Taxe sur l'essence: le gouvernement aurait couler l'info, le maire voulait l'instaurer ?

September 12, 2024 00:15:11
Taxe sur l'essence: le gouvernement aurait couler l'info, le maire voulait l'instaurer ?
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Taxe sur l'essence: le gouvernement aurait couler l'info, le maire voulait l'instaurer ?

Sep 12 2024 | 00:15:11

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La chronique de Gary.

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[00:00:00] Speaker A: Oh yeah! [00:00:17] Speaker B: Let's go! Journée verte. 13h27 minutes. T'es-tu prêt Gary? [00:00:25] Speaker C: Ben, d'après moi, oui. [00:00:26] Speaker B: Prends ça! Prends! Prends! [00:00:31] Speaker C: Y'a du stock sur la table? [00:00:40] Speaker B: Ben, j'pense que oui, j'aurais bien aimé ça parler de ton disque de dette magnétique que t'as amené. [00:00:45] Speaker C: C'est 16 ans aujourd'hui pour Médellin. [00:00:47] Speaker B: OK, ben bravo. [00:00:48] Speaker C: C'est un album qu'on n'écoute pas assez, je pense. [00:00:50] Speaker B: Merci Metallica. [00:00:51] Speaker C: Dettes magnétiques. [00:00:52] Speaker B: Écoutez Dettes magnétiques. [00:00:53] Speaker C: Bonne fête Dettes magnétiques. [00:00:54] Speaker A: Un CD, wow. [00:00:55] Speaker B: Parle de ça. [00:00:56] Speaker C: Marchand, marchand. [00:00:58] Speaker B: Il y a du stock sur la table. [00:00:59] Speaker C: François Legault. Je parlerais un petit peu de François Legault pour partir. [00:01:02] Speaker B: Mets-moi en contexte, de quoi on parle. [00:01:04] Speaker C: Journée des élus municipaux. [00:01:05] Speaker B: Tu peux fermer la toune de Metallica aussi parce que... [00:01:07] Speaker C: Journée des élus municipaux aujourd'hui, Bruno Marchand a pris la parole à RDI au lendemain d'une journée plutôt difficile, en fait, l'annonce de la taxation, le triple... [00:01:15] Speaker B: Une journée difficile qui s'est lui-même créée. [00:01:17] Speaker C: C'est lui-même créé en passant, mais tu sais, il y a des journées plus faciles. Aujourd'hui, il y avait une rencontre avec les gens du Grand Prix de Québec. [00:01:23] Speaker B: Si je crève mes propres pneus, je ne vais pas blâmer personne de ma journée difficile. [00:01:27] Speaker C: Il n'a pas la même perception que Jean-Christophe aujourd'hui, je pense. Lui, il se dit bouc émissaire. Il dit que la CAQ s'en sert. La preuve, il y aurait même de l'info qui aurait coulé concernant la taxe de 3 sous le litre. [00:01:38] Speaker D: Ce qu'on a essayé de faire avec moi hier, me faire porter le poids de taxe dans une journée où on annonçait déjà quelque chose de pas facile, de la part du gouvernement qui a coulé de l'information, c'était pas un cadeau et ça servait pas la cause de personne. Surtout pas des gens qui sont pris dans le trafic, surtout pas de notre économie qui souffre de ce manque de fluidité et de cette congestion. [00:01:57] Speaker B: Est-ce qu'il y a eu vraiment des gens de la communauté métropolitaine de Québec qui ont parlé avec le gouvernement de l'hypothèse et la demande de faire une taxe supplémentaire de 300 $ le litre? Question, votre honneur. [00:02:11] Speaker C: Ben en fait, ça a été discuté, ça a été annoncé. [00:02:14] Speaker B: OK, merci, ce sera tout. Bonne journée. Je suis un avocat redoutable. [00:02:19] Speaker C: Le maire a dit qu'il n'a pas parlé à son nom, mais au nom de toutes les municipalités. [00:02:21] Speaker A: Il l'a avoué. Il vient de dire dans le code que le gouvernement a coulé l'information. [00:02:26] Speaker B: Donc l'information existe. [00:02:28] Speaker A: L'information est vraie. [00:02:29] Speaker B: Donc l'information devait être cachée. [00:02:33] Speaker C: Elle était apparue dans l'actualité. Tu sais, la part de hasard dans cette nouvelle-là, Je pense qu'il n'y en a pas. [00:02:38] Speaker B: Non, ça je comprends, mais la question a été abordée, donc la question a été discutée, donc il y avait un certain intérêt à rajouter une taxe de 300 $ le litre aux automobilistes de la région de Québec. Vrai ou faux, votre honneur? [00:02:55] Speaker C: Ce sera tout, merci! [00:03:10] Speaker B: Ça prend du courage, je vous le. [00:03:13] Speaker C: Dis, je vous le répète souvent, ça prend du courage parce que ça n'a pas été bien reçu. Notamment Radio X, hier midi, ça a été relativement bien accueilli, cette taxe triplée. [00:03:25] Speaker D: On fait un choix que moi je juge courageux qui est celui de dire on va pas faire le livre politique, on attend la première année d'un mandat pour passer de mauvaise nouvelle comme ça les gens s'en souviennent plus. Il y a des enjeux présentement, les gens sont pris dans le trafic. Alors les politiciens qui disent, je voyais Pierre Poliev hier dire Je voyais des ministres du gouvernement du Québec dire « Oui, c'est cher. » OK, mais c'est quoi votre solution? Moi aussi, je trouve ça une mauvaise journée. Moi non plus, je n'ai pas envie de charger les taxes. Mais savez-vous quoi? S'il n'y a pas de solution, vous leur dites quoi? Tu vas être flié à ne pas avancer entre chez toi et ton travail ou entre chez toi et la garderie ou l'école. Mais sais-tu quoi? Je ne te chargerai rien de plus, mais je ne mettrai pas de nouveaux services. Donc au final, c'est quoi? Je me fous de toi! [00:04:04] Speaker A: Ben si t'as pas les moyens d'offrir de nouveaux services. Allô? [00:04:08] Speaker B: T'en offres pas. [00:04:08] Speaker A: Allô la planète Terre? [00:04:09] Speaker C: Ne pas savoir le moyen, ce n'est pas se foutre du monde. [00:04:12] Speaker A: Ton service actuel, il fonctionne pas. Parce qu'à l'interne, on achète des tasses à 34 000$. Ça c'est ce qu'on sait. Imaginez tout ce qu'on sait pas. [00:04:19] Speaker B: On peut rajouter des courriels. [00:04:20] Speaker A: 300 000, OK? Et donc, tu te dis toi-même que tu te fais le grand ménage. Ça se peut-tu qu'avant d'offrir de nouveaux services, tu regardes les services que t'as, puis là, tu te dis, ça fait... Hey, c'est fou, là, ce que je vais te dire. Ça fait tellement d'années qu'on charge de plus en plus cher pour le monde, puis, Chris, ça fonctionne pas plus. Fait que c'est peut-être pas la solution de charger plus au monde. Faut peut-être faire le grand ménage. Je sais pas, il me semble que je fais 1 plus 1, égale bon. [00:04:43] Speaker B: Parce que le transport en commun, mettons, là, aujourd'hui versus il y a 25 ans, y es-tu plus ou moins financé, mettons? [00:04:50] Speaker C: Y es-tu plus financé? [00:04:51] Speaker B: Le service, y es-tu meilleur? [00:04:52] Speaker C: Y es-tu meilleur? Ben, je pense qu'il est comparable. [00:04:56] Speaker B: Est-ce qu'il faut vraiment améliorer? [00:04:58] Speaker C: Non. [00:04:58] Speaker B: J'dirais pas pire, pas mieux, là. Mais moi, tant qu'à être dans le pas pire, pas mieux... [00:05:02] Speaker C: La 7, c'est la 7. [00:05:03] Speaker B: Je sais pas combien de plus qu'on donne au transport en commun depuis 20 ans, là. Mais, t'sais, à pas pire, pas moins, à un milliard, mettons, de plus, je vais en prendre un milliard de moins. Je vais avoir le même genre de service un peu de dépannage, là. [00:05:18] Speaker C: L'animatrice RD, Julie Drolet, je pense, est revenue sur le fait que ça m'amate quand même dans le dernier sondage à ce carré, pis pas à peu près. On se le dira pas. On se le cachera pas, pardon. [00:05:28] Speaker B: Attention, on se le dit pas, ça va être plan. [00:05:29] Speaker C: Non, non, c'est ça, on se le cachera pas. Mais une chose est sûre, c'est que la question se pose. Est-ce que vous aimez encore ça, être maire, M. le maire? [00:05:36] Speaker E: Vous avez un adversaire qui se dessine, Samaman, qui n'a pas encore plongé réellement, mais dans les sondages, qui a des meilleurs chiffres que vous. Vous avez Pierre Poilievre qui vous traite d'incompétent. [00:05:45] Speaker D: Non, non, non, il n'a pas des meilleurs chiffres que moi. Samaman n'a pas des meilleurs chiffres que moi. On est au coude à coude, mais je suis en avant. J'ai bien hâte de faire campagne. Merci de le préciser. [00:05:55] Speaker E: J'étais sur une mauvaise impression, M. Marchand. Mais vous avez donc les gros mots de Pierre Poillet, votre société dans la ville de Québec est très divisée, le tramway, les gens chiants, les pistes cyclables, même affaire. Écoutez, en cette journée, cette première journée des élus municipaux, est-ce que vous aimez ça encore, être maire? [00:06:14] Speaker B: Oui, j'adore ça. [00:06:14] Speaker D: Je ne suis pas en train de. [00:06:17] Speaker C: Dire que c'est facile. [00:06:18] Speaker D: Si j'avais voulu une job facile, j'aurais fait d'autres choses. [00:06:21] Speaker A: C'est parce que le coût de fonde, c'est 39% des voix en faveur de marchands, puis 37% pour un candidat fantôme. Il existe même pas. Je dis candidat, il l'est même pas encore. Pour une personne fantôme qui pourrait peut-être se présenter. [00:06:35] Speaker C: Une rumeur, en fait. [00:06:36] Speaker A: Fait qu'imagine, je veux dire, s'il sort pis il dit « Moi, les taxes, c'est fini dans Ville et Québec, pis je vais être rigoureux, pis ici, pis je vais faire les choses intelligemment, pis blablabla. [00:06:46] Speaker B: » Moi, je pense que je le croirais pas. [00:06:49] Speaker A: Oui, mais on a besoin d'arriver là un peu. On a besoin de nous offrir. Là on a faim. [00:06:54] Speaker B: Oui, mais il y a du monde qui embarquerait peut-être. [00:06:57] Speaker A: C'est parce qu'à 39, j'assiste à 37. [00:06:58] Speaker B: Et c'est important de dire qui est en avant. [00:07:03] Speaker A: Je trouve que c'est humiliant. [00:07:04] Speaker B: Non, non, non, ce n'est pas vrai ce que vous venez de dire. [00:07:07] Speaker A: C'est humiliant pour Bruno Marchand. Il se bat, il a 39% des intentions de vote actuellement contre un 37 qui n'existe même pas. Tu capotais là, je veux dire... Non. [00:07:18] Speaker B: Il est même pas là. Je savais même pas que ça se. [00:07:19] Speaker A: Pouvait dans la vie. [00:07:20] Speaker C: C'est pas très... C'est pas assis confortablement, comme on pourrait dire. [00:07:23] Speaker B: Passe ça! [00:07:23] Speaker C: Bien, François Legault! [00:07:25] Speaker B: Youpi! No borders! No borders! Continuons! No borders! [00:07:31] Speaker F: Québec has a responsibility to do more. [00:07:34] Speaker B: Continuons! To do more! Continuons! Mais là, M. Legault, il a une grosse journée, lui. Là, il y a Bruno Marchand qui est fâché, mais il y a aussi des missionnaires. [00:07:46] Speaker C: Il y a Yoé Chassin qui, quand même, retient l'attention. Depuis ce matin, on a recompris qu'il y a une personne de moins parmi les élus à la CAQ qui faisait quand même partie du caucus. Aujourd'hui, bien, François Legault traîne sa nouvelle formule journalistique, c'est-à-dire un point de presse par semaine, fait en direct de l'Assemblée nationale, donc avec les collègues de l'Aquarium, comme on pourrait dire. C'est sûr qu'il y a eu beaucoup de réactions suite à ce départ-là. M. Legault a été à livre ouvert, a exprimé les détails de la conversation qu'il a eue hier avec Yuri Chassin, qui est devenu indépendant, on va dire comme ça. C'est long, il y a plusieurs extraits comme ça, mais je commencerai avec celui-là, peut-être qu'il va, je pense, peut-être pas vous rassurer, mais vous allez peut-être davantage comprendre la dynamique qui habite la relation entre les deux. [00:08:31] Speaker F: Il n'y a personne là, ni Yuri, ni moi, qui aimons voir le déficit qu'on a actuellement. Mais d'où vient ce déficit? Deux choses. D'abord, on a baissé les impôts. [00:08:44] Speaker B: Puis, je ne regrette pas. [00:08:46] Speaker F: Je pense que c'était une bonne décision. Puis là-dessus, Youri et moi, on s'entend. Mais l'autre décision importante qu'on a prise, en décembre dernier, dans le temps de Noël, c'est d'augmenter de façon importante les salaires des infirmières, des enseignants, pour couvrir au moins l'inflation. [00:09:05] Speaker A: Et là, tout ça va mieux. C'est fou comment une augmentation de salaire, ça règle des problèmes. [00:09:11] Speaker C: Plus que ça, il y a même de l'espoir. [00:09:12] Speaker B: Non mais même si, regarde, moi je me positionne un peu là-dedans. Même si moi je me dis écoute, tes employés, paye-les. C'est une des principales fonctions de l'État. Moi je pense qu'il y en a bien trop. Mais ceux que tu as, on veut pas que tu sois payé à 20 000 par année. Tu comprends? Je peux comprendre. Mais c'est parce que là, de réduire le 11 milliards à une baisse d'impôts puis une augmentation des infirmières, c'est un peu laborieux. Et d'après moi, si on ouvre les volets, la vision est plus dramatique que ça, là. Il y a des dépenses qui se font de tous les bords. [00:09:44] Speaker A: Non, mais il a pris la sacoche, là. [00:09:46] Speaker B: Il y a de l'embauche en fou de tout. Quoi, 70 000 de plus, là, d'employés. [00:09:49] Speaker C: Ouais, 70 000 au bout d'un peu. [00:09:51] Speaker B: Et 5 000, là. T'sais, là, de réduire ça à deux sujets, C'est un petit peu enfantin. [00:09:57] Speaker A: Il a pris la sacoche qu'il avait, qui était somme toute popée, pis il l'a complètement vidée. Écoute, et ses buts du vin, là... Écoute, c'est le party qu'il a eu. [00:10:06] Speaker B: À même la sacoche. [00:10:06] Speaker C: Mais y'a de l'espoir, les amis. [00:10:07] Speaker B: Y'en a qui boivent ça dans la botte de cowboy, d'autres dans la sacoche. [00:10:10] Speaker C: La lumière au bout du tunnel, évidemment le gars veut pas qu'il y ait des déficits comme ça pendant des décennies, ce serait insupportable. [00:10:16] Speaker B: Non, prochain mandat, il va tout couper. [00:10:18] Speaker C: Par contre, c'est vraiment pas couper... En fait, il veut pas couper dans les services. C'est ça l'enjeu. Couper des services aux Québécois, on n'est pas prêts pour ça. Mais il y a un horizon d'espoir. Et cet horizon, c'est 5 jours, 5 mois... Non, non, c'est 5 ans. [00:10:33] Speaker F: Moi, c'est clair qu'il n'est pas question qu'on coupe dans les services. Donc, ce qu'on fait, c'est on se donne cinq ans pour revenir graduellement à l'équilibre budgétaire. Donc, on a discuté de ça. Moi, je veux avoir une approche équilibrée, pragmatique, responsable. Il a fait le choix de siéger comme indépendant. Évidemment, moi, je suis déçu de sa décision de siéger comme indépendant parce que j'aime Youri, je le connais depuis longtemps. Donc, je peux juste lui dire bonne chance, Youri. [00:11:12] Speaker A: C'était pas vrai. [00:11:15] Speaker B: C'est grand-papa. Grand-papa, il se bac. Moi, je les aime toutes, mes enfants. J'en ai 87. [00:11:23] Speaker A: Ici, c'était peurant. Il a pas coupé dans les services. Il veut pas couper dans les services. [00:11:27] Speaker B: Je comprenais pas, là. [00:11:28] Speaker A: Mais attention, là. [00:11:29] Speaker B: Moi, je suis Captain Pragmatist. [00:11:31] Speaker A: Ça, c'est le service de shit qu'on a, c'est parce qu'on a même pas de service. On a l'impression que t'as coupé dedans. Puis là, tu te dis fièrement que t'as pas l'intention de couper dans quelque chose qui est noué. On a l'impression que c'est coupé. [00:11:44] Speaker B: Ça existe pas, exactement. [00:11:45] Speaker A: Si tu nous l'enlèves, ça change. Excusez-moi, là, je vais le dire en anglaise. Ça change fuck all. [00:11:50] Speaker B: Évidemment, 5 ans, ben ça inclut un autre mandat de la CAQ. [00:11:54] Speaker A: Garde-toi, mon Frankie. Ça change rien, même si tu coupes. On a éloigné un service de merde. [00:11:59] Speaker B: Fait qu'encore une fois cette fameuse rétournelle où on nous amène dans un autre mandat. Fait que moi je vous promets que d'ici une autre élection, parce que vous allez nous rééler parce qu'on est vraiment bons, ben ça va être réglé là. Puis là on va nous dire dans l'autre élection, bon ben là ça nous prendrait encore un 5 ans pis bon. As-tu autre chose, mon ami? [00:12:16] Speaker C: Oui, en terminant, j'en aurais des milliers, on pourrait faire ça jusqu'à 3h30, mais je vous ferais un petit mix, j'ai mixé ça à la bonne franquette. Marc Tanguay, Gabriel Nadeau-Dubois, Paul St-Pierre Palamondon, c'est une brochette de réaction. Aujourd'hui, c'est l'économiste député de Saint-Jérôme qui quitte la CAQ et qui réalise que la CAQ n'est pas le parti de l'économie. [00:12:39] Speaker B: Ce matin, le premier ministre se retrouve face à ses propres contradictions. Il n'a pas livré ce qu'il avait promis aux Québécois-Québécoises. [00:12:49] Speaker C: Il y aura d'autres départs, à mon. [00:12:51] Speaker E: Avis, c'est évident, parce qu'à nouveau, c'est. [00:12:53] Speaker B: Un parti qui dit qu'il va faire quelque chose, puis ensuite, on ne peut pas se fier, ils font exactement l'inverse. Pis moi, je l'aime, Yuri. [00:13:01] Speaker C: Bonne chance. [00:13:02] Speaker B: Bisous, bisous, Yuri. J'espère que ça va bien aller, là. Merci Gary. [00:13:08] Speaker C: C'est à demain qu'on se dit. [00:13:10] Speaker B: C'est le grand retour des matchs de football. Le frousse-ball. Tu ne joueras pas au frousse-ball. Et voilà que c'est le retour aussi des tailgate. Et qui dit tailgate, dit tailgate. Radio X, Rouge et Or, c'est un match parfait. Le 22 septembre prochain, dans 10 jours, ben tapant. [00:13:27] Speaker A: Je peux y aller. [00:13:28] Speaker B: Deuxième tailgate. Tu pensais que tu ne pourrais pas y aller. Non, je vais y aller. [00:13:31] Speaker A: Le tailgate 22, je regarde dans mon agenda, ça marche. [00:13:34] Speaker B: Écoute, c'est contre le vert et or. Comme disait notre ancien collègue et toujours ami Vince Cauchon, les petits renards de Sherbrooke. 40$, c'est le même deal que la dernière fois. 40$ plus taxe, forfait qui inclut, attention, vos billets évidemment, dans la section 215. Consommation offerte par nos amis, nos très chers amis du Corsaire. Une pointe de pizza, toi et c'est Stratos qui vous offre ça. Un hot dog, toujours avec la gang de rêves sportifs, merci les gars. Un demi-sandwich smoke meat de Brin Smoke Meat, ça vient avec. Un morceau de poulet de PFK Amel Vanier, ça rentre dans le deal. Évidemment, un choix, parce qu'il faut faire penser ça, de dégustation offerte par la distillerie Vis et Vertu. ou Lore and Legends qui seront là aussi. Donc vous pouvez acheter vos forfaits pour le tailgate. La dernière fois, on les a tous vendus, on a même rajouté pis on les a tous vendus encore. Ça donne toujours un méga party. Je vais voir, moi je veux y aller. La dernière fois, mon gars jouait en même temps malheureusement. Si je peux y aller, je vais y aller c'est sûr. Donc tout ça sur boutique.radiox.com. Évidemment, faites vite, les quantités sont très limitées. [00:14:41] Speaker A: Le monde capote via texto. Y'a Jonathan qui se dit écrit « Ah, je savais pas que ça incluait les billets! » Ben oui! Je vais y être là, mais grand Chris de Chum, maudit que je vous aime! [00:14:49] Speaker B: Ben voilà! [00:14:50] Speaker A: Faites un Jonathan de vous Mike! [00:14:52] Speaker B: Oui, là, 40$ plus taxe, c'est tout ce que je viens de vous dire, et les billets. Ton billet est inclus là-dedans. [00:14:55] Speaker A: C'est le delgate, on fait le party, on est là, on se met beau, on voit une tique sur la tête, ça va être malade. [00:14:59] Speaker B: Plaisir, alcool et un peu de gras. [00:15:02] Speaker A: Et voilà! [00:15:02] Speaker B: C'est ça qui arrive. [00:15:03] Speaker A: Pis mes grosses cuisses! [00:15:04] Speaker B: Et voilà, on vient.

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