Tom & Jordan en désaccord sur cette GRANDE question !

September 16, 2024 00:17:42
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Tom & Jordan en désaccord sur cette GRANDE question !

Sep 16 2024 | 00:17:42

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Show Notes

La chronique Tom & Jordan avec Tom Lapointe et Jordan Boivin.

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Episode Transcript

[00:00:00] Speaker A: That's a crazy train. Cette chronique n'a plus besoin de présentation. C'est parti. [00:00:17] Speaker B: Tom et Jordan. [00:00:19] Speaker C: Tom and Jerry. Le choc des générations avec Tom Lapointe et Jordan. [00:00:30] Speaker A: Tom Lapointe, bonjour. [00:00:33] Speaker C: Salut JC, bonjour Patricia et bonjour Jordan. [00:00:39] Speaker A: Bonjour. Tu parles à une ville de champions, Tom. [00:00:42] Speaker C: Tu sais ce que j'allais dire? Ça va se fêter où? Ça va-tu dans la rue bientôt? [00:00:48] Speaker A: Aujourd'hui, je pense en après-midi, les Capitals accueillent les fans sur la Terrasse, au stade, présentation du trophée pis les jeunes pis les moins jeunes pourront prendre des photos. [00:00:57] Speaker B: J'ai vu un beau Pat Scalabridi ce matin, ou c'est-tu dans les dernières heures, je sais pas quand, mais il mangeait une bonne poutine dans le trophée. [00:01:02] Speaker A: Il a mangé une poutine dans le bol de la coupe direct. [00:01:06] Speaker B: Ouais, on s'est gâté. [00:01:07] Speaker A: Voilà, donc, mais là, écoute, pis je l'ai eu en entrevue tantôt, Pat. [00:01:11] Speaker B: Ouais, j'ai entendu aussi. [00:01:12] Speaker A: C'est à un moment donné, tu gangs, tu gangs, tu gangs. Mais non, il a l'air de prendre la pression avec bien de la sagesse et de l'humilité. [00:01:20] Speaker B: C'est un peu le même beat, c'est-à-dire tranquillement, on dégonfle, puis la balle va dégonfler au final. [00:01:25] Speaker A: Non, mais c'est dans les attentes. [00:01:26] Speaker B: On va rebâtir, c'est ça. [00:01:27] Speaker A: Mettons l'année prochaine, ils finissent avant-dernier dans l'Est. Tout le monde, qu'est-ce qu'il se passe? [00:01:32] Speaker B: On peut pas chialer JC. [00:01:33] Speaker A: Mais non, on chiale pas. [00:01:35] Speaker B: Ils sont arrivés dans Frontier, ils ont tout gagné. À un moment donné, ça prend des petits rebuilds, des petits resets une fois de temps en temps. Ça ne me surprendrait pas qu'il y ait un autre club qui aille la chercher l'année prochaine. [00:01:44] Speaker C: J'ai aimé sa réponse quand tu lui as posé cette question-là, je l'y sais, ce matin. Il répond bien que lui, la plus grosse de sa pression, c'est justement d'installer et de se faire un nom dans la Ligue. et d'en gagner une. Il a gagné un championnat, il vient d'en gagner deux, il vient d'en gagner trois. Pour lui, après, je veux dire, à un moment donné, ça va retomber, c'est sûr. Mais pour lui, ça, c'est pas de la pression. Parce que j'ai aimé quand il disait, maintenant, Québec, c'est une ville où on veut, on veut absolument venir jouer au baseball, où on voudrait venir jouer au hockey aussi, si on ramenait qui on pense. Mais c'est la preuve que c'est une... Vous êtes, à Québec, une ville de sport exceptionnelle. Franchement, quand vous vibrez, c'est comme de dire « c'est mes lèvres qui vibrent ». Ou ne le faites pas à peu près, en tout cas la vibration. [00:02:35] Speaker A: Non, pis regarde, le match Rouge et Or, record match en soirée, il y avait 22 000 personnes au stade Tellus. [00:02:41] Speaker B: Ah c'était capoté, moi j'ai vu que l'Utelgate avec la gang de choix pis de... Ah non, c'était... [00:02:44] Speaker A: C'est fou pis le prochain s'en vient. C'est le stade Canac qui est plein plein tout le temps, ah oui. [00:02:47] Speaker B: Là t'as les Remparts qui vont débuter en plus en début de... ben en fin de semaine vendredi, t'as le retrait de chandail de Jonathan Marchessault, y'a toujours des happenings pis on sait que Québec, les Remparts ont gagné, il voulait pas si longtemps. Fait que les clubs qui sont là présentement, je veux dire, on va sur la vague pis on surfe là-dessus, on a bien du fun, mais ça va arriver à un moment donné les bouts de plus top pis ça va être normal. Mais le troisième qui ont été cherchés de suite, moi j'entendais Pat aussi ce matin avec Dom pis celui-là il est plus spécial que les autres. [00:03:13] Speaker A: C'est une ligue qui existe. C'est la plus vieille ligue de baseball indépendante en Amérique du Nord. Et c'est la première fois qu'un club gagne trois championnats. Schomburg en avait gagné deux bac à bac. Là, trois fois, c'est une première. Mais toi, Tom, en tant que grand fan, je sais que t'es un grand fan de baseball, ça doit remuer quelque chose pour les Montréalais, non? Parce que je comprends qu'on aimerait mieux le baseball majeur à Montréal, mais quitte à rien avoir, non? [00:03:42] Speaker C: Écoute, moi j'ai vécu les grandes années, je couvrais à l'époque, je veux dire, mon collègue qui était mon co-animateur de l'émission à l'époque, c'est lui qui était la voix un peu comme ce qu'est Jordan avec les remparts. Richard Morency était la voix des Expos de Montréal, c'était mon co-animateur. Donc j'allais passer moi mes soirées dans sa cabine avec lui. alors qu'ils présentaient chacun des joueurs. Il y a eu des grandes années, mais la balloune, malheureusement, elle a explosé. Écoute, ils ne sont pas partis les expos juste parce que l'équipe n'a pas performé plus ou moins bien. Ils sont partis parce qu'il y a moins de monde dans les estrades, tandis qu'on a le phénomène contraire à Québec avec vous. À toutes les fois qu'il y a une équipe qui est là, Vous faites le plein, ça n'a aucun sens. Ça veut dire que vous avez les portefeuilles. Ça m'amène à ce sujet-là. Ça veut dire qu'à Québec, vous avez les portefeuilles pour appuyer toutes ces formations-là, dont possiblement l'arrivée du retour des Nordiques ou d'une équipe dans la Ligue nationale. [00:04:42] Speaker A: Ben c'est sûr que c'est pas le même niveau, c'est sûr que le prix d'une franchise de la Ligue Frontière ça doit pas être le quart ni même le huitième de ce que ça prend en investissement. Mais ça veut dire qu'il y a des gens qui sont prêts à déplier pour avoir des événements et pour avoir du sport. [00:04:58] Speaker B: C'est quelque chose qui est bien abordable aussi au niveau des familles. On regarde les concessions, tu peux avoir des bons joueurs. Nous, c'est arrivé une couple de fois, tu avais 3-4 joueurs qui étaient invités dans des camps de majeurs l'année d'après. Ça leur permet d'avoir un levier. Je pense que c'est bon de tester le marché aussi avec un club de même. Tu ramènes une rivalité Montréal-Québec. [00:05:15] Speaker A: J'aimerais ça qu'il y ait un club à Montréal. [00:05:18] Speaker B: Il faut, je pense. [00:05:18] Speaker A: J'aimerais vraiment ça, peut-être pas Montréal-Montréal, il n'y a pas de stade, mais qu'une couple d'investisseurs se mettent ensemble et disent « Regarde, on va aller lui faire la barbe à Québec, nous autres on va s'en faire un club de balle. [00:05:27] Speaker C: » C'est un plan. C'est un plan quand le stade olympique sera évidemment redevenu un stade qui mérite le nom d'un stade. Je pense que là, t'as vu déjà ce matin avec Caroline Proulx. [00:05:40] Speaker B: Ben oui, la NFL is back. [00:05:42] Speaker C: Oui, on veut amener des matchs de la NFL à Montréal. Donc tout ça, c'est à quelque part, c'est comme le chemin qu'on est en train de faire pour dire, écoute, si on veut ramener le baseball, on va ramener la NFL quelques matchs d'exhibition de baseball et on va montrer qu'il y a vraiment la place idéale pour avoir du sport professionnel à Montréal. [00:06:01] Speaker A: Ce qui me fait peur, Tom, avec l'affaire de la NFL, c'est que premièrement, moi, ce qui m'énerve, c'est que c'est une ministre qui nous parle de ça. [00:06:07] Speaker B: C'est elle qui avait parlé de Taylor. [00:06:09] Speaker A: Swift aussi, quand on dit qu'on va. [00:06:10] Speaker B: Aller rénover le stade. [00:06:12] Speaker A: Tom, si tu me dis que ça prend de l'argent public pour amener de la NFL à Montréal, c'est pas une bonne nouvelle. On n'est pas dans ce que moi je considère comme de l'effervescence de portefeuille vers du sport. [00:06:25] Speaker C: Je pense que c'est un peu comme dans le cas des Nordiques. On dit à Pierre-Carl, Pierre Ladeau, il faut qu'ils aillent chercher des partenaires. Je pense qu'évidemment, ce ne sera pas juste l'argent public qui va faire que le baseball reviendra à Montréal. Il faudrait que des gars comme Brafman, qui sont très riches, qui ont plutôt demandé justement l'aide des gouvernements, sortent leur cash avec d'autres partenaires et amènent la concession. C'est comme ça que ça se passe maintenant dans le sport professionnel. Demander l'aide des gouvernements, c'est passé date. [00:06:51] Speaker A: Au Canada, non. Au Québec, encore moins. [00:06:53] Speaker B: On a le ministre des Nordiques ici. [00:06:58] Speaker C: Je sais, mais en tout cas, le fait qu'on ramène, qu'on pense avoir des matchs de la NFL, c'est le fun, Montréal. Mais, parlant de vous autres pendant ce temps-là, il va y avoir un downer, parce que vous avez eu toute cette effervescence-là. Puis, en début octobre, vous allez recevoir les Kings. Vous y allez? [00:07:16] Speaker B: Ben oui, c'est tellement excitant. [00:07:20] Speaker C: Ah ben j'viens de faire mal au beat. [00:07:23] Speaker B: Ça y est, on vient de danser. Je viens de casser le beat. [00:07:26] Speaker C: Casser le party. [00:07:26] Speaker A: Le match de pré-saison. [00:07:28] Speaker B: Le montant total de la facture, ça a coûté combien de nos poches, finalement? On disait 5 à 7 millions. C'est comme une semi-claque. En plus, on paie pour leurs dépenses, pour leurs tartares et compagnie, puis les nuits d'hôtel. On va avoir bien du fun. Mais le match contre les Bruins, je sais que ça se vendait bien. Parce qu'il y a l'hommage à Patrice. [00:07:43] Speaker A: Patrice Gageron, toujours Mais c'est encore là. Québec va aller à celui des Bronze pour Patrice. Mais celui des Pateuses, qui en passant sont les champions de la Coupe Stanley, il reste, je pense, 8000 billets. [00:07:54] Speaker B: Oui, il reste encore de la place. C'est correct qu'une game, mais deux games. C'est pour ça que moi, j'aurais pas eu de problème à avoir des games de la Ligue Nationale, mais une game de saison régulière, t'en mets une ou deux. On voit les Global Series qui s'en vont en Suède, en Finlande, deux, trois games là-bas, let's go. On va y payer étiquette pour ça. Moi, j'avais été voir les Pingouins contre les Canadiens quand Carey Pratt se gaulait. Dans le coin de 2015, 2016, il me semble. [00:08:17] Speaker A: Les games pré-saison, il a goûté où? [00:08:18] Speaker B: 150$ le ticket pour aller voir des matchs préparatoires, pis le premier trio, c'était même pas des harnais pour vous donner une idée. [00:08:24] Speaker A: Ouais, c'était un clubé. Tant qu'à être dans le Canadien, on va y aller avec ton deuxième point que tu nous as écrit, Tom. Geoff Molson, as-tu vraiment dit qu'il parlait de faire les séries? [00:08:39] Speaker C: Enfin! [00:08:39] Speaker B: Enfin! [00:08:40] Speaker C: Ouais, mais comment ça ben oui ou non? Mais vas-y, qu'est-ce que t'as entendu? [00:08:42] Speaker B: Ouais, il faut être réaliste. Je sais qu'il va être dans le mix, mais à un moment donné, il croit un peu au Père Noël. [00:08:46] Speaker A: Ouais, mais avant, il en parlait même. [00:08:47] Speaker B: Pas, t'sais, fait que... Ouais, ben là, du coup... Je trouve qu'il met un peu de pression sur les épaules de ces gars, là. [00:08:53] Speaker C: Moi je pense qu'ils vont faire des séries donc je regarde, je regarde, j'ai juste regardé ce week-end et ça c'était le fun de voir justement qu'on avait des vrais partisans au Centre Bell parce qu'on avait les billets à 10$ puis il y a eu 40 000 personnes qui sont allées voir les deux matchs du Canadien contre Toronto. Ça fait du bien de voir des jeunes, d'inzestrables puis de voir pas juste ceux qui ont plein d'argent qui vont toujours aux matchs ou qui passent le billet à d'autres. Quand tu regardes déjà, je veux dire, la façon dont les deux meilleurs joueurs sur la patinoire, ça a été Len Hobson et Logan Mayhew. [00:09:26] Speaker B: Quel pair, eux autres, ils ont démarré quelque chose. [00:09:28] Speaker C: On va voir ça dans 4 ans. [00:09:29] Speaker B: Puis on va dire « Ah oui, ça avait commencé en septembre 2008. » Mais pas dans 4 ans! Qu'est-ce que tu racontes? Arrête, nous, on attend. Non, mais dans le prime, je te parle là. Wow minute, ils vont être pas pires, mais ils domineront pas David Pasternak et Mitch Marner à l'an 1, là, Tom. On se calme un peu, là. [00:09:45] Speaker C: En tout cas, moi, avec l'arrivée de Patrick Laney, avec le retour en santé de Kirby Dash, avec ce que je vois de Lane Hudson, de Logan Mayhew, parce que là, on va sortir Jordan Harris. Excuse-moi, il s'appelle Jordan, mais je ne pense pas qu'il va rester bien longtemps à Montréal. Mais je pense que le Canadien a vraiment sur la patinoire une équipe qui va surprendre cette année. [00:10:08] Speaker A: Pourquoi tu dis que Martin Saint-Louis a fait des déclarations croustillantes? J'ai manqué ça. [00:10:12] Speaker C: Ah non, mais il est revenu avec son histoire de chaises. [00:10:14] Speaker B: Les effets de les dames, puis tout lui. [00:10:17] Speaker C: Ah oui, il était super drôle. Celle-là, il dit un matin quand il dit qu'on se dit finalement il n'y aurait presque pas de place parce que quand on regarde l'équipe qui est en place avec l'addition de Patrick Lainey, avec le retour en santé de Kirby Dac et avec le fait que tu as les on va avoir ajouté Hudson, probablement, et Mayu en défensive. Il n'y a plus même pas de place dans l'équipe qui est là. Donc, il dit ce matin, je pense qu'il y a toujours des postes disponibles. Il faut que tu te forces la main. Même quand tu penses qu'il n'y en a pas, écoute bien la fin, même quand tu penses qu'il n'y en a pas, il y en a toujours, il faut que tu essaies de voler une chaise. [00:10:55] Speaker A: Est-ce que Martin Saint-Louis va se transformer tranquillement en Yogi Berra? [00:11:01] Speaker C: Écoute, c'est incroyable, ces citations-là. Écoute, ils en ont sorti une... [00:11:05] Speaker B: L'affaire, c'est des enfants, c'était bizarre aussi, ça. [00:11:08] Speaker C: Oui, il a fait une comparaison, effectivement, de Jordan en disant... Un peu, c'est comme les enfants, le temps qu'ils arrivent, qu'ils prennent le marque et qu'ils deviennent vraiment, t'sais, je veux dire, les enfants qu'on doit surveiller puis qu'ils vont évoluer avec... T'sais, il était rendu... [00:11:23] Speaker A: Les gars de 24 ans, 25 ans... [00:11:24] Speaker B: Ils sont rendus à 17 ans, après ça, t'es laissé aller. [00:11:28] Speaker C: Non, non, non. Puis là, après ça, je sais pas. Puis après, ils nous en ont sorti une classique en disant « Une journée à la fois, je n'ai pas un gros projet en tête, c'est de gagner la journée. [00:11:40] Speaker A: » Gagner la journée. Écoute, ça a commencé avec cette affaire de la game dans la game, de ta game dans ma game. On est avec pour pouvoir écrire un livre, comme Yogi. Ça va être les martineries. Je sais pas comment on va appeler ça. [00:11:52] Speaker B: Un style du péronisme aussi. Il a peut-être de quoi faire avec ça. Mais il doit commencer à sentir une petite pression. Surtout cette année, les résultats vont devoir être là. Et en plus de ça, il va s'occuper du powerplay parce que Burroughs a décidé de quitter. On pensait qu'il allait en engager un autre. Mais finalement, ils vont s'occuper de ça à gang. C'est lui qui va plus se prendre le contrôle de tout ça. Il faut que ça marche. [00:12:08] Speaker A: Mais est-ce que c'est le coach qui a eu le plus de break quand même parce qu'il est arrivé, moi j'avais jamais entendu ça, les médias, le canadien dire ok nous autres on se donne une coupe d'année pour rebâtir. Le canadien c'était tout le temps faut gagner la coupe. Il y a jamais eu ce contexte-là. C'est le seul coach que j'ai vu qui a eu un gros break de 2-3 ans. Personne l'a chalé. On trouvait ça drôle. Même quand il perdait 2-3 games en ligne, c'était pas grave. Martin nous ferait rire. Mais à un moment donné, comme Jordan, Tom, je sais pas si t'en penses, à un moment donné, ça va cogner à la porte. Quand il va voir un club, il va voir qu'il gangle. [00:12:42] Speaker C: Mais ils se payent même des émissions, vous avez vu, ils ont acheté sur Crave. Ils expliquent pourquoi ils sont en reconstruction. Ça fait des années qu'ils sont en reconstruction, ils vont y faire une émission. Enfin, ils osent le dire. Et ils se font une grosse autopromotion avec ça, avec quelques déclarations plutôt classiques de Jeff Molson. Mais c'est du Canadien tout craché. Ils font leur auto. On l'a toujours dit, c'est du cheerleading. Et dans le cheerleading, ils savent quand, quoi, quoi dire. Tout est pensé. Je ne sais pas si c'est Chantal qui est coach. qui est coach vraiment, mais il y a vraiment une façon de penser au quotidien dans cette équipe-là. Et ça marche, parce que le building est plein. Et là, tout le monde, ils ont réussi, même moi, à m'exciter. Moi, je pense que vraiment, je ne dis pas ça pour le fun, je pense vraiment qu'ils vont aller faire des séries. [00:13:34] Speaker B: Oui, mais l'élément liné vient changer la donne complètement, puis ça va dépendre beaucoup de lui, et surtout de Coffield. Les deux à l'aile droite, on va voir. Mettons, Coffield, on a beaucoup de positifs sur le futur. Il va t'en scorer 30-40. Mais si t'ajoutes un liné de même, t'as deux unités d'avantages numériques, t'as deux bons premiers trios, et là, ça pourrait faire la différence dans la wild card. Je pense pas qu'ils vont être les trois premiers de l'Atlantique, mais ça va rivaliser pareil. [00:13:56] Speaker A: Tantôt, tu m'as dit qu'ils faisaient pas un série. [00:13:58] Speaker B: Ben moi, je vais être réaliste, je pense pas. À un moment donné, il faut se laisser le temps. Je regarde le club, il est encore très jeune. [00:14:03] Speaker A: On va prendre ça en note, là. Donc Jordan dit non, Tom dit oui. [00:14:06] Speaker B: Et là, Détroit-Ottawa, c'est pas sûr en tabarouette. [00:14:08] Speaker A: Parfait. Ah ben non, c'est correct. Regarde, on s'en reparle au mois d'avril. [00:14:11] Speaker B: Mais là, à un moment donné, ils ont été chercher Hallmark-Ottawa. [00:14:13] Speaker A: Ah oui, mais on verra. [00:14:15] Speaker B: Même Buffalo, techniquement, devrait être une petite affaire meilleure. En tout cas, ça, c'était à déterminer. [00:14:19] Speaker A: C'est noté. On en revient avec ça. On a une belle saison à passer. Rapidement, ton étoile du match, Jordan. [00:14:26] Speaker B: Écoute, j'avais d'autres étoiles en tête, mais je suis arrivé avec ça parce qu'il a signé un matin Sidney Crosby, qui a signé un beau deux ans, 8,7 millions. Et qu'est-ce qu'il faisait ce matin? [00:14:34] Speaker A: Il a gardé son contrat le même montant. [00:14:36] Speaker B: 8,7 millions parce que lui, il avait signé... 12 ans dans le coin de 2012, puis là son contrat se terminait. L'année prochaine, il a décidé de ressigner au même maudit montant. C'est un gars superstitieux en Cité de Québec. [00:14:47] Speaker A: Quand c'est rendu que les superstitions jouent sur ton salaire, c'est malade. [00:14:50] Speaker B: Oui, oui, exact. Puis lui a décidé de rester dans l'organisation des pingouins. Grande classe, trois coupes Stanley. Puis le gars ce matin, il allait donner des tickets de saison à des partisans dans un quartier résidentiel en banlieue de Pittsburgh. C'est un vrai leader celui-là. Et c'est pourquoi je lui donne mon étoile du week-end. [00:15:03] Speaker A: Tom, vas-y donc. [00:15:04] Speaker C: Moi je donne ça à mon collègue Pierre Houde qui a eu l'internomination pour Deux Gémeaux et qui sera cet automne intronisé avec les plus grands quand on parle avec René Lecavalier, avec Richard Garneau, avec Gilles Tremblay. Il va être intronisé au temple de la renommée des médias et des gens dans le hockey. Et je lève mon chapeau parce que je connais Pierre. Ça avait été mon premier patron, moi, quand j'étais à CKVL. Et c'est un gars qui a une grande humilité. C'est un gars qui arrive en ondes, il est préparé. Écoute, juste regarder un match des recrues, comme ce week-end, Jordan, tu dois comprendre ça. T'arrives, il faut que tu aies la bonne prononciation, il faut que tu connaisses tous les noms des gars, il faut que t'arrives prêt. C'est du gros, gros, gros travail de présentation. [00:15:45] Speaker B: Il n'y a aucune hésitation, et même si c'est des joueurs qu'il n'a jamais. [00:15:49] Speaker A: Nommés, je veux dire, il fait ses devoirs avant. [00:15:51] Speaker B: Tu vois qu'il arrive, prend ta barouette avec Marc Denis, quel duo incroyable. [00:15:54] Speaker A: Des fois, il nous le dit, tu sais. [00:15:58] Speaker C: Sauf que Marc Denis, il y a un truc qui m'a un petit peu dérangé ce week-end, c'est qu'à un moment donné, il faut arrêter avec ça. Là, parce que Logan Mayew, il parle quand même assez bien français, bravo à lui, on finit toujours l'entrevue en disant « Merci d'avoir parlé en français, c'est super ! » Je pense qu'à Toronto, quand un Québécois arrive et qu'il parle en anglais, Et on lui dit « thank you for the interview in English ». C'mon! [00:16:23] Speaker A: Bon, pis moi je termine. Ben écoute là, j'ai réalisé que c'est la cinquième chronique qu'on fait ensemble. Pis pour la troisième fois, mais on est loin du match, ça va être les Capitales de Québec. Non mais là après, je me dis que je me gâte là, parce que là après ça va être fini. Ah tu vas dire que c'est le. [00:16:36] Speaker B: Dôme là, c'est quoi? [00:16:40] Speaker C: On a laissé Patricia sur le banc? [00:16:42] Speaker B: Elle est où? [00:16:42] Speaker D: Ah ben je suis là mais moi je suis comme JC, moi je me répète mais je trouve ça extraordinaire parce qu'on parle de record d'assistance de toute la ligue, on parle encore une fois de la WNBA et je parlais encore de Kaitlyn Clark dont je ne manque pas aucun match qui a encore établi un autre record par-dessus un record. [00:16:59] Speaker A: Elle attire la ligue au commerce. [00:17:02] Speaker D: C'est elle qui tire la ligue par le haut. Donc on parle d'établir un record pour le nombre de points marqués par une recrue en une seule saison de la WNBA. Puis ça, ça fait suite au record vendredi du nombre d'aides en une seule saison. Encore une fois pour Kaitlyn Clark, qui est un phénomène incroyable et dont le début de la saison, en passant, on se demandait si elle allait être capable de le terminer parce qu'il n'y avait pas de synergie au sein de son équipe. Puis là, aujourd'hui, l'équipe est en feu. Puis elle, elle, écoute, c'est malade. On est ailleurs complètement. [00:17:30] Speaker A: Tom, Jordan, vous êtes salués. Bonne semaine. Merci. [00:17:34] Speaker C: Salut. [00:17:34] Speaker A: Salut. Bye. On fait une pause.

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