Ouellet en direct - Intégral du 16-09-2024

September 16, 2024 02:59:56
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Ouellet en direct
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Sep 16 2024 | 02:59:56

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Ouellet en direct - Intégral du 16-09-2024
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[00:00:00] Speaker A: Sommeil chez Dormez-Vous et un thérapeute de couple. Ça rentre ici et l'un veut moelleux, l'autre veut ferme, l'une veut rafraîchissant, l'autre. [00:00:06] Speaker B: Veut douillet, mais c'est possible de trouver. [00:00:08] Speaker A: Un matelas et des accessoires qui plaisent. [00:00:10] Speaker B: À tous les deux. [00:00:11] Speaker A: Chez Dormez-Vous, on veille à votre sommeil et sur les couples. [00:00:15] Speaker B: Durant l'événement Méli-Mélo, procurez-vous un matelas grand lit qui offre le mariage parfait entre confort et soutien à seulement 449 $ jusqu'à mardi. Seulement chez Dormez-Vous. [00:00:28] Speaker C: On s'est demandé ce qui te convaincrait de venir travailler en concessionnaire automobile. Sûrement qu'on offre des très bonnes conditions, que les horaires sont vraiment flexibles, que l'ambiance de travail est tripante. Tu sais, un milieu, ça accoche. Mais tout le monde doit te dire ça. À la place, on va te dire ce que nous, on cherche. Des gens ambitieux, passionnés et qui ont de la drive. T'as même pas besoin de triper ses chars. Si ça, ça te parle, c'est toi qu'on veut. Rejoins un milieu qui avance et postule sur le site de Ma carrière en concessionnaire. [00:00:57] Speaker B: Saviez-vous que Promutuel Assurance protège plus de 60 000 entreprises partout au Québec? Autant d'entrepreneurs qui nous font confiance pour assurer ce qu'ils ont bâti avec passion. Choisissez-vous aussi un allié d'expérience. Profitez de l'accompagnement humain et bienveillant de nos représentants en assurance de dommages. [00:01:13] Speaker A: Ils sont là pour vous guider, avec. [00:01:15] Speaker B: Des protections adaptées à la réalité spécifique de votre entreprise. Contactez-nous pour une soumission personnalisée. Vous verrez pourquoi on nous fait autant confiance. Promutuelle Assurance et la la la la la la la! [00:01:27] Speaker D: Le Tucson 2024 Traction intégrale. Quelle belle et confortable voiture! Montmény Hyundai vous l'offre en location à seulement 100 $ par semaine, 48 mois et 2895 $ de comptant. À 20 minutes de Lévis, mon auto, mon concessionnaire, Montmény Hyundai. [00:01:43] Speaker C: Choix. [00:01:45] Speaker E: 98.1. [00:01:45] Speaker C: À Québec, c'est Radio X. Radio-X. [00:01:54] Speaker B: Faites-vous... Faites-vous... Votre propre opinion. [00:01:58] Speaker E: Ouellet en direct, présenté par l'Entrepôt de la Rénault. Douche complète offerte à partir de 479 $. On vous attend aux 9300 rue John Simons, Québec et rue Jean H. Kruger, Trois-Rivières. Entrepôt de la Rénault.com. [00:02:11] Speaker D: Venez, deux. [00:02:12] Speaker A: Cible au point extérieur, là, t'sais. [00:02:14] Speaker E: Ah! [00:02:14] Speaker A: Il frappe, il frappe! Aaaaah! [00:02:17] Speaker E: Aaaaah! [00:02:17] Speaker A: Doucement! Les Capitales sont champions! Les Capitales sont champions de la Ligue 30! Les Capitales! [00:02:28] Speaker B: Kiki! [00:02:29] Speaker A: Kiki! [00:02:30] Speaker E: Kirillov! [00:02:34] Speaker A: Ça a aucun bon sens Marc-André! Wow! Wow! Wow! Anthony Kirion avec une vraie devraie longue balle des lignes majeures! Incroyable! Et c'est la victoire! [00:02:47] Speaker B: C'est le championnat! [00:02:49] Speaker A: C'est incroyable! [00:03:03] Speaker C: Bon, ok, j'arrête tout ça. [00:03:04] Speaker A: J'ai moffé mon intro en voulant faire le DJ. [00:03:07] Speaker E: Mon pain, c'est le piton, ça presse. [00:03:09] Speaker A: Tabarouette de tabarouette que j'ai manqué ma shot. Ok, bon. [00:03:11] Speaker E: C'est pas grave, l'audio était mémorable et exceptionnel. Sérieux, j'avais l'impression d'être là. [00:03:20] Speaker A: Attends un peu, on va prendre ça là. [00:03:30] Speaker B: Oh, incroyable! Bon. [00:03:38] Speaker A: Ben putain, trop énervé, trop excité. Incroyable, incroyable. [00:03:47] Speaker E: Quelle victoire! [00:03:48] Speaker A: Quelle victoire! Incroyable. J'étais pas là. C'est la déception de la fin de semaine en même temps. [00:03:54] Speaker E: Ouais, mais là t'étais où toi? [00:03:55] Speaker A: Trop d'affaires! [00:03:56] Speaker E: J'pensais que t'étais là! [00:03:57] Speaker A: Là, pouvez-vous se laquer au mois de septembre? Y'a trop d'affaires! [00:04:00] Speaker E: Ouais, mais là, comment ça que t'es pas là? [00:04:02] Speaker A: Le mois de janvier fait dire que lui, il en prendrait là, deux, trois patins. Le mois de février, il crie encore plus fort. [00:04:08] Speaker E: Effectivement. [00:04:10] Speaker A: Lui aussi, il aurait besoin d'attention. Ah non, mais là, c'est parce que c'est folie furieuse. Moi, il aurait fallu deux G.C. en fin de semaine si j'avais voulu vivre ma pleine vie totale. Capital, évidemment. J'ai mon chardeil officiel le matin. Je me suis dit, je ne peux pas passer à côté. Quelle victoire. Incroyable. Je pense que si ça s'était tiré au dimanche, J'aurais essayé d'être là. Mais en même temps, dimanche, j'avais d'autres choses. Parce que la fête à mon gars, mais en plein milieu de la semaine, c'est mardi. [00:04:43] Speaker E: Ah, c'était samedi la finale. J'avais en tête que c'était hier, mais effectivement, c'était samedi. [00:04:47] Speaker A: Ça aurait pu s'étirer. Tant mieux. Regarde, je voulais pas étirer le suspense pour rien. Mais c'est incroyable. Il y a eu ça. D'ailleurs, tantôt, on va y revenir. Je vais pas trop parler du match parce qu'on va avoir Pat Scalabrini tantôt dans une vingtaine de minutes. On va y jaser en direct. Je sais pas s'il s'est remis de ses émotions. La saison de baseball, c'est long. C'est épuisant. [00:05:12] Speaker E: Il y a eu un show, là, samedi. C'est ça qui est arrêté. [00:05:15] Speaker A: Mais c'est tout le temps, ça. [00:05:16] Speaker E: Je ne sais pas si tu redescends aussi rapidement de ton nuage, étant donné qu'il y a eu un show, il ne menait pas, ça n'allait pas tant bien de ce que je pouvais comprendre. [00:05:25] Speaker A: Au niveau du pointage. [00:05:27] Speaker E: Au niveau du pointage, puis à un moment donné, la finale, je pense que ça a fini avec un coup de circuit. [00:05:31] Speaker A: Ça a fini avec un coup de circuit. La finale 2022, 2023, 2024, À peu près toutes les games, ou au moins une fois dans les séries finales, t'as eu un match de même dramatique. On se souviendra de Tro-Far Pro-Far. C'était Jouremy Pro-Far l'an passé qui a claqué un circuit exactement de le même genre, pis dans le même champ en plus, en neuvième manche encore pour donner une victoire finale. Y'a du monde ça, j'ai trouvé ça triste. En 8e, il y a du monde qui sont sortis, mais ils n'ont pas quitté pour s'en aller. Ils ont quitté pour aller faire la file pour acheter des billets pour le lendemain. Parce que les billets sont en vente tout de suite après la game. Puis la dernière fois qu'ils ont fait ça, ça s'est vendu genre en 20 minutes. Tu comprends? Parce que là, les gens sont sur Internet, ils achètent des billets. Fait qu'il y en a qui se sont dit « Hey, pas cave le gars, moi je vais aller me mettre suite en ligne devant le guichet, moi je vais l'acheter live, moi je vais. [00:06:28] Speaker E: L'Avoir, je vais être sûr. [00:06:30] Speaker A: » Ben là, ils ont manqué le circuit. Fait qu'il y avait, je sais pas, une vingtaine de personnes qui faisaient fil pour des billets. Ils ont entendu le stade lever au complet. [00:06:38] Speaker E: Ça l'a vibré, c'est clair. [00:06:40] Speaker A: Donc ceci étant dit je m'étais dit faut pas trop j'en parle parce qu'on va en parler tantôt et là je suis en train d'en parler pendant dix minutes sinon ben moi fin de semaine c'était ça fait pas la première fois je dis ça je viens me reposer moi à la job. [00:06:56] Speaker E: Mais là t'as beaucoup d'enfants quand même, beaucoup étant trois. [00:06:59] Speaker A: Oui! [00:07:00] Speaker E: Fait que là ils s'agrandissaient ces petites bêtes-là pis ils ont des activités. [00:07:03] Speaker A: Mais j'ai même pas pu y aller en plus parce que je lançais, on lançait notre bière à Montberne, on avait un lancement de bière. [00:07:09] Speaker E: Ok, t'as été discret sur la chose. [00:07:11] Speaker A: Pas tant, j'en ai parlé beaucoup sur les... Mais toi aussi, t'étais occupée pas mal, je pense. T'as dû aller non plus. On a chacun nos vies de fous. Donc, on lançait la One More Round en fin de semaine. C'est notre bière brassée par nos amis de la microbrasserie WIC Station. C'est à Warwick. Si vous ne savez pas c'est où, Warwick. Warwick. D'ailleurs j'adore le nom que je vous ai dit, la communauté de Warwick. Parce que dedans il y a le mot war, je trouve ça... C'est un nom de bande black metal. Warwick! [00:07:42] Speaker E: C'est ça que j'ai jamais vu sur le map pourtant. J'ai fait tout mon secondaire à l'école secondaire Monique Proulx. [00:07:48] Speaker A: Fait que Warwick est à peu près une demi-heure, 40 minutes de victo, non? Une demi-heure? [00:07:52] Speaker E: Ouais, une demi-heure. [00:07:54] Speaker A: Pas 40 minutes. [00:07:54] Speaker E: Warwick, c'est même 20 minutes de victo. Ok, 20 minutes. [00:07:58] Speaker A: Fait que vers l'estrie dans ces eaux-là. J'avais ça samedi. Salutations à tous ceux à qui j'ai eu l'occasion de serrer la pince. Beaucoup d'auditeurs qui viennent évidemment et qui en profitent pour nous piquer une petite jasette. Pis dimanche, c'est la fête à mon gars, mais ça tombe en pleine semaine, c'est mardi. Fait qu'hier, on avait son party souper de fête. Fait que c'est ça, là. Je suis brûlé. C'est encore bon que j'ai de la voix, même. Je m'impressionne moi-même. Fait que voilà, tantôt on va avoir du Pat Scalabrini live, on va avoir ses impressions. J'ai plein de questions, mais plus des questions pour le coach. On va parler de la saison, puis on va parler de l'incroyable finale que les gens de Québec ont vécue en fin de semaine. Mais c'est parce qu'à un moment donné, si mettons les Capitals perdent l'année prochaine, mettons perdre, ils font pas essayer. Ça va être quoi le feeling à Québec? [00:09:00] Speaker E: On va se dire qu'ils sont pas bons? [00:09:01] Speaker A: Ben non! [00:09:02] Speaker E: Ben oui! Il y a un sentiment quand même d'appartenance avec l'équipe de Capital. La merch, il y en a. Ça se vend. Tout le monde en parle. Ils sont pris au sérieux. On a l'impression qu'en passant, le niveau, ils sont genre D1. On a l'impression que c'est le plus haut niveau qu'on peut voir au baseball. Ça reste un bon moment. Même quand ils perdent, c'est étonnant. On aime mieux avoir notre équipe qui gagne. Mais somme toute, l'expérience est bonne, pareil. Tu sais, tu vois, du beau baseball dans ces temps en ville, on est bien, il y a du stationnement ish là, des fois il en manque un peu, mais ça c'est, on est victime de notre succès. Les prix sont rationnels, ça reste quand même bien, puis à un moment donné, c'est sûr que la fatalité va frapper. Peut-être pas, mais on le souhaite que non, mais ça va arriver. [00:09:52] Speaker A: Non mais là, tu sais, Pat Scalabrini, c'est sûr que ça chevauche deux ligues. Pat Scalabridni, de mémoire, je pense qu'il est gérant depuis 2010. Parce qu'il a fini sa carrière de baseball en 2009, la dernière année où Éric Gagné était là, etc. Fait que 2010, ça fait 14 ans, il a gagné 8 championnats. [00:10:12] Speaker E: Oui. [00:10:13] Speaker A: Là, c'est pas 8 sur 14, t'sais, ça commence... Et 3 consécutifs dans la nouvelle ligue qu'on nous disait beaucoup plus forte que l'ancienne. Ils avaient joué dans une ligue à 5-6 équipes. Là, c'est une vraie ligue, 16 équipes. D'ailleurs, on a annoncé une 17e équipe. C'est pas à côté. Pearl, au Mississippi. C'est à côté de Jackson. Je sais pas combien d'heures d'autobus ça prend. C'est très très loin, c'est pas à côté. En même temps, je comprends qu'ils joueront pas, ils vont être dans l'autre conférence, fait qu'ils joueront pas 25 fois contre eux autres. Si c'est une fois, t'en profites pour, j'imagine, je me laissais un autre voyage dans ce coin-là. Mais 17 équipes, peut-être une 18e en discussion, donc une vraie ligue. On dit que côté baseball indépendant, c'est pas mal la ligue. Mettons que j'enlève les réseaux de la MLB, du baseball affilié. [00:11:07] Speaker E: As-tu de savoir le temps que ça prend? [00:11:09] Speaker A: Aller à Pearl. [00:11:09] Speaker E: Ben là, ils n'iront pas en auto. [00:11:11] Speaker A: Ben, ils n'ont pas le choix. [00:11:12] Speaker E: Ben, c'est 25 heures. [00:11:13] Speaker A: Ouais, mais comme je te dis, d'après moi, ils vont en profiter dans un... Si, ils vont! [00:11:17] Speaker E: Ça se peut qu'ils n'y aillent pas. Faut faire un itinéraire qui ait du sens. [00:11:19] Speaker A: Exact. Tu descends vers là, puis tu t'arranges pour y aller sur un croche. Parce qu'effectivement, aller-retour, ça se peut pas. Tu vois pas là, en autobus, ça prend... C'est aussi long qu'aller en Floride. [00:11:30] Speaker E: Ben non, admettons, on fait l'itinéraire. Montréal, tu fais Vermont, New Hampshire, le Mass, la Pennsylvanie. Après ça... [00:11:38] Speaker A: Tu cours pour milieu. [00:11:39] Speaker E: Oui, Virginie. Tu dépasses le Tennessee. Tu dépenses à l'Alabama! [00:11:45] Speaker A: Je pense pas qu'il neige ben ben à Pearl. [00:11:46] Speaker E: Pis là t'arrives à Pearl qui est pas loin de la Louisiane. [00:11:50] Speaker A: Oui, oui. Mais c'est juste à côté. C'est à côté de Jackson. Jackson, bien connu dans la fameuse toune de Johnny Cash. [00:11:59] Speaker E: Exactement. [00:12:00] Speaker A: I'm going to Jackson. OK. Fait que j'ai bien hâte de parler avec coach Scalabrini. Ça sera dans quelques minutes. Et puis, l'autre affaire, toi aussi, t'as eu une fin de semaine de fou, là. [00:12:15] Speaker E: C'était le début du Sénior 3, notre belle chance. [00:12:17] Speaker A: Effectivement, les deux matchs hors concours. [00:12:19] Speaker E: On dit que le logo est beau. [00:12:20] Speaker A: Parce qu'on a parlé plein d'affaires de la beauté du logo, mais avez-vous gagné? [00:12:23] Speaker E: Ils ont perdu les deux games. C'est parce que c'est des games hors concours. On voulait pas y gagner, anyway. C'était prévu, c'était écrit. [00:12:29] Speaker A: Après ça, tu te surprends au vrai match. [00:12:31] Speaker E: Exactement. Il faut dire aussi que dans le peu de connaissances que j'ai, mais que j'ai un petit peu, on me dit qu'on a pas tous dévoilé nos cartes. [00:12:39] Speaker A: Ah, vous avez fait jouer des joueurs qu'on essaye, comme on dit. [00:12:42] Speaker E: Exactement. Fait que voilà, quand la saison va commencer, écoute... Ah, pis l'autre affaire... C'est Julien Cabana, le DG, il nous gère ça. [00:12:52] Speaker A: Oui, non, non. Pis là, l'autre affaire, c'est une nouvelle équipe, là. Ben oui, it's brand new. Il essaye des affaires. [00:12:58] Speaker E: Hé, tous les hoodies oranges, là, de Bellechasse ont été vendus. [00:13:01] Speaker A: Dans ce cas-là, je vais leur dire, la merch est belle. [00:13:02] Speaker E: Hé, ont été vendus. [00:13:04] Speaker A: Ah, j'ai pas de doute. [00:13:06] Speaker E: Les gens ont tellement le sentiment d'appartenance à Saint-Anselme qu'il n'y a plus de OD orange. Il va falloir que les gars en refassent. C'est parti. C'est comme des petits pains chauds. Les gens veulent s'habiller en orange. [00:13:15] Speaker A: Je crois que je le gagne. [00:13:17] Speaker E: C'était-tu plaisant? C'était-tu pas cher? Oui, parfait. Mais c'est bon, il y a-tu eu un show? [00:13:23] Speaker A: La bière était-tu frite? [00:13:24] Speaker F: Oui. [00:13:24] Speaker E: Puis là, il y a Jolin qui s'est pogné contre Morin dimanche. Jolin va aller au show deux fois plutôt qu'une. Jolin est pour le ciné en trois. À partir de ce moment-là, le reste... [00:13:35] Speaker A: Est-ce que c'est le fameux Jolin des Frères Jolin? [00:13:37] Speaker E: Non, c'est un autre Jolin, mais c'est exceptionnel parce que le Jolin et les frères Jolin, en fait, c'est deux frères. Les deux frères Jolin, eux autres, ils jouent au bowling. C'est comme une joke au hockey. Ok, ok, ils ne jouent pas au hockey. On pensait que c'était des rough and tough, mais c'est des joueurs de bowling. Ils font un peu de calvitie. C'est vraiment pas... L'image qu'on avait des frères Gelin, mais c'est quand même drôle. [00:14:00] Speaker A: Oui, je dois mentionner l'extrait qu'on a entendu. Effectivement, ça ne vient pas de nos ondes. C'est l'extrait qui est diffusé à la radio des Capitals et sur Flow Sports, la web TV où on diffuse les matchs des Capitals. C'est Marc-André et Pierre, les deux animateurs du baseball. Marc-André Lord et Pierre Blais. qu'on connaît dans la région de Québec, Marc-André, un ancien collègue. D'ailleurs, je suis son informateur techno. Quand le site de Flowsport bug, j'y écris tout de suite. Mais il n'est pas pire, il me répond en même temps qu'il commence la game. [00:14:37] Speaker E: Très bon. [00:14:38] Speaker A: Donc, salutations à tout le monde de l'organisation. Dans quelques minutes, je vous répète qu'on jase avec Pat Scalabrini, mais je veux faire un petit tour avant. [00:14:45] Speaker E: Il y a pas mal de stage. [00:14:46] Speaker A: Tabarouette, parce qu'au-delà de nos petites activités personnelles, la planète tourne quand même. Évidemment, on va se tourner vers les États-Unis d'Amérique, encore une fois. Je ne suis pas certain qu'on a déjà dit ça. une double tentative d'assassinat d'un gars qui est même pas président. Il est ancien président, je comprends qu'il est candidat pour l'élection du mois de novembre, mais deux tentatives d'assassinat d'un gars qui est pas président, je suis pas certain que c'est déjà arrivé. Même deux tentatives d'assassinat d'un président, je suis pas certain que c'est déjà arrivé. [00:15:28] Speaker E: Tu sais, en fonction. [00:15:30] Speaker A: J'essaie de reculer le Reagan, ça serait le dernier. C'était une tentative, il n'y en a pas eu deux. Après ça, on remonte quoi. Puis là, on me dit... Un autre qui était candidat, c'était le frère de Kennedy, des années 70. Puis lui, malheureusement, ça a fonctionné. Il a été assassiné, donc tu ne peux pas en avoir deux. L'autre, c'est John, assassiné aussi. Il en a eu juste une. Là, avant ça, écoute, je sais plus. En tout cas, si c'est déjà arrivé, c'est dans des temps dont on se souvient très peu. [00:15:56] Speaker E: Va falloir gérer nos coucous, là. [00:15:58] Speaker A: Ben là, c'est parce que c'était pas supposé être l'inverse. [00:16:02] Speaker E: Ben oui, il y a ça aussi, mais on a beaucoup de coucous en Légacy. [00:16:05] Speaker A: Je suis tout mêlé, là. Là, on me disait que les Républicains, c'était des fous furieux. [00:16:09] Speaker E: Violents. [00:16:10] Speaker A: Violents, armés jusqu'aux dents, qui allaient tirer du monde partout. Kamala, combien de tentatives d'assassinat, c'est zéro. Josée. En tout cas, dévoilée. On a peut-être intercepté des complots, je sais pas. Mais hier, coup de feu sur le terrain de golf de Trump. Choseux, là. Lui, c'est le terrain de Mar-a-Lago. C'est le Trump International Golf Club à West Palm Beach. En fait, moi, au début, c'était très préliminaire comme information. J'avais entendu dire, j'avais lu en fait à quelque part, que c'était une fusillade qui avait eu lieu pas loin du terrain. Pis finalement le président était pas impliqué pis qu'il avait finalement bossé pas en tout. [00:16:53] Speaker E: Il a bossé pas en tout, il était caché dans le buisson à l'autre bord d'une gare. [00:16:56] Speaker A: Pis les coups de feu sont venus de la sécurité. C'est l'agent secret parce que là Trump joue au golf, comprenez que on a renforcé la sécurité pour la protection de l'ancien président et on inspectait les trous avant qu'il arrive. Fait que mettons Trump, je donne un exemple, il est au 7e. Ben, t'as des agents qui sont en train déjà de regarder le 9e et le 8e. Ils font le tour, ils regardent dans les arbres. [00:17:20] Speaker E: Ce qui est une bonne idée. [00:17:21] Speaker A: Une très bonne idée. Fait que, il était à 3 ou 400 verges. Ça c'est trois terrains de football, ça a l'air loin, mais c'est pas si loin. [00:17:33] Speaker E: Quand c'est toi la victime, la personne visée c'est proche. [00:17:35] Speaker A: T'es à côté. Et l'agent secret, l'agent spécial, je sais pas comment l'appeler. [00:17:41] Speaker E: James Bond. [00:17:42] Speaker A: James Bond, il a vu un canon qui sortait d'une clôture. [00:17:47] Speaker E: Il s'est capoté. [00:17:49] Speaker A: Lui, il a même pas hésité. C'est sûr que le gars chasse pas les canards. On est pas à Springfield ici. Il n'y a pas de chat dans les environs. Il n'y a pas de chat. Le gars, c'est pas ça. Il n'a pas faim. Il va tuer l'ancien président. Donc, il a tout de suite tiré, lui. Lui, il a vu le canon, il a sorti son gun. Il a tiré. Ce qui a fait fuir le... En tout cas, il aurait aidé. Il aurait dû, là. On va aller loin, là. Mais t'sais, il aurait quasiment pu le pogner par surprise. [00:18:16] Speaker E: Oui, effectivement, mais là... [00:18:18] Speaker A: Mais il a dit non. Moi, je suis dans le tub, regarde, on s'arrangera après. Mais il l'a pas eu et le gars s'est sauvé. Et un témoin, qui est quand même central dans l'histoire, qui a vu un gars sortir du terrain de golf par une porte qui n'existe pas, là, fait que c'est... Automatiquement, c'était louche. [00:18:34] Speaker E: Lui, il a allumé, là. [00:18:35] Speaker A: Lui, il a tout de suite allumé et il a pris une photo de sa plaque. [00:18:37] Speaker E: Oui! [00:18:38] Speaker A: Il a pris une photo du char, incluant la plaque, et on l'a intercepté. Quelques minutes plus tard, le gars fuyait sur la 95, l'autoroute qui descend en sud en Floride. Il a été intercepté. On a l'identité du gars. C'est sûr que je le donne, mais personne connaît ce gars-là. C'est Ryan Wesley Root. qui était un anti-Trump notoire, un gros fan de l'Ukraine, il capotait bien raide. [00:19:03] Speaker E: 58 ans, mais c'était un méchant coucou. [00:19:04] Speaker A: Oh oui, lui, imagine à quel point tu trippes. Lui, il est allé en Ukraine. Pendant la guerre. [00:19:10] Speaker E: Il est allé? Je savais qu'il avait voulu donner son nom. [00:19:13] Speaker A: Il est allé, il s'est fait interviewer là-bas. L'agence France-Presse, il y a peut-être un an ou deux, il était en Ukraine, peinturait à la face. Dans sa tête, c'est un Ukrainien, je sais pas trop. On dit que c'était un gars qui vivait à Hawaï. Tu vis à Hawaï, mon gars, bouge pas de là. Moi, je t'annonce, si je viens au Hawaii, je voyage pas beaucoup. [00:19:34] Speaker E: Les voisins en avaient peur. [00:19:35] Speaker A: Ben, il était intense. [00:19:37] Speaker E: Non, non, il y a huit... Attends un peu, gars, je vais te le dire. Je les prends en note. Il y a des dossiers... Son dossier criminel, ça contient huit arrestations. Bon, somme toute mineure, mais juste pour dire quand même qu'en 2002, il était en possession d'un fusil automatique. Fait que t'sais, on n'est pas... C'est un gars qui était pas tout là. Il était pas tout là. [00:19:53] Speaker B: Ben là, on s'en rend compte. [00:19:54] Speaker A: Ben là, oui. [00:19:56] Speaker E: On m'a abandonné. Lui, il écrivait sur Twitter à King Jong-un. [00:19:59] Speaker A: Ah ouais? [00:20:00] Speaker E: Non, mais pour dire qu'il voulait être comme le médiateur pour régler la situation de conflit avec les États-Unis. Après ça, à un moment donné, il a écrit sur Twitter qu'il y avait des amis afghans qui étaient capables de mettre en relation aussi avec les States pour pouvoir gérer... Ah oui, c'est ça. Non, mais il n'est pas sur le poste. [00:20:22] Speaker A: Il n'est pas sur le poste. Lui, il pensait devenir le pacificateur de la planète. Je vais vous régler ça, moi, la paix dans le monde. [00:20:29] Speaker E: Mais tu sais, sans aucune formation, capacité, tu sais, c'est ça. [00:20:34] Speaker A: C'est quand t'es capable. [00:20:35] Speaker E: Faire coucou, là. [00:20:36] Speaker A: Quand t'es capable, t'es capable. [00:20:37] Speaker E: On aimait ça, dire ça, les coucous en pandémie. [00:20:39] Speaker A: Ah mais là, oh non! Non, non, c'est quelqu'un qui était trop intense. Le suspect, by the way, ça vient de sortir, accusé de crime lié aux armes à feu. Formellement accusé, oui. [00:20:55] Speaker E: Bon, donc... Oui, mais je m'imagine qu'il y aura d'autres accusations parce que là, c'est en lien avec la possession d'armes à feu. Mais je pense que... [00:21:02] Speaker A: Clairement, là. [00:21:02] Speaker E: Mais non, mais là, j'imagine qu'on va prouver que c'était une tentative d'assassinat, là. [00:21:05] Speaker A: Mais non, caché dans un buisson avec un AK-47, puis une lunette. Pour la distance. [00:21:11] Speaker E: Et puis il voulait filmer tout, hein? [00:21:13] Speaker A: Oui, il avait sa GoPro. Lui, il voulait filmer ça, Trump, qu'il mange sa balle. Non, non, c'est ça, là. [00:21:19] Speaker E: Mais comment ça qu'il n'a pas de drone? [00:21:21] Speaker A: Bonne question. C'est une bonne question. En même temps, il était dans les buissons. [00:21:26] Speaker E: Je pensais que les drones, c'était à moi. [00:21:27] Speaker A: Probablement qu'il en avait un, mais tu le voyais pas, il était caché dans les buissons. Tu sais, un drone, ça reste en surface. [00:21:32] Speaker E: Il doit avoir les drones à un détecteur de chaleur. [00:21:34] Speaker A: Ah, peut-être. Ça, je sais pas. [00:21:35] Speaker E: Ils ont peut-être pensé que c'était un chat. [00:21:37] Speaker A: Peut-être, ou un chien. [00:21:39] Speaker E: Ou un petit canard. [00:21:41] Speaker A: De dogs. [00:21:42] Speaker E: Ou peut-être un pigeon. Qui sait? [00:21:43] Speaker A: Peut-être, je sais pas. D'ailleurs, ça, c'est l'autre affaire. Springfield, Ohio, le dossier se poursuit. Là, non mais, on rit, mais... C'est parce que là, il y a des appels, des alertes à la bombe, ça fait 2-3 là, depuis l'histoire des chats pis des chiens. Donc à Springfield, nouvelle alerte à la bombe, je pense à 2 ou 3e alerte depuis que l'histoire est sortie. Les États-Unis, ça sont à cran. Sérieusement, c'est intense en joual. Quand tu suis un peu ce qui se passe au Sud, je sais pas l'élection, ce que ça va donner, mais ça donne un show d'actualité, je vais te le dire. C'est assez incroyable. Et petite parenthèse concernant Springfield. L'affaire des chats et des chiens, on en a parlé beaucoup. Là, la police était sortie dire, écoute, on ne mange pas les chiens et les chats. Personne n'a enlevé Kitty Kitty, le chat est bien correct. Mais reste qu'il y a quand même des témoignages, plus qu'un, de gens qui disent, je le répète ça parce que je l'ai dit la semaine passée, mais ce qui m'énerve là-dedans, c'est qu'on perd la vraie histoire. [00:22:59] Speaker E: Ben oui, qui est un problème d'immigration massive dans une petite ville. [00:23:03] Speaker A: Exactement. L'affaire des chiens, des chats, diversion, tout le monde a sauté là-dessus, j'écoutais en fin de semaine. [00:23:08] Speaker E: Oui, mais ça tue mis. C'est ça que j'essaie de dire au monde. Est-ce qu'au contraire, par une absurdité et une exagération, On n'a pas mis justement en lumière ce qui se passe en Springfield, ce que moi j'avais aucune idée qu'il se passait. Est-ce qu'on se tourne finalement à regarder, on fait une recherche? Parce que tout le monde a fait une recherche à peu près, genre chien, chat, Springfield. On passait le monde des magasins à Springfield, on va se le dire. [00:23:30] Speaker A: C'est pas une ville riche. [00:23:31] Speaker E: Eh, c'est magané là. Les madames, c'est en tout cas... Bref, je sais pas si on mange trois repas par jour, mais tu sais, ça a pas l'air facile la vie. [00:23:41] Speaker A: Non, c'est pas riche. [00:23:42] Speaker E: Mais on se rend compte qu'il y a un problème d'immigration massive et que les résidents et les citoyens ont l'impression que ceux qui arrivent ont plus de droits qu'eux autres qui sont citoyens depuis toujours. [00:23:54] Speaker A: Puis ils ont besoin de services? Puis déjà, comme tu dis, c'est pas un endroit très, très riche. Tes services sont étirés. [00:24:01] Speaker E: Il y a comme un choc à savoir comment on fait ça. Puis finalement, la lumière a été mise là-dessus. [00:24:07] Speaker A: C'est parce que moi, j'écoutais Rad Khan en revenant. Je pitonnais sa radio, j'écoutais un bon bout de Légende du rock avec Pee Wee qu'on salue et qu'on félicite en même temps. [00:24:17] Speaker E: Il était en feu en fin de semaine. [00:24:18] Speaker A: Il était en feu, puis il était partout. Encore une fois, Pee Wee déborde d'énergie. Je sais pas s'il dort, mais c'est pas grave. Ben là, ma née, bon, zappe un peu, bulletin de nouvelles, j'écoute Radkan à la radio. Pis là, ils ont une jasette, tu sais, une jasette, ah ben ouais, ben là, pis Trump, pis le président, c'est le président Trump, tu sais, pis... Ils ont fait un segment, comme de 10 minutes, pis ils font juste parler de ça. Pour rire de Trump, évidemment. [00:24:45] Speaker E: Ben oui, ben oui, ben oui, mais les gens, ils ont pas compris que c'est pas ça. [00:24:47] Speaker A: Pis là, ils passent des extraits de, tu sais... Ah non, y'a personne qui mange des chiens ici, pis y'a personne... Puis là, je dis, mais ils sont complètement à côté de la... Je comprends que tu peux prendre l'anecdote, puis nous-mêmes, on l'a fait. On peut en rire, puis on peut dire que Trump a exagéré, puis... Moi, c'est ce que j'ai dit, tu sais, je trouve que le fait que Trump a dit ça, ça a dévié complètement le sujet vers... « Ah, regarde, il dit n'importe quoi! » Puis là, c'est la toune que tu me fais jouer, là. Je le tue pas loin? They're eating the dogs in Springfield. [00:25:21] Speaker B: They're eating the dogs. [00:25:21] Speaker E: They're eating the cats. [00:25:23] Speaker A: They're eating the pets of the people that live there. They're eating the dogs. C'est le succès de l'été prochain. Fait que là, t'sais, là c'est ça, des t-shirts, des memes en veux-tu en veux-là, t'sais, j't'en ai montré un tantôt, c'était épouvantable. C'est Trump qui court, t'sais, Trump avec son costard là, pis sa cravate, pis il court avec deux chats dans ses mains. Pis en arrière, t'as deux noirs qui courent après en bédaine. T'sais, c'est putain, ben ouais! C'est n'importe quoi, tu sais. Pis là, on focus là-dessus. Mais t'as raison qu'au moins, on en parle. Parce que si j'avais amené juste la nouvelle, parce que je vais vous la donner, la vraie nouvelle. Springfield, c'est une ville de 50 000 habitants. Depuis trois ans, ils ont reçu 20 000 immigrants. Ça, dans un calcul mathématique, dans notre niveau de société, c'est une catastrophe. Pas parce qu'il y a des gens d'une autre couleur qui arrivent, parce que ça n'a pas de sens. Tu peux pas rajouter plus d'un tiers de ta population d'une shot sans ajuster, sans construire des écoles, des hôpitaux, rajouter des routes, des quartiers. C'est le bordel! Pis tu me le dis, c'est une ville qui est pas très riche d'avance. C'est une catastrophe! [00:26:48] Speaker E: Il y a eu un gars que j'ai écouté la semaine passée, qu'au lendemain, ou deux jours plus tard, après le débat, lui s'est présenté à Springfield à faire un reportage. C'était intéressant pour de vrai, ça a duré quelque chose comme 45 minutes, somme toute. Puis il descend vraiment à Springfield, puis là, il dit que tout le monde reproche aux journalistes de ne pas aller se mettre les deux pieds dans la ville, puis d'aller questionner les gens qui y vivent, et également les haïtiens, les émirats. [00:27:12] Speaker A: Ben oui, eux autres, ils en pensent. [00:27:13] Speaker E: Quoi de leur accueil? Exact. Puis là, ils cherchent aussi les gens qui mangent des chats. Mais non, mais c'est ça. Sacré vice. Fait que là, il n'en a pas trouvé des gens qui mangent des chats. [00:27:23] Speaker A: Il n'y avait pas de barbecue de chat au parc. [00:27:25] Speaker E: Là, ils questionnent les haïtiens, mais les haïtiens disent « Ben non, nous autres, on a des coupons, on va aller à l'épicerie, on va faire l'épicerie, là. [00:27:32] Speaker A: » C'est ridicule. [00:27:33] Speaker E: OK, puis c'est parce que c'est une rumeur finalement qui est partie puis que ça a fait boule de neige. Mais finalement, le reportage était vraiment intéressant parce que l'angle de départ, c'était ça. Bon, on découvre également les citoyens. Puis ça, c'est vraiment, c'est la partie comme, entre guillemets, touchante. [00:27:48] Speaker A: L'Amérique profonde, là. [00:27:49] Speaker E: La réalité de ces gens-là qui disent, nous autres, on n'a aucun problème, mais c'est juste que là, puis là, on en crée un problème. Puis ça, c'est des enjeux qu'ils vivent. On peut juger les enjeux, mais c'est quand t'as deux pieds dedans, c'est pas suffisant. [00:28:00] Speaker A: Moi, je me garde une gêne, absolument, quand c'est pas chez nous. [00:28:02] Speaker E: Fait que la fille elle dit, moi, c'est parce que moi j'ai besoin d'aide. Puis là, à chaque fois que je lève la main pour avoir un chèque ou quoi que ce soit, moi je l'ai pas, j'ai des délais. Puis moi, mon voisin vient d'arriver, il a eu sa maison, puis il passe en avant de moi. [00:28:18] Speaker A: Ça, c'est peut-être une perception, mais ça reste que dans leur tête, c'est leur réalité. [00:28:23] Speaker E: Ce qui est intéressant, c'est qu'après ça, il va voir les haïtiens et il dit « bon, est-ce que vous, vous payez votre maison? » Là, il dit « la première année ou dans les premiers temps, c'est peut-être le premier trois mois, peut-être pas même pas la première année. » Il dit « dans les premiers temps, effectivement, c'est vrai qu'on avait de l'aide. Aujourd'hui, je paye 100 % de mes dépenses. » Finalement, il y a comme l'image que chacun des clans projette, ça marche pas ensemble. Il y en a qui disent ils. [00:28:49] Speaker A: Mangent des chiens, l'autre qui disent c'est merveilleux, on a pas de problème. [00:28:51] Speaker E: Mais chacun a sa perception, parce que tout le monde se fait une idée de l'autre clan. [00:28:54] Speaker A: Ben oui, c'est sûr. Mais c'est parce que, j'en reviens là-dessus, parce que c'est la seule affaire. En ajoutant 20 000 personnes dans une. [00:29:04] Speaker E: Ville de 50 000 en trois ans. [00:29:05] Speaker A: C'Est sûr que ça va arriver. Il va y avoir un clash. C'est évident. [00:29:08] Speaker E: Assurément, quand ils arrivent, il faut que tu les aides. C'est sûr, quand il y a des gens qui arrivent, je vous annonce qu'il faut les aider. Maintenant, je pense que c'est au niveau de la communication que ça manque et de l'information. C'est-à-dire, quand on les aide, on les aide, ça veut dire les aider pendant trois ans de suite ou c'est les aider pendant trois mois? [00:29:23] Speaker A: Même avant ça, avant de dire qu'on les aide, c'est-tu intelligent, c'est-tu une bonne idée d'envoyer 20 000 immigrants en moins de 3 ans dans une ville de 50 000 habitants? [00:29:33] Speaker E: Ça crée des tensions parce que les gens ont l'impression que le voisin a tout et que toi tu travailles et que ça n'arrive pas, mais le voisin vient d'arriver et il a tout. [00:29:42] Speaker A: Puis même si c'est une impression, quand c'est toi qui as vu l'impression, ça devient ta réalité. [00:29:46] Speaker E: Oui, parce qu'il peut y arriver aussi, peut-être à certains moments, des avantages, mais admettons qu'on essaie de regarder ça le plus à frais possible. Quand tu arrives à quelque part et que tu t'installes, tu es invité également à t'installer là, Il faut que t'en prennes soin de ce monde-là. Maintenant, tu peux pas faire ça pendant huit ans, je suis bien d'accord. Mais c'est ça, je pense que la chicane, la tension se fait au niveau de la perception. Parce que là, on questionnait la communauté. Puis le monde se parle pas. [00:30:13] Speaker A: Fait que là, ils se font dire des affaires. Lui, ça a l'air qu'il y a ici pis ça. Pis là, le monde se fâche. Mais c'est un bousculement, c'est sûr, c'est sûr. [00:30:19] Speaker E: Là, maintenant, ils me questionnent quelqu'un. Ils me disent « Toi, tu payes-tu un loyer? » Je dis « Non, mais tu sais, j'habite chez mes parents. » Mes parents payent un loyer. Mes parents sont ici depuis X années. Ça arrive. Quand t'as un gros lot d'immigration, ça vient avec... Tu veux savoir, tu te dis comment ça, eux autres ils ont ça et moi j'ai pas ça. Ça vient avec des comparaisons et ça vient avec de la tension. Ça vient avec de la chicane. Pis là, c'est quoi la vraie information qui se dégage de ça? Finalement, je regardais ce reportage-là pis je me disais, ah ben si ces deux clans-là, entre guillemets, se parlaient, ça irait bien mieux, là. [00:30:54] Speaker A: Fait que finalement, ils mangent pas les chiens. [00:30:56] Speaker E: C'est sûr qu'on vous l'a dit. [00:30:57] Speaker A: Mais ils mangent les canards dans les parcs, par exemple. [00:30:59] Speaker E: Mais ça se peut que dans leur pays, ils mangent des chiens. Tu sais, en Chine, je veux dire, ils mangent des chiens. [00:31:03] Speaker A: Ben oui, il y a des régions de la Chine qui font encore des brochettes de chiens. C'est des cultures différentes. [00:31:07] Speaker E: C'est pas vrai qu'ils n'en mangent pas. Est-ce qu'ils vont à la chasse à Springfield des chiens et des choupes? [00:31:14] Speaker A: À date, on nous dit que non. [00:31:15] Speaker E: Ça ne pleut pas. [00:31:16] Speaker A: Il faut revenir, on recule la cassette. Je vous ai parlé des Capital en intro de show. C'est un show bousculé, ça va être comme ça aujourd'hui. Il y a beaucoup de choses, mais je ne pouvais pas faire le show sans revenir sur la victoire. Incroyable, comme le disait Pierre. Incroyable des Capitales de Québec. J'ai même mis mon chandail officiel pour faire cette entrevue-là. Je vais ouvrir le bouton ici pour rejoindre le coach gérant des Capitales, Patrick Scalabrini. Salut Pat, comment ça va? Salut, je vais être très bien vous-même. [00:31:52] Speaker E: Bien, j'espère. [00:31:52] Speaker A: Tu m'avais dit que ça ne va pas à matin. Peut-être la maladie, mais on ne le souhaite à personne. Premièrement, en tant qu'animateur, je te félicite pour la grande victoire, mais en tant que partisan, tu n'as pas idée à quel point je vous aime. C'est incroyable. Quelle équipe. Je sais que tu dois te le faire dire depuis samedi soir, mais bravo encore. Est-ce que tu t'es remis de ça? On se remet-tu de ça rapidement? [00:32:15] Speaker G: Bien, écoute, oui et non. Je m'en suis remis rapidement physiquement. La célébration a été bonne, a été longue. On a profité amplement. C'est tellement arrivé abruptement qu'on dirait que ça donne doublement le goût de le célébrer. On l'a fait. Hier, on s'est reposé un petit peu. Puis là, on va surfer. C'était un beau bonheur là, un bonheur. [00:32:43] Speaker A: Pour vous pendant quelques semaines, pendant l'hiver je pense. Tu dis c'est arrivé abruptement, mais là, écoute, Michael Lalancette, journaliste sportif dans la région de Québec, a sorti ces infos-là. En 2022, un double de Castro en 9e manche dans le match numéro 1 de la finale contre Schomburg. Dans le match numéro 2, un walk-off de Castro en 9e. En 2023, Evansville. Match numéro 1 de la finale. Walk-off de Gideon en 9e. Match numéro 2, walk-off de Profar en 9e. Et là, cette année 2024, contre Washington. Match numéro 1, circuit de 2 points d'Anthony Kirion en 7e. Et match numéro 2, walk-off d'Anthony Kirion, donc circuit en 9e. C'est quasiment habituel, là. [00:33:24] Speaker G: Je comprends ce que tu dis, puis oui, c'est fou. Des walk-offs, ça arrive très, très peu fréquemment. Je pense que quelqu'un me parlait d'une statistique dans les ligues majeures. Près de 1% de chance qu'il y ait un walk-off sur un coup de circuit premièrement. On a été chanceux. Est-ce que c'est de la chance? Je ne sais plus trop. Au Stade Canac depuis quelques temps en série. Ceci dit, je ne veux pas faire de compétition avec les autres walk-offs, mais c'est un walk-off, c'est un circuit pour finir une série comme le Joe Carter des séries mondiales. Ça, ça n'arrive jamais. Puis au point où, en plus, c'était pas égal. On se tirait de l'arrière, on était deux fois à un lancer à une prise de perdre ce match-là, puis de s'en aller dans un match 5 où personne peut savoir ce qui va se passer. Donc, juste les émotions de... de crainte, de stress à soudainement euphorie de tout est terminé, on est les champions. C'est malade. [00:34:23] Speaker A: Moi, là, t'sais, je suis... Moi, l'astrologie pis les affaires de... Mais la magie du stade, je suis sur le bord, là! Y a-tu quelque chose d'enterrant sous de la plainte, là? Y a-tu quelqu'un qui a fait quelque chose au stade? C'est capoté, pareil, j'en reviens pas. [00:34:37] Speaker G: Bien, écoute, c'est une bonne question. Je sais pas, on peut pas l'expliquer, évidemment. Oui, c'est les partisans et tout ça, ça fait qu'on y croit pis tout ça, pis les gars... Pendant tout l'été, on évoquait ça. Je ne sais pas, l'autre équipe, they're going to get Canuck. L'autre équipe, le stade Canuck va faire l'adieu. J'ai entendu des références à Bob qui nous aide peut-être. C'est difficile à expliquer qu'on croit ça plus ou moins, mais je pense que c'est à bâtir en plus une confiance de mes joueurs. qui ont le sentiment d'invincibilité quand on joue ici. [00:35:15] Speaker A: Là, je voulais faire une entrevue aussi sur pas mal ton rôle de coach gérant. Trois années, mettons que j'oublie l'année d'équipe Québec pendant la pandémie, donc trois années, les trois premières années des capitales officielles dans la Frontier League, trois championnats. La pression, tu vis ça comment? Parce que là, à un moment donné, mettons que l'an prochain, puis je l'évoquais avec Pat, avec ma co-animatrice en début de segment. T'sais, l'année prochaine, mettons, je sais pas, vous finissez avant-dernier dans l'Est. Je veux dire, les gens, moi, on comprend qu'on gagnera pas chaque année, mais comment tu deals avec ça? Parce que là, c'est-tu un championnat par année ad vitam aeternam? [00:36:00] Speaker G: Bien, c'est drôle, je le vois à l'envers. Moi, je le vois... Je trouve que ça nous enlève de la pression. Tu sais, la première année, on n'avait pas gagné le championnat encore. J'avais l'impression que c'était plus difficile et plus important de faire notre marque, de démontrer au monde entier, de montrer à la Ligue Frontier qu'on est une équipe à prendre au sérieux. Et puis par la suite, ça, ça aide à recruter. Tu sais, ça fait que là, maintenant, on a gagné trois d'affilés. Tu sais, on comprend nous bien. Je vais gagner un championnat, assurément. Sauf que j'ai l'impression que ça nous enlève la petite pression d'absolument devoir gagner. Je pense que ça va amener des bons joueurs, ça va amener l'intérêt vers nous. Notre désir de gagner va être doublement révivé. [00:36:47] Speaker A: Je sais pas. [00:36:47] Speaker G: Moi, je le vois pas comme une pression supplémentaire. On se la met tout seul en arrivant au camp d'entraînement parce qu'on parle que de gagner un championnat, mais... Bien. [00:36:56] Speaker A: En même temps, tu sais, j'ai lu ça aussi que t'avais dit ça à Stéphane Cadorette, que c'était un peu de ta faute parce que toi, jour 1 du camp d'entraînement, tu dis, on y va pour le championnat. En même temps, moi, si mon coach me dit que quand je parle à mes joueurs, je leur parle pas de championnat, je pense qu'il fait pas sa job, là. Tu sais, à un moment donné, le but, je comprends, qu'on dit à nos enfants, c'est de participer. mais le but c'est de gagner, on. [00:37:18] Speaker B: Va se le dire. [00:37:20] Speaker G: T'as raison, sauf que t'sais, oublions pas que dans le baseball professionnel, c'est un privilège d'être en série. Y'a des équipes, y'a quand même juste 6 équipes sur 16 qui font les séries dans notre ligue. Ensuite de ça, y'a des... t'sais, moi dans les mineurs, j'ai jamais joué en série. Y'a plusieurs gars qui ont joué 10 ans dans les mineurs qui ont jamais joué à un match de séries éliminatoires. C'est un privilège. On oublie à l'occasion à quel point on est chanceux à Québec d'avoir la chance d'y participer à peu près à chaque année, d'avoir la chance de gagner des championnats. Donc je mentionne ça aux gars tout en quand même célébrant les moments où on entre en série et on rappelle à quel point c'est des moments importants. [00:37:58] Speaker A: Puis tu l'as mentionné, c'est sûr qu'avec une série de succès, trois championnats au Québec, c'est la ligue. D'ailleurs, je sais pas si tu parles avec les autres coachs puis les autres joueurs de la ligue, qui devaient probablement pas trop savoir c'était quoi le niveau de baseball à Québec avant que Québec débarque. Je sais pas comment ils voient ça eux autres. D'ailleurs, ouais, comment ils voient ça eux autres? On est pas, on est pas, il. [00:38:21] Speaker G: Y a pas beaucoup de monde qui votait pour les Capitales, je veux dire, en séries éliminatoires, on a entendu. On est très enviés, c'est sûr. Notre stade est rempli, les participants sont malades, la ville est magnifique, on a une chance de gagner l'organisation. On est très enviés. Les joueurs voient ça et veulent venir jouer ici. Par contre, tout le monde apparemment votait contre nous. Une équipe canadienne dans leur ligue américaine qui fait trois ans qu'on la gagne. Ça, ils n'aiment pas ben ben ça. Tout ça. Je sais qu'ils nous envient et ça commence à être de la jalousie un petit peu. Je vais être honnête avec toi, ça ne me fait pas ben ben pleurer. [00:38:59] Speaker A: Non, non, nous autres non plus. Non mais c'est sûr que vous allez devenir la bête noire. C'est clair que vous n'êtes pas faite d'amis. Mais comme tu dis, un joueur qui cherche un contrat dans des ligues indépendantes, Québec devient quasiment... Est-ce que tu t'attends à ce que le téléphone sonne pas mal cet hiver? [00:39:18] Speaker G: Ben oui, absolument. C'est sûr que c'est moi qui, quand c'est des joueurs de qualité, c'est moi qui les contacte habituellement. Je vais suivre toutes les listes de libération de l'agent Lib et tout ça, comme toujours. Mais c'est juste que j'ai des rappels beaucoup plus rapidement maintenant que notre nom est fait et qu'on n'est plus connus et tout ça. [00:39:37] Speaker A: Les nouveaux, parce que c'est pas tout à fait les mêmes règles pour les joueurs que dans le temps de la Can-Am, à quel niveau de difficulté t'estimes-tu ça? Parce que je sais que je les connais pas tous, c'est beaucoup de petits sous-règlements, mais vous avez pas le droit d'avoir tant de joueurs de tel âge et moins, de plus, de moins, on dirait presque que c'est fait comme une ligue de développement, je sais pas comment c'est vu, mais est-ce que c'est plus tough qu'avant? de compléter un alignement qui a de l'allure avec tous ces critères-là? [00:40:07] Speaker G: Oui et non. Dans l'économie, c'était pareil. C'est juste qu'ils permettaient plus de joueurs d'expérience. Maintenant, la masse aérale a changé un petit peu, puis il y a des trucs qui ont changé. Mais tu sais, ça s'est fait, des changements il y a quelques années. Là, d'année en année, on s'adapte. Ça va se ressembler. Ceci dit, il risque d'avoir Contrairement à l'an passé, il risque d'avoir un roulement plus important cette année pour différentes raisons. Je pense qu'il y a quelques gars qui ont gagné le championnat qui vont décider finalement de passer à autre chose. Il y a des gars qui tombent vétérans. Vétérans, c'est une question d'âge. On va avoir trop de vétérans et tout ça. Les choses vont changer, mais on va ramener quelques joueurs clés. Mais je pense que cette année, il va y avoir un roulement un petit peu plus important que par le passé. [00:40:48] Speaker A: Parce qu'il y avait quand même pas mal de joueurs dans l'alignement qui étaient là l'an passé cette année. Je sais pas si t'as le chiffre. Vous étiez... Il y en avait combien? [00:40:56] Speaker G: On avait 15 gars à la fin de l'année qui avaient porté l'équipe Malécapitale à un moment donné dans l'année. Il y a des gars qui ont été blessés, qui n'ont pas été là en série. Lebreu, Crowell n'était pas en série, mais c'est des membres de l'équipe. Donc on était jusqu'à 15 joueurs en fin de saison qui étaient de retour pour essayer de gagner notre centaine. [00:41:12] Speaker A: Je ne sais pas si tu peux nous le dire, mais qui des noms qu'on connaît qui ne reviendront pas assurément pour une question de règlement? [00:41:19] Speaker G: Ben, question règlement, je peux pas vraiment te le dire parce que j'ai trop de vétérans pour le retour, mais je sais pas encore qui... Ouais, ouais, ben. [00:41:27] Speaker A: Oui, tu vas les évaluer pis tu vas... Mais ça va être des décisions au toff ça pareil, tu sais, quand t'as gagné que t'as gagné pis t'es obligé de dire à un de toi « Sorry, j'ai deux vétérans de trop » pis un des deux c'est toi. [00:41:37] Speaker G: Non, exact. Souvent les choses s'arrangent dans ça là, pis t'sais j'ai des joueurs qui ont évoqué l'idée de prendre la retraite pis j'aime mieux pas trop en parler là parce que Souvent, on vient de passer à travers de montagnes grosses d'émotions, puis une longue saison. Alors juste sans match, tout le monde ensemble, les gars sont brûlés, tant typiquement qu'émotionnellement. On a tous besoin d'un break. Les gars qui votent la retraite, j'aime pareil, leur donner quelques semaines pour laisser l'ousil à retomber, pour regarder la neige arriver. Finalement, l'été, c'est le fun. [00:42:06] Speaker A: Parlez-en à David Claude, d'ailleurs. Entre autres. Ça, c'est une question qui m'est passée par la tête, puis il y a des autres titres qui se la demandent aussi. Un gérant comme ça qui a du succès, malgré que c'est sûr que c'est un calibre inférieur, mais est-ce que le téléphone a sonné ou est-ce qu'il y aurait de l'intérêt de Pat Scalabrini d'un jour peut-être se faire appeler dans le 2A pour coacher? C'est-tu quelque chose... La porte est-tu ouverte à ça un jour où c'est Québec puis on reste à Québec? [00:42:35] Speaker G: Un jour, oui. Pas à court-moyen terme, pour différentes raisons. J'adore ce que je fais encore aujourd'hui, j'adore le défi. J'ai carte blanche en ski-opération baseball ici, donc je peux monter mon équipe pas mal à mon goût. Donc c'est plein d'affaires et d'organisations. On a grandi ensemble ici. C'est moi et des gens qu'on connaît, les Charles et Michel et tout ça. Ça fait que ça c'est une chose. Ma famille, mes enfants sont jeunes, ils aiment pouvoir les voir grandir et tout ça. Ça fait qu'ils sont encore un peu trop jeunes à mon goût pour décider de quitter. Oui, le téléphone commence à sonner un petit peu plus lors des derniers hivers, mais rien de trop sérieux. Et puis, peut-être qu'un jour. C'est peut-être qu'un jour, comme quand j'étais joueur et quand j'étais dans les ligues mineurs, j'avais l'espoir de petit cul de gravir les échelons et de me rendre dans les ligues majeures peut-être. C'est sûr que c'est pas mort. J'irais pas l'essayer un jour comme entraîneur, mais je suis pas rendu là du tout. Et en ce moment, c'est pas ce qui me parle tant que ça. [00:43:30] Speaker A: Fait qu'on peut compter sur Pat Scalabrini l'an prochain? [00:43:34] Speaker G: Assurément si mes boss veulent me le voir. [00:43:38] Speaker A: Quel beau boulot. Merci Pat, merci pour l'entrevue, mais merci pour la saison. Moi je vais là, en famille, toute la gang. En passant, lâchez pas ça, on mange toute la gang, ça coûte 55$, puis tout le monde a son snack puis son breuvage. Ça fait que ça c'est un maudit beau plus. Mais merci pour la qualité de jeu, merci pour la qualité d'équipe que tu réussis à nous donner à chaque année. Merci pour ta job, puis on se dit à l'an prochain. [00:44:04] Speaker G: Très gentil, merci beaucoup, merci d'être là. [00:44:06] Speaker A: Et merci de votre temps de musique. Salut! Salut bien! Salut bien, Pat Scalabrini. Je peux même me le dire qu'il a un accent. Quelle équipe, quel championnat. Incroyable. Midi 44. [00:44:22] Speaker B: Superbe! [00:44:23] Speaker A: Superbe! On y va? [00:44:25] Speaker E: Ouais! [00:44:27] Speaker A: On s'en va. Hey, c'est arrivé juste trop tôt, parce que ça aurait été le hit de l'été. [00:44:33] Speaker B: Ah oui! [00:44:35] Speaker A: C'est un hit! [00:44:43] Speaker E: Et voilà! [00:44:43] Speaker A: Ça va, posons! [00:44:56] Speaker B: Nouvelle section podcast. Au Radio X.com. [00:45:00] Speaker C: Comme... Personne n'en parle. [00:45:06] Speaker B: Je me lève devant vous, l'académie, et je suis prêt. Fait que les Portshakers, t'en penses quoi, Alain? On est pas en 1924, on est en 2024. [00:45:17] Speaker A: Pis nous autres, on travaille à l'usine. [00:45:19] Speaker B: On se prend pas pour d'autres. Pis nous autres, il me semble que je mérite... [00:45:25] Speaker D: Très bon. [00:45:25] Speaker C: Personne n'en parle. Un podcast. [00:45:29] Speaker B: Disponible au Radio X.com Radio X. [00:45:33] Speaker A: Vous êtes propriétaire de véhicules lourds, vous connaissez Drolet-Ressort. Vous êtes conducteur de véhicules lourds, puis vous êtes à votre compte peut-être. Vous connaissez Drolet-Ressort. Si vous êtes conducteur de véhicules lourds et que votre boss n'est pas au courant, passez-y le message. Drolet-Ressort, ça va devenir son meilleur ami. C'est pour vous, amis camionneurs. Drolet-Ressort, centre de mécanique générale en véhicules lourds à Québec. C'est la place 30 mécaniciens chevronnés des délais de réparation imbattable. C'est le secret de Drolet-Ressort. On est ouvert tout le temps. Plus de 18 heures d'ouverture par jour. Maître aligneur pour poids lourd, mandataire SAAQ pour les vérifications mécaniques de véhicules lourds. Les inspections PEP, on fait tout, tout, tout pour rendre votre camion efficace et beau. Donc Drolet-Ressort, une entreprise de Québec au service de votre entreprise. Il est 7 heures, le camion brise. Salut, moi c'est Martin. [00:46:28] Speaker B: J'ai une hernie discale. [00:46:29] Speaker A: Ça fait tellement mal que je suis. [00:46:31] Speaker B: Toujours rendu à l'urgence. [00:46:33] Speaker A: Je manque le travail, je peux même. [00:46:34] Speaker F: Plus jouer au hockey. [00:46:34] Speaker A: Admettons que je trouve le temps long. Martin était bien découragé. Mais l'espoir est revenu depuis qu'il a consulté les professionnels du Centre de correction vertébrale. Grâce à la décompression discale, Martin a repris sa vie là où il l'avait laissée. [00:46:47] Speaker B: Croyez-moi, le centre de correction vertébrale, c'est. [00:46:50] Speaker A: La clé pour votre santé. À Sainte-Foy-Lévis-Pont-Rouge et au centre cvq.com. C'est la liquidation Nissan présentement chez Beauport-Nissan et Sainte-Foy-Nissan. En septembre, il n'y a jamais eu meilleur moment pour changer. [00:47:04] Speaker B: Changez donc pour le Kicks, le petit. [00:47:05] Speaker A: VUS qui a de la personnalité, offert. [00:47:08] Speaker B: En location sur 48 mois, à partir. [00:47:10] Speaker A: De seulement 251 $ par mois. Ah ah! Avoue que ça vous tente, hein? Passez chez Sainte-Foy-Nissan ou Beauport-Nissan et venez essayer votre Kicks. À compte de 1895 $, des conditions s'appliquent. [00:47:25] Speaker D: Hey, salut! [00:47:26] Speaker F: Salut. [00:47:27] Speaker A: Ça va? T'as l'air préoccupé. [00:47:28] Speaker F: Ouin, c'est que... Je viens de parler à mon gars, il panique encore parce que l'Internet coupe tout le temps. [00:47:35] Speaker B: Écoute-moi, c'est pas compliqué. Il faut que tu t'abonnes chez Oricum. Leurs connexions fibre sont pas chères, leur service est vraiment extra. J'te l'dis, tu seras pas déçu. [00:47:42] Speaker A: Pis tes ados bouderont plus. [00:47:43] Speaker F: Bon, ok, tu m'as convaincu. J'règle ça aujourd'hui, pas de temps à perdre. [00:47:46] Speaker D: Vous aussi, changez pour Oricum dès maintenant. C'est simple et rapide, comme la fibre. [00:47:51] Speaker B: Abonnez-vous à Oricum.ca Oricum.ca Vous voulez vendre votre maison? SimonsLaberge.com, les courtiers immobiliers numéro un au Québec du palmarès Via Capital. Ils ont les connaissances, l'expérience et le réseau de contact. Vous voulez vraiment vendre votre maison? SimonsLaberge.com, courtiers immobiliers Via Capital. SimonsLaberge.com. Personnellement, j'ai jamais entendu personne dire... Hey. [00:48:13] Speaker E: J'Suis tellement contente, j'ai payé plus cher qu'esposé. [00:48:18] Speaker B: Pour économiser, ça commence par la poste avec l'Antidote Plus, un carnet rempli d'aubaines et de rabais livrés directement chez vous avec le courrier. Restos, activités, soins, services, l'Antidote Plus a. [00:48:28] Speaker A: Même une section habitation. Vous trouverez des entrepreneurs en tout genre. [00:48:32] Speaker B: Pour vous faciliter la vie au quotidien. La prochaine fois que vous le recevez, conservez-le précieusement. L'Antidote Plus, un produit de l'Antidote Média. Le spécialiste des toits plats dans la grande région de Québec, c'est le groupe Nanook. Membranes, élastomères, TPO, toits verts, le toit fin, avec la meilleure garantie sur le marché. Profitez aussi de notre promo pour l'automne. Obtenez l'inspection par satellite gratuite. Nous savons que toits plats nécessitent beaucoup de soins et c'est pourquoi nous vous offrons des services clés en main. 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[00:50:03] Speaker C: Prendre des cours de conduite pour ma fille, faire un tour au Saguenay, faire le ménage dans le cabanon, aller au. [00:50:06] Speaker B: Parc... Vous êtes débordé cet automne. Laissez nos experts s'occuper de votre changement de pneus d'hiver. Planifiez votre rendez-vous en ligne avec les concessionnaires Service Certifié Chevrolet, Buick, GMC, Cadillac avant le 30 septembre et obtenez sans frais trois mois d'accès au plan véhicule connecté Downstar ou de SiriusXM. Profitez de l'offre en prenant rendez-vous en ligne au monservicecertifié.ca. [00:50:26] Speaker E: Capsule. [00:50:27] Speaker B: Recrutement. [00:50:28] Speaker E: Tu veux travailler pour une entreprise en constante expansion? Une entreprise qui t'offre d'excellentes conditions de travail? Applique chez Veolia. Stéphanie engage présentement des journaliers en chargement et déchargement de camions. Tu veux une job bien payée? Chez Veolia, on t'offre les assurances collectives, le fonds de retraite et même les vêtements de travail. C'est pas compliqué. Tu écris à Steph maintenant chez Veolia. Envoie ton CV au stephanie.boucher à commercialveolia.com. [00:50:56] Speaker B: Les manchettes sportives présentées par BPM Sport. BPM Sport, la radio des sports au Québec. [00:51:02] Speaker D: Hey, c'est Jordan. Ce fut le festival de la surprise hier dans la NFL. En commençant avec cette victoire de Las Vegas contre les Oiseaux à Baltimore. Les Raiders ont remporté 26-23 contre les Ravens qui sont déjà à 0-2. Ouch! Les Cowboys se sont fait massacrer 44-19 en plus à la maison contre les Saints avec un Alvin Camara en feu qui a été cherché 4 touchés. Ce fut une soirée de déboulement d'escalier 101 pour les 49ers qui ont été étourdis par Sam Darnall et Justin Jefferson. San Francisco l'échappait 23-17 au Minnesota. Bonne nouvelle pour les Jets et Rogers, première victoire 24-17 contre les Titans hier. Et finalement, 20h15 ce soir, place au Monday Night Football Live from Philadelphia. Un duel Eagles-Falcons. Ah, et en terminant, félicitations au Capitale. Remontée spectaculaire en fin de rencontre samedi, un circuit de rêve d'Anthony Kyrion et un troisième titre d'affilé remporté dans la Ligue frontière. Good job! [00:52:03] Speaker B: Pour plus de sport, c'est BPM Sport. [00:52:06] Speaker E: 100.9. Ouellet en direct, présenté par l'Entrepôt de la Rénault. Découvrez notre vinyle clique qualité commerciale à 1,79$ le pi carré. On vous attend au 9300 rue John Simons, Québec et rue Jean H. Kruger, Trois-Rivières. Entrepôt de la Rénault.com. [00:52:22] Speaker B: Ouellet en direct. [00:52:25] Speaker D: Ici est Patricia. [00:52:27] Speaker C: Radio X. [00:52:40] Speaker A: On verra, hein, c'est ça. Parce qu'on est partis sur des discussions pendant la pause, puis finalement, le thème commence. Hey, c'était quoi donc tes sujets, là? C'est pas grave, on verra. J'ai pas trop fait d'économie, Pierre, fait que tu pourras te lancer dans le sujet que t'as envie. Fait qu'on va y aller de ce pas. Regarde, tu vois, on était tellement dans une discussion que j'ai même pas parti ton thème, là. ♪ Money, money, money Must be funny In the rich man's world Ouais, avant. [00:53:10] Speaker H: De commencer, écoute, ça, ça a popé pis ça me... ça m'atteint. [00:53:14] Speaker E: Ça t'atteint? [00:53:15] Speaker H: T'sais quand les villes qui sont supposées faire leur tâche du quotidien, là. Les vidanges, les égouts, le déneigement... Non, non, non. [00:53:25] Speaker E: Il faut sauver la discipline. [00:53:27] Speaker H: Et là, on s'en va complètement ailleurs. Tu sais, quand tu t'éloignes de ton core business... Ouais, là, Pierre, t'as pas. [00:53:32] Speaker A: Parlé de la décarbonation de Carlotton. [00:53:35] Speaker H: Ouais, mais là, écoute, les vidanges à Québec vont, à partir du 7 octobre, vont être aux deux semaines. Là, tu te dis, quelle bande! Votre job, c'est de faire des choses au quotidien à ville. Puis vous êtes tellement loin dans vos chimères que ta job de base, t'es en train de l'évacuer complètement. [00:53:52] Speaker A: Puis ça, en passant, dans plusieurs... Moi, c'est tôt deux semaines. Puis, t'sais, à force... On dirait à force de le faire, puis on finit par tout accepter tout le temps. Tout le temps. Tout le temps. [00:54:02] Speaker H: On baisse les épaules. [00:54:03] Speaker A: Puis là, tu te ramasses avec un bac à vidange qui déborde à tous les deux semaines. Tu gères des surplus de poubelles. Regarde, c'est... Moi, ce qui va arriver. [00:54:10] Speaker H: C'Est que dans le privé, quand tu t'éloignes de ta core, de ton... Ouais, tu fais faillite. Ben, soit que t'as moins de revenus, pis à un moment donné, moins de revenus, ça fait quoi? Ben, c'est qu'il y a des mises à pied, pis à un moment donné, la compagnie décline. [00:54:23] Speaker A: Ouais, mais au public, c'est pas de même. [00:54:25] Speaker H: Ben, il faudrait. [00:54:26] Speaker E: Je t'annonce que ça décline à Québec. Il y a eu le rapport sur l'économie et on est bon dernier. Les impacts sont là. Surtout pour en faire ce qu'on coupe, c'est drôle pareil. Parce qu'un service de base d'une ville, on ne le répétera jamais assez, c'est les poubelles. [00:54:44] Speaker A: On dit Victor, c'est aux trois semaines. [00:54:47] Speaker E: Effectivement, une fois par trois semaines. [00:54:49] Speaker A: Comment tu gères ça, un bac à poubelle à 30 degrés en trois jours? [00:54:51] Speaker E: Le monde le brûle, j'imagine. [00:54:53] Speaker A: À 3 semaines! [00:54:55] Speaker E: Tu vas le porter. D'après moi, tu cherches des compteurs. [00:54:58] Speaker H: Ça te tente-tu de faire la job? Si ça ne te tente pas d'être une municipalité, tasse-toi et laisse ça à d'autres. [00:55:05] Speaker E: C'est ça. [00:55:06] Speaker A: C'est une fois par mois. [00:55:08] Speaker E: C'est dégueulasse. Dites-nous où. [00:55:09] Speaker A: À Nantes. Pas en France, il y a Nantes au Québec. Tu peux me dire c'est où Nantes au Québec? [00:55:16] Speaker E: Ça fait européen, c'est bon, ça ne. [00:55:17] Speaker A: Va pas à moi. Ça va avec l'odeur. [00:55:19] Speaker E: Mais est-ce que les taxes baissent? [00:55:22] Speaker A: Non mais c'est sûr que moi, baisse-moi. [00:55:23] Speaker E: Mon compte de taxes. En fait, c'est ça le deal. C'est que vous vous occupez de ça. Si tu le fais moins, automatiquement, t'épargnes. [00:55:30] Speaker A: C'est honnêteté, c'est pas loin de Lac-Mégantic. [00:55:33] Speaker E: Tu devrais redonner les sous à tes citoyens. [00:55:36] Speaker H: Écoute, à Nantes, d'après moi, ils s'en brûlent de la vidange. [00:55:38] Speaker A: Une fois par mois, c'est pas vivable. [00:55:41] Speaker H: Ici, ils doivent s'en brûler de la vidange. [00:55:43] Speaker A: Mais c'est-tu ça, là? Pis là, ils réalisent que les gens acceptent ça, fait qu'on... Ah, nous autres aussi, on va faire ça, pis c'est pas grave. Regardez le fond, là, nous autres aussi, on va le faire. [00:55:52] Speaker E: Tu sais pourquoi ils ne font pas à Limoilou? Je ne me souviens plus qui nous a dit ça. Tu te souviens de la raison de pourquoi ils ne font pas à Limoilou? [00:55:57] Speaker A: Pourquoi? [00:55:57] Speaker E: À cause des odeurs? Non, parce qu'ils sont en négociation avec l'école. Ah! L'école bleue? Oui, exactement, avec l'école bleue. Ils sont en négociation. Puisqu'ils sont en négociation, c'est sûr qu'on. [00:56:09] Speaker H: Ne vous dira pas… C'est Patrick Paquet. [00:56:10] Speaker E: Je pense qu'il avait parlé de ça. Ah oui, c'est ça. C'est lui qui avait parlé de ça. Parce que quand tu es en égo, il y a une petite guéguérette au niveau des salaires, etc. Ça va venir. [00:56:24] Speaker A: L'objectif, c'est quoi? C'est qu'on fasse moins de poubelles? C'est de nous forcer à ne pas faire de poubelles? C'est qu'on mange nos poubelles? [00:56:30] Speaker H: C'est d'aller vers tout le recyclage de bouffe et les résidus de table. On va aller là aussi, le sac mauve. [00:56:39] Speaker E: Oui, mais ça, ça n'a pas rapport parce que... En fait, je comprends où tu veux aller, mais ça n'a pas rapport parce que je comprends qu'il y ait des poubelles. Fait que tu accumules quand même de la bouffe dans le bac de poubelles, plus tes ordures. Ça fait que ça en accumule plus au final, pas moins. Le point serait bon si ton sac de bouffe, le compost, il irait dans le bac à compost. En tout cas, si, à Québec... [00:56:58] Speaker A: Mais non, c'est des poubelles. Faut que tu ramasses les poubelles. Le compost, c'est des poubelles. [00:57:02] Speaker E: C'est ça. [00:57:03] Speaker A: Deux semaines. Deux semaines avec ton sac vert rempli de trognons de pommes et de viande. [00:57:08] Speaker H: Ils prennent vraiment les citoyens pour des imbéciles. [00:57:11] Speaker A: Pis bien évidemment hein, on a oublié de dire que ça vient avec sûrement une baisse de taxes. Non. Ah ok. [00:57:16] Speaker H: Mais non, on va t'augmenter ton compte de taxes. [00:57:18] Speaker A: Ah non, je sais, c'est vrai. Faut faire plus de vélos. Parce que hier, le maire Marchand, ou hier, ou en fin de semaine, nous a appris qu'il y avait un million de déplacements à vélo. [00:57:29] Speaker H: Quand tu calcules ça, c'est gonflé à mort. [00:57:33] Speaker A: Écoute bien ça, la phrase. La malhonnêteté, on nous accusait souvent de faire des raccourcis intellectuels, puis du populisme. Écoute bien la phrase. Un million de déplacements à vélo. Quand je dis à vélo, c'est pas à vélo, c'est la patente de Born, avec des vélos de partage. Ça, c'est un million de fois où quelqu'un a choisi un autre moyen de se déplacer pour vivre son quotidien. [00:58:01] Speaker H: C'est pas vrai ça. [00:58:01] Speaker A: Hey! Pensez-vous vraiment que c'est un million de fois où quelqu'un aurait dit, moi je prends mon char. Ah ben non! Je vais prendre la vélo. [00:58:12] Speaker E: Ah ben ça, c'est tu parles du service à vélo? [00:58:13] Speaker A: Oui. [00:58:13] Speaker E: Bon, mais il y a des touristes là-dedans. [00:58:15] Speaker A: Il y a plein de monde qui avait aussi un vélo, puis qui prennent la vélo, puis qui prenaient l'autobus, puis qui prennent la vélo, puis qui prenaient un taxi. T'sais, quelle malhonnêteté intellectuelle. [00:58:25] Speaker H: En passant, un vélo est à perte. Je sais pas comment ça nous coûte, c'est des millions de dollars ça que ça nous coûte. [00:58:30] Speaker E: Ça va être à perte longtemps. [00:58:33] Speaker H: On subventionne des voyages gratis à vélo. [00:58:36] Speaker E: Qu'on parle de victoire avec un million de déplacements, puis que ça reporte pas une scène en plus. [00:58:40] Speaker A: Ben non, ils mangent l'argent. [00:58:41] Speaker H: Voyons, c'est rien. [00:58:43] Speaker E: C'est combien ça en prend, 15 millions? [00:58:46] Speaker H: C'est jusqu'où? C'est du charabia. [00:58:48] Speaker A: Donc, ils nous confirment aussi que le réseau va se développer l'année prochaine. L'essayer, c'est l'adopter. Il n'y a pas de... [00:58:54] Speaker H: Quand tu fais le calcul, 1 million divisé par quoi? 200 jours? 150 jours? Pis là, tu divises ça par jours, c'est pas tant que ça de déplacement. [00:59:03] Speaker A: C'est sûr que le chiffre est... Mais moi, c'est le bout où on essaie de nous faire croire que ça, c'est un million de moins de déplacements en voiture. [00:59:12] Speaker E: Ça n'a pas rapport parce que t'as un lot de tourisme. [00:59:14] Speaker A: Aussi? [00:59:15] Speaker E: Non mais c'est vrai, ça n'a pas rapport. Je comprends. Tant mieux si c'est un succès. C'est-à-dire qu'on changera pas pour ça. Le succès déficitaire. Oui, effectivement, succès déficitaire. Le deuxième mot est très important. Mais ça n'a pas rapport avec la guerre à l'auto, entre guillemets, qui dit qui fait pas. Il n'y a pas de lien ensemble. Ça, c'est une option. Si tu peux l'utiliser, tu l'utilises. Mais sinon, il n'y a pas personne qui a vendu son char. [00:59:40] Speaker H: Pas de moi, en tout cas. [00:59:41] Speaker E: Il y a un vélo où je vends mon char. [00:59:42] Speaker A: Je ne suis pas sûr que ça arrive souvent que le gars dise qu'il faut qu'il parte de Beauport à Québec. C'est-tu quoi? Je skippe le char aujourd'hui. Voyons. Il y en a peut-être une fois de temps en temps. [00:59:56] Speaker E: C'est un service de dépannage. [00:59:57] Speaker A: Mais le statement, regardez-moi ça. Un million de fois où quelqu'un a choisi un autre moyen de se déplacer pour vivre son quotidien. Comment on... [01:00:05] Speaker H: Mais moi, je veux voir le budget de la vélo. Comment ça a coûté la ville, ça, à implanter ça, puis comment ça coûte. C'est des millions de dollars par année. [01:00:11] Speaker A: Fait que les poubelles, ça, c'est pas grave. [01:00:12] Speaker H: Ah, les poubelles, c'est fini. [01:00:14] Speaker A: Fait que vous arrangerez avec vos verres blancs, parce que comme on dit, le compas, c'est des poubelles. [01:00:17] Speaker H: Aux deux semaines. [01:00:18] Speaker A: Vous vous arrangerez avec ça, là. Pas de trouble. OK. [01:00:22] Speaker H: Une autre affaire qui va bien, c'est NordVault. Je sais pas si t'as vu, en fin de semaine, c'est parce que là, les employés qui travaillent pour NordVault au Québec ont reçu un mémo de plus dépenser une scène. Fini. Les dépenses, parce qu'il y avait du monde qui partait en voyage. [01:00:35] Speaker A: Oui, les comptes de dépense. [01:00:36] Speaker H: On allait étudier en Suède, puis on allait se former là-bas. Tout est sur la glace. [01:00:41] Speaker A: Mais NordVault, à quel point, parce que je pense qu'on sait pas tout, à quel point ça va pas bien? [01:00:46] Speaker H: Ben écoute, c'est le premier ministre de la Suède qui dit nous, on ne met pas une scène là-dedans. Ils nous ont demandé de peut-être les aider. Écoute, c'est Volkswagen qui a 21% des parts. Et t'as d'autres joueurs là-dedans. [01:00:58] Speaker A: Ah, t'en as pis c'est des gros joueurs. Eux autres, ils doivent pas triper, ça doit taper du pied pas pire. T'as Volkswagen, t'as Goldman Sachs qui a 19%. [01:01:05] Speaker H: Le gouvernement du Québec est propriétaire de nos autres. [01:01:08] Speaker A: Ben oui, absolument. Qu'est-ce qu'on est niaiseux? Vous autres, on va le guérosher 7,4 milliards et leur propre gouvernement, eux autres, ils se disent d'abord, on a de la misère. Ils disent non, non, arrangez-vous. [01:01:20] Speaker H: Arrangez-vous. Ils ont déjà levé 15 milliards, eux autres, dans le privé. Là, on cherche des financements pour 7,5 milliards. [01:01:27] Speaker E: Moi, j'ai une question. [01:01:27] Speaker A: Ils ont émis des actions. Ça va pas bien. [01:01:30] Speaker H: Ils veulent réémettre. [01:01:32] Speaker E: Et la Chine contrôle 85% en passant de la batterie, le développement de la batterie. On va se le dire, il en reste peu pour les autres. Est-ce que Northvolt, comme ça s'enligne, ça s'enligne, on va se le dire, vers une faillite? Bien, je ne sais pas. [01:01:46] Speaker H: Mais il y a un ménage. [01:01:47] Speaker A: J'ai oublié de tout faire. [01:01:48] Speaker E: Ils ont encore perdu des contrats. Il y a PMW, il y avait une usine, je pense, en Pologne. Il se passe de quoi en Pologne aussi? Ils ont fermé. [01:01:55] Speaker A: Californie a fermé. Ils ont arrêté de faire des cathodes dans toutes leurs usines. [01:01:59] Speaker H: Moi, je ne connais pas le plan d'affaires d'un ordre vôtre, mais moi, tu me dis, tu réinvestis-tu là-dedans, Pierre? [01:02:03] Speaker E: Je ne suis pas sûr. Non, mais c'est trop gros. En fait, c'est beaucoup de prêts aussi. Qu'est-ce que t'as? T'as beau avoir bien des prêts, il faut que tu leur donnes. Ça marche pas. Il y a pas de rendement là encore. Ça s'enligne. Bref. Je serais pas surprise qu'il fasse faillite. Je pense qu'on s'en va directement vers mes connaissances là-dedans. C'est assez petit. [01:02:22] Speaker H: Je pense que ta boule de cristal équivaut... Ça se peut. [01:02:25] Speaker E: Ça se pourrait. Mais s'ils font faillite, est-ce que c'est une démission obligatoire pour le premier ministre? Parce que Fitz, il est déjà out. [01:02:32] Speaker A: Oui, il est parti. [01:02:32] Speaker E: Il est parti. [01:02:33] Speaker A: Lui, il a fait la chèque et il est parti. [01:02:35] Speaker E: Puis moi, je me demande s'il n'y a pas un lien aussi. D'après moi, Premier le PM, le gars, il doit être un peu au courant de la chute que génère Nordvolt, OK? Il ne doit pas être fou à temps plein. Est-ce qu'on exige, est-ce que le Premier ministre, étant donné qu'il a dit que c'était ça le plan d'avenir du Québec. [01:02:52] Speaker A: On se souvient, c'est notre Hydro-Québec, mais. [01:02:55] Speaker E: D'Une compagnie extérieure, c'est ce qu'il a pas dit, c'est quand même lui qui a dit ça. [01:02:57] Speaker A: C'est notre Hydro-Québec suédois, on le suit un peu. [01:03:00] Speaker E: Est-ce que le premier ministre doit obligatoirement démissionner? [01:03:06] Speaker H: Non, il ne partira pas. [01:03:08] Speaker A: J'aime ton optimisme. [01:03:09] Speaker H: Je pense qu'il va partir pour d'autres choses, mais il ne partira pas là. [01:03:11] Speaker A: Il va partir parce qu'il est tanné. [01:03:13] Speaker H: D'après moi, le go, c'est fini. [01:03:14] Speaker E: Parce que c'est un manque. de rigueur, c'est un manque de jugement. D'ailleurs, il y avait déjà, on se souvient, des drapeaux disant, la batterie, on n'est pas sûr, on regarde, on voit, il y a une baisse en production, une baisse des ventes aussi, l'intérêt des gens n'est pas là. On a vu, il y a quelques signaux qui se sont allumés. Ils ont quand même tout positionné ça dans le même panier. [01:03:34] Speaker A: Ben oui, mais ça, c'est ce qu'on fait, nous autres. [01:03:36] Speaker E: Fait qu'on le laisse PM, si ça arrivait? [01:03:39] Speaker A: Ben on le laisse, il y a des élections qui s'en viennent. T'sais, on a le droit de s'exprimer aussi dans les votes. J'suis pas sûr que tout le monde a la même lecture. J'suis pas sûr que tout le monde suit la game non plus. Regarde le premier ministre suédois. Ulf Kristersen. Oulf y dit. Non mais, j'aimerais s'entendre ça une fois ici. On a tellement vanté le modèle scandinave, on n'est même pas capable de copier les autres comme il faut. [01:04:06] Speaker H: Parce que ça, dans ce monde, c'est une copie de copie de copie de copie de compagnie. [01:04:09] Speaker A: Oui mais c'est, tu sais, quand on nous dit là, pendant des années, là on en parle moins, le modèle scandinave. [01:04:16] Speaker E: Qui? [01:04:17] Speaker A: Quoi? Non, OK. [01:04:17] Speaker H: Ils ont eu du pétrole en passant. [01:04:19] Speaker A: Oui. Eux autres, ils ont exploité leurs ressources. Eux autres se sont fait des fonds souverains. La Norvège, la Finlande, la Suède sont pleins à craquer. Ça déborde de tous les bords. Puis là, on est là, regarde les belles écoles en Suède. Comment ça? Nous autres, on va faire des belles écoles de même, mais aucun moyen de les financer. On va tout pomper ça dans la poche des contribuables. Nous autres, comme des épais. Et là, écoute ce qu'il dit. Ça, il faut que j'entende ça au moins une fois dans ma vie au Québec avant de mourir, s'il vous plaît. Parce qu'il lui a dit « North Vault, Point Sand ». Par contre, nous nous engageons à faire de la Suède un endroit propice pour le développement des nouvelles technologies. [01:05:00] Speaker H: Hein? [01:05:01] Speaker A: Regarde-moi ça, la gang de pas fous. C'est pas compliqué. On va baisser les taxes, on va baisser les impôts, on va les laisser s'installer, on va les laisser se développer. Ben quand y'en a un qui plante par ses propres décisions de trop d'envergure, le bedon trop rond, ben il plantera. Y'en a deux autres qui vont arriver pis c'est pas grave. Nous autres on est là, y'a des chèques d'un bord pis de l'autre. C'est quoi l'autre à faire de chèques que j'ai vu passer là? Hey, la NFL! T'as-tu vu ça c'est toi là? [01:05:34] Speaker E: Le gouvernement là tu parles? [01:05:37] Speaker A: Moi là quand c'est le gouvernement qui me dit qu'il va y avoir une game de NFL ici, là je capote. J'aime ça l'NFL, j'en mange, j'aimerais ça voir des games d'NFL à tous et à toutes les semaines. [01:05:45] Speaker E: Avec Caro, j'pense, hein? [01:05:46] Speaker A: Caroline Brou! [01:05:47] Speaker E: Exact. [01:05:48] Speaker A: On est en contact avec la fé... Asti! [01:05:50] Speaker E: Non! Dégage! [01:05:51] Speaker H: Va pas là! [01:05:54] Speaker E: Qui? [01:05:54] Speaker A: Tsé, j'entendais à matin, c'est... j'pense c'est dans le Chamoré, Dan qui dit « Oh, ils rappelleront pas! » Ils vont rappeler! Ben oui, ils vont mettre du cash! Ben voyons! [01:06:01] Speaker E: Ben oui! [01:06:02] Speaker A: « Vraiment, on va vous donner 200 millions! » « Ah, ils rappellent-les tout de suite! » Gang de vèges! Ils vont nous pitcher des chèques! [01:06:08] Speaker H: Pense pas qu'à New York, le mot est pas passé, là. Les poissons. [01:06:11] Speaker A: Hé! Allô! Les Kings! [01:06:13] Speaker H: Les Kings, flipanters. [01:06:14] Speaker A: Les Kings, ils ne sont pas ici pour manger au Ashton, là. Non. Ils viennent ici parce qu'on les a graissés les poches ben plein d'argent public. Voilà. [01:06:22] Speaker H: Tout ça pour dire que NordVault, OK, c'est une startup. Eux autres, ils ont levé 15 milliards, ça marche pas. Là, ils parlent de lever encore 7,5 milliards. Et après ça, on irait peut-être en bourse. [01:06:35] Speaker A: Il faut que ça marche, là. [01:06:36] Speaker H: Il faut que ça marche, cette patente-là. [01:06:38] Speaker E: Eux autres, plus qu'ils essaient d'en faire, moins que ça marche. C'est ça, l'affaire. [01:06:41] Speaker H: La poutine dans la batterie. [01:06:43] Speaker E: C'est le graphique, là. La ligne, elle s'en va par en bas, en rouge. [01:06:46] Speaker H: Oui, oui. Non, non, c'est inquiétant. [01:06:47] Speaker A: Très inquiétant. Ça se peut pas. [01:06:49] Speaker H: Je sais pas comment ça va finir, mais habituellement, ces histoires-là finissent très mal. [01:06:52] Speaker A: C'est incroyable. T'as-tu vu la giga... Quelle drôle de place de Weird City, c'est incroyable. [01:06:56] Speaker E: La giga usine en Suède, là, as-tu vu cette photo? C'est impressionnant. Ben non, c'est... Hé, je me disais, hé, ça, mec, ça meurt, là. T'as tout qu'un lot de terrain près des maisons, pis... [01:07:06] Speaker A: Je sais pas si ils vont faire comme la Forano avec le Civil, ils vont diviser ça en petites chopes. [01:07:10] Speaker H: Après moi, le terrain qu'il y a, Saint-Basile-le-Grand. Ça aussi, il y a quelqu'un qui a fait de l'argent avec ça. [01:07:18] Speaker A: Ben oui, puis là imagine, il n'y a rien qui se plante là. [01:07:20] Speaker H: 240 millions. [01:07:21] Speaker E: Salutations Le Poirier. Je pense que ce serait une bonne nouvelle qu'il ne se passe rien. [01:07:24] Speaker H: Luc, il a eu sa nouvelle Ferrari. [01:07:26] Speaker A: Lui, il est mort de rire. [01:07:26] Speaker E: Je pense que la meilleure nouvelle... [01:07:28] Speaker A: Tant mieux Luc, profitez-en. [01:07:29] Speaker E: Ben oui, mais c'est fait. [01:07:30] Speaker A: Profitez-en, rendez-vous là, profitez-en, bon reopen. C'est fait. [01:07:32] Speaker E: Mais d'après moi, la meilleure nouvelle qui pourrait nous arriver, c'est de dire écoutez là, on est trop inquiet pour la suite, on arrête ça. On continue pas le deal avec NordVault. [01:07:42] Speaker A: Je suis pas sûr qu'ils peuvent faire ça. [01:07:44] Speaker E: Ils vont à des pénalités. La pénalité, t'es-tu mieux de la payer et de tourner la page ou t'es mieux de construire ça et que ça finisse mal? [01:07:51] Speaker H: En fait, on a mis 300 millions dans NordVault. On a acheté un terrain à 240 millions. Le reste à NordVault qui doit aller avec des étapes. Une fois que l'étape est franchie, on leur donne de l'argent. [01:08:02] Speaker E: C'est parce que l'étape est retardée. Là, ils retardent tout. [01:08:05] Speaker H: Ben là, y'a pas l'argent qui sort pour l'instant. [01:08:07] Speaker A: Y'a un auditeur qui me fait réfléchir. Y'avez-vous cru, vous autres, aux raisons du départ de Fitz? [01:08:13] Speaker H: À la matinée, notre chroniqueur politique a quand même évoqué... Qu'est-ce qu'il dit? Ben lui, il dit que c'est par rapport à Michael Sebia. Lui, il dit que parce que là, le gouvernement du Québec et Hydro sont en train de renégocier avec Terre-Neuve parce qu'il y a Chuck Jeffords qui arrive à terre. [01:08:27] Speaker A: Qui nous donnait leur courant. On les avait fourrés big time, by the way. [01:08:31] Speaker H: Puis là, ça a l'air que Michael Cébiot était plus capable de blairer Fitz. [01:08:35] Speaker A: En tout cas, ça a péru, c'est en commission. [01:08:37] Speaker H: Tu as vu comment Cébia a ramassé le gouvernement, c'est la nouvelle politique énergétique. Lui, selon ses infos, il y avait un croche entre... Cébia-croche, vraiment, ça n'accrochait plus. [01:08:47] Speaker A: Il y a peut-être ça, mais c'est parce que l'auditeur me dit que ça ne se peut que fit. Il l'a vu venir aussi, Northvault? [01:08:54] Speaker H: Ben oui, c'est sûr! [01:08:55] Speaker E: Ben... [01:08:56] Speaker A: Pis t'sais, c'est Edie Gard, moi... Je suis plus là, bye bye, je suis parti à la chasse aux faisans. [01:09:00] Speaker E: Moi, je pense que c'est l'ensemble de l'œuvre. [01:09:02] Speaker H: L'ensemble de l'œuvre. [01:09:03] Speaker E: Et ce que dit ton chroniqueur politique. [01:09:05] Speaker H: L'ensemble de l'œuvre. [01:09:06] Speaker E: Et ce que dit l'auditeur. [01:09:07] Speaker H: En fait, c'était devenu trop... [01:09:08] Speaker E: C'est la soupe chaude, là. [01:09:09] Speaker H: ... dérangeant. [01:09:10] Speaker A: Non, mais c'est parce que moi, l'affaire de... [01:09:12] Speaker E: Il est pas bon! [01:09:12] Speaker A: Je suis pas motivé, mais c'est la job la plus motivante que j'ai jamais eue. Tout ça dans la même phrase à peu près. [01:09:18] Speaker E: Il était peut-être assurément bon au privé quand il gère son argent à lui, mais je pense qu'il est pas capable de gérer l'argent des Québécois. [01:09:24] Speaker A: Oui, mais quand t'arrives au public, Pat, quand t'as ton argent, c'est ton argent. Tu checks ton compte, tu te dis « je peux en mettre tant, pas plus, pis il faut que ça fructifie, pis je prends des risques calculés. » Sauf quand ils sont arrivés, qu'est-ce qu'il a dit le gars? Souvenez-vous de la sermentation? Voyez grand. Voyez large. Voyez big. Voyez loin. Il n'y a pas de limite. T'arrives, regarde, t'as un pote, là. Ah ouais, voix grande, regarde bien ça, moi. Let's go, les batteries, on y va. [01:09:50] Speaker H: On ouvre les valves. [01:09:51] Speaker E: C'est l'avenir. [01:09:53] Speaker H: On ouvre les valves d'hydro. Ottawa qui élargit les hypothèques sur 30 ans. On avait interdit les hypothèques. Il y avait des hypothèques sur 40 ans, 35 ans, 30 ans, 25 ans. Là, on ramène ça à 30 ans pour les maisons neuves. [01:10:05] Speaker A: On n'avait pas dit que c'était pas bon, ça, il y a quelques années. [01:10:08] Speaker H: Ben, c'est parce que ça encourageait... [01:10:10] Speaker A: L'endettement. Ben oui. [01:10:11] Speaker H: Mais là, écoute, les prix des maisons ont beaucoup monté. D'après moi, on va revenir à ça, des hypothèques à 30 puis 35 ans éventuellement. Là, on l'ouvre pour les maisons neuves. Premier acheteur dans les maisons neuves. [01:10:19] Speaker A: On va encourager... Pas pour une maison usagée. Non. [01:10:24] Speaker H: On va encourager les promoteurs à construire des maisons neuves et à te la vendre sur une hypothèque de 30 ans. [01:10:29] Speaker A: Sur 30 ans, les banques devraient être contentes. [01:10:32] Speaker H: Oui, mais tu sais qu'en Europe, des hypothèques sur 100 ans, ça existe. [01:10:36] Speaker A: Oui, les familles se passent. Logiquement, ça se peut pas. [01:10:40] Speaker H: C'est parce qu'on se passe ça de famille en famille. Parce que les maisons sont tellement chères. À Paris, t'as des appart' à 2 millions, 3 millions. Tu peux pas acheter en bas de ça. [01:10:48] Speaker A: Fait que sinon personne va vivre là. [01:10:49] Speaker H: Donc l'appartement, la maison, reste dans la famille, pis quand tu hérites, ben t'as l'héritage. [01:10:56] Speaker A: Tu hérites de l'hypothèque ça. [01:10:58] Speaker H: Ah oui, on fait ça. On fait ça en Europe. [01:10:59] Speaker A: Tabarouette. [01:11:00] Speaker H: On va-tu en arriver à là? [01:11:01] Speaker A: Nous autres on avait jamé le 40 pis on était rendu à 20, c'était-tu ça? [01:11:04] Speaker H: 25. [01:11:04] Speaker E: Ok. [01:11:05] Speaker H: Dans certaines exceptions, tu peux avoir 30 ans. [01:11:07] Speaker A: C'était vraiment pas bon, mais là, c'est correct. [01:11:09] Speaker H: Mais d'après moi, à cause, les taux d'intérêt vont baisser. Ça va ramener. C'est quand les taux d'intérêt montent que ça crie, tu le sais. [01:11:15] Speaker A: Oui, je sais bien. [01:11:16] Speaker H: Tu montes les hypothèques de 800, 900, 1000 piastres par mois. C'est là qu'il y a le danger. Donc Ottawa bouge là-dessus. Je vais terminer avec ça. Air Canada, on a eu une entente des pilotes en fin de semaine. Les pilotes vont chercher 42 % sur 4 ans. [01:11:30] Speaker A: 26 % rétro. [01:11:40] Speaker H: Et 4% par année pendant 3 ans, ça fait d'autres quand t'ajoutes toutes les balles dans l'auto. [01:11:44] Speaker A: 42%. Ça fait que là, ils sont rétroactifs de combien depuis qu'ils étaient en égo? [01:11:48] Speaker H: C'est comme un rattrapage salarial qu'on leur donne un 26%. Il y en a qui vont faire 120 000 de plus. [01:11:53] Speaker A: Watch out les billets, par exemple. [01:11:55] Speaker H: Les billets. D'après moi, les billets vont... Ben je sais pas. Air Canada c'est 43% de part de marché. [01:12:00] Speaker A: Ils vont s'en prendre ailleurs. [01:12:01] Speaker H: Ils ont le contrôle. Mais écoute, ça aurait été catastrophique, mais moi je t'en ai parlé la semaine dernière. Je dis écoute, ils vont avoir une entente. [01:12:08] Speaker A: Moi ça me dérange pas. Moi ce qui me dérange c'est le manque de compétition ici. Parce que je comprends, c'est beau, bravo les pilotes, bravo, puis amusez-vous, puis bon vol, mais... [01:12:18] Speaker H: Il manque des transporteurs. [01:12:20] Speaker A: C'est parce que s'il y a personne pour se battre sur les prix, ça va péter. [01:12:23] Speaker H: Mais c'est le Canada, le prix à payer pour rentrer au Canada comme une compagnie, c'est l'intrant. Télécom, il manque des joueurs. [01:12:29] Speaker A: Ça me met ma face tout le temps, ça. [01:12:30] Speaker H: La nourriture, il manque des joueurs. [01:12:32] Speaker A: Il manque des joueurs, on en parle souvent. [01:12:33] Speaker H: Transport aérien, il manque des joueurs. [01:12:35] Speaker A: Mais pourquoi? [01:12:36] Speaker H: Ben c'est le Canada, c'est la couronne, hein. Ça coûte cher d'entrer, pis quand on rentre, ben on s'installe comme il faut. [01:12:42] Speaker A: Mais c'est parce que c'est pour le bien de tous, là. C'est comme ça qu'on régule les prix, là. Quand t'amènes de la compétition, t'en as un qui trouve des façons de baisser les prix. Non! L'autre peut plus vendre ses billets trois fois trop cher. Non! Non? OK. [01:12:53] Speaker I: Non. [01:12:54] Speaker A: On aime ça, les monopoles, hein. [01:12:55] Speaker I: On aime ça. [01:12:55] Speaker H: Oui qu'on aime ça. Regarde dans l'électricité. [01:12:57] Speaker A: T'sais, on... [01:12:58] Speaker I: On a un joueur. [01:12:59] Speaker A: Hé, avant, R-Canada, vous pouvez oublier, c'était une société d'État, là. Oui, c'est jusque dans les années 80, ça appartenait à ce gouvernement. Fait que là, on était dans le total monopole. Total. Fait que là, on s'est tellement fait critiquer, on a gossoyé là-dedans. Là, on a des semi-monopoles. On est restés comme accrochés à ça, des grosses compagnies nationales. [01:13:18] Speaker H: Au Québec, on aime ça les monopoles, l'électricité Hydro-Québec, l'alcool, la sac, le pot, tout. [01:13:24] Speaker A: Surtout que ça touche un... Regarde dans. [01:13:26] Speaker H: Bouffe là, il y a 3 gros joueurs, 3-4 gros joueurs. [01:13:27] Speaker A: Il en manque. [01:13:28] Speaker H: Il en manque. Et le bureau de concurrence, il dit moi j'ai pas fait ma job pendant 20 ans, mais il en manque. [01:13:32] Speaker E: Pas grave. [01:13:35] Speaker A: Au moins le constat est fait. Comment vont les bourses? [01:13:38] Speaker H: Les bourses c'est semi. À Toronto c'est vert, le dors est vert, mais le reste c'est rouge. Apple se fait ramasser, le titre baisse de 5-6$. Qu'est-ce qui se passe? Prévision de Apple, de iPhone, on dit que ça va être moins fort cette année. [01:13:50] Speaker A: Je trouve que ça fait un bon moment qu'Apple n'a pas sorti une innovation. Avant, à chaque 5 ans, elle arrivait avec une montre ainsi, une tablette. [01:13:59] Speaker E: Je vous challenge. Est-ce que c'est aussi économiquement parlant, les gens veulent attendre avant de s'acheter? Parce que là, Apple, ce qu'ils vont sortir en passant, j'ai entendu ça, une chronique à choix la semaine passée, je ne sais pas dans quel show, je ne me souviens plus, c'était le piton pour un Kodak. [01:14:13] Speaker H: Oui, c'est François Charon dans notre show. [01:14:15] Speaker E: Ah, c'est dans ton show? Bon, c'est Apple, dans le fond, sa prochaine innovation qui est bien simple, mais c'est une bonne idée, c'est que tu mets le piton comme un codex sur ton sel. [01:14:24] Speaker A: J'en ai un, oui, c'est le piton, quand tu pèses le piton du volume ou je sais pas quoi, ça prend une photo. [01:14:29] Speaker E: En tout cas, je trouvais ça bien. [01:14:30] Speaker H: Non mais c'est ça, c'est que Steve Jobs n'aimait pas les pitons. [01:14:34] Speaker A: Ah ok. [01:14:35] Speaker E: Les pitons. [01:14:36] Speaker A: Donc là, il rajoute des pitons. [01:14:37] Speaker E: Il rajoute des pitons. [01:14:39] Speaker A: Mais pensez-y là. [01:14:40] Speaker E: Mais en même temps, ce que je voulais dire au final, c'était pas le piton que je voulais jaser, c'était pour dire que j'ai belle impression parce qu'on n'arrête pas de parler de l'économie aux États-Unis. En tout cas, il n'arrête pas de se plaindre économiquement. Ça a déjà mieux été que ça va présentement. Fait qu'à un moment donné, peut-être ton nouveau sel à 5000$, tu laisses faire. [01:14:56] Speaker H: Mais là, la Fed, cette semaine, mercredi, va annoncer qu'elle baisse son taux de directeur. Aux États-Unis, nous autres au Canada, on a eu trois baisses. Les autres, ils vont avoir leur première baisse depuis un an et demi. Ça fait de long l'année. Même plus que ça, ils ont eu des hausses. La Fed, l'économie va bien, mais elle est dopée. Aux États-Unis, c'est beaucoup des aides financières. C'est une campagne électorale. Le gouvernement Biden a envoyé beaucoup d'argent partout, partout, partout. Mais là, la fête va baisser, ça va donner de l'oxygène. [01:15:24] Speaker A: Parce qu'Apple m'a dit de quoi, juste pour en venir là-dessus, mais moi j'ai un Apple, un téléphone 8+. J'ai acheté ça ça fait 5-6 ans. [01:15:35] Speaker H: Moi c'est un 10. [01:15:36] Speaker A: Bon, mais là ils sortent le 16. Ça fait 5-6 ans? Oui. Ça fait qu'ils en ont fait 8 en 12 ans? [01:15:45] Speaker H: C'est un par année. Chaque année, il en sort un nouveau. [01:15:47] Speaker A: Mais là, c'est plus que ça. Ça veut dire qu'il y a une année qu'ils en ont sorti 2? [01:15:51] Speaker H: C'était 2008, le premier iPhone, je pense. [01:15:53] Speaker A: Bon, ça fait que de 2008 à 2018, ils en ont sorti 8? Pis de 2018 à 2024, ils en ont sorti 8 de plus. [01:15:59] Speaker H: Ben si tu regardes de 2024, 8 plus 16, ça fait... Ça fait plus qu'un baranin. On va dire iPhone 16. [01:16:04] Speaker A: Moi, un téléphone, il y en a que ça... À toutes les fois qu'il en sort un, j'achète un. J'pue ça ben ben. Pour moi, ça fait pu à la file quand ils sortent un iPhone à la place Sainte-Foy. [01:16:14] Speaker H: Voilà. C'est ça, pis la chaîne pis tout. Fait que, regarde. [01:16:18] Speaker A: Merci Pierre. Bonne semaine. [01:16:20] Speaker H: Bonne semaine. [01:16:21] Speaker A: Il y a de l'actualité en masse. [01:16:23] Speaker H: Il manque pas de choc. [01:16:23] Speaker A: Les shows sont pleins. Parfait. Fait qu'on s'en parle le vendredi nous autres. Et on va à la pause. Gary au retour. [01:16:46] Speaker E: Si vous cherchez une place réconfortante, qui est familiale, dont le menu est varié, que c'est chaud, c'est délicieux, avec un service extraordinaire, je vous parle du restaurant Eldorado. Depuis plus de 15 ans, on est du côté du lac Saint-Charles. Ça vaut le détour, que ce soit pizza, poutine, burger, spag, poulet, General Tao, burger. Il y a même des déjeuners en tout temps. Et on me dit ici que les pizzas menument. En plus, pendant tout le mois de septembre, les enfants de 12 ans et moins accompagnés d'un adulte mangent gratuitement. Et Dieu sait que quand c'est gratuit, c'est pas cher. Vous voulez l'essayer? Ça se passe au 1230 rue Jacques-Bédard. Ça se passe à Lac-Saint-Charles. Livraison gratuite en passant. Restoeldorado.com. [01:17:27] Speaker B: Vous prenez une direction au hasard et roulez vers l'inconnu. Une remorque est attachée à votre Toyota Tundra qui l'attire avec aisance. La suspension effleure les nids de poules parsemées sur la route. Quand soudain, le tonnerre se fait entendre. Oups! Ça, c'est mon estomac. Arrêtez de rêver et prenez le volant de votre nouvelle Toyota. Découvrez le Tundra, présentement en stock chez votre concessionnaire Toyota. Et voyez nos offres sur AchetezmaToyota.ca. [01:17:57] Speaker C: Tournez à droite. J'ai dit à droite. [01:18:01] Speaker B: Chéri, trouves-tu que l'auto est un peu bête ces temps-ci? [01:18:05] Speaker C: L'autre droite. [01:18:05] Speaker B: Ben, depuis que j'ai planifié son remisage dans sa clique, j'ai l'impression que... [01:18:09] Speaker A: Tu penses qu'elle sait qu'elle va être remisée? Ben... [01:18:13] Speaker C: Ce que je sais, c'est que vous venez de rater la sortie. [01:18:18] Speaker B: Votre voiture va s'en remettre. Faites votre remisage par anticipation dans Saclic pour fixer une date à l'avance et avoir l'esprit tranquille. Un message de la Société de l'assurance automobile du Québec. [01:18:28] Speaker C: Vous souhaitez créer une ambiance romantique pour votre couple dans votre chambre ou votre salle de bain? Découvrez tous nos produits Shanga pour votre intimité chez Sensations+. Partagez le plaisir. [01:18:40] Speaker A: Sensationsplus.Com Une perceuse sans fil, ça serait sictue, ça? Bah, au pire, y agiterait au centre de tri. Ben oui, au pire. [01:18:48] Speaker B: Au pire, ta perceuse, elle va se. [01:18:50] Speaker A: Briser dans le camion. Pis au pire, le lithium de la batterie va créer une réaction chimique au. [01:18:54] Speaker B: Contact de l'air pis la faire exploser. Ça fait qu'au pire, ça pourrait mettre le feu au centre de tri, endommager les machines pis blesser les employés. [01:19:00] Speaker A: Mais tu sais, au pire... Au pire, je peux regarder si ça va dans le bac, hein? [01:19:04] Speaker C: Ce que vous mettez dans le bac a un impact. Contenant, emballage, imprimé, c'est tout. Un message de Bac Impact. La nouvelle référence en collecte sélective. [01:19:12] Speaker B: Nouveau dans le monde de la microbrasserie à Saint-Augustin-de-Desmaures, la Brasserie La Baraque. Découvrez un endroit festif, un menu frais et savoureux, plusieurs bières de microbrasserie et des produits du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie. La Brasserie La Baraque, un concept unique à Saint-Augustin. Fini l'inflation! 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Gary est là. [01:24:22] Speaker F: Hey, t'as un beau gilet de baseball, là. [01:24:25] Speaker E: Hein? [01:24:25] Speaker A: Capitale. [01:24:25] Speaker F: Avec la fleur de lait, ça me rappelle Ménardique. [01:24:27] Speaker A: Champion, ça c'était le chandail il y a deux, trois ans, je pense. Ah, j'ai aimé ça. Avec les manches jaunes. Il est vraiment beau. [01:24:32] Speaker F: On est des vrais champions, là, Québec, là. [01:24:35] Speaker A: Hein? [01:24:35] Speaker F: Ça n'a pas de bon sens. [01:24:36] Speaker A: C'est un championnat. Non, non. C'est 10 championnats, dont 3 dans les 3 premières saisons dans la Nouvelle Ligue. Incroyable pour le thème! Ça mérite un thème. J'avais quasiment les larmes aux yeux. Je regardais vers le vide hier, après la victoire des Capitales. J'avais regardé les faits saillants. Pis là, ma blonde a dit « ça t'émeut? » Non, ce qui m'émeut, c'est qu'il n'y a plus de baseball jusqu'au mois de mai. C'est le fun, on y va en famille nous autres pis c'est vraiment des beaux moments. [01:25:13] Speaker F: Y'a pas d'autres sports de ligne qui te font triper autant en mettant le football américain ou le hockey sur glace? [01:25:17] Speaker E: Ben moi oui. [01:25:18] Speaker A: Ben local, y'a ça, mais moi oui. Ce qui est magique avec le baseball, c'est que là, j'ai réussi à convertir toute la famille. Même ma petite fille. Bon, faut qu'elle amène un toutou. [01:25:32] Speaker F: Ça ferait de la barbe à papa. [01:25:34] Speaker E: Non, mais tu t'obstines pas pour qu'elle vienne. [01:25:36] Speaker A: Non, elle aime ça. Elle vient, elle sait qu'elle va manger ses doigts de poulet. Elle aime ça, elle aime l'ambiance. Elle claque ses bêbles les. [01:25:47] Speaker E: Enfants. [01:25:48] Speaker A: Fait que j'ai pas ça, effectivement, dans un autre sport. Capi est là. Capi, le roi du stade. [01:25:53] Speaker E: Pis oui, qui vient dire des bonjours. [01:25:55] Speaker A: Pis oui, qui vient s'asseoir dans les marches, jaser avec nous autres. Non, non, mais y'a pas... T'sais, j'ai pas ça, non, effectivement. Mettons que je vais au hockey, c'est sûr que ma petite fille, là, elle bouge. Elle veut rien savoir, ça l'intéresse pas pantoute. Fait que c'est vraiment... J'ai converti une activité que moi j'aime beaucoup en activité familiale. Bravo, papa. Blanc, je pense, qui est encore plus fan que moi. [01:26:15] Speaker F: Bravo, papa! [01:26:17] Speaker A: T'sais, ma blonde, elle se lève, elle crie, «Hey, orbite de merde!» pis on enlève, malade. [01:26:21] Speaker F: Calme-toi, chérie, calme-toi. [01:26:22] Speaker E: Complètement crackpot. [01:26:24] Speaker A: C'est moi qui dis «Laisse-toi, laisse-toi.» On. [01:26:26] Speaker F: Va nous chercher huit bières. [01:26:28] Speaker E: À deux. [01:26:29] Speaker A: À deux. On veut vivre ça à jeun, ces moments-là. [01:26:32] Speaker F: Ça se peut, ça se peut. [01:26:33] Speaker A: Une belle affirmation. Qu'est-ce qu'on a dans le menu, Gary? [01:26:37] Speaker F: De tout frais. Ce matin, j'avais quand même un avant-midi plutôt chargé. Trois points de presse. Jack Smith, Claude Villeneuve, Éric Duhaime avec Adrien Pouliot. Mais tout juste avant, bonne nouvelle pour les gens qui travaillent à la dévie. On va le dire comme ça. Il y a un point de presse qui est prévu à 13h avec M. Duclos et M. Drainville. Et on a une cote de M. Drainville. Il est particulièrement heureux en ce beau lundi matin. Un contrat de 16 millions. accordée par la Garde côtière canadienne, la construction d'un brise-glace polaire, mesdames, messieurs. Mais en fait, ce qu'on ne sait pas pour l'instant, c'est que 16 millions, c'est juste pour la conception technique. Est-ce qu'on fera la conception technique ici à Lausanne et la construction dans un pays comme la Norvège? parce que c'est ça, la Dévie a acheté dernièrement un chantier dans un pays scandinave et ce chantier-là a l'expertise pour ce genre de bateau-là. Donc, il y a comme une espèce de... on est comme dans l'incertitude présentement. Est-ce que c'est juste le design qu'on va faire ici à la Dévie ou encore la construction? 13h, point de presse. [01:27:35] Speaker A: Puis moi, je suis bien content pour les travailleurs de Lévis, puis je suis bien content qu'il y ait de la job, puis que ça continue puis ça roule. C'est juste que je me souviens pas dernière fois que la Dévie a eu un contrat privé. C'est parce que c'est juste des bateaux de la garde côtière, de l'armée, des traversiers, des sociétés de traversiers du Québec. C'est juste des contrats publics. Peut-être c'est le même, là. Peut-être que nous autres, les bateaux, ça se paye au public, là. C'est juste que je cherche des contrats vraiment où il y a du nouvel argent. Un nouveau Louis-Joliet, je sais pas, une compagnie de croisière qui colle un bateau à Lévis. J'ai pas de souvenirs de ça, là. [01:28:13] Speaker F: Je te fais entendre ton préféré, M. Drenville. [01:28:15] Speaker A: C'est une bonne nouvelle pour toutes les régions du Québec parce qu'il y a. [01:28:18] Speaker B: Des entreprises dans toutes les régions du Québec qui sont liées au naval, qui. [01:28:22] Speaker A: Vont être des fournisseurs dans la construction. [01:28:24] Speaker B: De ce brise-glace polaire. [01:28:25] Speaker A: C'est des bonnes nouvelles parce que c'est des très beaux emplois. [01:28:27] Speaker B: Ça va créer évidemment de la prospérité. Ces brise-glaces-là vont nous aider à patrouiller le fleuve, à assurer notre souveraineté parce que les Russes, les Chinois évidemment ont. [01:28:36] Speaker H: Des ambitions dans l'Arctique. [01:28:37] Speaker F: Oh yeah, on parle de Chine, de Russie. [01:28:39] Speaker A: Ben oui, là on est rendu dans la guerre avec la Russie. Je sais pas là. Mais c'est bonne nouvelle, je le répète, je suis content parce que ça assure des jobs, puis des jobs de qualité quand même. Mais je comprends juste pas comment ça, nous autres, jamais un privé vient faire bâtir un bateau ici. [01:28:56] Speaker F: C'est toujours... [01:28:57] Speaker A: C'est toujours, toujours, toujours de l'argent public. [01:28:59] Speaker F: Des gouvernements qui sont pour la plupart... En fait, c'est canadiens pour la plupart. [01:29:02] Speaker A: C'est canadiens ou québécois. Ils ont fait des traversées. Oui, aux Québécois. [01:29:04] Speaker F: C'est toujours gouvernemental. Jackie Smith, ce matin, était en feu. Elle est arrivée en point de presse avec son enfant. Je sais pas si pendant que toi t'écoutais ton baseball, chérie, et que j'étais au Grand Prix cycliste et qu'il y avait du monde à envoler Macadam, bien, sache qu'il y avait aussi une manifestation du Frappru en fin de semaine pour, évidemment, mobiliser des gens parce qu'il n'y a pas assez de logements à Québec. Mme Smith s'est présentée à la manifestation. Et on avait prévu de faire dodo sur les lieux de la manifestation qui est située au parc de l'Amérique française, juste à côté du Grand Théâtre de Québec. Donc on avait pensé de faire un campement de 24 heures pour signifier aux maires et aux instances qu'il y a un problème de logement ici à Québec. Elle a été très surprise de voir qu'il y avait plusieurs policiers qui étaient mobilisés pour empêcher le campement. Je te la fais entendre. [01:29:50] Speaker J: Bon, il y avait une manifestation planifiée. [01:29:54] Speaker E: Par le FRAPU qui était censée être une manifestation avec un campement. [01:29:59] Speaker J: Les organisateurs avaient fait les demandes depuis. [01:30:01] Speaker E: Des mois pour faire cet événement-là. [01:30:04] Speaker J: Quand je suis arrivée, parce que c'était. [01:30:05] Speaker E: Une manifestation familiale avec mon enfant, j'ai. [01:30:08] Speaker J: Été assez surprise à voir qu'il y avait une vingtaine de policiers sur place qui interpellaient les personnes qui étaient là. [01:30:17] Speaker A: Attends un peu là, je comprends pas. J'ai compris dans l'ensemble. Je veux juste savoir, tu peux faire une demande de manif avec quand, mais? [01:30:28] Speaker F: En fait, il faut que tu donnes ton tracé. C'est-à-dire qu'on va aller virer à Saint-Cyril, René-Lévesque, on va aller faire ci et ça. Et eux, là, ce qu'il y avait... [01:30:36] Speaker A: Ils n'ont pas tracé les autres. C'était une occupation, finalement? [01:30:38] Speaker F: Occupation de 24 heures. [01:30:39] Speaker A: Fait qu'ils peuvent faire une demande. Moi, je vais occuper un parc pendant deux mois. [01:30:41] Speaker F: La demande a été faite, mais visiblement, les gens à la Ville de Québec n'ont pas accepté ça. En fait, les policiers ont décidé de ne pas permettre ce campement-là. Je te rappelle qu'à Québec, c'est tolérance zéro pour les itinérants, les campements, tout type de campement. À huit heures, en avant de l'eau brillante, on va donner un petit coup de pied dans ta tente. Hey buddy, ramasse tes affaires, puis tu pourras te recamper à minuit. Donc, tolérance zéro, au sens tolérance zéro. Même les manifs du frappe-rue, Oui, mais. [01:31:05] Speaker A: C'Est parce que Gary, tu peux pas faire une demande d'occupation. Cher acquis de droit, j'aimerais camper, moi pis mes 100 chums, dans le parc parce qu'on manifeste pendant deux semaines. Voyons. [01:31:18] Speaker E: Non. [01:31:19] Speaker A: On était en ville, là. [01:31:19] Speaker F: J'étais un peu d'accord avec toi. Autour de ce parc-là, il y a des résidents, des gens qui habitent en appartement, en condo. [01:31:26] Speaker A: Ça n'a pas de bon sens. [01:31:27] Speaker F: C'est sûr que c'est une manifestation brillante pis surtout, c'est qu'on a toujours peur que ça vire en... [01:31:32] Speaker A: Après ça, tu veux y sortir pis ils sont barricadés avec des clôtures pis des... [01:31:35] Speaker F: Le campement de McGill. [01:31:36] Speaker A: Ben c'est ça. C'est le dernier exemple qu'on a, là. [01:31:38] Speaker F: Ça va être là une soirée peut-être 2, 3, 4... [01:31:40] Speaker A: Tu te souviens des mouvements Occupy? [01:31:42] Speaker F: Ben là, c'est ça! On a peur. [01:31:44] Speaker A: Ils sont plus sortables. Ils s'installent, ils creusent quasiment des puits. [01:31:47] Speaker F: Donc Mana Smith était déçu en fait de voir que le SPVQ a pas accepté en fait que les gens manifestent durant la nuit. Il est revenu ici aussi sur l'idée que les campements, il y a un malaise au sens qu'on n'est pas capable d'offrir les ressources aux itinérants. On leur empêche de camper comme ça dans le centre-ville de Québec. C'est la position évidemment qu'on n'est pas surprise de Mana Smith. [01:32:07] Speaker A: Non, non, ça c'est sûr. [01:32:08] Speaker F: Le nouvel oeuvre aussi était en feu ce matin. Il est revenu avec évidemment son mantra des derniers temps, c'est-à-dire le maire marchand ne devrait pas partir en mission. Je te le fais entendre. [01:32:19] Speaker A: Je suis sans connaissance. Le maire qui dit « Je donne un ultimatum au gouvernement, on s'entend avant la fin septembre pour le tramway et je pars ». Donner un ultimatum comme ça et puis s'en aller en mission en même temps, je trouve le manque de sérieux de tout ça. Je suis gêné, c'est gênant pour la Ville de Québec. Le maire voudrait plomber le projet, le maire voudrait le faire planter, qu'il ne s'y prendrait pas autrement. Il donne toutes les raisons aux partenaires du gouvernement du Québec pour ne pas avoir envie de transiger avec lui. Sérieusement, je suis complètement ébahi de ça. Il y a un amateurisme, une insouciance, un manque de sérieux de la part du maire dans tout ça, dont je ne me remets pas. Moi, je parle du tramway, évidemment, sur l'ultimatum. J'ai de la misère à le voir parce que, sur son point précis, Je peux donner un ultimatum puis être n'importe où sur la planète puis communiquer avec le monde. [01:33:09] Speaker F: On a tous des téléphones. [01:33:10] Speaker A: Quoique je ne sois pas un fervent des missions du maire. Puis là, il est président de 2-3 patentes qu'on ne sait pas trop ce que ça donne. C'est quoi son affaire, le président des communautés francophones ou je ne sais pas quoi. Ça met de la francophonie. En tout cas, ça là-dessus, on peut jaser. Mais Claude Villeneuve, Lui est à l'aise avec ça, qu'on part un tramway, on sait pas qui paye la facture, on sait pas combien sera la cote de Québec, moi dans ma tête il est plus là le bug. [01:33:40] Speaker F: En fait je pense que Claude croit plus au projet de tramway présentement que Bruno lui-même. [01:33:43] Speaker A: Ben on dirait. [01:33:44] Speaker F: Il a comme un peu compris que les finances publiques font que peut-être que c'est un projet qu'on devrait remettre à plus tard, voire même l'annuler, mais visiblement Claude Villeneuve lui est très attaché à ce projet-là et dénonce le fait que le maire quitte la ville de Québec alors qu'il faudrait que ce problème-là soit réglé. Il y a une petite rumeur aussi que Claude Villeneuve, pas une rumeur, mais en fait un argument pour légitimer le déplacement du maire. Et ça, je ne l'avais pas vu venir, c'est Claude Villeneuve qui l'explique. [01:34:14] Speaker A: Je suis sans connaissance. Le maire qui dit « je donne un ultimatum ». [01:34:19] Speaker F: Je pense que je n'aurai pas la cote, mais je vais vous la paraphraser. Il dit tout simplement que le maire aurait des chances de rencontrer François Legault au sommet de la francophonie. Donc, il faut que le maire y aille. C'est important. [01:34:30] Speaker A: Qui a dit ça, là? [01:34:31] Speaker F: Dans l'entourage du maire, on raconte que... [01:34:33] Speaker A: Qu'il y a des chances, qu'il travaille dans la même ville. [01:34:37] Speaker F: C'est ce que Claude De Villeneuve disait. On est à 11 minutes de marche entre l'hôtel de ville et le Parlement. [01:34:41] Speaker A: Il n'y a personne qui a dit ça publiquement. Ça, c'est des brouhaha de corridor. [01:34:45] Speaker F: C'est des tricotages. [01:34:46] Speaker A: Ok, mais c'est parce que là, vos tricotages corrects, le taponnage tout le temps, c'est assez. Voyons, donc quel argument de... Bon, je vais essayer d'être... Le mot que j'avais dans la tête, c'était pas gentil. C'était un argument... Ridicule. C'est le plus bas que je peux aller là. Hé, il va aller là parce qu'il y a des chances que dans les corridors au sommet de la francophonie, il rencontre François Legault. Je vois le verre, il travaille à côté. Il y a un argument qu'on nous a donné, c'est « Ouais, mais là, quand il va être au sommet de la francophonie, il va pouvoir parler à François Legault. Ça va aider à débloquer le projet de tramway. » J'ai regardé sur mon application de... La géolocalisation va devenir ici. L'édifice Honoré-Mercier est à 5 minutes d'auto, il est à 11 minutes de marche. Si le maire a besoin d'aller au sommet de la francophonie pour parler au premier ministre, on a un problème. Moi, ça se peut que j'aille en Floride cet hiver, parce que ça se peut que je croise Josée. Oui! [01:35:43] Speaker E: Oui! [01:35:43] Speaker F: Ça se peut, hein? [01:35:44] Speaker A: Non, non, mais je vais pas pour ça. [01:35:45] Speaker F: Au Publix? [01:35:45] Speaker A: Deux coups sur le boardwalk que je croise Josée. [01:35:49] Speaker E: Là, je te dirais, je te répondrais, oui, mais c'est parce que Josée est ici, présentement. Tu peux la croiser, là. Elle est dans le même building que toi. [01:35:56] Speaker F: Elle est embarquée au même étage que toi. [01:35:57] Speaker A: Ouais, mais moi, je trouve que c'est un bon argument parce que ça me tend d'y aller. T'es dans le beat, hein? Non, mais c'est ridicule de même, là. [01:36:08] Speaker E: Non, mais je veux dire, c'est honteux. Ça, c'est honteux. Ça, c'est vrai. [01:36:12] Speaker A: Ça, c'est se trouver des portes de sortie, mais c'est pas réfléchi. C'est quelqu'un qui a lancé ça de même, là, ça se peut pas. [01:36:17] Speaker F: Pis le gars, il va t'occuper là-bas, là. Il y aura sûrement quelques meetings ici et là. [01:36:20] Speaker E: Non, mais il y a pas d'affaires à partir. Il peut pas partir. OK? Il y a tellement de projets ici. Premièrement, en passant, là, il y a le crime organisé. On a encore trouvé une voiture incendiée, là, c'est dans les coins de Frampton. Vous comprendrez, mais des histoires de crime organisé. Bon, t'sais, là, ça brouse dans ta ville. Économiquement, Ça avance moins. Ouais. T'sais, on est en bas de l'échelle, là. Il y a plein, plein, plein de dossiers sur son bureau. C'est bien plate, là, mais c'est pas un bon timing, c'est ça que je te dis. Ça va être correct aussi. [01:36:51] Speaker A: Mais quand est-ce que c'est un bon timing de partir pour présider une commission qui donne à rien? [01:36:56] Speaker F: Toi, tu ne te rends pas compte de toutes les missions du maire, mais celle-là en particulier, il dit que c'est le mauvais timing. [01:37:00] Speaker E: On ne regarde pas justement des rencontres au municipal. [01:37:06] Speaker A: Oui, et il ne sera pas là pour le conseil de ville. [01:37:10] Speaker F: Demain, au conseil de ville, on va revoter la modification qu'on avait faite au conseil de ville pour le remettre à sa place. Parce qu'évidemment, là, on est à rapetisser la mission, j'allais dire voyage, de M. Marchand de 14 jours à peut-être 12 jours. Vous comprenez, là, qu'on est en train de tricoter quelque chose qui serait peut-être plus convenant. [01:37:28] Speaker E: Ça, ça marche-tu? Admettons, sais-tu, l'agence de voyage qui s'occupe de ce voyage-là, est-ce qu'elle reçoit un bonus parce qu'elle doit modifier le voyage? [01:37:37] Speaker A: C'est-tu inclus, ça, dans le 1 million? [01:37:38] Speaker F: C'est une bonne question. C'est des questions qui vont être posées demain. [01:37:40] Speaker A: Faut organiser ça, ces voyages-là. En même temps, c'est-tu quoi, Pat? [01:37:43] Speaker E: On change d'itinéraire? [01:37:44] Speaker A: Regarde, Bruno, c'est la chef. Profite-en. Regarde. Gâte-toi. [01:37:49] Speaker E: Je sais pas si c'est une monde en vie qui se gâte tant que ça. [01:37:52] Speaker A: Regarde, c'est la chef. [01:37:54] Speaker E: Non, mais je pense que ton argument est pas bon. Je pense qu'il a envie de me choquer, ton argument. [01:37:57] Speaker A: Regarde, c'est la chef. Regarde-toi, Bruno, vas-y. Tu prendras un bon vin. [01:38:02] Speaker F: Point de presse ce matin avec Éric Duhaime et Adrien Pouliot dans un autobus scolaire, c'était le fun, juste en face de l'Assemblée nationale. Lui, en fait, les conservateurs du Québec veulent en fait allumer nos lanternes concernant le grand problème du transport scolaire électrique qui est un véritable flop. On a parlé, en fait, on a fait le procès de Lyon électrique. [01:38:19] Speaker A: C'est une catastrophe. [01:38:20] Speaker F: On prévoit même pas encore 12 mois d'existence. La pérennité de cette entreprise-là est même remise en question. Les 12 prochains mois, on sait même pas ce qui va arriver. [01:38:35] Speaker A: Juste une petite pensée qui me traverse l'esprit. Tous ceux qui ont acheté des lions, il y en a beaucoup, en fait, ils n'en ont pas le choix. [01:38:43] Speaker F: L'action est à moins d'un dollar. [01:38:45] Speaker A: C'est du penny stock. Tous ceux qui avaient acheté des lions, Ça va être le fun quand ça va fermer, ça. Parce qu'on me dit qu'il y a quand même 2-3 petites problématiques récurrentes dans les autobus de chez Lyon. Ça va être le fun, ça, quand tu vas chercher du service et que ça va faire fidouda. [01:39:02] Speaker F: Parmi les choses qui ont été soulignées par le Parti conservateur ce matin, ça coûte presque 60 fois plus cher avoir un autobus scolaire qui ne pollue pas que d'investir dans la bourse du carbone. Presque 60 fois plus cher. J'ai dû commencer à démesurer les montants qui sont en lien. [01:39:21] Speaker A: C'est le premier pan de transport où on a légiféré de façon très sévère. [01:39:27] Speaker F: Les autobus ont 40 km. [01:39:28] Speaker A: Parce qu'encore une fois, on a pitché ça dans le cours des propriétaires privés d'autobus scolaire. Regarde, vous autres, vous n'avez pas le choix. Les autobus à gaz, c'est terminé. C'était le premier vraiment grand chantier de décarbonation, d'électrification. [01:39:42] Speaker F: Pour l'autobus Lyon, des bornes à 600 000 $. Il faudrait réinjecter 700 millions, ne serait-ce que pour sauver ce programme-là présentement. Les objectifs qui ont été clairs et qui ont été émis par le gouvernement Akakis, il faudrait réinvestir 700 millions. Et puis, point central de ce point de presse-là, en fait, chose à retenir, Sache qu'un autobus Lyon, ça pollue plus qu'un autobus diesel normal. Parce que dans chaque autobus Lyon, il y a un système de chauffage au diesel avec aucun filtre, aucun filtre comme tu trouves dans une voiture ou un camion diesel. Les camions diesel polluent moins, en fait, que les autobus Lyon. [01:40:17] Speaker A: Mais voyons donc. [01:40:18] Speaker F: L'autobus Lyon... [01:40:19] Speaker A: Mais ça sort de où, ce que tu me dis là? [01:40:20] Speaker F: Ça a été dit ce matin en Pointe-Prince avec M. Pouliot et Duhaime. Eux affirment que la chaufferette dans un autobus électrique qui fonctionne au diesel... Marche. [01:40:28] Speaker A: Pas sur la batterie. [01:40:29] Speaker F: Marche pas sur la batterie. Pire que ça, aucun filtre. C'est comme un moteur diesel des années 50. Ça pollue une fois et demie plus qu'un autobus qui est un diesel moderne. [01:40:42] Speaker A: C'était vraiment ça le problème. La première chantier d'électrification, c'était l'urgence des autobus scolaires. Les autobus scolaires, je comprends, mais si tu compares ça au nombre de camions, de duirous... By the way, les autobus scolaires ne roulent pas toute l'année. [01:40:58] Speaker F: Ça fait que tu peux plus aller aux tournois dans Bellechasse. [01:41:01] Speaker A: Moi, je viens d'une région. [01:41:02] Speaker F: Tu comprends que les autobus scolaires, on peut juste les utiliser une demi-fois par jour. [01:41:05] Speaker A: Moi, je viens d'une région. Une région où t'as une petite ville. T'sais, y'a pas de grande ville proche de Plessisville. Moi, je viens d'un village encore plus petit que Plessisville. Notre-Dame-de-Lourdes. Notre-Dame-de-Lourdes, là, c'est à 10 minutes de char de Plessisville. Mais nous autres, un Québec, y'en a pas. Y'a pas de grosse ville dans un rayon d'une heure de Charles. La grosse ville c'est Victo à une demi-heure, pis c'est Victo là. C'est même pas Trois-Rivières ou Sherbrooke, c'est Victo là. Et l'autre ville la plus proche c'était Plisse-Civil. Avec tous les villages satellites autour. Saint-Pierre-Baptiste, Sainte-Sophie, Laurierville, Lister, Villeroy, Vallalin, Notre-Dame-de-Lau. Tout fait le tour d'un grand, grand périmètre. On allait tout à l'école à la polyvalente à Placeville. Il y a beaucoup d'élèves, mais il fallait ratisser un territoire très, très, très large. Je t'annonce que 40 kilomètres t'as dit? [01:41:59] Speaker F: D'autonomie. [01:42:00] Speaker A: Ben moi, il y a des autobus qui se rendent de nulle part. [01:42:03] Speaker F: Il y a plusieurs problèmes qui sont ajoutés. Entre autres, les autobus scolaires souvent... T'as. [01:42:06] Speaker A: Quoi, tes plugs à l'école pour en revenir? [01:42:08] Speaker F: Les chauffeurs d'autobus, souvent, ils amènent l'autobus à la maison. Il y a des grandes distances à parcourir. Là, il faut mettre des bornes de recharge sur les... [01:42:16] Speaker A: C'est le Québec, ça. [01:42:18] Speaker F: Chez les chauffeurs d'autobus qui des fois sont là quelques mois seulement et on peut pas recharger un autobus scolaire évidemment sur le 110 en plugant ça sur ta maison. Donc aujourd'hui le gouvernement, enfin pas le gouvernement mais le Parti conservateur du Québec demande qu'on arrête toutes ces niaiseries-là et qu'on retourne en fait, qu'on remette le droit d'acheter des autobus diesel aux compagnies d'autobus qui présentement tirent pas juste le yaourt par la queue, ils sont vraiment sur le bord de fermer pour la plupart. [01:42:43] Speaker A: Juste pour être sûr, l'info qu'on sort sur le chauffage au diesel, est-ce que ça a été, c'est-tu sorti, puis je veux pas remettre en question les sources, mais est-ce qu'il y a un ingénieur, y'a-tu quelqu'un qui a sorti? [01:42:54] Speaker F: C'est M. Pouliot, Adrien Pouliot, ancien chef du Parti conservateur du Québec qui ce matin, va-t-il en pointer un? [01:42:59] Speaker A: Parce que ça, je m'excuse, mais c'est un scandale. Si tu me dis que l'autobus électrique pollue plus qu'un truc au diesel. [01:43:06] Speaker F: Pollue plus qu'un équivalent diesel-autobus scolaire. [01:43:09] Speaker E: Somme toute, même la voiture électrique, il y en a plein. C'est juste qu'on les ignore complètement. Il y a plein d'écrits qui se disent qu'au final, ça ne pollue plus qu'une voiture à gaz pour la confection, c'est ça, l'eau qu'on utilise, etc. pour en arriver à 10 véhicules électriques. Après ça, quand tu l'as sur la route, c'est autre chose. Mais pour ce qui est de la construction, ça mange du jus sur un méchant temps. C'est ce qu'on prétend. Je ne suis pas surprise pour ce qui est des autobus électriques. En passant, Lyon Électrique, c'était qui déjà qui appuyait le projet d'autobus? [01:43:38] Speaker F: C'est Taillefer. [01:43:38] Speaker E: OK. Mais il y avait qui comme ministre? [01:43:41] Speaker A: Ouais. [01:43:42] Speaker E: Ben c'est... T'es-tu fit? [01:43:43] Speaker A: Ben je... OK. Faudrait vérifier. Ça fiterait dans les années, pas mal. [01:43:50] Speaker F: Ça coûte à peu près 120-150 000 $. Ouais, pis l'électrique, le lion. 400 000 $. Mais t'as une subvention de 250 000 $. [01:43:56] Speaker A: Ah ben oui, une subvention, c'est magique ça. Subvention, c'est de l'argent qui sort d'un anus politique. Tu sais, c'est de l'argent qui tombe. [01:44:06] Speaker F: Moi, ce que j'aime, c'est les images pour comprendre mieux. [01:44:08] Speaker A: Non, mais ça, ça vient de nulle part. Ouais, mais t'as une sub! Hey, la sub, c'est toi qui la payes, man! Pis c'est moi, en plus. Vous aussi. Puis c'est tout le monde. Merci Gary. À demain. 13 44, à demain. On revient après la pause Annie Trudel. [01:44:29] Speaker B: Pierre Couture. Monsieur Économie. [01:44:33] Speaker A: Inflation. [01:44:34] Speaker H: Les achats. [01:44:35] Speaker A: Immobilier. [01:44:35] Speaker B: Taux d'intérêt. [01:44:36] Speaker A: Placement. Coût de la vie. [01:44:38] Speaker H: Ça commence à crier. [01:44:39] Speaker B: Suivez les chroniques de Pierre Couture à Radio X. [01:44:42] Speaker C: Radio X. Présenté par Napert. Pour le plus grand choix de poils et foyers au meilleur prix. Noréa Foyer Napert à Sainte-Marie et Noréa Foyer Napert, signature sur Pierre Bertrand. [01:44:55] Speaker A: C'est la liquidation de Nissan chez Montmagny-Nissan. Montmagny, c'est à côté. Arrêtez, je vous entends. Ah là, Montmagny. Ah non, Montmagny. Un, vous allez voir du maudit beau paysage. On est sur le bord du bas du fleuve. Puis le fleuve est magnifique. C'est super beau. Vous en profiterez pour aller faire un tour sur le bord de l'eau. Mais en plus, vous allez vous rendre chez Montmagny-Nissan. Oui, un autre concessionnaire de la grande famille Paquette. Et c'est la liquidation. Regardez bien ça. Financer un Kicks AM24. Là, tu te dis, wow, les taux d'intérêt, hein? à partir d'aussi peu que 0,99%. C'est un taux pas bas, ultra bas. En location, les taux à partir de 2,99%, c'est exceptionnel. Vous voulez un Kicks Play S 2024 en location 24 mois. Je parlais de taux d'intérêt, mais là je vais vous parler de prix. 251 $ par mois. Regarde. C'est comme avant la pandémie. C'est des prix qui sont venus tabarouette. On va avoir du fun. Comme toujours, évidemment, je vous en ai parlé, c'est la famille Parquet. Donc un service irréprochable. Et vous allez faire affaire avec un vrai concessionnaire à dimension humaine. On est dans une petite ville. On connaît notre monde. On n'a pas le choix d'être bon. Puis on n'a pas le choix de donner du service. Puis c'est de même que ça marche. Tous les détails chez Montmagny-Nissan.com. [01:46:14] Speaker J: Hé! C'est ta nouvelle auto? [01:46:16] Speaker A: Ben oui! [01:46:16] Speaker B: On est finalement passé à l'hybride. [01:46:18] Speaker C: Mais paraît que c'est compliqué à s'assurer. [01:46:20] Speaker A: Non! [01:46:20] Speaker B: Avec l'assurance auto CA à Québec, on peut protéger une voiture électrique hybride ou à essence. [01:46:24] Speaker J: Mais faut être membre? [01:46:26] Speaker A: Non, mais en étant membre, t'économises sur ta prime et tu fais encore plus. [01:46:29] Speaker B: D'Économies en combinant ton assurance auto et habitation. En combinant vos assurances auto et habitations CAA Québec, économisez jusqu'à 25 % et obtenez une remise de 50 $ CAA. Certaines conditions s'appliquent, visitez caaquebec.com baroblique assurances auto pour une soumission. [01:46:45] Speaker C: Faites partie de la famille Kia Beauport. 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Ça rentre ici et l'un veut moelleux, l'autre veut ferme, l'une veut rafraîchissant, l'autre. [01:50:38] Speaker B: Veut douillet, mais c'est possible de trouver. [01:50:41] Speaker A: Un matelas et des accessoires qui plaisent. [01:50:42] Speaker B: À tous les deux. [01:50:43] Speaker A: Chez Dormez-vous, on veille à votre sommeil. et sur les couples. [01:50:48] Speaker B: Durant l'événement Méli-Mélo, procurez-vous un matelas grand lit qui offre le mariage parfait, entre confort et soutien, à seulement 449 $ jusqu'à mardi. Seulement chez Dormez-vous. [01:50:56] Speaker I: Tournez. [01:51:00] Speaker C: À droite. J'ai dit à droite. Chéri, trouves-tu que l'auto est un peu bête ces temps-ci? L'autre droite. [01:51:07] Speaker B: Ben, depuis que j'ai planifié son remisage dans sa clique, j'ai l'impression que... [01:51:12] Speaker A: Tu penses qu'elle sait qu'elle va être remisée? Ben... [01:51:15] Speaker C: Ce que je sais, c'est que vous venez de rater la sortie. [01:51:20] Speaker B: Votre voiture va s'en remettre. Faites votre remisage par anticipation dans Saclic pour fixer une date à l'avance et avoir l'esprit tranquille. Un message de la Société de l'assurance automobile du Québec. [01:51:29] Speaker A: OK, tout le monde, on poursuit en musique avec le hit de l'heure en tête du palmarès. [01:51:33] Speaker B: Marc Dupré, son touchant hommage à la capacité de remorquage du GMC Sierra. [01:51:37] Speaker A: Remorque des remorques. Obtenez jusqu'à 11 500 $ de crédit à l'achat ou comptant sur certains Sierra 1500 2024. Passez chez votre concessionnaire GMC. Des conditions s'appliquent? [01:51:56] Speaker B: Détails à offre-gmc.ca Ouellet en direct, présenté. [01:52:01] Speaker E: Par l'Entrepôt de la Rénault. Nos planchers chauffants sont à 40% de rabais. Fils, thermostat, membrane. On vous attend aux 9300 rue John Simons, Québec et rue Jean H. Kruger, Trois-Rivières. Entrepôtdelarenault.com Ouellet en direct. [01:52:14] Speaker B: Bravo pour ce travail créatif. Avec JC et Patricia. [01:52:22] Speaker C: Radio X. [01:52:39] Speaker A: 13H52, Annie Trudel en studio. On a l'honneur de recevoir notre chroniqueuse de temps en temps. Comment ça va? [01:52:46] Speaker J: Très bien, merci. [01:52:47] Speaker A: Content de vous voir. On ne s'est-tu pas reparlé depuis la rentrée? C'était mardi. [01:52:53] Speaker J: Non, on ne s'est pas reparlé lundi. [01:52:55] Speaker A: C'est ça. Première semaine, comment ça va la CAQ? Comment ça va l'ambiance? [01:53:02] Speaker J: Ben d'un, on est rendu au Salon Rouge. [01:53:04] Speaker A: Ah oui, c'est vrai. [01:53:06] Speaker J: Là, les journalistes ne sont pas très contents parce que la présidence, l'Assemblée nationale n'a pas prévu un endroit où les journalistes peuvent aller s'adresser aux députés et aux ministres. [01:53:18] Speaker A: Parce qu'avant, ils passaient derrière. [01:53:21] Speaker J: Ils étaient dans les coulisses, oui. Et là, ils n'ont plus accès aux coulisses. Ça a été barricadé et il y a des... [01:53:28] Speaker A: Les gardes du corps. Tu sais, les fameuses images, quand ils s'en viennent, ils descendent les marches. J'ai jamais visité d'ailleurs, faudrait, je sais pas si je peux. [01:53:36] Speaker J: Ben oui, je t'invite, tu viens quand tu veux et je vais te faire visiter ça personnellement. [01:53:41] Speaker A: Mais là, c'est-tu vraiment l'endroit où on les voyait descendre les marches? [01:53:44] Speaker J: En fait, non, il n'y a pas des marches. Tu sais, pendant la pandémie, on voyait le premier ministre arriver à une passerelle. [01:53:52] Speaker A: Oui, oui, oui, le corridor. [01:53:53] Speaker J: À partir de là, alors tout le conseil des ministres arrive de ce côté-là. Puis là, il longe tout un corridor pour se rendre derrière le trône. [01:54:02] Speaker A: Fait qu'il n'y a plus moyen de les attraper sur le flanc. [01:54:05] Speaker J: En fait, il y a moyen entre les deux salons, mais ça a toujours été la seule place de disponible parce que c'est la place qui est accessible à tout le public. D'ailleurs, il faut le dire, n'importe qui qui veut y aller, il peut y aller entre les deux salons, mais si tout le monde décide de passer derrière le trône plutôt qu'entre les deux salons... [01:54:25] Speaker A: Là, ils ont une option de cachette. [01:54:26] Speaker J: Exactement. Elle a toujours existé des deux côtés, mais au salon bleu, les journalistes avaient accès en arrière, tandis que là, au salon rouge, ils n'ont plus accès. [01:54:35] Speaker A: Puis c'est quoi là? Je pense que c'est Mme Roy qui a décrété ça. Elle disait que c'était un enjeu de sécurité, je ne sais pas quoi. [01:54:41] Speaker J: Oui, mais je n'ai pas compris lequel. [01:54:42] Speaker A: Parce qu'elle dit qu'il y a des gens qui travaillent là et qu'on ne veut pas que les journalistes aient accès aux dossiers. Oui, bien... Ça m'étonnerait que c'est un dossier important, tu laisses ça traîner sur la table. [01:54:51] Speaker J: Je suis d'accord. Je pense qu'il y aurait eu moyen de moyenner pour faire autrement, enfin. [01:54:58] Speaker A: Mais en général, parce que là, écoute, tantôt Pierre Couture dans son show, j'en sais, avec son chroniqueur politique, pis c'est pas la première fois, pis même moi j'ai eu des petits feeds, on a tous nos petits... pis t'en as aussi, pis des gens qui nous... pis t'en es un pour nous autres d'ailleurs. Mais moi on me dit qu'à la CAQ, ça grenouille en tabarouette. [01:55:20] Speaker J: Ben en fait, Ben oui, mais je te dirais que ça l'a toujours grenouillé, sauf que là, ben contrairement à ce qu'on se disait, tu te rappelles, on s'en parlait la semaine passée, on disait « mon Dieu, qu'ils ont comme pas de colère ». Ben là, il y en a un qui a peut-être parti un bal. M. Chassin qui a quitté. En tout cas, dans un premier temps, ça l'a amené des députés à se confier. publiquement. Puis ça, vraiment, c'est la première fois que je vois ça. Alors, il y a des députés qui se sont confiés ce week-end. C'est sorti dans les médias. Alors, il y a des députés qui ont dit, vous savez, quand ils parlaient de plantes vertes, bien c'est vrai. On est des plantes vertes. On ne fait rien. Ils se servent de nous juste en commission parlementaire. Le reste du temps, nous, on arrive au caucus avec nos problèmes que nous, on voit dans nos bureaux de comté. Et le premier ministre, nous, on amène ça à l'attention du premier ministre. Mais ce n'est pas le premier ministre qui nous répond, c'est les ministres. On mentionne même, si vous pensiez que Benoît Charette et Christian Dubé étaient au-dessus de leurs affaires, vous n'avez rien vu. Son nid à la belle nous fait sentir comme des moins que rien. [01:56:36] Speaker A: Ça recoupe plein d'affaires. Ici même en ongle, le député Luc Provençal nous avait donné une entrevue. On a su que ça n'avait vraiment pas plu aux autres instances de la CAQ parce qu'il s'était un peu vidé le coeur. Et c'est ce qu'il disait. Il disait « personne nous écoute en haut ». C'était l'histoire quand il avait annulé le troisième lien. Absolument, oui, je me rappelle. Puis lui, il disait à nous autres, parce que ça arrive ça, je t'annonce qu'ils n'ont pas passé un beau quart d'heure, quand ça a été annoncé. Même avec le retour du troisième lien qui était purement stratégique, ils ont vu que ça avait tout dégringolé, puis quand Joël Boutin est parti, Ils ont perdu la circonscription. Puis l'autre bord, c'est exactement ce qu'il me disait. Personne ne nous écoute. On parle dans le vide. On ne s'en a pas écouté. Puis ça n'a pas changé, là. [01:57:26] Speaker J: Bien non, ça n'a pas changé. Puis ce qu'il faut comprendre, c'est que les députés de la CAQ qui ne sont pas ministres, les députés de la CAQ, ils ont le même discours que les députés des autres parties des oppositions. Dans nos bureaux de comté, on reçoit des tonnes de courriels puis d'appels. Puis les gens, Bien, je suis obligée de dire, bien que nous, là, quand on est ensemble dans les médias, on va parler du BAP qui n'a pas eu lieu dans Norvald et puis ça n'a pas d'allure, ce n'est pas pour ça qu'ils nous appellent les citoyens. Ils nous appellent pour les logements. Ils nous appellent pour la violence animée. Et le gros concret, les députés eux, c'est ça qui amène au caucus. Moi là, je me fais chaler dans mon comté, je sais plus quoi leur dire. Ils me disent, la circulation ça pue de bon sens, je sais plus quoi leur dire. Il y en a des députés qui répondent juste plus au téléphone, puis ils répondent même plus aux courriels. Mais il en demeure pas moins qu'eux, ils ont une énorme pression, ils savent plus, ils se le font dire direct par leurs citoyens. [01:58:25] Speaker A: Coudonc, ça sert à rien. Ça fait que là, ils ont peur d'aller à l'épicerie? [01:58:29] Speaker J: Bien, ceux qui habitent dans leur comté, effectivement, ils ne se sentent pas... [01:58:32] Speaker A: J'en reviens à ce qu'on disait la semaine passée, d'abord. Là, faites-vous pousser une colonne. Puis faites un Youri Chassain de vous. Même si ça fait quatre ans que vous auriez dû le faire, faites-le là. Ça va être... [01:58:43] Speaker J: Je te le confirme, J.C. Il y a plein de monde insatisfait. Il y a plein de monde qui parle à plein de monde. Puis oui, des députés, mais du staff aussi, beaucoup. Il y a un énorme roulement de personnel. J'ai un exemple en tête, je ne veux pas nommer de nom, un ministre à Laval. [01:59:03] Speaker A: Il n'y en a pas deux. [01:59:07] Speaker J: Son personnel est tanné. Il n'est jamais dans sa circonscription. Il ne s'occupe pas de ses citoyens. Les gens appellent. Ils sont contents quand ils ont un ministre. Ils vont l'appeler. [01:59:15] Speaker A: Ils pensent que tout est réglé. [01:59:18] Speaker J: Le staff est tanné. Le staff est tanné de gérer plein des citoyens. Mais revenons-en à nos chats. [01:59:27] Speaker A: À nos potes-colonnes. [01:59:30] Speaker J: En fait, ça grenouille beaucoup, ça parle beaucoup. Maintenant, on attend. Est-ce que les bottines vont suivre les babines? [01:59:37] Speaker E: C'est un ministre délégué, le gars que tu parles. Un ministre délégué. Son nom de famille commence par un S. C'est bon. [01:59:47] Speaker J: Mais c'est un parmi tant d'autres parce que j'en ai déjà parlé puis je vais dire Éric Girard c'est la même chose. Les gens dans son comté étaient tannés parce qu'il prenait des rendez-vous pis M. Girard n'a jamais rencontré les gens dans son comté. [02:00:02] Speaker A: Ah mais il allait rencontrer Gary Bettman par exemple. Il aime bien ça le hockey. D'ailleurs parlant de Ménisce, parce que l'autre affaire qui me semble un peu... Pas... c'est anormal, mettons. Mais il me semble qu'il n'y a pas de virement ben ben. Il n'y a jamais de remaniement. C'est toujours les... Ça bouge pas ben ben les ministres à la CAQ. [02:00:22] Speaker J: Ben c'est une des choses que les députés qui ont dénoncé leur caucus ce week-end ont dit. Depuis longtemps, ils veulent des remaniements pour plusieurs raisons. Il y a des incompétents. [02:00:34] Speaker A: Ben ça, là, c'est normal de... T'essaies quelqu'un. Tu lui donnes un ministère. Pis là, je vois ta liste, je vais t'embrouiller tout de suite. Éric Caille. Oui. Oui, oui. [02:00:45] Speaker J: Oui, ben lui, je le mets dans. [02:00:46] Speaker A: Le cadre sécuri, c'est une joke. C'est une joke, mais mettons au début, bon, c'était un ancien de l'ODQ, il prenait beaucoup de place à l'ODQ, pis là, il y a eu la fusion. Probablement que lui a travaillé fort pour que ça marche. Fait que tu sais... [02:00:57] Speaker J: Il fallait lui dire merci. [02:00:58] Speaker A: Ben c'est ça. Je trouve que je peux comprendre, ça me met coeur un peu, mais c'est comme ça la politique, on remercie pour service rendu pis pour... Bon. Mais maintenant, quand ça fait 3-4 ans, tu le vois bien qu'il est pas bon. [02:01:09] Speaker J: Ben en fait plus que ça. Fait que moi je pense qu'un mandat à 230 000 plus ce limousine, je pense que c'est suffisant. On se demande encore comment ça... Ben. [02:01:17] Speaker A: Moi j'arrête à part répéter tout ce que le gars dit de dire. [02:01:21] Speaker J: Ben moi j'arrête pour vrai. [02:01:22] Speaker A: Les menaces d'environnement, le BAP, des fois c'est prix mondial, des fois c'est pas grave. [02:01:26] Speaker J: C'Est un prêtre, non, Benoît, je suis obligée de me dire comme ça. J'ai jamais vu quelqu'un qui est à côté de la traque tout le temps, en temps plein. [02:01:36] Speaker A: Il n'y a pas eu de description de ça. C'est comme la marionnette qui parle d'environnement au nom des intérêts du parti. [02:01:43] Speaker J: Qui fait semblant de parler d'environnement. [02:01:45] Speaker A: C'est ça. Des fois ça c'est bon, des fois c'est primordial, des fois c'est pas grave, des fois on le fait, on le fait pas. C'est pas quelqu'un qui est crédible dans son rôle, pas en tout. [02:01:53] Speaker J: Ça c'est sûr que les députés ne considèrent plus à leur place. Mais il y en a plusieurs qui sont dans la catégorie à quoi ils servent. Puis on se demande même, ça prend-tu absolument un ministre? [02:02:09] Speaker A: Oui, moi je suis d'accord, il y a bien trop de ministres. [02:02:12] Speaker J: C'est pas une enquête. Mais il y en a dont on entend très rarement parler parce qu'ils ont... Puis là, j'y vais vite, vite. La forêt, l'agriculture, le tourisme. Sérieusement, Caroline Proulx, à part avoir donné un contrat pour... Puis t'sais, ils ont passé par elle pour y faire faire une annonce. Pour le toit du tasse. Mais on s'entend. [02:02:30] Speaker A: Caroline Proulx, la dernière fois que je l'ai entendue parler, c'est en fin de semaine, elle nous parle de NFL. [02:02:35] Speaker J: Ben ouais, ben c'est sûr. [02:02:39] Speaker B: Écoute, mais... [02:02:41] Speaker J: Il y en a plusieurs que... La ministre des études supérieures, si on la compare à Bernard Dreyfus, c'est pas comparable. Il y en a un qui patauge, puis qui essaye, puis l'autre, elle n'a rien à faire. [02:02:54] Speaker A: On n'entend rien, on n'a jamais parlé. [02:02:56] Speaker J: On ne sait pas trop. Mais je veux quand même ramener à ce qu'on se disait, donc il y a des gens en coulisses, mais là, c'est plus une cachette. Il y a trop de monde qui le savent. Puis moi, je ne les nommerai pas aujourd'hui, parce que je veux parler d'un... d'un processus et d'un état d'âme en général. Je ne veux pas nécessairement viser des gens. J'espère que ces gens-là vont finir par avoir suffisamment de courage puis qu'ils vont agir. Ces gens-là, ils ont quand même plusieurs possibilités. Il y en a qui peuvent tout simplement claquer la porte comme Mme Boutin, pas satisfait. Il y en a qui peuvent faire comme M. Chassain, devenir indépendant. Mais il y a deux autres... Avant des transfuges, il y a quand même l'option qui est sur la table, qu'on entend souvent parler, d'ouvrir la porte à M. Duhaime. Il y a des gens qui ont cette possibilité-là d'ouvrir la porte à M. Duhaime. [02:03:51] Speaker A: D'après moi, la porte est déjà ouverte avec plusieurs. [02:03:53] Speaker J: La porte est déjà ouverte avec pas mal plusieurs. Et finalement, traverser le salon rouge puis aller rejoindre les oppositions. Ça, c'est des possibilités extrêmement possibles. Il y a des gens pour chacune de ces possibilités-là qui le constatent très sérieusement. On va vraiment leur souhaiter du courage et d'agir. [02:04:17] Speaker A: On dit courage et colonne, mais qu'est-ce qui est si effrayant de claquer la porte quand ça fait plus ton affaire? [02:04:26] Speaker J: En fait, il y a plusieurs choses, JC. Je dois dire que, contrairement à ce qu'on peut penser, par exemple, pour des ministres, un député qui quitte la politique ou qui quitte son parti, un député point, c'est difficile de se trouver un emploi après. [02:04:40] Speaker A: Ça, ce n'est une raison. Si tu n'as pas trouvé un emploi, si tu changes de parti, par contre, vas-tu être élu? C'est ça l'affaire. [02:04:47] Speaker J: Ben, ça dépend. Il y en a stratégiquement que ce serait peut-être mieux de changer de parti. [02:04:51] Speaker A: Pis qu'il va être possible de réussir. Moi, je pense qu'à l'issue de Québec, prochaines élections, si tu tombes avec les conservateurs, je suis pas sûr que c'est une mauvaise bête. [02:04:58] Speaker J: Ça, ça serait effectivement... D'après moi, il. [02:05:01] Speaker A: Y aura du conservateur, ça arrive ça, de Québec. [02:05:04] Speaker J: Bien, je suis sûre certaine, Jussi, il y aura d'autres départs. Il y en aura, c'est sûr. Ça ne peut pas continuer comme ça et je ne peux pas voir qu'est-ce que... En fait, à moins que François Legault se décide, là, qu'il dise à Koskinen, «Hey, c'est moi le boss, c'est moi qui décide», et qui décide de faire un remaniement avant janvier, ça, ça pourrait peut-être calmer plusieurs ardeurs, mais sinon, je. [02:05:29] Speaker A: Ne peux pas voir. — Tout dépendant de qui sera nommé. Parce que tu sais, l'autre affaire que t'as pas dit, mais dans le souhait des députés de remaniement, c'est aussi l'espoir d'être appelé, d'être l'élu, là, tu sais. [02:05:39] Speaker J: — Oui, mais je pense... Sérieusement, je pense qu'il y en a qui sont à ce point écoeurés. Juste voir les bullies du conseil des ministres déguerpir, ça va déjà être un bon soulagement pour plusieurs d'entre eux. [02:05:52] Speaker A: Mais en même temps, les bullies vont-elles être tassées? Parce qu'ils sont faits remaniement, puis qu'on change... Regarde, je les ai, les ministres d'en face. Puis qu'on change la ministre responsable de la solidarité sociale. Je ne savais même pas le nom, Chantal Rouleau. [02:06:06] Speaker J: Madame Rouleau, si elle n'est pas contente, elle peut quitter, mais je ne pense pas que ça va faire des grosses vagues. Mais je suis certaine... D'après moi, ce. [02:06:13] Speaker A: N'Est pas une boulie, elle-là. [02:06:15] Speaker J: Non, je suis d'accord, mais je suis certaine qu'Éric Kerr, si on l'enlève du conseil des ministres, on le tasse, Pour le rendre simple, le député, il ne vient plus à l'Assemblée nationale. Mais ça, il y en a plusieurs qui ont des égos rendus là maintenant. Mais voilà, à un moment donné, on ne fait pas une omelette sans casser des oeufs. Je pense que d'une manière ou d'une autre, il va y avoir des insatisfaits. Et moi, je pense qu'il est temps de faire, il n'y avait pas juste M. Fitzgibbon, il est temps de faire d'autres insatisfaits au Conseil des ministres. Maniste, c'est le premier ministre, il faut que ça s'assume, seigneur. [02:06:52] Speaker A: Non mais moi j'ai jamais vu un parti au pouvoir être aussi immobile dans ses ministres. [02:06:59] Speaker J: Absolument, oui. Puis on s'entend que c'est pas... Avec. [02:07:02] Speaker A: Fitz, il y avait une chance de dire, regarde, tant qu'à être là, on va rebrasser des camps. Ah non, il a pas tassé deux pions, on touche à rien. [02:07:09] Speaker E: Mais c'est sa garde rapprochée. C'est les vieux de la vieille. [02:07:12] Speaker A: Fait que c'est bully, peut-être qu'ils savent aussi. [02:07:15] Speaker J: Bien, c'est sûr qu'il lui serve. C'est sûr, sûr, sûr qu'il lui serve. C'est sûr qu'il lui serve, mais là, il va falloir qu'il fasse une évaluation à savoir qu'est-ce qui penche le plus dans le balance. Les 5-6 bullies, c'est une excellente question, Patricia. [02:07:28] Speaker E: Quand il y a un gros égo, le go, là. [02:07:30] Speaker J: Il y a un très gros égo, absolument. Mais je pense que, et voilà, c'est là où je pense que ce qui va changer la donne, c'est les autres insatisfaits qui vont décider de dire, ça suffit. [02:07:41] Speaker A: J'ai juste des nominations, on s'amuse, mettons qu'on se demande ça, c'est-tu nécessaire ça? Sonia Bélanger, ministre responsable des aînés. Un ministère des aînés, c'est-tu nécessaire ça? [02:07:58] Speaker J: On aurait aimé que ce ministère-là soit plus efficace pendant la pandémie. [02:08:04] Speaker A: D'après moi, si l'économie va bien, si la santé va bien, t'as pas besoin d'un ministère des aînés. C'est des gens comme tout le monde. [02:08:10] Speaker J: Maintenant que les maisons des aînés sont toutes construites et qu'il y en a tout plein et qu'ils sont vides. Et qu'ils ont coûté trop cher. Et qu'ils sont pas louables. Je suis d'accord. [02:08:19] Speaker A: Tu sais, je veux dire, si tout va bien, pourquoi il n'y a pas un ministère des Jeunes? Je veux dire, rendu là. [02:08:23] Speaker E: Non, mais moi, tu vois, oui et non. L'affaire, c'est que c'est comme un peu ancré. Je pense que comme ta population est vieillissante, oui, au moins on peut se... Mais par contre, je ne te dirais pas si dans 20... Je ne vais pas dire 20 ans. Si dans 50 ans, ça n'a plus lieu d'être, on l'enlève. [02:08:37] Speaker A: Oui, mais Pat, si la santé va bien, si l'habitation va bien, si l'économie. [02:08:42] Speaker E: Va bien, Pourquoi tu as besoin d'un ministère des aînés? En plus de toute façon, ça ne change rien. [02:08:49] Speaker J: Mais là, tu ne dis pas que la santé et l'économie vont bien? [02:08:52] Speaker A: Non, mais tu comprends que dans un monde où on a inventé un ministère, ça ne va pas bien ailleurs. Chantal Rouleau, je t'en ai parlé. Ministre responsable de la solidarité sociale et de l'action communautaire. [02:09:07] Speaker J: Ça, c'est une ministre qui fait juste donner des chèques. Ça, le budget fait juste donner des chèques. [02:09:11] Speaker A: D'après moi, le ministère de l'Économie peut ramasser ça. [02:09:13] Speaker E: Il y a des organismes qui se dédoublent. [02:09:15] Speaker J: Oui, absolument, mais je suis quand même obligée de dire qu'ils ne suffisent même pas à la tâche parce que dans plusieurs champs de compétences différentes, le gouvernement, on est complètement lavé les mains en disant que c'est les organismes qui s'en occupent. Nous, on leur donne de l'argent et c'est eux autres qui s'en occupent. [02:09:33] Speaker A: Ils ont payé une ministre pour chopoter ça. [02:09:34] Speaker J: Exactement, ils ont payé une ministre pour distribuer des chèques. [02:09:37] Speaker A: Ministre responsable des relations avec les Premières Nations et les Inuits. Tu sais, ça, il peut pas avoir juste un comité ou un canal de communication. Ça prend un ministère, des employés, puis des fonctionnaires, puis des... Bien, ça, je. [02:09:48] Speaker J: Suis obligée de dire que le gouvernement du Québec n'a jamais eu, à ce point, une bonne relation avec les Premières Nations, qui est obligée d'avoir quelqu'un dédié à ça, là. Puis dès que... Puis on n'a pas fini d'entendre parler, on a entendu parler dans Hydro-Québec, hein, et les Premières Nations ont dit, nous, on va être actionnaires. [02:10:06] Speaker A: D'ailleurs, tu vois que ça donne quelque chose. Ça va super bien. Mettons, ministre responsable des services sociaux. Ça, il me semble qu'à une époque, c'était santé et services sociaux. On a splitté ça en deux. C'est-tu vraiment nécessaire juste d'avoir un ministre et un ministère avec tout ce que ça comporte? Une limousine, puis des gardes du corps, puis un bureau, puis des fonctionnaires, Moi. [02:10:29] Speaker J: Ce que je sais de ce ministre-là, qui est Lionel Carman, depuis qu'il est en place, tout ce qu'on fait, c'est lui reprocher la gestion de la DPJ. On a vu zéro amélioration. Il est juste chanceux pour l'instant que ça fait pas partie de l'ordre du jour, mais la prochaine tragédie, le prochain décès, le prochain... [02:10:53] Speaker E: Mais lui, il passe free là. [02:10:55] Speaker J: Vraiment, vraiment. [02:10:57] Speaker E: Pour de vrai, je pense que dans la section médiocrité, on devrait lui mettre son nom parce que... [02:11:01] Speaker A: C'est parce qu'il parle bien, c'est quelqu'un avec du bagage, donc je pense qu'il passe free. [02:11:06] Speaker E: Il a aucun accomplissement. C'est capoté. Corrige-moi si j'ai tort. [02:11:09] Speaker J: Non, non, non. Tout à fait. Il n'y a pas d'annonce. Notamment pour la DPJ. Je ne peux pas croire que ça a été le statu quo aussi longtemps. Rien qui change. Absolument rien. Je ne sais même pas ce qu'il. [02:11:21] Speaker E: Fait de ses journées. [02:11:23] Speaker A: On va finir avec celui-là. C'est le meilleur. Ministre de la cybersécurité et du numérique. De toute façon, on voit ce que ça donne. On est vraiment à la page côté technologique. C'est le temps qu'à être pas bon, on peut laisser faire. T'sais, moi ça là, le ministère de la cybersécurité et du numérique, dans ma tête, tout ce dossier-là, ça revient au privé. C'est des compagnies privées qui devraient offrir des services, puis se développer, puis c'est de l'évolution technologique, c'est le privé qui s'occupe de ça. [02:11:51] Speaker J: Mais en fait, ça c'est un bon point, J.C., parce que tout ça est parti, vous vous en rappelez certainement, pendant la campagne en 2018, que François Legault disait qu'il était pour tout régler, le bordel informatique, puis faire une commission d'enquête. On n'a jamais eu de commission d'enquête. Je pense que ce serait encore pire de voir ce qui se passe avec ce ministère-là, ce qui s'est passé au privé, mais bon. [02:12:15] Speaker A: Salutations Érica. Merci Annie, toujours un plaisir. On se parle la semaine prochaine. Bonne semaine, bon lundi et c'est parti, on vient. Radio X. [02:12:26] Speaker B: Le Guide Resto-Midi vous présente cette semaine le restaurant Eldorado. [02:12:32] Speaker E: Cet automne, le resto Eldorado vous séduit avec six plats réconfortants à déguster sur place, à emporter ou à faire à la livraison du mardi au dimanche. Découvrez notre menu familial varié incluant pizza, poutine, smoked meat, burger et savoureux brunch. Et en septembre, les enfants de 12 ans et moins accompagnés d'un adulte mangent gratuitement. [02:12:51] Speaker C: Passez-nous voir. [02:12:52] Speaker B: Le seul et unique resto Eldorado. Votre destination bouffe au 1230 rue Jacques-Bédard-Lac-Saint-Charles. [02:12:59] Speaker A: SimonLaberge.com. Vous savez, Simon vend des maisons, mais là, Simon a besoin de maisons. C'est l'inventaire qui est problématique. Pis ça, c'est pour tout le monde. C'est pas de sa faute. C'est pas de votre faute. Mais on vous invite à réfléchir. Si jamais vous étiez peut-être vendeur et que là, vous attendez... Des fois, y'en a qui attendent, ils savent même pas pourquoi. Pourquoi t'avances pas ta maison? Les enfants sont plus là. T'as trois étages. Qu'est-ce que tu fais avec ça? Je sais pas. C'est chez nous. Oui, je comprends, mais peut-être qu'elle serait à vendre, finalement, votre maison. Ben, on va la vendre. Puis on va la vendre vite. Et on va la vendre bien. Parce qu'on veut, évidemment, avoir le meilleur prix. Mais vous allez l'avoir. Il a fait des chroniques en fin de semaine. Simon Laberge avec Carbeau. Il a de la surenchère. C'est revenu à la pine à la planche. Puis la raison est simple. C'est ce que je viens de dire. Il n'y a pas d'inventaire. On a besoin de maisons. Donc ceux qui en veulent, ils en veulent, ils en veulent. Le marché est à vous, les vendeurs. Profitez-en. Contactez Simon et son équipe en vous rappelant que le prix médian de l'unifamilial n'a jamais arrêté de monter et on est encore en progression. Donc votre maison, peut-être vous êtes informés il y a huit ans. Il faudrait se réinformer. Allez sur simonlaberge.com. Vous allez voir, votre maison vaut encore plus que vous pensez. Et c'est encore le temps de profiter de la montée des prix. Pour vendre votre maison, simonlaberge.com. [02:14:11] Speaker B: Jusqu'au 14 octobre, c'est le mois de l'habitation chez Profab. 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[02:15:44] Speaker E: Les histoires, hors du commun. Les acteurs, hors du commun. Une soirée, hors du commun. Hors du commun. [02:15:53] Speaker B: Vivez l'expérience à Télé-Québec. [02:15:55] Speaker C: Faites partie de la famille Qui a Beauport. Offrez-vous le Sorento 2025. En location à partir de 123 $ par semaine sur 60 mois. Aussi disponible en version hybride. Passez-le voir. Rue Seigneurial à Beauport. [02:16:10] Speaker D: Hey, salut! [02:16:11] Speaker F: Salut. [02:16:11] Speaker A: Ça va? T'as l'air préoccupé. [02:16:13] Speaker F: Ouais, c'est que... Je viens de parler à mon gars, il panique encore parce que l'Internet coupe tout le temps. [02:16:20] Speaker B: Écoute-moi, c'est pas compliqué. Il faut que tu t'abonnes chez Oricum. Leurs connexions fibre sont pas chères, leur service est vraiment extra. Je te le dis, tu seras pas déçu. [02:16:27] Speaker A: Pis tes ados bouderont plus. [02:16:28] Speaker F: Bon, ok, tu m'as convaincu. Je règle ça aujourd'hui, pas de temps à perdre. [02:16:31] Speaker D: Vous aussi, changez pour Oricum dès maintenant. C'est simple et rapide, comme la fibre. Abonnez-vous à Oricum.ca Oricum.ca Dans la vie. [02:16:40] Speaker B: On ne peut pas faire confiance à certaines choses. Comme à un enfant qui apprend à jouer au baseball. Mais chose certaine, on peut faire confiance à Toyota. Quand on cherche un véhicule électrique, c'est rassurant de pouvoir se tourner vers le BZ4X de Toyota. Un VUS 100% électrique à la conduite exaltante et au design novateur. Jusqu'au 30 septembre, profitez d'un incitatif du manufacturier de 3500 $ sur le BZ4X 2024, en plus des rabais gouvernementaux allant jusqu'à 12 000 $. Réservez un essai routier dès aujourd'hui sur achetez-ma-toyota.ca ou chez votre concessionnaire Toyota du Québec. Accomplissez vos travaux plus rapidement, tout en vous amusant avec le RTV-XG de Kubota. [02:17:14] Speaker H: Ce véhicule utilitaire offre une maniabilité et. 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Celui-ci aurait aperçu le canon d'une arme à travers les barreaux d'une clôture, longeant un terrain de golf à West Palm Beach, propriété de Donald Trump, où celui-ci exerçait son sport préféré. Plusieurs coups de feu en direction du tireur qui a pris la fuite ont été entendus. Sur place, on a retrouvé un fusil d'assaut AK-47 avec télescope, de même qu'une caméra GoPro. Le suspect Ryan Wesley Root, âgé de 58 ans, a été arrêté et fera face à la justice. Pas une, mais deux élections fédérales partielles aujourd'hui dans le pays de Justin Trudeau. D'abord dans l'Assas-les-Morts-Verdun, à Montréal, où une lutte à trois entre les libéraux, le NPD et le Bloc québécois s'effectue pour décider de celui qui succédera au libéral David Lametti. Mais aussi dans la circonscription de Ellwood, Transcona, à Winnipeg, alors que les conservateurs de Poitiers chauffent le député néo-démocrate sortant. Fermeture des bureaux de vote à 21h30, une journée importante pour le Canada. Choix. [02:19:34] Speaker C: 98.1. À Québec. [02:19:40] Speaker B: C'est Radio X. Choix. [02:19:43] Speaker C: Radio X. Faites-vous. [02:19:47] Speaker B: Votre propre opinion. [02:19:51] Speaker A: Ouellet. En direct. [02:19:53] Speaker B: Avec JC et Patricia. [02:19:57] Speaker C: En direct. Radio X. [02:20:01] Speaker A: That's a crazy train! Cette chronique n'a plus besoin de présentation. C'est parti! Tom Lapointe, bonjour! [02:20:23] Speaker I: Salut JC, bonjour Patricia et bonjour Jordan. [02:20:28] Speaker A: Bonjour. Tu parles à une ville de champions, Tom? [02:20:32] Speaker I: C'est ce que j'allais dire. Ça va se fêter où? Ça va-tu dans la rue bientôt? [02:20:37] Speaker A: Aujourd'hui, je pense en après-midi, les Capitals accueillent les fans sur la terrasse au stade. Présentation du trophée pour les jeunes et les moins jeunes. pour en prendre des photos. [02:20:47] Speaker D: J'ai vu un beau Pat Scalabridi ce matin, ou c'est-tu dans les dernières heures, je sais pas quand, mais il mangeait une bonne poutine dans le Trophée. [02:20:52] Speaker A: Il a mangé une poutine dans le bol de la coupe, direct. [02:20:55] Speaker D: Ouais, on s'est gâté. [02:20:56] Speaker A: Voilà, donc... Mais là, écoute, pis je l'ai eu en entrevue tantôt, Pat, pis t'sais... Ouais, j'ai entendu aussi. C'est un moment donné, tu gongs, tu gongs, tu gongs... Mais non, il a l'air de prendre la pression avec bien de la sagesse pis de l'humilité. [02:21:09] Speaker D: C'est un peu le même beat, là, c'est-à-dire tranquillement, on dégonfle, pis la balleune, elle va dégonfler au fur et à mesure. [02:21:14] Speaker A: Non, mais c'est dans les attentes, Tu sais, mettons l'année prochaine, ils finissent avant-dernier dans l'Est, là, tout le monde, qu'est-ce qu'il se passe? [02:21:21] Speaker D: Non, mais on peut pas chialer JC. [02:21:22] Speaker A: Mais non, on chiale pas. On chiale pas tout de suite. [02:21:24] Speaker D: Ils sont arrivés dans Frontier, ils ont tout gagné. À un moment donné, ça prend des petits rebuilds, des petits resets une fois de temps en temps. Moi, ça me surprendrait pas qu'il y ait un autre club qui aille la chercher l'année prochaine. [02:21:34] Speaker I: Mais j'ai aimé sa réponse quand tu lui as posé cette question-là, JC. ce matin, c'est qu'il répond bien que lui, la plus grosse de sa pression, c'est justement d'installer, de se faire un nom dans la Ligue et d'en gagner une. Il a gagné un championnat, il vient d'en gagner deux, il vient d'en gagner trois. Pour lui, après, je veux dire, à un moment donné, ça va retomber, c'est sûr, mais pour lui, ça, c'est pas de la pression. Parce que j'ai aimé quand il disait, maintenant, Québec, c'est une ville où on veut, on veut absolument venir jouer au baseball, où on voudrait venir jouer au hockey aussi si on ramenait qui ont pensé, mais c'est la preuve que vous êtes à Québec, une ville de sport exceptionnelle. Franchement, quand vous vibrez, c'est comme dire, c'est mes lèvres qui vibrent. Vous ne faites pas à peu près la vibration. [02:22:25] Speaker A: Non, pis regarde, le match Rouge et Or, record match en soirée, il y avait 22 000 personnes au stade Telus. [02:22:30] Speaker D: Ah c'était capoté, moi j'ai vu que l'Utelgate avait été la gang de choix pis de... Ah non, c'était... [02:22:33] Speaker A: C'est fou pis le prochain s'en vient. [02:22:35] Speaker D: Pis là t'as les Remparts qui vont débuter en plus en début de... ben en fin de semaine vendredi, t'as le retrait de chandail de Jonathan Marchesso, y'a toujours des happenings pis on sait que Québec, les Remparts ont gagné, ils veulent pas si longtemps. Fait que les clubs qui sont là présentement, je veux dire, on... On va sur la vague et on surfe là-dessus, on a bien du fun, mais ça va arriver à un moment donné, il boute plus tôt puis ça va être normal. Mais le troisième qui a été cherché de suite, moi j'entendais Pat aussi ce matin avec Dom, puis celui-là il est plus spécial que les autres. [02:23:01] Speaker A: C'est un record de ligue. C'est une ligue qui existe, c'est la plus... C'est la plus vieille ligue de baseball indépendante en Amérique du Nord. Et c'est la première fois qu'un club gagne trois championnats. Schomburg en avait gagné deux bac à bac. Là, trois fois, c'est une première. Mais toi, Tom, en tant que grand fan, je sais que t'es un grand fan de baseball, ça doit remuer quelque chose pour les Montréalais, ça, non? Parce que je comprends qu'on aimerait mieux le baseball majeur à Montréal, mais quitte à rien avoir, là, non? [02:23:32] Speaker I: Écoute, moi j'ai vécu les grandes années, je couvrais à l'époque, je veux dire, mon collègue qui était mon co-animateur de l'émission à l'époque, c'est lui qui était la voix un peu comme ce qu'est Jordan avec les remparts. Richard Morency était la voix des Expos de Montréal, c'était mon co-animateur. Donc j'allais passer moi mes soirées dans sa cabine avec lui, alors qu'il présentait chacun des joueurs. Il y a eu des grandes années, mais la balloune Malheureusement, elle a explosé. Ils ne sont pas partis les expos juste parce que l'équipe n'a pas performé plus ou moins bien. Ils sont partis parce qu'il y a moins de monde dans les estrades, tandis qu'on a le phénomène contraire à Québec avec vous. À toutes les fois qu'il y a une équipe qui est là, Vous faites le plein, ça n'a aucun sens. Ça veut dire que vous avez les portefeuilles. Ça m'amène à ce sujet-là. Ça veut dire qu'à Québec, vous avez les portefeuilles pour appuyer toutes ces formations-là, dont possiblement l'arrivée du retour des Nordiques ou d'une équipe dans la Ligue nationale. [02:24:32] Speaker A: Ben c'est sûr que c'est pas le même niveau, c'est sûr que le prix d'une franchise de la Ligue Frontière ça doit pas être le quart ni même le huitième de ce que ça prend en investissement. Mais ça veut dire qu'il y a des gens qui sont prêts à déplier pour avoir des événements et pour avoir du support. [02:24:47] Speaker D: C'est quelque chose qui est bien abordable aussi au niveau des familles. On regarde les concessions. Tu peux avoir des bons joueurs qui, nous c'est arrivé une couple de fois, tu avais 3-4 joueurs qui étaient invités dans des camps de majeurs l'année d'après. Ça leur permet d'avoir un levier. Je pense que c'est bon de tester le marché aussi avec un club de même. Tu ramènes une rivalité Montréal-Québec. [02:25:04] Speaker A: J'aimerais ça qu'il y ait un club à Montréal. [02:25:07] Speaker D: Mais il faut, je pense. [02:25:08] Speaker A: J'aimerais vraiment ça. Peut-être pas Montréal-Montréal, il n'y a pas de stade, mais qu'une couple d'investisseurs se mettent ensemble et disent « Regarde, on va aller leur faire la barbe à Québec, nous autres on va s'en faire un club de balle. [02:25:17] Speaker I: » C'est un plan quand le stade olympique sera évidemment redevenu un stade qui mérite le nom d'un stade. Je pense que là, t'as vu déjà ce matin avec Caroline Proulx. [02:25:30] Speaker D: Ben oui, l'NFL is back. [02:25:31] Speaker I: Oui, on veut amener des matchs de la NFL à Montréal. Donc tout ça, c'est à quelque part, c'est comme le chemin qu'on est en train de faire pour dire, écoute, si on veut ramener le baseball, on va ramener la NFL, quelques matchs d'exhibition, le baseball, et on va montrer qu'il y a vraiment la place idéale pour avoir du sport professionnel à Montréal. [02:25:50] Speaker A: Ce qui me fait peur, Tom, avec l'affaire de la NFL, c'est que premièrement, moi, ce qui m'énerve, c'est que c'est une ministre qui nous parle de ça. Ben c'est elle qui avait parlé de. [02:25:57] Speaker D: Taylor Swift aussi, quand tu vas aller rénover le stade. [02:26:01] Speaker A: Tom, si tu me dis que ça prend de l'argent public pour amener de la NFL à Montréal, c'est pas une bonne nouvelle. On n'est pas dans ce que moi je considère comme de l'effervescence de portefeuille vers du sport. [02:26:14] Speaker I: Je pense que c'est un peu comme dans le cas des Nordiques. On dit à Pierre-Carl-Pierre Ladeau, il faut qu'il aille chercher des partenaires. Je pense qu'évidemment, ce ne sera pas juste l'argent public qui va faire que le baseball reviendra à Montréal. Il faudrait que des gars comme Brafman, qui sont très riches, qui ont plutôt demandé justement l'aide des gouvernements, sortent leur cash avec d'autres partenaires et amènent la concession. C'est comme ça que ça se passe maintenant dans le sport professionnel. Demander l'aide des gouvernements, c'est passé date. [02:26:41] Speaker A: Au Canada non, au Québec encore moins. [02:26:43] Speaker D: On a le ministre des Nordiques ici. [02:26:47] Speaker I: Je sais, mais en tout cas, le fait qu'on ramène, qu'on pense avoir des matchs de la NFL, c'est le fun, Montréal. Mais en parlant de vous autres pendant ce temps-là, il va y avoir un downer, parce que vous avez eu toute cette effervescence-là. Puis en début octobre, vous allez recevoir les Kings, allez-vous y aller? [02:27:05] Speaker D: Ben oui, c'est tellement excitant. [02:27:10] Speaker I: J'viens de faire mal au beat. Ça y est, on vient de danser. [02:27:14] Speaker D: J'viens de casser le beat. [02:27:15] Speaker A: On aimerait ça. [02:27:17] Speaker D: Le montant total de la facture, ça a coûté combien de nos poches, finalement? On disait 5 à 7 millions, c'est comme semi-classe. Et en plus, on paie pour leurs dépenses, pour leurs tartares et compagnie, pis les nuits d'hôtel, pis on va avoir bien du fun, là. Mais le match contre les Browns, je sais que ça se vendait bien, parce qu'il y a l'hommage à Patrice, là. Patrice Pergeron, toujours spécial. [02:27:34] Speaker A: Mais c'est encore là. Québec va aller à celui des Browns pour Patrice. Mais celui des Panthers... qui en passant sont les champions de la Coupe Stanley, il reste, je pense, 8000 billets. [02:27:43] Speaker D: Ah oui, il reste encore de la place. C'est correct qu'une game, mais deux games. C'est pour ça que moi, j'aurais pas eu de problème à avoir des games de la Ligue nationale, mais une game de saison régulière, t'en mets une ou deux. On voit les Global Series qui s'en vont en Suède, en Finlande, deux, trois games là-bas, let's go. On va y payer étiquette pour ça. Moi, j'avais été voir les Pingouins contre les Canadiens quand Carey Price goulait, dans le coin de 2015, 2016, me semble. [02:28:06] Speaker A: Les games pré-saison, il a goûté. [02:28:08] Speaker D: 150$ le ticket pour aller voir des matchs préparatoires et le premier trio, c'était même pas des harnais pour vous donner une idée. [02:28:13] Speaker A: Ouais, c'était un club B. Tant qu'à être dans le Canadien, on va y aller avec ton deuxième point que tu nous as écrit, Tom. Geoff Molson, as-tu vraiment dit qu'il parlait de faire les séries? Enfin! [02:28:28] Speaker B: Enfin! [02:28:29] Speaker I: Ouais, mais comment ça, ben voyons donc, mais vas-y, qu'est-ce que t'as entendu, toi? [02:28:31] Speaker D: Ouais, il faut être réaliste. Je sais qu'il va être dans le mix, mais à un moment donné, il croit un peu au Père Noël. [02:28:35] Speaker A: Ouais, mais avant, il en parlait même pas, t'sais, fait que... Ouais, ben là, du coup... [02:28:39] Speaker B: Je trouve qu'il y a un peu. [02:28:40] Speaker D: De pression sur les épaules de ces gars, là. [02:28:42] Speaker I: Moi je pense qu'ils vont faire des séries, donc je regarde, je regarde, j'ai juste regardé ce week-end et ça c'était le fun de voir justement qu'on avait des vrais partisans au Centre Bell parce qu'on avait les billets à 10 piastres, puis il y a eu 40 000 personnes qui sont allées voir les deux matchs du Canadien contre Toronto. Ça fait du bien de voir des jeunes, des instables, puis de voir pas juste ceux qui ont plein d'argent, qui vont toujours aux matchs ou qui passent le billet à d'autres. Quand tu regardes déjà, je veux dire, la façon dont les deux meilleurs joueurs sur la patinoire, ça a été Len Hopson et Logan Mayhew. [02:29:15] Speaker D: Quel pair, eux autres, ils ont démarré quelque chose. On va voir ça dans 4 ans. On va dire, oui, ça avait commencé en septembre 2008. Mais pas dans 4 ans! Qu'est-ce que tu racontes? Arrête, nous, on attend. Non, mais dans le prime, je te parle. Wow minute, ils vont être pas pires, mais ils ne domineront pas David Pasternak et Mitch Marner à l'an 1, Tom. On se calme un peu. [02:29:34] Speaker I: En tout cas, moi, avec l'arrivée de Patrick Laney, avec le retour en santé de Kirby Dash, avec ce que je vois de Lane Hudson, de Logan Mayhew, parce que là, on va sortir Jordan Harris, excuse-moi, il s'appelle Jordan, mais je pense pas qu'il va rester bien longtemps à Montréal, mais je pense que le Canadien a vraiment sur la patinoire une équipe qui va surprendre cette année. [02:29:57] Speaker A: Pourquoi tu dis que Martin Saint-Louis a fait des déclarations croustillantes? J'ai manqué ça. [02:30:01] Speaker I: Ah non, mais il est revenu avec son histoire de chaises. [02:30:04] Speaker D: J'ai fait les dames, puis tout lui a s'éteint. [02:30:06] Speaker I: Ah oui, il était super drôle. Celle-là, il dit un matin quand il se dit qu'on se dit finalement qu'il n'y aurait presque pas de place, parce que quand on regarde l'équipe qui est en place, avec l'addition de Patrick Lainey, avec le retour en santé de Kirby Dac, et avec le fait que tu as les elle va rajouter Hudson, probablement, et Mayu en défensive. Il n'y a plus un bain-bain de place dans l'équipe qui est là. Donc, il dit ce matin, je pense qu'il y a toujours des postes disponibles. Il faut que tu te forces la main. Même quand tu penses qu'il n'y en a pas, écoute bien la fin, même quand tu penses qu'il n'y en a pas, il y en a toujours, il faut que tu essaies de voler une chaise. [02:30:44] Speaker A: Est-ce que Martin Saint-Louis va se transformer tranquillement en Yogi Berra? [02:30:50] Speaker I: Écoute, c'est incroyable, ces citations-là. Écoute, ils en ont sorti une... [02:30:55] Speaker D: L'affaire, c'est des enfants, c'était bizarre aussi, ça. [02:30:57] Speaker I: Oui, oui, il a fait une comparaison, effectivement, de Jordan en disant... Un peu, c'est comme les enfants, le temps qu'ils arrivent, qu'ils prennent le marque et qu'ils deviennent vraiment, t'sais, je veux dire, les enfants qu'on doit surveiller puis qu'ils vont évoluer avec... T'sais, il était rendu... [02:31:11] Speaker A: Les gars de 24 ans, 25 ans... [02:31:13] Speaker D: Ils sont rendus à 17 ans, après ça, t'es laissé aller. [02:31:18] Speaker I: Non, non, non, puis après ça, je sais pas, puis après ils nous en ont sorti une classique en disant, une journée à la fois, je n'ai pas un gros projet en tête, c'est de gagner la journée. [02:31:29] Speaker A: Gagner la journée? Ben non, mais écoute, ça a commencé avec cette affaire de la game dans la game, de ta game dans ma game, là. On est avec pour pouvoir écrire un livre comme Yogi. Ça va être les martineries. Je sais pas comment on va appeler ça. [02:31:41] Speaker D: Un style du péronisme aussi. Il a peut-être de quoi faire avec ça. Mais il doit commencer à sentir une petite pression. Surtout cette année, les résultats vont devoir être là. Puis en plus de ça, il va s'occuper du powerplay parce que Burrows a décidé de quitter. On pensait qu'il allait en engager un autre. Mais finalement, ils vont s'occuper de ça à Cancun. Il y a Saint-Louis qui va plus se prendre le contrôle de tout ça. Il faut que ça marche. [02:31:58] Speaker A: Mais est-ce que c'est le coach qui a eu le plus de break quand même parce qu'il est arrivé, moi j'avais jamais entendu ça, les médias, le canadien dire ok nous autres on se donne une coupe d'année pour rebâtir. Tu sais le canadien c'était tout le temps faut gagner la coupe. C'est le seul coach que j'ai vu qui a eu un gros break de 2-3 ans. Personne ne l'a chalé. On trouvait ça drôle. Même quand il perdait 2-3 games en ligne, c'était pas grave. Martin nous ferait rire. Mais à un moment donné, comme Jordan, Tom, je sais pas si tu en penses, à un moment donné, ça va cagner à la porte. Quand il va y avoir un club, il va y avoir qu'il gagne. [02:32:32] Speaker I: Mais ils se payent même des émissions, vous n'avez pas vu, ils ont acheté sur Crave. Ils expliquent pourquoi ils sont en reconstruction, on sait que ça fait des années qu'ils sont en reconstruction. Enfin, ils osent le dire. Et ils font une grosse autopromotion avec ça, avec quelques déclarations plutôt classiques de Jeff Molson. Mais c'est du Canadien tout craché. Ils font leur auto. On l'a toujours dit, c'est du cheerleading. Et dans le cheerleading, ils savent quand, quoi, quoi dire. Tout est pensé. Je ne sais pas si c'est Chantal qui est coach vraiment, mais il y a vraiment une façon de penser au quotidien dans cette équipe-là. Et ça marche. Le building est plein. Et là, tout le monde, ils ont réussi, même moi, à m'exciter. Moi, je pense vraiment, je ne dis pas ça pour le fun, je pense vraiment qu'ils vont aller faire des séries. [02:33:24] Speaker D: Oui, mais l'élément liné vient changer la donne complètement, puis ça va dépendre beaucoup de lui, et surtout de Coffield. Les deux à l'aile droite, on va voir. Mettons, Coffield, on a beaucoup de positifs sur le futur. Il va s'en scorer 30-40. Mais si t'ajoutes un line-in même, t'as deux unités davantage numériques, t'as deux bons premiers trios, et là, ça pourrait faire la différence dans la wild card. Je pense pas qu'il va être dans les trois premiers de l'Atlantique, mais ça va rivaliser, pareil. [02:33:46] Speaker A: Tantôt, tu m'as dit qu'il faisait point serré. [02:33:48] Speaker D: Ben, moi, je vais être réaliste, je pense pas. À un moment donné, il faut se laisser le temps. Je regarde le club, il est encore très jeune. [02:33:52] Speaker A: On va prendre ça en note. Donc Jordan dit non, Tom dit oui. [02:33:56] Speaker D: Détroit-Ottawa, c'est plus en tabarouette. [02:33:58] Speaker A: Parfait. Non, c'est correct. On s'en reparle au mois d'avril. [02:34:01] Speaker D: Ils ont été chercher Hillmark-Ottawa. Même Buffalo, techniquement, devrait être une petite affaire meilleure. Ça, c'est à déterminer. [02:34:08] Speaker A: C'est noté. On en revient avec ça. On a une belle saison à passer. Rapidement, ton étoile du match, Jordan. [02:34:14] Speaker D: Ben écoute, j'avais d'autres étoiles en tête, mais je suis arrivé avec ça parce qu'il a signé un matin Sidney Crosby, qui a signé un beau deux ans, 8.7 millions, et qu'est-ce qu'il faisait ce matin? [02:34:23] Speaker A: Il a gardé son contrat le même montant. [02:34:25] Speaker D: 8.7 millions parce que lui, il avait signé 12 ans dans le coin de 2012, puis là, son contrat se terminait l'année prochaine. Il a décidé de re-signer au même maudit montant. C'est un gars superstitieux. [02:34:35] Speaker A: Ben, quand c'est rendu que les superstitions jouent sur ton salaire, c'est malade. [02:34:39] Speaker D: Oh oui, exact. Puis lui a décidé de rester dans l'Organisation des pingouins. Grande classe, trois coupes Stanley. Puis le gars, ce matin, allait donner des tickets de saison à des partisans dans un quartier résidentiel en banlieue de Pittsburgh. C'est un vrai leader. [02:34:49] Speaker A: Michael Studd. [02:34:50] Speaker D: Et c'est pourquoi je lui donne mon étoile du week-end. [02:34:52] Speaker A: Tom, vas-y donc. [02:34:54] Speaker I: Moi, je donne ça à mon collègue Pierre Houde, qui a été en nomination pour deux Gémeaux et qui sera cet automne intronisé avec les plus grands. Quand on parle avec René Lecavalier, avec Richard Garneau, avec Gilles Tremblay. Il va être intronisé au temple de la renommée des médias et des gens dans le hockey. Et je lève mon chapeau parce que je connais Pierre. Ça avait été mon premier patron, moi, quand j'étais à CKVL. Et c'est un gars qui a une grande humilité. C'est un gars qui arrive en onde, il est préparé. Écoute, juste regarder un match des recrues, comme ce week-end, Jordan, tu dois comprendre ça. T'arrives, il faut que tu aies la bonne prononciation. Il faut que tu connaisses tous les noms des gars. Il faut que t'arrives prêt. C'est du gros, gros, gros travail de présentation. [02:35:34] Speaker D: Y'a aucune hésitation, y'a aucune hésitation. Et puis même si c'est des joueurs qu'il a jamais nommés, je veux dire. [02:35:39] Speaker A: Il fait ses devoirs avant. [02:35:40] Speaker D: Tu vois qu'il arrive, prend ta barouette avec Marc Denis, quel duo incroyable. [02:35:43] Speaker A: Des fois, il nous le dit, t'sais. Alors, j'ai pas l'air. Ouais, vas-y. [02:35:47] Speaker I: Ouais, sauf que Marc Denis, y'a un truc qui m'a un petit peu dérangé ce week-end, c'est qu'à un moment donné, il faut arrêter avec ça. Là, parce que Logan Mayew, il parle quand même assez bien français, bravo à lui. On finit toujours l'entrevue en disant « Oh, merci d'avoir parlé en français, c'était super. » Je suis sûr qu'à Toronto, quand un Québécois arrive et qu'il parle en anglais... pis qu'on lui dit thank you for the interview in English. [02:36:10] Speaker A: C'mon! Bon pis moi je termine, ben écoute là j'ai réalisé que c'est la cinquième chronique qu'on fait ensemble pis pour la troisième fois, mon étoile du masque, ça va être les capitales de Québec. Non mais là après, tu peux dire que je me gâte là parce que là après ça va être fini. [02:36:25] Speaker D: Tu vas dire que c'est le dôme là, c'est quoi? [02:36:30] Speaker I: On a laissé Patricia sur le banc? [02:36:31] Speaker D: Elle est où? [02:36:31] Speaker E: Ah ben je suis là, mais moi je suis comme JC, moi je me répète, mais je trouve ça extraordinaire parce qu'on parle de record d'assistance de toute la Ligue, on parle encore une fois de la WNBA, et je parle encore de Kaitlyn Clark dont je ne manque pas aucun match qui a encore établi un autre record par-dessus un record. [02:36:48] Speaker A: Elle attire la ligue au commerce. [02:36:51] Speaker E: C'est elle qui tire la ligue par le haut. Donc on parle d'un rétablir un record pour le nombre de points marqués par une recrue en une seule saison de la WNBA. Puis ça, ça fait suite au record vendredi du nombre d'aides en une seule saison. Encore une fois pour Kaitlyn Clark, qui est un phénomène incroyable et dont le début de la saison, en passant, on se demandait si elle allait être capable de le terminer parce qu'il n'y avait pas de synergie au sein de son équipe. Puis là, aujourd'hui, l'équipe est en feu. Puis elle, elle, écoute, c'est malade. On est ailleurs complètement. [02:37:19] Speaker A: Tom, Jordan, vous êtes salués. Bonne semaine. Merci. [02:37:23] Speaker I: Salut. [02:37:23] Speaker A: Salut. Bye. On fait une pause. Ça craque à la caque, ça craque à la caque. [02:37:38] Speaker F: Ça craque, ça craque, ça craque à la caque. Ça craque à la caque, ça craque à la caque. [02:37:41] Speaker A: Ça craque, ça craque, ça craque à la caque. [02:37:44] Speaker B: Oh mon, j'étais mauvais, mauvais, mauvais, mauvais. Le Retour de Radio X. Lundi au vendredi, 15h. [02:37:51] Speaker C: Radio X. [02:37:52] Speaker D: Présenté par Donna Connaford. Qui te donne le prix employé? Donna Connaford. Jusqu'à 10 000 $ de rebais sur un F-150. Un taux d'intérêt à 1,99 %. Jusqu'à 27 % de plus pour ton échange. Donna Connaford. [02:38:06] Speaker E: Un endroit où ça ne craque pas, c'est à l'entrepôt de la Renault. En passant, on a 40 % de rabais sur les planchers chauffants. Ça inclut le fil thermostat et la membrane. 40 % de rabais sur les planchers chauffants, c'est là. On en profite là. L'automne s'en vient, on est sur le bord. Mais surtout l'hiver, ça en vient, vos pieds au chaud, s'il vous plaît. Yes, ça se passe entrepôt de la Renault. Puis salle de bain complète pour 1814 $. Voyons pas, t'exagères, t'y capotes. As-tu consommé? Non, je suis totalement à jeu. Advil Tylenol, dans mon cas. Juste pour vous dire que bain autoportant, c'est 699 $. La douche à 449$, le mur de douche c'est 100$, puis le lavabo est à 70$, même on ajoute à ça le plancher chauffant à 376$, admettons j'arrondis là, 377$, et céramique à 123$, chambre de bain normale, bing bang boom, 1814$. Quoi?! ! Ça se peut pas? Ben, va voir par toi-même. Déplace-toi à 9300 rue John Simons. La suite, ça. Et la gang de Trois-Rivières, Three Rivers, vous autres aussi, vous avez votre Entrepôt de la Rénault. Ça se passe pour vous au 3790 boulevard Jean H. Kruger. 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Le DJ qui s'est mis là-dessus, il. [02:43:08] Speaker E: A fait tout un job. C'est un gars, je sais pas qui c'est le gars, j'ai vu ça, la vidéo est virale. Pis il a sa petite console, pis là t'as lui avec sa console, pis à côté deux écrans séparés, l'autre écran c'est Donald Trump. lors du débat, qui annonce ça comme une diarhée verbale, qu'on mange des cheveux des chiens à Springfield. Incroyable, mais bravo, bravo, bravo. Tout un hit. Oui, c'est le hit de l'été. As-tu vu la saga, c'est pas une saga, mais ça a fait jaser. [02:43:36] Speaker A: Quoi donc? [02:43:36] Speaker E: C'est Sébastien Delorme. Je veux t'en glisser un mot. [02:43:40] Speaker A: C'est qui ça? [02:43:40] Speaker E: Sébastien Delorme, c'est un acteur comédien. [02:43:42] Speaker A: Oui, oui, oui, là, sa face m'en vient. [02:43:44] Speaker E: Indéfendable. [02:43:45] Speaker A: Oui, oui, oui. [02:43:45] Speaker E: Celui qui sortait avec Julie Perrault. OK, c'est bon, merci. C'est pas là, là. [02:43:54] Speaker A: Moi, le séjour, je le lis pas bien, bien. [02:43:55] Speaker E: Julie Perrault sort désormais avec Stéphane Rousseau. OK, c'est bon, je suis en magiaise, là. Non, mais pour de vrai, Julie Perrault et Stéphane Rousseau sont en couple, mais avant ça... Ou en club, peut-être, je sais pas. Wow! Trouple! C'est bien la mode ces temps-ci. Mais ils ont été conjoints de longue date pour ce qui est de Julie et de Sébastien. Mais là, Sébastien, du haut de ses 53 ans, qui est un peu... Tu sais, tu t'as demandé c'était qui, parce que c'est pas la star hollywoodienne du Québec. C'est pas un jet-setteur. Il est assez discret, normalement. On le voit pas beaucoup. Il donne des entrevues, surtout parce qu'il y a des choses à vendre. [02:44:35] Speaker G: À. [02:44:35] Speaker E: Partager, à pousser pour ses projets. Bref, et là, à un moment donné, lui, il retentit sur TikTok et là, il nous fait des penses à la Hollywoodienne. C'est-à-dire que Sébastien Delorme et Harry portent des lunettes de soleil. Il enlève ses lunettes de soleil, il regarde l'écran. Après ça, il a un profil gauche. On fait le gauche, on regarde dans l'horizon, c'est la plage. Après ça, un bout de pied, un bout de jambe, un bout de sa chemise. Des tonnes de sa chemise. Après ça, on remet sa chemise. Après ça, on regarde au loin. Ah, ténébreux. Et ça, c'est des... [02:45:05] Speaker A: Lui, il fait ça? [02:45:06] Speaker E: Oui! Et c'est des centaines de milliers de vues sur les internets, mais ça ne correspond pas avec le profil de Sébastien Delorme. Alors, la semaine passée, on lui a finalement posé la question, comment ça? Comment se fait-il que tout à coup, là, on te voit, là, puis t'es comme le gars sexé en noir et blanc, couleur, enfloré, du bord de la plage, en train de manger, tu sais, prends une bouchée, éclate de rire. [02:45:27] Speaker A: Comme si c'était une vedette hollywoodienne. [02:45:29] Speaker E: Oui, là, il dit, ah, mais c'est parce que j'ai des projets qui arrivent, puis là, je pense que c'est indéfendable, entre autres. Mais, par contre! Oui? Moi, comme je suis mémère, ça me satisfait pas. Moi, je suis mémère, ça me satisfait pas. Et j'en ai conclu, ça c'est ma conclusion à moi. Parce qu'ensuite de ça, pour ce qui est du cas, Sébastien Delorme, dont je sais tous les auditeurs de Radio X sont en contre-foutre. [02:45:50] Speaker A: Je savais même pas c'était qui. [02:45:51] Speaker E: Non, mais c'est très bien. Mais des fois, j'ai le droit moi aussi d'avoir une conversation de fille. Je suis toujours entourée de gars. [02:45:56] Speaker A: J'ai le droit à mon moment de fille. Qu'est-ce que ça papote, les filles? [02:46:04] Speaker E: Ah merci, je vais m'entretenir avec moi-même. Je vais avoir une conversation avec moi-même qui intéresse moi. [02:46:09] Speaker B: Bon. [02:46:10] Speaker E: Puis ça, c'est facile, tu sais. Bref, là, Sébastien Delorme, ma conclusion, c'est la semaine passée, il a partagé une photo et une nouvelle blonde. Sébastien Delorme a quel âge? Il a 53 ans. Ah, quand même! Il a l'air plus jeune. [02:46:22] Speaker A: Je sais pas. [02:46:22] Speaker E: Elle s'appelle Virginie. Virginie, toi, ça, c'est... 32. C'est plutôt 24 ans. Propriétaire d'un salon d'esthétique. Virginie, là, elle a dit à Seb, là, toi, tu vas être à la page, mon minou, là. [02:46:33] Speaker A: Ouais, là, je vais t'arranger ça, là. [02:46:34] Speaker E: Ah ouais, pis je vais te faire des petits montages, pis, tiens, de profil, sourire, regarde-moi, regarde d'au loin, sois ténébreux, penche-toi, ressaisis-toi, balance ta tête gauche ou droite. [02:46:42] Speaker A: Je comprends, là. [02:46:43] Speaker E: Fait que là, il y a du Virginie. [02:46:44] Speaker A: Il y a eu une opération rajeunissement. [02:46:46] Speaker E: Elle est pas vieille, hein? [02:46:48] Speaker A: 24, c'est pas vieux. [02:46:50] Speaker E: Fait que qu'est-ce qui se passe avec Sébastien? Ben, c'est la crise de la cinquantaine. [02:46:53] Speaker A: Il se sent revi. [02:46:54] Speaker E: Il se sent revi. [02:46:55] Speaker A: Ben oui. [02:46:55] Speaker E: Voilà, donc il se sent raisonné. [02:46:57] Speaker A: C'est pas parce que j'ai cinquantaine que. [02:46:58] Speaker E: J'Suis pas capable de pogner. Ben, écoute, t'as l'entretien, là. C'est clair, clair, clair, là. Fait que j'étais un petit peu irritée. Pour vrai, quand j'ai su que c'était une fille d'en vingtaine. [02:47:08] Speaker A: T'étais irritée? [02:47:11] Speaker E: J'peux bien faire des vidéos à guichons avec lui. Cinquante-trois, c'est quoi qui va m'arriver, moi, quand mon homme va avoir cinquante-trois? [02:47:16] Speaker A: Ben, y'a une Virginie, là, ou une Maëlla, là. [02:47:20] Speaker E: Hein? Cassandra? [02:47:21] Speaker A: Mais Virginie, en passant, elle fait pas son âge. Parce que Virginie, dans ma tête, c'est plus 30-35. [02:47:24] Speaker E: Non, Virginie, quand t'en regardes, elle fait son âge. [02:47:27] Speaker A: Ah, OK. [02:47:28] Speaker E: C'est un jeu qu'elle fait son âge. [02:47:29] Speaker A: Mais son nom, je parle. Moi, Virginie, je pense pas à 24 ans. [02:47:32] Speaker E: Tu vois très bien qu'elle va porter l'enfant, pis qu'à Tchoum, y'a pas de perte urinaire. Non, non, tout tient en, je t'assure. [02:47:38] Speaker A: OK. [02:47:38] Speaker E: En tout cas, c'est juste ça. Je dois être en SPM. Je suis au beau, ça m'a frustrée. [02:47:43] Speaker B: Un coup d'or. [02:47:46] Speaker E: Ensuite, tu te souviens-tu du super reportage sur les furries? [02:47:51] Speaker A: Oui. [02:47:51] Speaker E: Comment tu disais? Les fourris? [02:47:53] Speaker A: Les fourris. Ceux qui se déguisent en animaux. Tu parles de reportage à nouveau. [02:47:58] Speaker E: Oui, mais je ne sais pas si lui, il figurait dans le reportage. Par contre, Sébastien Poirier a 48 ans, puis lui, il portait des costumes comme Elmo ou Scoopy-Doo dans le Vieux-Québec. [02:48:10] Speaker A: Ça, c'est pas furry, c'est juste weird. [02:48:13] Speaker E: Oui, mais il portait aussi un peu les costumes de Mickey Mouse. Oui, mais il y en a qui portent des trucs de fourrure, mais l'idée derrière ça, c'est de te déguiser. [02:48:21] Speaker A: Plus c'était des fourrures vedettes. [02:48:22] Speaker E: C'était de te déguiser et de donner quoi? Des câlins? [02:48:26] Speaker A: Ah ben oui, des câlins. Non sollicités. [02:48:30] Speaker E: À l'été 2021, voilà. Là t'es vraiment dans mon âge. Moi là, une bébite en fourrure. Donc je sais pas le nombre de fois que son costume a été lavé. [02:48:38] Speaker A: Moi il y a juste Capi. [02:48:39] Speaker E: Ben non. [02:48:40] Speaker A: Capi, je me pose pas de questions. [02:48:41] Speaker E: Oui mais ça c'est dans un événement, ça va de soi. Si tu vas au hockey... Capi, je. [02:48:44] Speaker A: Suis sûr qu'il est propre. [02:48:45] Speaker E: Oui. Mais moi, dans la rue, où je me promène, pis là tu me cours après pour un câlin, sérieux, ça va-tu, là? [02:48:51] Speaker A: Ah non, c'est... Là, ça en vient, les bras ouverts, là. Non, non, mais... Non, non, ça va être beau. [02:48:56] Speaker E: Non, non, non, non, non, non. [02:48:57] Speaker A: Ah, je suis avec toi, t'es pas... [02:48:58] Speaker E: Ne me touche pas. [02:48:59] Speaker A: Non, t'as clair, c'est clair. Non, non, non. [02:49:00] Speaker E: Fais ta vie, ok? Touche les autres, mais moi, tu me touches pas. [02:49:04] Speaker A: T'en touches. [02:49:05] Speaker E: Ceci étant dit, à l'été 2021, mon JC, il y a une fille âgée de 18 ans lors du crime, parce. [02:49:12] Speaker A: Que c'est allé au palais de justice. [02:49:14] Speaker E: Lui est arrivé, notre ami Sébastien, du haut de ses... Attends un peu, on va le répéter parce que je l'ai mentionné. Du haut de ses 48 ans. Le gars, il a 48. Il se déguise. [02:49:24] Speaker A: Non, non, mais regarde, moi je peux plus juger parce que je me fais dire que j'ai l'esprit fermé, fermé. [02:49:29] Speaker E: Et c'est mon ami qui m'a osé. [02:49:30] Speaker A: C'est normal. [02:49:31] Speaker E: Faut passer. OK, c'est journée dans le Vieux-Québec. [02:49:33] Speaker A: Y'a rien là. Voyons, on arrive en 2024. On va faire des câlins. Ben là, un câlin, ça fait pas mal. [02:49:39] Speaker E: Donc notre ami Mickey Mouse décide de faire un câlin à la jeune victime ici, qui a 18 ans à ce moment-là. Sauf que quand il fait un câlin non désiré, il en profite pour... Ponguer les fesses? Exactement. [02:49:53] Speaker A: Bon, un petit pelotage sur le side. [02:49:54] Speaker E: C'est un câlin fessier. C'est juste la nouvelle mode. [02:49:58] Speaker A: « Je t'envoie plein d'affection, pou-pou! [02:50:03] Speaker E: » Ben oui. [02:50:04] Speaker A: Ben quoi? [02:50:05] Speaker E: Alors lui, il a toujours nié tout ça. La victime est allée en cour, elle portait plainte. C'est ça l'affaire. C'est ça la patanthos. C'est que là, elle s'est dit « Wow, minute! » Je sais pas jusqu'à quel point... Là, c'est ma perception à moi. Jusqu'à quel point elle a des flashbacks, mais c'est ce qu'elle a mentionné. Elle dit, moi, j'ai vraiment pas aimé ça, j'ai des flashbacks. [02:50:25] Speaker A: Des flashbacks, je sais pas, mais sais-tu quoi, juste pour dire que tu tiens ton bout. [02:50:30] Speaker E: Oui, ça, par exemple, j'adore. [02:50:31] Speaker A: Pas de problème. [02:50:31] Speaker E: Elle dit, moi, à ce temps-là, quand je vois une mascotte qui approche un enfant, j'ai un malaise. Elle dit, je suis pas capable de me dissocier de ce que j'ai vécu, qui m'a pogné le cul. Excusez-moi, là, c'est en langage pour qu'on se comprenne. Puis ça, je peux le comprendre aussi. [02:50:44] Speaker A: Encore là, même une mascotte. Tu sais, je te reprends à Capi, parce que ça, dans ma tête, c'est la mascotte idéale. Capi, il court pas près des enfants. C'est les enfants qu'il court. [02:50:51] Speaker E: C'est les enfants qu'il court. [02:50:52] Speaker A: C'est les enfants qu'il court. [02:50:54] Speaker E: C'est les enfants qu'il court. [02:50:56] Speaker A: C'est les enfants qu'il court. C'est les enfants qu'il court. C'est les enfants qu'il court. C'est les enfants qu'il court. C'est les enfants qu'il court. C'est les enfants qu'il court. C'est les enfants qu'il court. C'est les enfants qu'il court. C'est les enfants qu'il court. C'est les enfants qu'il court. C'est les enfants qu'il court. C'est les enfants qu'il court. C'est les enfants qu'il court. C'est les enfants qu Photo, photo. Voyons, il fait pas ça. [02:51:11] Speaker E: Une mascotte, c'est pas ça. Non, non. [02:51:13] Speaker A: Ça fait des gestes. Là, depuis qu'elle est mascotte, je veux taponner du monde. [02:51:17] Speaker E: En tout cas, dans ce cas-ci, c'était la mascotte qui taponne. En tout cas, du moins, c'est la dame en question, la jeune fille en question. Et finalement, on a rendu une sentence. C'est le juge Sébastien Proulx qui a rendu une sentence. Et il est coupable. Il va devoir faire 150 heures. de travaux communautaires. Mais par contre, ce qui est intéressant, c'est que le juge lui a permis à l'accusé de se faire entendre. Il a dit, avez-vous quelque chose à dire? Pour votre défense? Là, c'est fait. La condamnation est entrée. Pour Claude. Là, Sébastien Poirier, il dit, moi, je suis vraiment triste de tout ça. Moi, je sers les gens par les épaules, maintenant, pour pas que ça se reproduise, mais en fait, il pourrait pu le faire en processus d'exécution. Non, mais là, j'ai honte. Mais il dit, en même temps, je me souviens de rien. Et le juge, il dit, Bien, je suis surpris que vous vous souveniez de rien, M. Poirier, étant donné que quand vous êtes venu vous défendre, pendant le procès, vous avez donné votre version des faits, vous vous disiez qu'il n'y avait pas touché les fesses. Mais là, il disait, je me souviens de rien. Il s'est fait prendre, il s'est mis le pied dans la bouche comme on dit. Mais au final, c'est juste que c'est une mauvaise idée de se déguiser, surtout du haut de vos 48 ans, on va se le dire. Mais c'est une mauvaise idée de porter un costume, d'aller dans le Vieux-Québec à 45 degrés, de suer votre vie, vous êtes dégueulasses à faire des câlins. Pour absolument rien. [02:52:39] Speaker A: C'était payé pour faire du divertissement. Non, c'était un AB. [02:52:43] Speaker E: Non, mais en disant que le monde aime ça. Moi, je suis du monde, j'aime pas ça. [02:52:47] Speaker A: J'ai pas suivi ta fin de semaine. D'après moi, t'avais pas le temps. Moi, j'ai pas le temps. Si t'as du temps, moi j'ai trois heures par jour pour aller faire des câlins gratos. Remettez votre vie en question des fois, ça se fait. Non, non, mais regarde. Puis, en conclusion, tant qu'à être là, voici un témoignage de Poppy tiré d'un reportage incroyable. On écoute. C'est quoi l'expérience la plus folle faite en tant que Poppy? [02:53:09] Speaker J: Je voudrais me faire pisser dessus. [02:53:10] Speaker A: Et voilà. [02:53:11] Speaker E: Ben voyons. C'est bien capoté! [02:53:16] Speaker A: En rappel! [02:53:16] Speaker E: Encore! [02:53:17] Speaker A: C'est quoi l'expérience la plus folle faite. [02:53:18] Speaker J: En tant que p... je voudrais me faire pisser dessus. [02:53:21] Speaker A: Tu sais, le petit mot qui manque, c'est en tant que papy. Fait qu'eux autres, ils font du petit. [02:53:24] Speaker E: Papy, des petits... suicide. [02:53:27] Speaker A: Ça serait déjà tout, je te dirais. [02:53:29] Speaker E: En fin de semaine, je te dirais que ce qui a viré pas mal, c'est la fameuse bagarre de Jane Addiction. En fait, du groupe Jane Addiction avec Dave Navarro et Pharrell. [02:53:39] Speaker A: Pharrell. Barry Pharrell a lâché un punch à son guitariste. [02:53:42] Speaker E: Ben oui, puis là, la femme à Pharrell a fait une sortie. En fait, on t'abastons. [02:53:45] Speaker A: Je pense que c'est fini, hein, Jane's Addiction? [02:53:47] Speaker E: Tout est annulé. La présente tournée est annulée. On met un ode, on dit que d'ailleurs tous les membres s'en vont chez soi, boudés dans son coin. On a besoin d'un peu d'espace, mais ce qui s'est passé, c'est toute réserve. Je pense que c'était d'ailleurs vendredi. [02:54:00] Speaker A: C'était pas un malentendu en plus? [02:54:02] Speaker E: C'est parce que lui, Farrell, ce qu'il dit, sa femme a fait une sortie ou sa conjointe pour dire que ce qui s'est passé, c'est pas nécessairement envers Dave Navarro, c'est que là, on est en spectacle. Et Farrell, ça fait une couple de fois qu'il se plaint, qu'il s'entend pas chanter. Puis là, parce que c'est trop loud. Le rehoop, le beat est trop loud, puis lenteur. Puis ça a l'air que là, c'était la goutte qui a fait déborder le vase. Là, il chantait sa chanson Ocean Size, qui est celle-là. ♪ Ocean, ocean ♪ OK, et puis là, ils chantent, puis là, ça a l'air que la première engine avant disait «On t'entend pas chanter, on t'entend...» Ouais, mais là, c'est la version sur le CD. Ça fait que c'est retourné de bord, il est allé parler à Dave Navarro. Navarro, il a fait «Qu'est-ce que tu veux, toi?» Puis là, ça a l'air que c'est le bassiste, dans le fond, qui cherchait le trouble, qui a donné trois coups dans le ventre au chanteur. Puis là, le chanteur se pouvait plus, puis là, écoute, tout ça fait une mise en scène, fait en fait une scène catastrophique. Et autant pour le groupe que pour ceux qui sont là. [02:55:01] Speaker A: Mais en même temps, t'sais, on en parlait justement avec mon Ben quand c'est sorti, pis ça c'est l'heure du souper pis là, t'sais, en même temps, j'suis pas sûr qu'avant, il se faisait des câlins là. [02:55:08] Speaker E: Ben c'est ça, ben non mais c'est la goutte de fait. [02:55:10] Speaker A: Ben pour moi c'est une goutte de trop. [02:55:11] Speaker E: Ben non mais c'est ça, fait que là, pauvre lui, mais ça se peut aussi que le gars il a un problème entre ses deux oreilles. [02:55:16] Speaker A: Ben ça c'est peu. [02:55:17] Speaker E: Il y a peut-être une surconsommation de quelque chose, puis qu'il devrait peut-être consulter aussi, là. Parce que se battre en plein spectacle avec ton propre band, c'est un peu particulier. [02:55:26] Speaker A: J'ai vu ça une fois, System of a Down, au Septum de Montréal. [02:55:30] Speaker E: Sur majeur? [02:55:31] Speaker A: Je sais pas, mais le show est terminé. La baisse à terre, pif-paf, il y. [02:55:34] Speaker E: Aura pas de rappel Springton. C'est ça. À part rentrer dans la légende, ça donne pas une belle finale. [02:55:41] Speaker A: Ça donne rien, et c'est rare que ça débouche sur quelque chose de merveilleux. [02:55:43] Speaker E: Et voilà. [02:55:44] Speaker A: Merci, Pat. Dernière pause, on revient. [02:55:47] Speaker B: En direct ! [02:55:51] Speaker C: Radio X. Des bobruns? Une cravate? Pas vraiment. Chez Malette, on porte surtout plusieurs chapeaux. Fiscalité, notariat, juridique, actuariat, intelligence d'affaires, immigration. Découvrez tous nos services au malette.ca. Malette, des comptables et bien plus. Faites partie de la famille Qui a beau port. Offrez-vous le Sorento 2025. En location à partir de 123 $ par semaine sur 60 mois. Aussi disponible en version hybride. Passez-le voir. Rue Seigneurial à Beauport. [02:56:19] Speaker A: Qui a beau port. [02:56:21] Speaker C: Air Trans à présent, deux amis qui découvrent Lyon pour la toute première fois. Quelle exposition! J'adore l'impressionnisme. C'était incroyable. Bon, et maintenant? Ben moi je pense que je vais retourner à l'école et étudier l'art. Moi je parlais du souper. Ouvrez-vous à un monde de découvertes. Réservez dès maintenant votre vol de cet automne pour l'Europe à partir de 639 $. Visitez airtransat.com. Les conditions s'appliquent. Une bonne quenelle, ça tente-tu? [02:56:48] Speaker E: Air Transat. [02:56:48] Speaker C: Le voyage nous transporte. Cet automne. [02:56:53] Speaker E: C'était les Québec qui vous présentent ce beat. Le délire commence au moment où tu cliques. L'expérience est hors du commun, t'écoutes. Ça vient à peine de commencer, tu veux que j'en rajoute. Si t'as l'appli en main, c'est que toi aussi, t'as trop de chance. Et si t'entends cette pub, t'as peur. Des histoires hors du commun. Des acteurs hors du commun. Une soirée hors du commun. Hors du commun. [02:57:19] Speaker B: Vivez l'expérience à Télé-Québec. [02:57:21] Speaker A: Combat à l'attaque du snack. [02:57:22] Speaker B: Les nouveaux petits creux de surbouis sont arrivés. [02:57:24] Speaker A: Ils sont juste 4 piastres. [02:57:25] Speaker C: 4 piastres? J'ai peut-être 4 piastres dans mes poches? [02:57:27] Speaker B: Parfait! Puis ils sont servis sur des pains de ciabatta de 4 pouces. [02:57:30] Speaker C: Il y a sûrement 4 piastres dans le petit cochon de mon gars. [02:57:32] Speaker B: Ça, ça fait deux petits creux. Comme jambon moutarde et miel ou BLT. [02:57:36] Speaker E: Mais attends Max, mon doigt à quatre. [02:57:37] Speaker C: Piastres, il est quelle heure là? [02:57:38] Speaker A: Trois heures d'après-midi. [02:57:39] Speaker J: L'heure du petit snack? [02:57:40] Speaker A: L'heure du petit creux! [02:57:42] Speaker B: Combats l'attaque du snack avec les nouveaux. [02:57:43] Speaker D: Petits creux de Subway. [02:57:45] Speaker B: Les prix et la participation peuvent varier. [02:57:46] Speaker A: Consultez votre appli pour connaître les prix. Hé! [02:57:48] Speaker C: Je viens de trouver quatre piastres sur le trottoir! [02:57:49] Speaker B: Oh ouais! L'automne approche! Profitez des températures douces pour installer votre nouvelle thermopompe. Confort, économie et chaleur garantie. Découvrez nos offres spéciales de la rentrée au EnvironConfort.com, le choix numéro un du consommateur en chauffage et climatisation. EnvironConfort.com C'est la liquidation Nissan présentement chez Beauport-Nissan et Sainte-Foy-Nissan. [02:58:10] Speaker A: Croyez-moi, en septembre, il n'y a jamais eu meilleur moment pour changer. [02:58:14] Speaker B: Changez donc pour le Rogue, offert en. [02:58:16] Speaker A: Location sur 48 mois à partir de l'équivalent de 92 $ par semaine grâce. [02:58:21] Speaker B: À un taux aussi bas que 0,99 %. Ah-ah! [02:58:26] Speaker A: Avouez que ça vous tente de l'essayer. Passez nous voir chez Sainte-Foy-Nissan et Beauport-Nissan. 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