Une vraie marionnette... il fait SEMBLANT quand il parle d'environnement !

September 16, 2024 00:20:16
Une vraie marionnette... il fait SEMBLANT quand il parle d'environnement !
Ouellet en direct
Une vraie marionnette... il fait SEMBLANT quand il parle d'environnement !

Sep 16 2024 | 00:20:16

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Show Notes

La chronique d'Annie Trudel.

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Episode Transcript

[00:00:00] Speaker A: Ouellet. En direct. Bravo pour ce travail créatif. Avec JC et Patricia. 13h52, Annie Trudel en studio. On a l'honneur de recevoir notre chroniqueuse de temps en temps. Comment ça va? [00:00:34] Speaker B: Très bien, merci. [00:00:35] Speaker A: Content de vous voir. On s'est-tu pas reparlé depuis la rentrée? C'était mardi. [00:00:40] Speaker B: Non, on s'est pas reparlé lundi. [00:00:43] Speaker A: C'est ça. Première semaine, puis comment ça va la CAQ, puis comment ça va l'ambiance? [00:00:49] Speaker B: Ben, d'un, on est rendu au Salon Rouge. Ah oui! C'est vrai! Là, les journalistes ne sont pas très contents parce que la présidence, l'Assemblée nationale n'a pas prévu un endroit où les journalistes peuvent aller s'adresser aux députés et aux ministres. [00:01:05] Speaker A: Ben, parce qu'avant, ils passaient derrière... [00:01:09] Speaker B: Ils étaient dans les coulisses, oui. [00:01:10] Speaker A: Oui, c'est ça. [00:01:11] Speaker B: Et là, ils n'ont plus accès aux coulisses. Ça a été barricadé et il y a des... des gardes du corps. [00:01:17] Speaker A: T'sais les fameuses images là, quand ils s'en viennent, ils descendent les marches. J'ai jamais visité d'ailleurs, faudrait, je sais pas si je peux. [00:01:23] Speaker B: Ben oui, je t'invite, tu viens quand tu veux, je vais te faire visiter ça personnellement. [00:01:28] Speaker A: Mais là, c'est-tu vraiment l'endroit où on les voyait descendre les marches là? [00:01:31] Speaker B: En fait, non, il n'y a pas d'émarche. Tu sais, pendant la pandémie, on voyait le premier ministre arriver à une passerelle. [00:01:40] Speaker A: Oui, oui, oui, le corridor. [00:01:41] Speaker B: À partir de là, alors tout le conseil des ministres arrive de ce côté-là. Puis là, il longe tout un corridor pour se rendre derrière le trône. [00:01:50] Speaker A: Fait qu'il n'y a plus moyen de les attraper sur le flanc. [00:01:53] Speaker B: En fait, il y a moyen entre les deux salons, mais ça a toujours été la seule place de disponible parce que c'est la place qui est accessible à tout le public. D'ailleurs, il faut le dire, n'importe qui qui veut y aller, il peut y aller entre les deux salons, mais si tout le monde décide de passer derrière le trône plutôt qu'entre les deux salons. [00:02:13] Speaker A: Là, ils ont une option de cachette. [00:02:14] Speaker B: Exactement. Elle a toujours existé des deux côtés, mais au salon bleu, les journalistes avaient accès en arrière, tandis que là, au salon rouge, ils n'ont plus accès. [00:02:22] Speaker A: Puis c'est quoi là? Je pense que c'est Mme Roy qui a décrété ça. Elle disait que c'était un enjeu de sécurité, je ne sais pas quoi. [00:02:29] Speaker B: Oui, mais je n'ai pas compris lequel. [00:02:30] Speaker A: Est-ce qu'il y a des gens qui travaillent là et qu'on ne veut pas que les journalistes aient accès aux dossiers? [00:02:35] Speaker B: Oui. [00:02:36] Speaker A: Ça m'étonnerait que c'est un dossier important, tu laisses ça traîner sur la table. [00:02:39] Speaker B: Je suis d'accord. Je pense qu'il y aurait eu moyen de moyenner pour faire autrement, enfin. [00:02:45] Speaker A: Mais en général, parce que là, écoute, tantôt Pierre Couture dans son show jasé avec son chroniqueur politique, pis c'est pas la première fois, pis même moi j'ai eu des petits feeds, on a tous nos petits feeds, pis t'en as aussi, pis des gens qui nous... pis t'en es un pour nous autres d'ailleurs. Mais moi on me dit qu'à la CAQ, ça grenouille en tabarouette. [00:03:08] Speaker B: Ben en fait, Ben oui, mais je te dirais que ça l'a toujours grenouillé, sauf que là, ben contrairement à ce qu'on se disait, tu te rappelles, on s'en parlait la semaine passée, on disait « mon dieu, qu'ils n'ont comme pas de colère ». Ben là, il y en a un qui a peut-être parti un bal, M. Chassin, qui est quitté. En tout cas, dans un premier temps, ça l'a amené des députés à se confier. Publiquement, ça vraiment c'est la première fois que je vois ça. Alors il y a des députés qui se sont confiés ce week-end, c'est sorti dans les médias. Alors il y a des députés qui ont dit, vous savez quand ils parlaient de plantes vertes, ben c'est vrai, on est des plantes vertes. On ne fait rien, ils se servent de nous juste en commission parlementaire. Le reste du temps, nous on arrive au caucus avec nos problèmes que nous on voit dans nos bureaux de comté et le premier ministre, nous on amène ça à l'attention du premier ministre, mais ce n'est pas le premier ministre qui nous répond, c'est les ministres. On mentionne même, si vous pensiez que Benoît Charette et Christian Dubé étaient au-dessus de leurs affaires, vous n'avez rien vu. Son nid à la belle nous fait sentir comme des moins que rien. [00:04:23] Speaker A: Mais ça recoupe plein d'affaires. Tu sais, ici même en ongle, le député Luc Provençal, il nous avait donné une entrevue. On a su que ça n'avait vraiment pas plu aux autres instances de la CAQ parce qu'il s'était un peu vidé le coeur. Et c'est ce qu'il disait. Il disait, personne nous écoute en haut. C'était l'histoire quand il avait annulé le troisième lien. [00:04:45] Speaker B: Absolument, oui, je me rappelle. [00:04:46] Speaker A: Puis lui, il disait à nous autres, parce que ça arrive ça, je t'annonce qu'ils n'ont pas passé un beau quart d'heure, quand ça a été annoncé. Même avec le retour du troisième lien qui était purement stratégique, ils ont vu que ça avait tout dégrégolé, puis quand Joël Boutin est parti, Ils ont perdu la circonscription. Pis l'autre bord, c'est exactement ce qu'il me disait. Personne nous écoute. On parle dans le vide. On s'en a pas écouté. Pis ça a pas changé, là. [00:05:14] Speaker B: Ben non, ça n'a pas changé. Puis ce qu'il faut comprendre, c'est que les députés de la CAQ qui ne sont pas ministres, les députés de la CAQ, ils ont le même discours que les députés des autres parties des oppositions. Dans nos bureaux de comté, on reçoit des tonnes de courriels et d'appels. Puis les gens, je suis obligée de dire, bien que nous, quand on est ensemble dans les médias, on va parler du BAP qu'il n'y a pas eu lieu dans Norvold et ça n'a pas d'allure, C'est pas pour ça qu'ils nous appellent les citoyens. Ils nous appellent pour les logements. Ils nous appellent pour la violence admise. Le gros concret, les députés eux, c'est ça qui amène au caucus. Moi, je me fais chialer dans mon comté, je ne sais plus quoi leur dire. Ils me disent la circulation ça pue de bon sens, je ne sais plus quoi leur dire. Il y en a des députés qui ne répondent juste plus au téléphone. Pis ils répondent même plus aux courriels. Mais il y en demeure pas moins qu'eux, ils ont une énorme pression. Ils savent plus! Ils se le font dire direct par leurs citoyens que nous, on te sert à rien! [00:06:14] Speaker A: Fait que là, ils ont peur d'aller à l'épicerie? [00:06:16] Speaker B: Bien, ceux qui habitent dans leur comté, là, effectivement, ils se sentent pas... [00:06:20] Speaker A: J'en reviens à ce qu'on disait la semaine passée, d'abord. Là, faites-vous pousser une colonne. Puis faites un Youri Chassain de vous. Même si ça fait quatre ans que vous auriez dû le faire, faites-le là. [00:06:30] Speaker B: Je te le confirme, J.C. Il y a plein de monde insatisfait. Il y a plein de monde qui parle à plein de monde. Puis oui, des députés, mais du staff aussi, beaucoup. Il y a un énorme roulement de personnel. J'ai un exemple en tête, je ne veux pas nommer de nom, un ministre à Laval. Mais son personnel sont tannés, il n'est jamais dans sa circonscription, il ne s'occupe pas de ses citoyens. Puis les gens appellent, ils sont contents quand ils ont un ministre, ils vont l'appeler, ils pensent que tout est réglé. Le staff est tanné de gérer plein des citoyens. Mais revenons-en à nos chats. [00:07:15] Speaker A: À nos pas de colonne. [00:07:17] Speaker B: En fait, ça grenouille beaucoup, ça parle beaucoup. Maintenant, on attend. Est-ce que les bottines vont suivre les babines? [00:07:25] Speaker C: C'est un ministre délégué, le gars que tu parles? J'ai fait une recherche. [00:07:29] Speaker B: Oui, un ministre délégué. [00:07:31] Speaker C: Son nom de famille commence par un S? [00:07:32] Speaker B: Oui, c'est ça. Mais c'est un parmi tant d'autres parce que j'en ai déjà parlé puis je vais te dire Éric Girard c'est la même chose. Les gens dans son comté étaient tannés parce qu'il prenait des rendez-vous pis M. Girard n'a jamais rencontré les gens dans son comté. [00:07:50] Speaker A: Ah mais il allait rencontrer Gary Bettman par exemple. Ça oui. D'ailleurs parlant de Ménisce parce que l'autre affaire qui me semble un peu... C'est pas... C'est anormal, mettons. Il me semble qu'il y a pas de virement ben ben. Il y a jamais de remaniement. C'est toujours les... Ça bouge pas ben ben les ministres à la CAQ. [00:08:10] Speaker B: Ben c'est une des choses que les députés qui ont dénoncé leur caucus ce week-end ont dit. Depuis longtemps, ils veulent des remaniements pour plusieurs raisons. Il y a des incompétents. [00:08:21] Speaker A: Ben ça, là, c'est normal de... T'essaies quelqu'un. Tu lui donnes un ministère. Pis là, je vois ta liste, je vais t'embrûler un tout de suite. [00:08:29] Speaker B: Éric Caille. Oui, oui, oui. [00:08:32] Speaker A: Au début, là... [00:08:33] Speaker B: C'est une joke. [00:08:34] Speaker A: C'est une joke, mais mettons au début, là, bon, c'était un ancien de l'ADQ, il prenait beaucoup de place à l'ADQ, pis là, il y a eu la fusion. Le problème, c'est que lui a travaillé fort pour que ça marche. [00:08:45] Speaker B: Il fallait lui dire merci. [00:08:46] Speaker A: Ben, c'est ça. Ça, je peux comprendre, ça m'inquiète un peu, mais c'est comme ça, la politique. On remercie pour le service rendu pis pour... Bon. Mais maintenant, quand ça fait 3-4 ans, tu le vois bien qu'il est pas bon. [00:08:57] Speaker B: Ben en fait plus que ça. Fait que moi je pense qu'un mandat à 230 000 plus ce limousine, je pense que c'est suffisant. On se demande encore comment ça... Benoît. [00:09:05] Speaker A: Charrette, à part répéter tout ce que le goût dit de dire, puis de menacer l'environnement, le BAP, des fois c'est prix mondial, des fois c'est pas grave... [00:09:14] Speaker B: C'Est un prêtre, non, Benoît, je suis obligée de me dire comme ça. J'ai jamais vu quelqu'un qui est à côté de la traque tout le temps, à temps plein. [00:09:23] Speaker A: Il n'a pas lu sa description de chose. C'est comme la marionnette qui parle d'environnement au nom des intérêts du parti. [00:09:31] Speaker B: Qui fait semblant de parler d'environnement. C'est ça. [00:09:33] Speaker A: Des fois, ça, c'est bon. Des fois, c'est primordial. Des fois, c'est pas grave. Des fois, on le fait, on le fait pas. C'est pas quelqu'un qui est crédible dans son rôle pendant tout. [00:09:41] Speaker B: Ça c'est sûr que les députés ne considèrent plus à leur place. Mais il y en a plusieurs qui sont dans la catégorie à quoi ils servent. Puis on se demande même, ça prend-tu absolument un ministre? [00:09:57] Speaker A: Moi je suis d'accord, il y a bien trop de ministres. [00:09:59] Speaker B: C'est pas 30 quéques, là. Mais il y en a dont on entend très rarement parler parce que ils ont... Pis là, j'y vais vite, vite. La forêt, l'agriculture, le tourisme... Sérieusement, Caroline Proulx, à part avoir donné un contrat pour... Pis t'sais, ils ont passé par elle pour y faire faire de la mousse, là, mais on s'entend, t'sais. [00:10:18] Speaker A: Hé, Caroline Proulx, là, la dernière fois que je l'ai entendue parler, c'est en fin de semaine, là, elle nous parle de NFL. [00:10:23] Speaker B: Ben, ouais, ben c'est ça. [00:10:25] Speaker A: Écoutez... Non, mais t'sais, j'ai dit... [00:10:29] Speaker B: Il y en a plusieurs que... La ministre des études supérieures, si on la compare à Bernard Dreyfus, ce n'est pas comparable. Il y en a un qui patauge et qui essaye et l'autre qui n'a rien à faire. [00:10:42] Speaker A: On n'entend rien. [00:10:43] Speaker B: On n'habitait jamais par là. Mais je veux quand même ramener à ce qu'on se disait, donc il y a des gens en coulisses, mais là, c'est plus une cachette. Il y a trop de monde qui le savent, il y a trop de monde. Puis moi, je ne les nommerai pas aujourd'hui parce que je veux parler d'un... d'un processus et d'un état d'âme en général. Je ne veux pas nécessairement viser des gens. J'espère que ces gens-là vont finir par avoir suffisamment de courage puis qu'ils vont agir. Ces gens-là, ils ont quand même plusieurs possibilités. Il y en a qui peuvent tout simplement claquer la porte comme Mme Boutin, pas satisfait. Il y en a qui peuvent faire comme M. Chassin, devenir indépendant. Mais il y a deux autres... Avant des transfuges, il y a quand même l'option qui est sur la table, qu'on entend souvent parler, d'ouvrir la porte à M. Duhaime. Il y a des gens qui ont cette possibilité-là d'ouvrir la porte à M. Duhaime. [00:11:39] Speaker A: Pour moi, la porte est déjà ouverte avec plusieurs. [00:11:41] Speaker B: La porte est déjà ouverte avec pas mal plusieurs. Et finalement, traverser le salon rouge et aller rejoindre les oppositions. Ça, c'est des possibilités extrêmement possibles. Il y a des gens pour chacune de ces possibilités-là qui le constatent très sérieusement. On va vraiment leur souhaiter du courage et d'agir. [00:12:04] Speaker A: On dit courage et colonne, mais qu'est-ce qui est si effrayant de claquer la porte quand ça fait plus ton affaire? [00:12:14] Speaker B: En fait, il y a plusieurs choses, JC. Je dois dire que contrairement à ce qu'on peut penser, par exemple, pour des ministres, un député qui quitte la politique ou qui quitte son parti, un député point, c'est difficile de se trouver un emploi après. [00:12:28] Speaker A: Ça n'est une raison. Si tu n'as pas trouvé un emploi, si tu changes de parti, par contre, vas-tu être élu? C'est ça l'affaire. [00:12:35] Speaker B: Ben ça dépend. Il y en a stratégiquement qu'il serait peut-être mieux de changer de parti pis. [00:12:38] Speaker A: Qu'Il va être possible de réussir. Moi je pense qu'à l'issue de Québec, prochaines élections, si tu tombes avec les conservateurs, je suis pas sûr que c'est une mauvaise bête. [00:12:46] Speaker B: Ça, ça serait effectivement... D'après moi, il. [00:12:48] Speaker A: Y aura du conservateur, ça arrive ça, de Québec. [00:12:52] Speaker B: Chose certaine, Jussi, il y aura d'autres départs. Il y en aura, c'est sûr. Ça ne peut pas continuer comme ça. Je ne peux pas voir qu'est-ce que... En fait, à moins que François Legault se décide, qu'il dise à Koskinen, c'est moi le boss, c'est moi qui décide. et qui décide de faire un remaniement avant janvier. Ça, ça pourrait peut-être calmer plusieurs ardeurs, mais sinon, je ne peux pas voir. [00:13:18] Speaker A: Tout dépendant de qui sera nommé. Parce que tu sais, l'autre affaire que tu n'as pas dit, mais dans le souhait des députés de remaniement, c'est aussi l'espoir d'être appelé l'élu. [00:13:26] Speaker B: Oui, mais je pense... Sérieusement, je pense qu'il y en a qui sont à ce point écoeurés. Juste voir les bullies du conseil des ministres déguerpir, ça va déjà être un bon soulagement pour plusieurs d'entre eux. [00:13:39] Speaker A: Mais en même temps, les bullies vont-elles être tassées? Parce qu'ils sont faits remaniement, puis qu'on change... Regarde, je les ai, les ministres d'en face. Puis qu'on change la ministre responsable de la solidarité sociale. Je ne savais même pas le nom, Chantal Rouleau. [00:13:55] Speaker B: Madame Rouleau, si elle n'est pas contente, elle peut quitter, mais je ne pense pas que ça va faire des grosses vagues. Mais je suis certaine... Moi, ce n'est. [00:14:01] Speaker A: Pas une boulie, elle-là. [00:14:03] Speaker B: Non, je suis d'accord, mais je suis certaine qu'Éric Kerr, si on l'enlève du Conseil des ministres, on le tasse, Pour le rendre simple, le député, il ne vient plus à l'Assemblée nationale. Mais ça, il y en a plusieurs qui ont des égos rendus là maintenant. Un moment donné, on ne fait pas une omelette sans casser des oeufs. Je pense que d'une manière ou d'une autre, il va y avoir des insatisfaits. Moi, je pense qu'il n'y avait pas juste M. Fitzgibbon, il est temps de faire d'autres insatisfaits au Conseil des ministres. puis à un moment donné, c'est le premier ministre, il faut que ça s'assume, seigneur. [00:14:39] Speaker A: Non mais moi, je n'ai jamais vu un parti au pouvoir être aussi immobile dans ses ministres. [00:14:46] Speaker B: Absolument, oui, oui, oui. Puis on s'entend que c'est pas... Avec. [00:14:49] Speaker A: Fitz, il y avait une chance de dire, regarde, tant qu'à être là, on va rebrasser des camps. Ah non, il y a peu que pas, il a tassé deux pions, on touche à rien. [00:14:57] Speaker C: Mais ce que j'allais dire, c'est que ça garde rapproché. [00:14:59] Speaker A: Oui. [00:14:59] Speaker C: C'est les vieux de la vieille. [00:15:00] Speaker A: Fait que c'est bullies, peut-être qu'ils savent aussi. [00:15:03] Speaker B: Bien, c'est sûr qu'il lui serve. C'est sûr, sûr, sûr qu'il lui serve. C'est sûr qu'il lui serve, mais là, il va falloir qu'il fasse une évaluation à savoir qu'est-ce qui penche le plus dans le balance. Les 5-6 bullies, c'est une excellente question, Patricia. [00:15:16] Speaker C: Quand il y a un gros égo, le go, là. [00:15:18] Speaker B: Il y a un très gros égo, absolument. Et voilà, c'est là où je pense que ce qui va changer la donne, c'est les autres insatisfaits qui vont décider de dire, ça suffit. [00:15:29] Speaker A: J'ai juste les nommées de même. T'sais on s'amuse, mettons qu'on se demande ça là, c'est-tu nécessaire ça, mettons là. Sonia Bélanger, ministre responsable des aînés. Un ministère des aînés, c'est-tu nécessaire ça? [00:15:46] Speaker B: On aurait aimé que ce ministère-là soit plus efficace pendant la pandémie. [00:15:52] Speaker A: Si l'économie va bien, si la santé va bien, t'as pas besoin d'un ministère des aînés. C'est des gens comme tout le monde. [00:15:58] Speaker B: Maintenant que les maisons des aînés sont toutes construites et qu'il y en a tout plein qui sont vides... Et qu'ils ont coûté trop cher. Et qu'ils sont pas louables. Je suis d'accord. [00:16:07] Speaker A: Tu sais, je veux dire, si tout va bien, pourquoi il n'y a pas un ministère des Jeunes? Je veux dire, rendu là. [00:16:11] Speaker C: Non, mais moi, tu vois, oui et non. L'affaire, c'est que c'est comme un peu ancré. Je pense que comme ta population est vieillissante, oui, au moins on peut se... Mais par contre, je ne te dirais pas si dans 20... Je ne vais pas dire 20 ans. Si dans 50 ans, ça n'a plus lieu d'être, on l'enlève. [00:16:25] Speaker A: Oui, mais Pat, si la santé va bien, si l'habitation va bien, si l'économie. [00:16:30] Speaker C: Va bien, Pourquoi tu as besoin d'un ministère des aînés? En plus, de toute façon, ça ne change rien. [00:16:37] Speaker B: Mais là, tu ne dis pas que la santé et l'économie vont bien? [00:16:39] Speaker A: Non, mais tu comprends que dans un monde où on a inventé un ministère, ça ne va pas bien ailleurs. Chantal Rouleau, j'en ai parlé. Ministre responsable de la solidarité sociale et de l'action communautaire. [00:16:54] Speaker B: Ça, c'est une ministre qui fait juste donner des chèques. Le budget fait juste donner des chèques. [00:16:58] Speaker C: Il y en a trop d'organismes. [00:16:59] Speaker A: Après moi, le ministère de l'économie peut ramasser ça. [00:17:01] Speaker C: Il y a des organismes qui se dédoublent. [00:17:02] Speaker B: Oui, absolument. Mais je suis quand même obligée de dire qu'ils ne suffisent même pas à la tâche parce que dans plusieurs champs de compétences différentes, le gouvernement, on est complètement lavé les mains en disant que c'est les organismes qui s'en occupent. Nous, on leur donne de l'argent et c'est eux autres qui s'en occupent. [00:17:20] Speaker A: Ils en payent une ministre pour chopoter ça. [00:17:22] Speaker B: Exactement. Ils en payent une ministre pour distribuer des chèques. [00:17:24] Speaker A: Ministre responsable des relations avec les Premières Nations et les Inuits. Tu sais, ça, il peut pas avoir juste un comité ou un canal de communication. Ça prend un ministère, des employés, puis des fonctionnaires, puis des... Bien ça, je. [00:17:36] Speaker B: Suis obligée de dire que le gouvernement du Québec n'a jamais eu, à ce point, une bonne relation avec les Premières Nations, qui est obligée d'avoir quelqu'un dédié à ça, là. Puis dès que... Puis on n'a pas fini d'entendre parler, on en a entendu parler dans Hydro-Québec, hein, et les Premières Nations ont dit, nous, on va être actionnaires. [00:17:53] Speaker A: Ben oui, d'ailleurs tu vois que ça donne quelque chose, ça va super bien. Mettons, ministre responsable des services sociaux, ça il me semble qu'à une époque c'était santé et services sociaux, on a splité ça en deux. C'est-tu vraiment nécessaire juste d'avoir un ministre et un ministère avec tout ce que ça comporte, une limousine, puis des gardes du corps, puis un bureau, puis des fonctionnaires, Moi, ce que je sais de. [00:18:17] Speaker B: Ce ministre-là, qui est Lionel Carman, depuis qu'il est en place, tout ce qu'on fait, c'est lui reprocher la gestion de la DPJ. On a vu zéro amélioration. Il est juste chanceux pour l'instant que ça fait pas partie de l'ordre du jour, mais la prochaine tragédie, le prochain décès, le prochain... [00:18:41] Speaker C: Mais lui, il passe free là. [00:18:43] Speaker B: Vraiment, vraiment. [00:18:44] Speaker C: Pour de vrai, je pense que dans la section médiocrité, on devrait le mettre son nom parce que... [00:18:49] Speaker A: C'est parce qu'il parle bien, c'est quelqu'un avec du bagage, donc je pense qu'il passe free. [00:18:53] Speaker C: Il n'y a aucun accomplissement. Ça, c'est capoté. Corrige-moi si j'étends. [00:18:57] Speaker B: Non, non, non, tout à fait. Notamment... [00:18:59] Speaker A: Il n'y a pas d'annonce, il n'y a rien. [00:19:00] Speaker B: Pour la DPJ, je ne peux pas croire que ça a été le statu quo aussi longtemps. Rien qui change? Absolument rien. Je ne sais même pas ce qu'il. [00:19:09] Speaker C: Fait de ses journées. [00:19:10] Speaker A: On va finir avec celui-là, c'est le meilleur. Ministre de la cybersécurité du numérique. De toute façon, on voit ce que ça donne, on est vraiment à la page côté technologique. C'est le temps qu'à être pas bon, on peut laisser faire. Tu sais, moi ça, le ministère de la cybersécurité du numérique, dans ma tête, Tout ce dossier-là, ça revient au privé. C'est des compagnies privées qui devraient offrir des services, puis se développer, puis c'est de l'évolution technologique. C'est le privé qui s'occupe de ça. [00:19:39] Speaker B: Ça, c'est un bon point, J.C., parce que tout ça est parti, vous vous en rappelez certainement, pendant la campagne en 2018, que François Legault disait qu'il était pour tout régler, le bordel informatique, puis faire une commission d'enquête là-dessus. On n'a jamais eu de commission d'enquête. Je pense que ce serait encore pire de voir ce qui se passe avec ce ministère-là, ce qui s'est passé au privé, mais bon. [00:20:03] Speaker A: Salutations Érica. Merci Annie, toujours un plaisir. On se parle la semaine prochaine. Bonne semaine, bon lundi et c'est parti, on vient.

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