta barnane! Qu'est-ce que c'est? Tu t'es peur, hein? Ce que tu racontes là! Ça va! [02:41:41] Speaker A: Hé un auditeur raconte quelque chose! [02:41:43] Speaker B: Ça va que tu t'en assiedes par la tête! [02:41:46] Speaker A: Ben non, c'est sûr. C'est parce que moi là tu parles pis je suis comme ben oui mais c'est pas arrivé ça. Elle s'est pas levée au restaurant en deux bouchées de Général Tao pour aller caler ça une famille, ça se peut pas. Moi j'ai déjà fait comme un auditeur. Moi j'ai encore une ligne fixe chez nous, ok? Il y a des voyants qui appellent tout le temps. Parce que là, les numéros ont fuité. Les lignes d'yeux, c'est une pandémie de gens qui appellent soit ça ou soit des prêts personnels. « Bonjour monsieur, on est le FBI. » Des affaires de même. Puis il y a une madame qui dit « Je suis du centre de clairvoyance. » J'ai dit « Ah oui, puis t'avais pas vu ça à l'ex, ça m'intéressait pas pantoute. » Elle parlait j'ai raccroché. Dites ça, c'est drôle. On se fait rire nous-mêmes. [02:42:36] Speaker B: Ben non, mais je peux pas croire que t'as fait un rote. [02:42:39] Speaker A: Ben oui, mais je l'ai pas dit. C'était Pauline, effectivement. C'était Pauline la roteuse, c'était pas Karen. [02:42:44] Speaker B: Ah, c'était Pauline la roteuse? [02:42:45] Speaker A: Ben oui, Pauline la roteuse. Elle m'a transféré son don. Moi, les esprits rotent. [02:42:50] Speaker B: Oui, pis c'était quoi le message? [02:42:51] Speaker A: Ben, ça achève par... Ah oui, c'est. [02:42:52] Speaker B: Ça, c'était la fin. It smells like the end. C'était incroyable. Sérieux là, y'a-tu de quoi de plus dégueulasse qu'un rôte? Y'a plein d'affaires plus dégueulasses, je comprends bien là. [02:43:05] Speaker A: Ben, un pet-sauce je dirais, vide de même. [02:43:08] Speaker B: Y'a plein d'affaires plus dégueulasses. Je comprends bien, comme un hot chicken avec des petits poivrons. Bon, mais ok. Mais, ça m'est rentré, moi j'ai des écouteurs, vous autres la gang, les auditeurs, vous écoutez pas nécessairement la radio avec des écouteurs sur la tête. Moi ça m'est rentré directement dans l'oreille. [02:43:24] Speaker A: Je pensais pas que t'étais aussi sensible à ça. Je le ferais plus. [02:43:30] Speaker B: Dans la vie, j'ai beaucoup de fun. Mais un rot, je sais pas pourquoi, on dirait que ça me fait pogner les neiges. [02:43:36] Speaker A: Ben là, fâche-toi pas, là. C'était une blague. [02:43:39] Speaker B: Moi, je voulais rire. [02:43:40] Speaker A: J'avais un message à interne à livrer. [02:43:42] Speaker B: Je voulais avoir du fun, là. [02:43:44] Speaker A: Et toi, t'aurais pas pensé au travail, Pauline? [02:43:46] Speaker B: Serieux, c'est ça? [02:43:47] Speaker A: Moi, elle m'a roté ça dans la face pendant 10-12 minutes. [02:43:50] Speaker B: Je pense que j'aurais donné une claque en arrière de la tête. [02:43:52] Speaker A: Ben, elle était au téléphone, heureusement. [02:43:53] Speaker B: Ben oui, ressaisissez-vous. [02:43:55] Speaker A: Mais pour vrai, on n'avait pas d'autre option que de le faire au téléphone parce que ça avait été dans ma face. J'ai été plié en deux. Il fallait que je ferme le micro entre les interventions. [02:44:02] Speaker B: Ça se peut pas. [02:44:03] Speaker A: Pendant que je riais, elle me rotait dans les écouteurs. Excuse-moi, Jean-Claude. [02:44:11] Speaker B: Mais faut-tu être un peu... On mérite ce qui nous arrive en passant dans la vie. C'est-à-dire, ça n'a pas de bon sens de penser qu'une madame qui traite ça... [02:44:22] Speaker A: Et il y a du monde qui paye! Déjà là! 100 piastres, le roach! [02:44:26] Speaker B: C'est sûr que le prochain, c'est celui qui pète. T'sais, non, non, non, mais moi je te pète ça, selon la fuse que j'ai. [02:44:31] Speaker A: Je sais pas ce qui se passe là. Attends un peu là. Je pense que ta grand-mère me... Oh my god! Pis là, y'a tout le monde qui fait... Oh, ça sent fort là! Oh! Votre grand-mère... Oh, elle dit qu'elle est pas contente! [02:44:44] Speaker B: Ouais, pas fière de vous. Non, mais le rot a passé. [02:44:48] Speaker A: 100 piastres. La consultation. Ouais, ça a passé. Tout le monde disait, my god, tout un don. [02:44:54] Speaker B: Le principe aussi des cartes, c'était pas vraiment nécessairement mon sujet, mais on va élaborer là-dessus, OK? Il faudrait m'expliquer le principe des cartes aussi. [02:45:00] Speaker A: Les cartes, la liseuse de cartes? [02:45:02] Speaker B: Ouais, OK. [02:45:02] Speaker A: Hé, moi je comprends rien. [02:45:04] Speaker B: Parce qu'il y a le tarot, puis numérologie, je sais pas trop quoi. [02:45:07] Speaker A: T'es-tu déjà fait de tir aux cartes? [02:45:09] Speaker B: Non, j'ai peur de tout. [02:45:09] Speaker A: Moi, j'ai eu une amie à l'époque qui faisait ça. [02:45:11] Speaker B: Regarde, j'ai pas peur de grand-chose dans la vie, ça, je suis terrifiée. [02:45:14] Speaker A: C'est plus mon amie, mais je savais pas qu'elle faisait ça. Pis là, elle me dit « Hey, veux-tu te tirer aux cartes? » Notre amitié à chef. Oui, je veux voir. Puis là, elle me sortait des cartes avec, justement, l'ange de la mort, des têtes de mort. Puis là, j'étais comme « Oh my God, c'est pas… » Ah non, non, ça c'est bon ça. Comme ça c'est bon. Ah tu sais, ça c'est bon, cette carte-là, ça c'est la chance. Oui, mais là, il y a un couteau, on dirait qu'il va me tuer. Puis là, après ça, elle sort un cœur. Oh non. Je comprends rien, rien, rien. Il faut que tu sois une professionnelle. [02:45:44] Speaker B: Oui, c'est peut-être la méthode du tarot. Moi, j'ai peur de ça. J'ai tout le temps eu peur qu'on m'annonce des mauvaises nouvelles et je suis sensible à ça. Même si on me dit, Patricia, je ne le ferais pas. [02:45:57] Speaker A: Je t'ai dit que ça se fait parce que j'ai raté. Tu n'as pas cru à ça? [02:45:59] Speaker B: J'ai peur de la madame qui a une boule. [02:46:01] Speaker A: La boule de Cristal? [02:46:03] Speaker B: Oui, je sais, il m'entend qu'elle lit dans boule. J'ai peur de ça. Je suis pas capable. Des fois, dans le temps aussi, on dirait dans les espèces de carnaval, festival, dans les foires, il y avait ça. Il y avait beaucoup de réactions. Ben oui, c'est malade. J'aurais peur qu'elle ait raison. Parce qu'en fait, j'aurais peur qu'elle me dise... [02:46:21] Speaker A: En fait, t'as peur que ça marche. Fait qu'il y a une partie de toi qui est pas convaincue. [02:46:26] Speaker B: Ouais, mais je voudrais pas qu'elle me dise... [02:46:27] Speaker A: Tu peux pas prendre de chance. [02:46:28] Speaker B: Annaton, ton père est malade. Tu comprends ça? Ouais, mais... Y'a quelqu'un dans ta famille qui est malade. [02:46:32] Speaker A: Même si n'importe qui te dit ça, ça change rien. [02:46:35] Speaker B: Ouais, mais ça va me fucker l'esprit. [02:46:37] Speaker A: Mais la maladie, elle se dit pas « Ah, quelqu'un l'a dit, j'y vais ». [02:46:39] Speaker B: Non, mais je vais y penser. Tu comprends ça? Ça va me mettre de quoi dans la tête. [02:46:42] Speaker A: Donc, à quelque part, dans le fond de toi-même, y'a une partie qui est pas convaincue que ça existe pas. [02:46:46] Speaker B: C'est pour ça que j'y vais pas. Je vais pas y aller, ils me font peur. C'est des sorcières. [02:46:51] Speaker A: Ah moi, ils peuvent tout me dire, j'ai pas de problème. [02:46:52] Speaker B: Le principe de la carte aussi, mais je la comprends pas parce que je me dis, tu sais, admettons, tu peux être en espèce de fusion avec l'au-delà, ok? Ça veut dire que là... Ouais, il. [02:47:01] Speaker A: Aurait les autres histoires, il y a des calves, je vais en tirer plus tard. Quelqu'un dit « Quelle marde! » Avez-vous son numéro de téléphone? [02:47:11] Speaker B: Tu vois, je ne suis pas toute seule. [02:47:14] Speaker A: Il y en a qui y croient que ça existe, ces affaires-là. [02:47:17] Speaker B: Puis là, il y en a aussi qui ont l'air à nous partager des affaires qu'ils ont vécues avec une voyante. Mais c'est ça, pour l'histoire des cartes, c'est juste que ce que je ne comprends pas, c'est... Parce que quand tu «feel» quelque chose, j'ai l'impression que tu peux me jouer le jeu de «je ressens quelque chose», les vibrations... [02:47:33] Speaker A: Ils jouent tout là-dessus, Pat. Ils sentent que tu ne vas pas... Tu sais, déjà, si tu vas consulter une voyante, tu ne vas pas bien. Parce que tu veux avoir des réponses. [02:47:40] Speaker B: Ou il y en a qui vont. [02:47:41] Speaker A: Juste... Ben non, tu poses des... Tu sais, c'est pas « Hey, je vis ma best life, je vais aller voir une voyante à 150$ ». [02:47:47] Speaker B: C'est sûr qu'il y a un petit quelque chose. [02:47:48] Speaker A: Tu poses des questions. Fait qu'eux autres, ils vont trouver, ils vont jouer autour. [02:47:51] Speaker B: Si tu cherches en séparation, tu cherches l'amour, peu importe. Effectivement, il y a un manque à quelque part que tu veux combler. [02:47:56] Speaker A: Admettons que c'est l'amour, hein, pis là tu fais comme... Là, on va dire «Ah, je le savais.» Sinon, on va dire «Ah non, t'as du peu, c'est pas ça, là. Bouge pas, là.» «T'as famille. [02:48:05] Speaker B: Ah, je le savais.» Ah ouais, c'est ça, oui. [02:48:08] Speaker A: Ah non, il y a des techniques, là. C'est de la manipulation totale. [02:48:11] Speaker B: Puis là, au niveau de ça, des fois je me dis, c'est vrai qu'il y en a qui « feel » des affaires un peu « weirdo ». Mais les cartes, je ne comprends pas qu'en brassant les cartes, Ah oui, l'univers parle aux cartes. Ben c'est parce que ça c'est fucké là. C'est des bouts de carton imprimés. Tu comprends? C'est imprimé pis tu peux acheter ça sur Amazon. [02:48:32] Speaker A: Mais y'a de l'énergie noire là. [02:48:33] Speaker B: Fait que là elle te branche les cartes pis là elle te dit oh coeur pis couteau pis ça. Pis là ça ça représente voici ce qui va t'arriver. [02:48:40] Speaker A: Les cartes l'ont dit. [02:48:41] Speaker B: Tu vas t'enverger dans l'amour, ça va te faire mal, tu vas broyer les filles. [02:48:43] Speaker A: On ne s'obstine pas avec les cartes. [02:48:46] Speaker B: C'est ça qui est bizarre! Puis ça se peut-tu entendre que l'autre carte soit juste positive ou juste négative? Ça se peut-tu que la voyante, c'est-tu déjà arrivé à quelqu'un? C'est-tu déjà arrivé à quelqu'un? Négatif, ça oui. Mais quelqu'un qui te dise « Hey, tu vas avoir une super belle vie. [02:49:00] Speaker A: » « Tout va être beau. » « T'en viens plus me voir. [02:49:03] Speaker B: » Oui, tu vas avoir des beaux enfants en santé. What a life! Tu sais, des petits défis de la vie comme tout le monde en vit, mais c'est hot. Je suis jalouse. Est-ce que ça a déjà arrivé à quelqu'un? [02:49:17] Speaker A: Pendant un bout d'ici, puis j'y avais dit, j'ai pas peur de leur dire parce que j'y ai dit en pleine face, on avait Charles Angels. Je trouvais ça dangereux. [02:49:25] Speaker B: Ok. [02:49:25] Speaker A: As-tu déjà pogné ça? The H, il appelait un voyant où il venait ici. Puis là, le monde appelait. pis y'allait dans des endroits, j't'écoute. Mais voyons donc qu'il a dit ça. T'sais, mettons, « Ouais, avec mon chum, j'veux savoir si ça va durer longtemps. » Non. Non, tu devrais quitter ça, ça va être toxique. Voyons, c'est ce qu'il fait là, lui! [02:49:41] Speaker B: Ah oui, c'est ça. [02:49:42] Speaker A: Là, t'as quelqu'un qui croit à ça, qui va domper son chum, parce que là, Charles, lui, a dit que ça achève, là. Voyons! [02:49:51] Speaker B: Mais on est donc ben à la recherche, parce que t'sais, le casque... Hey. [02:49:54] Speaker A: Vends ta maison, man! Non, mais bon, ça va, man! [02:49:56] Speaker B: Écoute, vous avez fait ça, il cite un nom. [02:49:58] Speaker A: Mais non, mais P.D.H. prenait le temps, je vois juste quand même, il prenait le temps de dire, t'sais, prenez pas ça pour du cash, là. [02:50:05] Speaker B: Non, mais je comprends le concept pis tout ça, ça me dérange pas que ça existe, ce concept-là. [02:50:08] Speaker A: Mais il le fait plus! Je pense que Josée t'as pas à l'aise. [02:50:10] Speaker B: Non, effectivement, mais je pense qu'il veut revenir. Parce que ça fait une coupelle de voix, une coupelle de corps, les lapels de nuit, là. Je sais que je l'entends d'arrivée le soir, non? [02:50:17] Speaker A: Ok? [02:50:17] Speaker B: Les lapels de nuit. Mais tu vois-tu, regarde, même nos auditeurs, on a plus de temps à se piéger, mais même nos auditeurs sont prêts à appeler Charles Patton pour leur dire. [02:50:27] Speaker A: Non, je sais que ça, je dis ça pis y'a plein de monde qui sont pas d'accord pis sont fâchés là. Y'a plein plein de monde qui disent « Hey c'est vrai, moi ma soeur elle a des dons pis c'est vrai ». Vous savez, c'est quoi la beauté, on est dans un pays libre. Vous pouvez y croire, moi là c'est pas une loi, y'a pas de règlement, vous pouvez prendre tout votre argent pis le donner à n'importe qui. Tu sais, tu peux même le donner à quelqu'un qui dit rien. Tu sais, à la rue, là, t'as le droit de sortir 2000 piastres. « Hey buddy, t'enlèves là 2000 piastres. » Ça, j'ai pas de mes affaires. Ben, Pat, merci. Ah, qu'est-ce qu'on a eu du plaisir. Ouf, je vais aller en pause parce que j'ai comme un... Faut pas que. [02:50:54] Speaker B: Je ressorte, madame Mina, madame Mina. Ben, j'ai un reflux. Ben, si tu me rotes encore une fois, j'en reviens pas demain. [02:50:59] Speaker A: OK, je vais aller en pause. [02:51:01] Speaker B: J'en reviens pas demain, JC. Si tu rotes le moindrement... [02:51:05] Speaker A: Je l'ai retenu! Wallet. En direct. Oh my God! [02:51:12] Speaker B: Radio X. C'est la méga promo, ilo! Profitez d'un rabais de 50% sur tout! [02:51:17] Speaker A: Qu'est-ce que t'as là? [02:51:19] Speaker B: Un mégaphone, pour la méga promo. [02:51:21] Speaker A: C'est pas nécessaire. Un rabais de 50%, ça résonne assez. [02:51:24] Speaker B: Faites vite, la méga-promo il ouvre enfin le 15 septembre. Certaines conditions s'appliquent. [02:51:28] Speaker A: Ce samedi 14 septembre dès 22h, le groupe Hell's Bells débarque chez Cécile et Ramone pour une soirée hommage à ACDC. Revivez la magie de l'un des plus grands groupes de l'histoire du rock. On vous attend ce samedi 22h chez Cécile et Ramone. [02:51:44] Speaker B: Entrée gratuite. [02:51:44] Speaker A: Mathieu Performance vous invite à sa vente d'entrepôt les 12, 13 et 14 septembre. Rencontrez nos experts et trouvez le vélo de vos rêves pour une fraction du prix. Des rabais jusqu'à 40 %, routes, montagnes, électriques, des centaines de vélos à liquider. Trois jours seulement, 12, 13, 14 septembre, et dans vos deux Mathieu Performance, Québec et Lévis. En septembre, chez Lunetribella, à l'achat de lentilles progressives polarisées ou Transition, recevez la deuxième paire gratuitement. À partir de 478 $, vous aurez deux paires de lunettes complètes. [02:52:13] Speaker B: Wow! [02:52:14] Speaker A: L'unitribellant.com, la meilleure qualité à juste prix. Marie-France Proulx, opticienne. T'en veux une com9? Com9.com. Elle fait pas ton affaire, tu peux. [02:52:23] Speaker B: L'Échanger en dedans de séjour. Com9.com, le site des véhicules d'occasion de Charlebourg-Toyota. 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Valide jusqu'au 18 septembre. Détails au superc.ca Les billets unitaires pour les matchs des Lyon-Trois-Rivières sont maintenant disponibles. Ne ratez rien de l'action. Le match d'ouverture du 18 octobre, nos matchs thématiques et nos rivalités. La saison 2024-2025 s'annonce chargée en émotions. Le retour dans la région de Morgan, Adams, Moisan, les frères Cormier qui jouent ensemble pour la première fois chez les pros. Soyez aux premières loges et vivez tous ces moments au Colisée Vidéotron. Les Lyons ont la rage de vaincre et ils sont prêts à rugir. C'est un rendez-vous. Billez à partir de 19$ au lyon3r.com. Les vacances ont coûté cher? Pavé Concept vous offre une foule de rebais pour vos projets d'aménagement paysager. Épargner 10% sur les produits en vrac commandés sur le site transactionnel. 20% sur les produits Permacom et TecoBloc en inventaire. 15% sur les nettoyants et scellants Technicil. et 25 % sur la meilleure semence de l'industrie. 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Moi, chaque semaine, je sauve des vies. Je suis pas chirurgien, ni ambulancier, ni infirmier, ni psychologue. J'ai jamais réanimé quelqu'un. Mais à chaque semaine, je fais un don de plasma et j'en profite pour prendre une pause. En donnant du plasma, vous aidez des. [02:55:14] Speaker B: Milliers de personnes vivant avec des maladies rares qui ont besoin de médicaments spécialisés. [02:55:19] Speaker A: Faits avec du plasma. Éma-Québec a besoin de vous pour doubler le nombre de dons de plasma. Prenez une pause. Sauvez des vies. Prenez rendez-vous sur le site d'Éma-Québec. Salut, Steph. Chez Lévis-Chrysler, c'est les meilleurs prix de l'année. Je te crois pas! Jusqu'à 6 000 $ de rabais sur un Dodge Hornet. Je te crois pas! 15 % de rabais sur le RAM 2024. Teddy, tu te croyais pas? Une Fiat 500e à moins de 32 000 $. Je te crois pas encore. OK, mais c'est pourtant vrai. Les meilleurs prix de l'année. C'est chez Lévis-Chrysler. Payot! [02:55:57] Speaker B: Ouellet en direct, présenté par l'Entrepôt de la Rénault. Venez le cliquer SPC à 1,79$ le vie carré. 9300 rue John Simons, Québec et 3790 rue Jean H. Kruger, Trois-Rivières. Entrepôtdelarenault.com. [02:56:10] Speaker A: Ouellet. En direct. Avec JC et Patricia. Radio-Équipe. C'est fini le show-là, mais j'ai encore un petit cadeau à vous donner. On les a reçus tantôt, la gang de Brasierville. On fait tirer ça cette semaine, toute la semaine. Un repas barbecue typiquement texan. Toute une assiette, là. Il y a de la briskette, il y a du poulet, il y a les accompagnements. Ça va être grandiose. Brasierville, beaucoup me le demandent. Brasier comme un brasier. B-R-A-S-I-E-R. Et ville, V-I-L. comme ville qui manque d'un L et un E. Donc Brasierville sur Facebook, trouvez-les. Et allez donner l'indice du jour. Ce sera pas long, je l'ai perdu mon indice du jour. Vous pouvez penser à la roteuse en attendant. [02:57:04] Speaker B: Non, non, non, merci, on va... Non, t'es sûre? [02:57:06] Speaker A: Ouais. OK, je l'ai. Bon. Très facile. Trois lettres aujourd'hui. Barbecue. Ah! Donc c'est l'indice du jour. Allez commenter. Il y a une publication avec le logo de Radio X sur la page de Brasierville. Et vous pourriez gagner votre repas barbecue typiquement texan. C'est le 21 septembre au Parc Beaudoin à Davayville. Merci Pat. Ça me fait plaisir. Merci Max. Merci les auditeurs. Le Retour s'en vient demain. Ouellet en direct. Réécoute les meilleurs moments. Les manchettes sportives, présentées par BPM Sport. BPM Sport, la radio des sports au Québec. Hey, c'est Jordan. Les capitales de Québec ont été la chercher hier en Pennsylvanie dans cette grande finale de la frontière. Good job! On sentait la hargne et l'envie de gagner de la troupe de Pat Scalabridi. Le pauvre lanceur des Wiltings, Daryl Fregio, l'a pas eu facile. Cinq coups sûrs, six points mérités et deux buts sur balle dans un total de 53 lancés. Victoire de 11-6 de Québec. On se donne maintenant rendez-vous au Stade Canac jusqu'à la fin de la série. Prochain stop vendredi 13. Série égale 1-1. Let's go boys! Et ce soir 20h15, le football du jeudi soir mesdames messieurs. Les Bills seront au Hard Rock Stadium de Miami et affronteront les Dauphins. Mike McDaniel, coach des Dolphins, a confirmé que le porteur de ballon Raheem Monster ne sera pas en uniforme. Lui qui a subi une blessure à la poitrine. On espère revoir une célébration menottée de M. Hill. À suivre. Pour plus de sport, ici BPM Sport. [02:58:52] Speaker B: Les manchettes sportives, présentées par Planète Nutrition. Sauve du temps avec nos nombreux choix de repas protéinés. Salmon, bœuf, poulet, économise à l'achat de trois repas ou plus. Planète Nutrition, Le Bourneuf, Saint-Georges et Sainte-Foy. PlanèteNutrition.ca. [02:59:05] Speaker A: Les Kings débarquent à Québec pour l'étape ultime de leur camp d'entraînement. Ils disputeront deux matchs préparatoires au Centre Vidéotron. Le jeudi 3 octobre, face aux Browns de Boston, assistez aux vibrantes hommages rendus à Patrice Bergeron. Et le samedi 5 octobre, voyez les Panthers de la Floride, grands champions de la Coupe Stanley. Venez encourager le Québécois Philippe Dano et assister aux prouesses des plus grands talents de la LNH. Imagine une journée sans électricité. [02:59:33] Speaker B: Tu prends ta douche à l'eau froide. Le matin, tu manges des céréales.